Ce soir, c'est 3 histoires d'horreur réelles et... vraiment terrifiantes ! Plongeons ensemble dans 3 threads horreur inédits, flippants et réels qui vous feront froid dans le dos… Ces histoires d'horreur sont TERRIFIANTES et VRAIES, alors préparez vous pour ces 3 histoires réelles. Ce soir, c'est thread horreur !
#horreur #threadhorreur #histoiredhorreur #histoireflippante
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AmusantTranscription
00:00Dès que les portes s'ouvrent, il voit au bout du couloir une silhouette.
00:04Dans l'obscurité, il semble discerner une femme très mince.
00:07Elle est seulement éclairée par les lumières de secours, donc il ne la voit pas très bien.
00:10Elle semble très maigre et sa posture est bizarre.
00:14Il prend le ton le plus clair et gentil possible et lui demande ce qu'elle fait à une heure aussi tardive.
00:19Et là, sans prévenir, la femme se met à hurler de toutes ses forces.
00:23Cet extrait vient bel et bien de l'une des trois histoires qu'on s'apprête à vous raconter ce soir.
00:27Il se passe parfois des choses vraiment étranges quand on est au travail et ça, vous allez pouvoir le constater ce soir.
00:33D'ailleurs, si vous est déjà arrivé quelque chose, n'hésitez pas à nous partager votre histoire sur l'un des réseaux qu'on vous affiche juste là.
00:39N'hésitez pas à vous abonner et à liker la vidéo si elle vous a plu et on est parti pour la première histoire.
00:43La commu, on connaît tous ce stress d'être le ou la nouvelle.
00:59Que ce soit à l'école ou un nouveau travail, ce n'est jamais très agréable comme sensation.
01:04Et justement, c'est exactement ce qu'a vécu Sandra alors qu'elle vient d'intégrer une nouvelle entreprise.
01:09Et franchement, elle est vraiment contente parce que la recherche n'a pas été de tout repos.
01:15Pendant des mois et des mois, elle a écumé les annonces, envoyé des CV à droite à gauche, passé des entretiens stressants sans succès.
01:23Puis, un fameux jour, elle a enfin décroché un poste d'assistante administrative dans une petite entreprise.
01:29Et après toutes les galères qu'elle a vécues, et franchement, on la comprend, elle est ultra soulagée et enthousiaste en fait à l'idée de commencer ce nouveau chapitre de sa vie.
01:37Et le premier jour, elle rencontre son patron, Monsieur Leblanc, un homme d'une soixantaine d'années.
01:43Mais malheureusement, et c'est assez triste, dès leur première conversation, il la met mal à l'aise.
01:49Normalement, j'interdis les flirts au bureau, mais je sens que je ne vais pas pouvoir m'en empêcher avec toi.
01:54Ouais, ok, c'est giga déplacé.
01:56Et Sandra rit nerveusement en ne sachant pas trop comment réagir à cette blague clairement vaseuse.
02:02Bref, les semaines passent et Monsieur Leblanc continue avec ses remarques dérangeantes.
02:06Plusieurs fois, il lui demande d'attacher ses cheveux, parce qu'apparemment, ça le distrait.
02:11Franchement, c'est trop bizarre.
02:13En plus de ça, en bon gros lourd, il commence à lui faire des compliments de plus en plus personnels et visés.
02:18Pensant à toutes ces semaines où elle a galéré pour avoir un emploi, Sandra essaye de l'ignorer et de se concentrer sur son travail.
02:24Mais clairement, ça devient très compliqué.
02:27Bah ouais, le problème, c'est qu'elle a besoin de ce job, surtout après la perte récente de l'un de ses parents.
02:31Bref, au fil des jours, l'harcèlement continue, mais vous allez voir, Monsieur Leblanc ne va pas s'arrêter là.
02:38Et en même temps, c'est pourquoi ça serait d'horreur.
02:40Un beau soir, Sandra rentre du travail et complètement lessivée, se pose devant une série Netflix.
02:46C'est enfin le moment de la détente, alors que la journée, comme toutes les autres, n'a pas été facile.
02:51Mais d'un coup, enfoncée dans son canapé, elle entend frapper à sa porte.
02:55Bon, c'est assez bizarre, on est le soir et elle n'attend personne, et quelque part au fond d'elle, elle ressent une vague d'angoisse.
03:02Elle sait que quelque chose ne va pas.
03:04Bon, elle n'a malheureusement pas de Judas sur sa porte, et donc, elle n'a pas le choix que de demander qui c'est à travers la porte.
03:10Et là, vous, derrière votre écran, vous l'aurez compris, mais imaginez sa surprise lorsqu'elle entend la voix de son patron.
03:16Parce que oui, en ouvrant la porte, elle découvre Monsieur Leblanc sur son seuil.
