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00:00Le plateau du Canada Chopin's Club est en fusion, notre public est fou après ce qu'il a vécu ce soir, ce qu'on a vécu ce soir,
00:25ce scénario idéal pour Paris, avec le petit troisième but qu'on attendait et qu'on n'espérait plus et qui fait toute la différence.
00:32Victoire 3 buts à 1 du Paris Saint-Germain après avoir été mené 1-0, ce n'est pas fait bien sûr, mais on va dire que c'est en route.
00:40Oui, c'est vrai que ce dernier but offre quand même un confort au PSG avant le match retour.
00:50Ça confirme qu'ils ont confirmé leur statut de favori dans cette rencontre et ils ont confirmé aussi que mentalement, c'est une équipe que même quand elle est menée, il n'y a pas de souci et ils ne paniquent pas.
01:03Ils y vont et ils reviennent souvent et ça, je pense que c'est vraiment Luis Enrique qui a apporté ça aussi.
01:10Nono Mendes, l'un des héros de ce match qui a inscrit ce troisième but avec un geste d'attaquant incroyable, cette superbe fin de frappe dans la toute dernière minute.
01:19Il s'est bien racheté de son erreur sur le premier but. Après la finition, c'est la vraie finition d'un joueur très technique, d'un joueur offensif.
01:28Sa fin de frappe, elle est magnifique. Et la finition derrière, en plus, on avait souligné en avant-match la position qu'il pouvait occuper.
01:38Et là, c'est le but qui, pour moi, donne un avantage très, très, très favorable pour la qualif.
01:44Doué, Gvara, on l'a vu aussi, elle est deux autres buteurs de cette rencontre.
01:50On attend la première élection au micro de Margot Dumont, l'ITV de Varad Skelia qui est avec Margot.
01:57Allez-y, Margot.
01:59Qu'est-ce que vous êtes homme du match ? Comment vous avez réussi à renverser ce match ce soir ?
02:08On a mal commencé parce qu'on a pris un but, mais Doué a marqué.
02:14On a réussi à revenir dans le match, on a essayé de marquer de plus en plus de buts.
02:18On est heureux avec ce résultat, mais on doit continuer parce qu'il y a un match retour et ce n'est pas fini.
02:25Qu'est-ce que ça veut dire de la force mentale de cette équipe ?
02:31Oui, en 90 minutes, peu importe si on encaisse des buts, si on marque, il faut continuer, rester concentré.
02:39On a juste voulu montrer qu'on était concentré pendant 90 minutes.
02:46Racontez-vous votre but, c'était magnifique.
02:50Oui, je ne me souviens pas très bien, je vais aller le revoir à l'intérieur.
02:55Si, c'était très bien, c'était trop rapide, merci.
02:58Dernière question sur le match, le match retour, comment voulez-vous jouer ce match ?
03:09Vous voulez conserver cet avantage ?
03:10Ce sera un match assez difficile, mais on va devoir jouer notre match, jouer notre jeu.
03:20Je pense qu'on peut jouer notre jeu et on verra ce qui se passera.
03:22Merci et félicitations, merci.
03:25Le bar avec Margot Dumont et la traduction de Sébastien Martins.
03:30Il y avait un atelier fente de frappe ce soir.
03:32C'est un des grands classiques, c'est la fente la plus simple.
03:35Et ça marche...
03:36Celle-là, elle est semelle.
03:38Avec la semelle.
03:38Celle-là, c'est fente de frappe encore plus sale.
03:40Qui est devenue très populaire aujourd'hui dans le football.
03:45Nuno Mendes, c'est fente de frappe à l'ancienne.
03:46C'est vrai, c'est la vraie fente de frappe.
03:48Il arrive avec de la vitesse, donc c'est vrai que c'est toujours très compliqué pour un défenseur de défendre sur quelqu'un qui arrive très rapidement.
03:54Et en face, il avait 10 à 6, c'est ça ?
03:57Oui.
03:58Qui venait d'entrer.
03:59Qui venait d'entrer et qui...
04:00Voilà, c'était pas...
04:02Qui est défenseur.
04:03Ouais, c'était pas top au niveau défensif.
04:05Très belle soirée européenne au parc.
04:08Paris qui reste sur sa lancée, qui a confirmé tout ce qu'on a vu depuis plusieurs semaines.
04:13Ils sont forts.
04:14Ils sont très forts.
04:14Ils continuent à nous épater.
04:18Laure disait que même devant l'adversité, ils sont capables de faire la différence.
04:22Et encore une fois de plus, ils l'ont prouvé ce soir.
04:23Je crois que c'est la plus grande qualité qu'on peut reconnaître aujourd'hui au Paris Saint-Germain.
