Deriva
Rita Fischer
Du 12 au 27 juin 2009
Vernissage le vendredi 12 juin à partir de 18h
Rita Fischer réalise certaines de ses peintures en recouvrant une peinture de plusieurs couches de tissu semi-transparent qu’elle peint à leur tour.
L’image finale surgit de la fusion de ces couches : c’est une peinture voilée par d’autres. Cela génère une sensation de flou. Le spectateur est ainsi face à une illusion, un faux hologramme ou une image en 3D rudimentaire.
Son travail évoque ce que nous supposons, ce qui existe mais que nous ne pouvons pas atteindre. Dans ses peintures il y a toujours un espace inatteignable, derrière le voile semi-transparent.
L’artiste pousse le spectateur à regarder à l’intérieur d’une peinture, ou derrière elle. Et par extension, à regarder à l’intérieur de soi-même, au loin, au delà du visible.
On trouve dans ses œuvres des collages d’éléments organiques, des formes qui ressemblent à un système nerveux avec toutes ses ramifications, des formes végétales (branches, épines…), des cellules, des liquides, des sortes de taches d’encre, des lignes très graphiques, et le tout s’entrecroise.
Chaque élément fonctionne comme l’indice d’un chemin à suivre, mais tous ces éléments se mélangent. Le résultat, hybride, nous fait perdre nos repères.
Rita Fischer imagine d’étranges paysages qui ne représentent aucun lieu en particulier. Ils s’intitulent « nulle part ». En s’interrogeant sur la désorientation et la perte des illusions, dans un monde désenchanté, habité de crises sociales, politiques et économiques, elle crée des espaces à part, des espaces de liberté et de rêve.
Galerie Jeune Création – 6, Villa Guelma – 75018 Paris – Métro Pigalle
Mercredi, jeudi, vendredi de 11h à 17h
Mardi de 13h à 21h et samedi de 15h à 19h
Rita Fischer
Du 12 au 27 juin 2009
Vernissage le vendredi 12 juin à partir de 18h
Rita Fischer réalise certaines de ses peintures en recouvrant une peinture de plusieurs couches de tissu semi-transparent qu’elle peint à leur tour.
L’image finale surgit de la fusion de ces couches : c’est une peinture voilée par d’autres. Cela génère une sensation de flou. Le spectateur est ainsi face à une illusion, un faux hologramme ou une image en 3D rudimentaire.
Son travail évoque ce que nous supposons, ce qui existe mais que nous ne pouvons pas atteindre. Dans ses peintures il y a toujours un espace inatteignable, derrière le voile semi-transparent.
L’artiste pousse le spectateur à regarder à l’intérieur d’une peinture, ou derrière elle. Et par extension, à regarder à l’intérieur de soi-même, au loin, au delà du visible.
On trouve dans ses œuvres des collages d’éléments organiques, des formes qui ressemblent à un système nerveux avec toutes ses ramifications, des formes végétales (branches, épines…), des cellules, des liquides, des sortes de taches d’encre, des lignes très graphiques, et le tout s’entrecroise.
Chaque élément fonctionne comme l’indice d’un chemin à suivre, mais tous ces éléments se mélangent. Le résultat, hybride, nous fait perdre nos repères.
Rita Fischer imagine d’étranges paysages qui ne représentent aucun lieu en particulier. Ils s’intitulent « nulle part ». En s’interrogeant sur la désorientation et la perte des illusions, dans un monde désenchanté, habité de crises sociales, politiques et économiques, elle crée des espaces à part, des espaces de liberté et de rêve.
Galerie Jeune Création – 6, Villa Guelma – 75018 Paris – Métro Pigalle
Mercredi, jeudi, vendredi de 11h à 17h
Mardi de 13h à 21h et samedi de 15h à 19h
Catégorie
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Art et design