03:21Clairement, Sandra est choquée, elle ne sait pas quoi faire ni comment réagir.
03:24Évidemment, elle comprend très rapidement qu'il a certainement accès à ses données perso, comme son adresse,
03:29mais jamais elle n'aurait pensé qu'il vienne comme ça, sur un coup de tête.
03:32Et en un instant, elle comprend qu'elle doit rester polie, et elle essaye de le faire tant bien que mal, tout en lui demandant ce qu'il fait là.
03:38Et l'homme, sans pression, lui tend alors un dossier de travail, en lui disant qu'il voulait qu'elle bosse dessus le lendemain.
03:44C'est vraiment la pire des excuses, on est bien d'accord.
03:47Bien entendu, il ne s'arrête pas là, et commence à faire des remarques sur son appartement, puis sur son chat.
03:52En fait, absolument tout devient un prétexte pour faire la discussion, il devient de plus en plus envahissant,
03:57alors que Sandra sent ses mains trembler.
03:59Et à un moment, c'est clairement trop, il est dans son intimité, donc elle finit par lui demander de partir,
04:04prétextant qu'elle doit vraiment se reposer.
04:06Et heureusement, il le fait, non sans lui lâcher un regard inquisiteur,
04:11mais bon, cet événement va marquer la jeune femme.
04:14Parce que maintenant, elle a l'impression que même chez elle, elle n'est pas en sécurité face à ce prédateur qui est son patron.
04:19Pourtant, n'ayant pas le choix, elle continue d'aller au travail, terrifiée à l'idée de perdre son emploi.
04:25Évidemment, les avances de M. Leblanc deviennent de plus en plus directes,
04:29ses remarques de plus en plus inappropriées.
04:31Il va même jusqu'à lui proposer un voyage d'affaires,
04:34qui bien sûr n'est qu'un prétexte pour tenter de la séduire.
04:37Et même ses week-ends ne sont pas épargnés,
04:39parce que pendant ces derniers, l'homme insiste pour faire une promenade avec elle au tour d'un lac,
04:43et demande à Sandra de mentir à sa femme sur leur relation.
04:46Et en entendant ça, c'est clairement la goutte de trop, c'est là que Sandra pète un câble.
04:51Franchement, mieux vaut de ne pas bosser dans cette ambiance si ça empiète autant son état mental,
04:56et donc elle lui annonce sa démission sur le champ et rentre de son voyage sans attendre une seule minute.
05:01Après cette démission choc, quelques semaines passent, mais la situation de Sandra est vraiment compliquée.
05:07Elle n'a plus de travail, plus de salaire, ne sait vraiment pas quoi faire.
05:10Et finalement, M. Leblanc la recontacte.
05:14Dans son mail, il lui demande de revenir,
05:16expliquant qu'il a embauché deux autres personnes pour faire son travail
05:19et que l'entreprise s'étant agrandie, il a besoin de son aide.
05:23Et il précise quand même qu'elle ne sera jamais seule avec lui au bureau.
05:27Sandra, quelque peu désespérée et attirée par cette proposition,
05:30n'a pas vraiment d'autre solution et finalement accepte,
05:34mais malheureusement, absolument rien ne change.
05:37Dès son premier jour de retour, il licencie soudainement et avec colère,
05:41les nouveaux employés les laissant quasiment seuls à nouveau.
05:44Et maintenant qu'il s'est en tête à tête, les remarques recommencent.
05:48Sandra, ayant de l'expérience avec cet individu, essaye de moins se laisser faire,
05:52mais là, il monte un autre aspect de sa personnalité.
05:55Il devient presque violent, lui donne une quantité de travail astronomique
05:59et lorsqu'elle n'y arrive pas, il l'insulte littéralement.
06:02Sandra, tous les matins sans exception, pleure et vomit avant d'aller au travail
06:07tellement le stress est grand.
06:08Elle arrive souvent en retard, non pas parce qu'elle part pas assez tôt de chez elle,
06:12mais parce qu'elle doit se persuader pendant 10 minutes de monter dans le deuxième bus
06:16pour se rendre au bureau, sachant qu'il la mènera inévitablement vers Monsieur Leblanc.
06:21Bref, les mois qui passent sont un véritable enfer,
06:24mais l'idée de le confronter la paralyse de peur.
06:27Mais tout va changer, un fameux jour où il va dépasser les bornes.
06:31Alors qu'ils sont à nouveau seuls, l'homme lui fait des remarques sur son physique.
06:35N'en pouvant plus, Sandra lui demande d'arrêter,
06:37mais là, l'homme s'approche d'elle et la pousse.
06:40Et en fait, il ne va pas simplement la pousser, il va littéralement la bousculer.
