Xavier Niel à L'université d'été du Medef 2009
- il y a 15 ans
Xavier Niel :
On en a marre de la crise, on en a marre de la pandémie grippale, et on a envie de créer des entreprises qui fonctionnent, dans lesquelles les gens se sentent bien, on a un besoin et une envie d'oublier toutes ces choses là.
Parce que le monde de l'entreprise n'est pas forcément négatif, ce n'est pas forcément un monde où l'on s'ennuie, ça peut être un monde, dans lequel chaque jour, tout comme vous le faites, on a envie d'inventer des choses nouvelles.
On est ici pour essayer de parler de tout ça et inventer des modèles et des produits qui permettent à ceux qui travaillent de bien se sentir en entreprise, en oubliant le quotidien qui est parfois terne.
Mylène Jouve :
Votre présence ici était-elle selon vous indispensable ?
Xavier Niel :
Je ne sais pas si elle était indispensable, on a eu la gentillesse de nous inviter, il faudra remercier Laurence Parisot d'avoir eu cette délicate attention. C'est assez plaisant, on est bien accuellis...
On en a marre de la crise, on en a marre de la pandémie grippale, et on a envie de créer des entreprises qui fonctionnent, dans lesquelles les gens se sentent bien, on a un besoin et une envie d'oublier toutes ces choses là.
Parce que le monde de l'entreprise n'est pas forcément négatif, ce n'est pas forcément un monde où l'on s'ennuie, ça peut être un monde, dans lequel chaque jour, tout comme vous le faites, on a envie d'inventer des choses nouvelles.
On est ici pour essayer de parler de tout ça et inventer des modèles et des produits qui permettent à ceux qui travaillent de bien se sentir en entreprise, en oubliant le quotidien qui est parfois terne.
Mylène Jouve :
Votre présence ici était-elle selon vous indispensable ?
Xavier Niel :
Je ne sais pas si elle était indispensable, on a eu la gentillesse de nous inviter, il faudra remercier Laurence Parisot d'avoir eu cette délicate attention. C'est assez plaisant, on est bien accuellis...