06:44Sandra tombe par terre, choquée par ce qui vient de se passer.
06:48Lorsqu'elle voit son regard et ses yeux injectés de sang,
06:50elle est complètement terrorisée et part tout de suite du bureau
06:54et démissionne enfin de nouveau le lendemain.
06:57Malheureusement, elle ne portera jamais plainte contre lui
07:00parce qu'elle a peur que ça ait un impact sur ses prochaines recherches de travail.
07:04Mais alors qu'elle pense être enfin débarrassée de lui,
07:07ce n'est vraiment pas le cas.
07:09Tous les ans, il contacte sa famille,
07:11demande son nouveau numéro de téléphone ou son adresse.
07:14Il envoie même des cartes de Noël remplies de détails sur sa vie.
07:17C'est absolument terrifiant.
07:19Clairement, même de nos jours, on ne sait pas ce qu'il a en tête
07:22et jusqu'où il est prêt à aller.
07:24Sandra, au moment où l'on parle,
07:25tente de passer à autre chose,
07:27même si toute cette histoire continue de la traumatiser aujourd'hui.
07:43Ok, on va changer un peu d'ambiance de travail.
07:46Et pour ça, c'est Jean, un homme de 29 ans,
07:48qui nous raconte son histoire.
07:49Pour présenter un peu son travail,
07:51il bosse pour une entreprise de nettoyage depuis quelques années.
07:54Son job consiste principalement à nettoyer des petits bureaux,
07:57des cabinets d'avocats, des petites cliniques médicales, ce genre de trucs.
08:00Pour ça, il doit donc se rendre dans les bureaux
08:02après les heures de travail des gens qui sont dedans.
08:04Et justement, c'est ce qu'il aime dans ce boulot,
08:06c'est qu'il peut travailler la nuit.
08:07Et ça lui va parfaitement parce qu'il est plutôt nocturne comme gars.
08:10À chaque fois, il met ses écouteurs,
08:12il balance de la musique et nettoie tranquillement sans être dérangé.
08:15En plus de ça, selon lui, c'est quand même pas très compliqué.
08:18Il vide les poubelles, il passe l'aspirateur,
08:20dépoussière les bureaux et nettoie les toilettes.
08:22Mais parmi les bâtiments qu'il doit nettoyer ce soir-là,
08:24il y en a un qui est particulièrement relou.
08:27Il fait cinq étages et chacun d'entre eux a entre trois et cinq bureaux
08:30occupés par des avocats, des comptables et des thérapeutes.
08:33D'habitude, c'est plutôt calme,
08:34il ne croise quasiment personne.
08:36Bon, parfois, il tombe sur un avocat qui bosse tard,
08:38mais après un bref désolé de vous déranger,
08:40il vide la poubelle et continue son boulot.
08:43Mais un soir, c'est différent.
08:44Alors qu'il travaille comme d'habitude avec ses écouteurs et sa musique à fond,
08:48il entre dans les toilettes des femmes pour vider les poubelles.
08:50Et c'est là qu'il entend un bruit malgré la musique qu'il a dans les oreilles.
08:54Bon, c'est vrai que normalement, il devrait annoncer son entrée
08:56avec un truc du genre
08:57« Bonjour l'équipe de nettoyage, y a-t-il quelqu'un ? »
08:59Et après ça, attendre que les toilettes soient vides avant de nettoyer.
09:02Mais bon, là franchement, il est deux heures du mat'
09:04et il n'a jamais croisé personne à cet heure-là.
09:06Enfin, jusqu'à ce soir-là justement,
09:08parce qu'en se retournant, il voit sous une cabine deux jambes.
09:11Hyper gêné, il s'excuse rapidement en disant qu'il ne l'avait pas vue
09:15et il sort des toilettes.
09:16Bon, c'est certainement quelqu'un qui bosse tard
09:18et donc il ne fait pas plus gaffe que ça.
09:20Jean continue son tour dans les toilettes des hommes et les autres bureaux,
09:23puis revient aux toilettes des femmes,
09:24cette fois en annonçant bien sa présence
09:26et en vérifiant qu'il n'y a personne avant de nettoyer.
09:28Il se rend compte qu'il a besoin de plus de sacs poubelles,
09:31alors il descend au placard de nettoyage au premier étage
09:33en descendant par la cage d'escalier.
09:35Et c'est là justement, en descendant,
09:37qu'il entend quelqu'un monter les escaliers rapidement au-dessus de lui,
09:40comme si cette personne essayait de l'éviter.
09:42Là, c'est franchement bizarre.
09:43Jean commence à vraiment s'inquiéter,
09:45c'est juste étrange comme situation.
09:47Bref, le quatrième étage se passe sans trop de soucis,
09:49bien qu'il entende des pas à l'étage supérieur.
09:52Jean conclut que cette femme ne cherche pas à l'embêter,
09:54mais qu'elle est probablement juste une avocate
09:56essayant de terminer son travail bien tard quand même.
09:59Mais il se pose quand même quelques petites questions.
10:01Pourquoi est-ce que quelqu'un travaillant au cinquième étage
10:03utiliserait les toilettes qui sont au deuxième ?
10:05Finalement, il décide de laisser tomber ses questionnements
10:07et de ne pas s'en préoccuper.
10:09Au bout d'un moment, quand il a fini son étage,
10:10il monte dans l'ascenseur et appuie sur le bouton du cinquième et dernier étage.
10:14Dès que les portes s'ouvrent,
10:16il voit au bout du couloir une silhouette.
10:18Dans l'obscurité, il semble discerner une femme très mince.
10:21Elle est seulement éclairée par les lumières de secours,
10:23donc il ne la voit pas très bien.
10:25Elle semble très maigre et sa posture est bizarre.
10:28Elle est presque voûtée, les mains dans les poches.
10:30Ses cheveux sont emmêlés et elle fixe Jean avec une expression de dégoût.
10:34Là, il commence à sérieusement flipper.
10:37Il prend le ton le plus clair et gentil possible
10:39et lui demande ce qu'elle fait à une heure aussi tardive.
10:42Et là, sans prévenir, la femme se met à hurler de toutes ses forces.
10:45Ce n'est pas un cri de douleur, c'est plus un cri de folie.
10:48Jean commence tout de même à s'avancer pour l'aider.
10:50Il se présente, dit qu'il est de l'équipe de nettoyage
10:53et avant même de finir, la femme se met à courir vers lui.
10:56Jean n'en revient pas, il ne sait pas du tout quoi faire.
10:59Elle le prend tellement au dépourvu qu'il ne pense même pas à s'enfuir ou quoi que ce soit.
11:03Et alors qu'il lui fait des gestes pour lui dire de s'arrêter,
11:05la femme tourne d'un coup les talons,
11:07ouvre la porte de l'escalier, toujours en hurlant,
11:10et descend à toute vitesse.
11:11Jean est profondément troublé, vraiment.
11:14Sur le coup, il ne sait pas si elle cherche à lui faire du mal,
11:16mais en même temps, si ce n'était pas le cas, pourquoi est-ce qu'elle ferait une chose pareille ?
11:19Est-ce qu'elle est agacée à ce point-là qu'il l'est interrompue dans les toilettes ?
11:23Peut-être en fait qu'il l'a surpris en train de faire quelque chose qu'elle voulait cacher.
11:26En tout cas, en la regardant rapidement du haut de l'escalier,
11:29Jean la voit descendre à toute vitesse,
11:30puis finalement l'entend sortir du bâtiment.
11:33Il est complètement perdu et un peu sonné par ce qu'il vient de se passer.
11:37Après ça, il continue son travail,
11:38mais verrouille chaque pièce derrière lui à chaque fois qu'il est dans un endroit fermé.
11:42Et finalement, après une ou deux heures, il finit par terminer son job.
11:45Il se dirige donc vers le parking du bâtiment qui se trouve en extérieur.
11:48Bien sûr, il est toujours dans le même moudin,
11:50il est encore un peu flippé et toujours sur ses gardes.
11:52Heureusement, le parking est éclairé, donc c'est facile de se repérer.
11:55Et là, alors qu'il s'approche de sa voiture,
11:57il voit au loin la femme debout entre des voitures,
12:00encore une fois en train de le fixer.
12:02Cette fois, il n'hésite pas une seule seconde,
12:04il ouvre sa voiture et détale le plus rapidement possible.
12:07Et dans le rétroviseur, il voit qu'elle est toujours complètement immobile.
12:11Jean hésite à signaler l'incident.
12:13Il ne la reverra plus jamais après ça,
12:14même si clairement à chaque fois qu'il y est allé,
12:17il a toujours bien flippé.
12:18Il soupçonne qu'elle soit simplement une sans-abri
12:20ayant trouvé un moyen de pénétrer dans le bâtiment,
12:23cherchant un endroit pour se reposer et utiliser les toilettes.
12:26Mais pourquoi est-ce qu'elle s'est mise à hurler comme ça ?
12:28Est-ce qu'elle voulait vraiment lui foncer dessus ?
12:29On ne le saura jamais et finalement,
12:32il décide de ne pas signaler l'incident.
12:33Mais ce qui est sûr, c'est que même plusieurs années plus tard,
12:36cet événement continue de le rendre plus nerveux lorsqu'il travaille.
12:39Oh, qu'elle a commu !
12:52Vous pensez connaître vos collègues de travail ?
12:54Eh bien, vous allez voir avec cette histoire
12:56qu'on peut parfois vraiment être surpris.
12:59Marc est étudiant en troisième année de fac
13:00dans les années 1980
13:02quand son récit se déroule.
13:04Et pour arrondir ses fins de mois,
13:06et ouais, c'est les mêmes problèmes
13:07même si c'était il y a longtemps,
13:08il bosse comme correcteur
13:09dans un gros cabinet d'avocats international.
13:12Il faut savoir que c'est vraiment une grosse entreprise
13:14avec plus de 200 associés
13:16et des bureaux un peu partout aux Etats-Unis et en Europe.
13:19Et d'ailleurs, le cabinet est tellement énorme
13:21qu'ils ont deux équipes.
13:22Donc, on a l'équipe de jour
13:23qui travaille de 8h à 16h
13:25et l'équipe de nuit de 16h à 23h30.
13:28Et notre fameux Marc, lui,
13:30bosse surtout sur le créneau du soir.
13:32Évidemment, parce qu'on est dans un thread d'horreur,
13:33il ne faut pas l'oublier.
13:34Bref, assez simplement,
13:35son boulot consiste à corriger des documents,
13:38les relire de A à Z.
13:40Il doit également y apporter des modifications,
13:42puis les renvoyer au service de traitement de texte.
13:45Et ouais, la commu, à l'époque,
13:46on n'a pas encore Tchadjpt
13:47pour corriger son texte automatiquement
13:49en 5 secondes.
13:50En tout cas, une fois envoyé et validé
13:52par le service de traitement de texte,
13:54il fait une dernière vérification
13:55pour être sûr que tout est nickel
13:57avant de rendre le document
13:58à l'avocat qui l'a rédigé.
14:00Et vous l'aurez compris,
14:02vu que c'est une énorme boîte,
14:03les exigences sont assez élevées.
14:05Clairement, lorsque Marc est au travail,
14:07c'est vraiment pour bosser,
14:09il n'a pas une seule minute à lui.
14:11On oublie les postes café,
14:12pas de blabla avec ses collègues.
14:13Les avocats sont là,
14:14mettent la pression
14:15et veulent leurs documents corrigés
14:17pour des deadlines
14:18parfois complètement abusés.
14:20Mais heureusement,
14:21après 20h,
14:22ça se calme pas mal.
14:23La plupart des avocats sont rentrés chez eux,
14:25donc Marc a un peu de temps
14:27et fait souvent des heures sues
14:28pour pouvoir bosser
14:29et parfois réviser
14:30dans un environnement
14:31un peu plus chill qu'à la maison.
14:33Parce qu'on vous le rappelle,
14:33le matin,
14:34Marc va à la fac
14:35puis enchaîne avec son boulot directement
14:36et son boss l'a bien vu,
14:38il est complètement rincé.
14:40En vrai,
14:40la quantité de travail
14:41pour son salaire
14:42est abusée.
14:43Il s'est déjà plaint
14:44qu'il y avait un peu trop de boulot
14:45pour une personne,
14:47mais rien n'avait changé.
14:48Enfin jusque là.
14:49Parce que oui,
14:50cher commu,
14:50un jour,
14:51Marc se voit enfin attribuer
14:53un nouveau collègue,
14:54un certain Antoine.
14:56Et c'est pas le gentil Antoine
14:57qu'il y avait dans votre classe
14:58en 5ème.
14:59Là,
14:59c'est un homme
14:59qui est un peu plus vieux que lui,
15:01il a une carrure
15:02assez impressionnante.
15:03En plus de ça,
15:04il est très grand,
15:05très musclé
15:05et assez intimidant.
15:07Mais bon,
15:07en fait,
15:07ça on s'en fout
15:08parce que c'est du renfort
15:09donc c'est vraiment cool pour Marc
15:11qui sent enfin
15:12qu'il va pouvoir partager ses tâches.
15:14Et même si l'homme
15:14est assez intimidant,
15:16pas le choix,
15:16il va devoir bosser avec.
15:17En plus de ça,
15:18notre Marc
15:19a beaucoup plus d'expérience que lui
15:20donc au début,
15:21en tout cas,
15:22il ne va pas avoir le choix
15:23que de lui montrer
15:24comment marche la boîte.
15:25Bon,
15:25en vrai au début,
15:26il est un peu nerveux,
15:27ça c'est sûr.
15:28Mais il essaye quand même
15:29de passer outre
15:29et lui confie quand même
15:30des tâches faciles au début
15:31histoire de le mettre à l'aise.
15:33Et après une semaine de pudeur
15:34où les deux ne parlent que de boulot,
15:36Antoine et Marc
15:37commencent à discuter un peu.
15:38Enfin,
15:39quand on dit qu'ils discutent,
15:40c'est plutôt Marc
15:41qui initie la conversation.
15:42Il essaye vraiment
15:43de le détendre au maximum,
15:44d'engager des conversations
15:45mais Antoine,
15:47lui,
15:47au contraire,
15:48fait le strict minimum.
15:50Et un jour,
15:50alors qu'ils sont tranquillement
15:51en train de discuter,
15:53Marc tente de parler
15:54de sa famille.
15:55Il lui demande,
15:55histoire de faire la causette,
15:57s'il a des frères ou des sœurs,
15:58vraiment le genre de conversation
15:59assez classique en soi.
16:00Mais là,
16:01cette question pour le coup
16:02assez innocente,
16:03Antoine semble vraiment
16:05mal le prendre.
16:06Ça a l'air d'être un sujet
16:07assez sensible pour lui.
16:08Et en fait,
16:09c'est à un tel point
16:09que l'homme va commencer
16:10à bouillir de l'intérieur,
16:12genre littéralement.
16:13Marc a vraiment l'impression
16:14à ce moment-là
16:14qu'il va se prendre un coup
16:15dans la face
16:16et décide même
16:16de reculer un peu.
16:18Ne comprenant pas sa réaction,
16:19il s'excuse en disant
16:20qu'il ne voulait pas parler
16:21d'un sujet sensible.
16:22Mais là,
16:22Antoine prend son moque de café
16:24et l'explose par terre.
16:25Le mec,
16:26c'est vraiment nerveux.
16:27Bon,
16:27cette fois,
16:28le point de non-retour
16:28est arrivé.
16:29Marc se lève d'un coup
16:30en reculant.
16:31Cette fois,
16:32la terreur commence vraiment
16:33à l'envahir.
16:34Se demandant
16:35si les choses vont dégénérer
16:36et si c'est son dernier jour
16:37de travail et de vie,
16:39eh ben,
16:39Antoine se remet simplement
16:40à travailler normalement
16:41comme si de rien n'était.
16:43C'est donc bel et bien
16:44Marc qui va ramasser
16:45les bouts de verre brisés
16:46pendant qu'Antoine
16:47bat sur le plus grand des cannes
16:49comme si rien ne t'est arrivé.
16:50Et une fois que tout est débarrassé,
16:52Marc revient à son bureau
16:53et Antoine va simplement
16:55lui poser quelques questions
16:56concernant le boulot
16:57comme si rien ne s'était passé.
16:59C'est hyper chelou.
17:00Bref,
17:01vous l'imaginez bien,
17:02le lendemain,
17:03lorsque Marc sort de la fac
17:04et se dirige vers son boulot,
17:06il a la boule au ventre.
17:07Une fois arrivé,
17:08Antoine se rapproche de lui
17:09avec un grand sourire
17:10et jusque là,
17:12il n'avait jamais été aussi ouvert
17:13avec Marc,
17:14donc c'est plutôt
17:14une bonne surprise en soi.
17:16C'est presque comme si
17:16l'épisode de la veille
17:17avait débloqué
17:18quelque chose en lui.
17:19Mais ça,
17:20ça n'arrive qu'avec Marc.
17:22Antoine est toujours fermé
17:23et flippant,
17:23disons-le,
17:24avec toutes les autres personnes
17:25présentes dans le bureau.
17:26Ça met tout de même
17:27une petite pression sur Marc
17:28qui a l'impression
17:29qu'Antoine est une bombe
17:30à retardement,
17:31prête à exploser
17:32et qu'il est le seul rempart
17:34face à tout ça.
17:35Bref,
17:35les jours se suivent,
17:36Antoine commence également
17:37à rester après 20h
17:39et un jour,
17:40il décide de se confier
17:41à Marc.
17:42Et sans crier gare,
17:43sa première phrase,
17:44c'est de lui dire
17:45qu'il n'a pas eu
17:45une enfance facile.
17:47Et là,
17:47tenez-vous bien
17:47parce que Marc
17:48va apprendre quelque chose
17:49qu'il n'aurait jamais soupçonné.
17:52Apparemment,
17:52alors qu'il n'est âgé
17:53que de 15 ans,
17:54Antoine est embriadé
17:55dans une secte,
17:56oui,
17:56rien que ça.
17:57Il l'intègre donc
17:58et se coupe totalement
17:59de la société.
18:01Il reste exclusivement
18:02avec les membres
18:03de sa secte
18:03et coupe tout contact
18:05avec le monde extérieur.
18:06Et Antoine ne restera
18:07pas un membre passif.
18:09Non, non, non.
18:10Parce qu'en fait,
18:10il va grimper les échelons
18:11jusqu'à devenir responsable
18:13d'une équipe d'adolescents
18:14qui parcourent le pays
18:15pour récolter de l'argent
18:17pour la fameuse secte.
18:18On est d'accord,
18:19pour un mec à la base
18:19taciturne,
18:20il en révèle beaucoup.
18:22Bref,
18:22ces fameux ados
18:23vendent des fleurs,
18:24ils vendent des abonnements,
18:25des magazines
18:26en faisant du porte-à-porte
18:27dans des centres commerciaux,
18:28des gares,
18:29des aéroports,
18:30etc.
18:30Et son boulot à Antoine
18:32au sein de cette secte,
18:33c'est de les conduire
18:34à leur lieu de travail
18:35avec sa camionnette.
18:36Les ados qu'il suit
18:37dorment tous ensemble
18:38dans une seule chambre
18:39dans des motels bon marché.
18:41Et son job,
18:41c'est également
18:42de les surveiller
18:43pour pas qu'ils ne dérivent
18:44de leurs objectifs principaux
18:45et surtout de leur faire
18:46rapporter de l'argent.
18:48Et notre fameux Antoine
18:49a fait ça pendant des années
18:50et des années.
18:51Pendant tout ce temps,
18:53il a voyagé partout
18:53dans le pays,
18:54uniquement dans ce but.
18:56Mais un fameux jour,
18:57il a totalement craqué.
18:59Pour une raison qu'on ignore,
19:00il a subitement décidé
19:01de sortir de la secte,
19:02mais malheureusement,
19:03il a passé tellement de temps
19:04à l'intérieur
19:05qu'il a beaucoup de mal
19:06à se réinsérer dans la société.
19:08Il a de très nombreux
19:09problèmes comportementaux,
19:10il ne sait plus comment parler
19:11avec des inconnus
19:12vu qu'il a passé une bonne partie
19:13de sa vie
19:14avec les mêmes personnes uniquement.
19:15Et un jour,
19:16après une interaction,
19:17ayant complètement dérivé
19:18et paniqué,
19:19il a agressé des gens
19:20dans la rue
19:21et s'est retrouvé
19:22en hôpital psychiatrique.
19:23En sortant,
19:24il a cherché un nouveau travail
19:25et c'est là
19:26qu'il s'est retrouvé
19:27aux côtés de Marc.
19:28Et dans un moment
19:29très solennel,
19:30voire même touchant,
19:31il lui dit
19:31qu'il aime bosser avec lui.
19:33Bon, maintenant,
19:34petite remise en contexte,
19:35Marc est au bout d'eau
19:36et il vient d'entendre
19:37toute cette histoire.
19:38Il est littéralement choqué
19:39de tout ce qu'il vient d'apprendre,
19:41il ne sait pas
19:41s'il doit avoir peur
19:42ou s'il doit être triste
19:43ou flatté.
19:44Bref,
19:45il se dit que c'est un truc
19:45de ouf
19:46et ne sait clairement pas
19:47comment réagir,
19:48mais les jours suivants
19:49se passent plutôt bien
19:50et petit à petit,
19:51les vacances scolaires
19:52arrivent pour lui.
19:54À ce moment-là,
19:54comme il n'a pas les cours,
19:55il décide de changer d'horaire
19:57et pas sur le créneau du matin.
19:59Pas de problème pour son boss,
20:00il accepte,
20:01mais Marc n'en a pas parlé
20:02à Antoine.
20:02Il ne nous précise pas
20:03vraiment pourquoi,
20:04mais ce dernier
20:05l'a donc appris
20:06du jour au lendemain
20:07et lorsque la nouvelle
20:08va tomber,
20:09ça ne va pas bien se passer,
20:10pas bien du tout.
20:12Marc n'est pas présent
20:13lorsque ça va arriver,
20:14mais il va apprendre
20:15qu'Antoine
20:15a totalement pété un câble.
20:17Avec ses 130 kilos,
20:19l'homme s'est mis
20:19à hurler dans le bureau,
20:21à casser tout le matériel,
20:22à renverser les meubles,
20:23etc.
20:24Évidemment,
20:25tout le monde
20:25est sous le choc
20:26et Marc en premier,
20:27bien entendu.
20:28Vous l'imaginez bien,
20:29il a tout de suite
20:30été licencié
20:31et Marc ne l'a en fait
20:32plus jamais recroisé depuis.
20:34Ayant ressassé
20:35toute cette histoire,
20:36il a donc du mal
20:36à savoir si Antoine
20:37est en colère contre lui
20:38ou non.
20:39À chaque fois qu'il va au boulot,
20:40il a maintenant peur
20:41de croiser Antoine
20:42parce qu'il sait
20:43de quoi il est capable maintenant.
20:44Bref,
20:45jusqu'à aujourd'hui,
20:45il ne l'a jamais recroisé,
20:47mais cette histoire vraie
20:48reste ancrée en lui
20:49parce qu'il n'avait jamais
20:51été confronté
20:51à une personne
20:52venant d'une secte.
20:54Ok, la commune,
20:56dites-nous tout de suite
20:57en commentaire
20:58pendant que c'est encore chaud
20:59si vous avez apprécié
21:00ces trois histoires.
21:01Vous l'avez vu,
21:02on essaye de changer
21:02un peu le format
21:03en focalisant nos trois histoires
21:05sur un thème en particulier.
21:06Aujourd'hui,
21:07c'était le thème du travail,
21:08alors c'est très important
21:09pour nous qu'on sache
21:09si vous l'avez apprécié
21:11pour savoir si vous voulez
21:12qu'on fasse un épisode
21:12de un jour.
21:13Dites-nous aussi
21:14si vous avez d'autres idées
21:15de thèmes
21:15que vous aimeriez voir
21:16sur la chaîne.
21:17Bref,
21:17on a beaucoup de choses
21:18à se dire en commentaire,
21:19alors n'hésitez pas.
21:19Si vous avez apprécié
21:21comme d'habitude,
21:22n'hésitez pas à liker la vidéo
21:23et à vous abonner
21:23pour ne rien rater.
21:24Et c'est une fin
21:25de threadhorreur pour nous,
21:26c'était Kratos
21:27derrière la caméra
21:27et Joe
21:28et on se dit à la prochaine
21:29pour une nouvelle vidéo.
21:30Ciao !
21:32Et c'est une fin de tournage.
21:35Ouais, ok,
21:36c'est giga déplacé
21:37et Sandra rit nerveusement
21:39en ne sachant pas trop
21:40comment réagir
21:41à cette blague
21:42clairement vaseuse.
21:43Ça se dit une blague vaseuse,
21:44on est d'accord ?
21:44Petit moment de vérification
21:45où je viens d'improviser
21:46un truc
21:48et comme je parle
21:49à beaucoup de personnes,
21:51j'aimerais bien savoir
21:52que mes expressions
21:52ne soient pas fausses.
21:54We are not
21:55what you think we are.
21:57We are golden.
21:58Oh les boss,
21:59comment vous allez ?
21:59J'ai juste une question technique
22:00de Cogiteur.
22:02Comme je vais déménager,
22:03je vais refaire un peu
22:03le setup
22:04et j'ai bien envie
22:05de dégager la GoXLR
22:05parce que c'est la merde.
22:07Niveau carte son,
22:07vous avez un truc fiable
22:09de votre côté ?
22:10Est-ce que je ne répondrai pas maintenant ?
22:11Salut mec !
22:12Bah écoute,
22:12on va très bien.
22:13Avec Joe,
22:14on est actuellement
22:14en train de tourner
22:15un threadhorreur.
22:15D'ailleurs,
22:16t'es en direct là
22:16à la caméra.
22:17Je suis en train de parler
22:18à Cogiteur Stories.
22:19N'hésitez pas à vous abonner.
22:21Écoute,
22:21pas de problème,
22:22je vais te dire ça.
22:30Ok les gars,
22:32je sais que ce n'est pas souvent
22:33qu'on fait ça.
22:35Une vidéo dans laquelle
22:36on est tous les deux,
22:37c'est assez étrange.
22:38Je vais arrêter d'être naturel.
22:39Pas naturel justement.
22:40Et justement,
22:46c'est ce qu'il aime dans ce boulot,
22:47c'est qu'il peut travailler la nuit.
22:48Ce qui lui va parfaitement
22:49parce que lui,
22:50il est plutôt nocturne qu'un gars.
22:51Comme gars, comme gars.
22:56Allez,
22:56je fais la conclure directe,
22:57on s'en bat les steaks.
22:58Mais, mais,
22:59merde,
23:00il est possédé.
23:01Deux prompteurs
23:02est possédé.
23:03C'est,
23:03je ne sais pas ce qu'il se passe là,
23:04mais,
23:05ouh là.
23:06C'est bon,
23:07cette fois on s'y met.
23:08Ce serait trois collègues
23:09qui viennent d'une secte
23:09pour présenter un peu son travail.
23:11Il bosse pour une entreprise
23:12de nettoyage
23:13depuis quelques années.
23:14Quelqu'un qui arrive,
23:15je le sens.
23:15Hé hé !
23:16Je l'avais préchote là.
23:17Il y a quelqu'un qui arrive,
23:17je le sens.
23:18Bah oui,
23:18mais en fait,
23:19c'est pas vraiment des oreilles.
23:20Des oreilles monitorées.
23:21Ah !
23:22Ah !
23:23Ah !
23:23Ah !