04:29C'est que malgré tout ce qui peut leur arriver, ils sont capables à tous les moments d'être en phase avec leur jeu et avec leur principe de jeu.
04:38Et ça, c'est quand même un truc incroyable et nouveau pour le PSG.
04:41La capacité aussi à être dangereux.
04:43Là, vous voyez le tableau de bord ce soir au-delà de la possession.
04:46Mais encore une fois, 29 tirs ce soir pour le Paris Saint-Germain.
04:49Il y a de la persévérance, de l'obstination.
04:52Et encore une fois, Paris, même si cette équipe allait mener comme ça a été le cas sur les dernières rencontres,
04:56comme ça avait été le cas contre Manchester City,
04:58elle arrive à renverser assez facilement des rencontres et de plus en plus souvent.
05:03Moi, ce que je souligne, c'est les progrès effectués en tant qu'équipe.
05:06Hier, on a dit tout le bien de ce qu'on pensait de l'Inter de Milan en tant qu'équipe,
05:14qui dégageait une vraie puissance en termes d'équipe.
05:17Ce match-là, en début de saison, le PSG le perd.
05:19C'était un match bourbier, c'est le même match que face à l'Atletico Madrid,
05:22avec une équipe qui nous attarde à 25 mètres de leur but, avec deux lignes.
05:26Là, le PSG a su être patient, a su trouver la solution et a su renverser la vapeur.
05:31Donc, en termes d'équipe, c'est très très fort.
05:33Avec une équipe d'Aston Villa extrêmement défensive, ils étaient à 10 d'ailleurs.
05:376-4, ils ont joué.
05:38Oui, 6-4.
05:39Ils étaient très frileux et sans doute trop frileux, même.
05:42La meilleure équipe à gagner de ce point de vue-là, ce n'est pas une énorme surprise,
05:45compte tenu de ce que fait Paris depuis des semaines.
05:48Mais je trouve que, par rapport à ce que disait Samir aussi,
05:51le PSG a failli mourir en face de Ligue de l'inefficacité de ses attaquants.
05:55Elle a pris son envol depuis longtemps maintenant,
05:58grâce au talent de ses joueurs offensifs, de Gwara qui est arrivé,
06:02de Dembélé, même si ce n'est pas son meilleur match ce soir, qui les a souvent sauvés,
06:05et également de Désiré Doué qui est devenu un titulaire.
06:08Et je pense qu'on assiste depuis quelques semaines maintenant à l'éclosion d'un joueur
06:11comme on ne l'en a pas vu depuis très longtemps.
06:13Et je pense que 2017 a marqué l'envol de Bappé.
06:17Je crois que 2025 va marquer celle de Désiré Doué.
06:21On est un joueur de cette gamme-là, en tout cas, dont on peut espérer.
06:23Qu'il atteigne ce niveau-là.
06:26Mais Gwara, c'est un joueur confirmé déjà.
06:27Il avait déjà des références que Doué n'avait pas.
06:29Puisque vous en parlez, on voit l'égalisation de Désiré Doué,
06:33alors que le PGT menait un zéro, qu'il pouvait éventuellement douter.
06:37Il y a ce but qu'il va chercher tout seul.
06:39Il est excentré.
06:41Cette frappe, elle est extraordinaire.
06:42Elle va mourir sous la transversale du gardien argentin.
06:48C'est vrai qu'on le disait avant le match, qu'il a quelque chose en plus,
06:52qu'il a quelque chose d'original à Désiré Doué.
06:54Oui, il a un style qui est vraiment différent des joueurs français, encore plus.
07:02Et je suis contente de le voir s'exprimer à 100%.
07:06Maintenant qu'il a une confiance en lui qui est arrivée,
07:09parce qu'on a bien vu qu'au PSG, il a mis quelques mois à s'adapter.
07:14Mais maintenant qu'il est là, j'ai l'impression qu'il est sur une pente ascendante
07:18et qu'on n'a pas encore tout vu de lui.
07:20Il y a de l'audace dans tout ce qu'il fait Sydney, Paul.
07:29Oui, c'est ce qui est le plus marquant chez Désiré Doué,
07:32au-delà de son talent fantastique qu'on ne découvre plus maintenant.
07:36On voit son match avec les Caméra Canal.
07:40Ce qui est le plus marquant, c'est que ce garçon-là a 19 ans
07:43et qu'il fait preuve d'une personnalité fantastique.
07:47On l'a vu prendre énormément de tirs dans cette partie.
07:50Et surtout, même lorsqu'il rinte, même lorsque son entraîneur est déçu d'une action
07:55ou même peut le danser parfois, on voit qu'il continue.
07:58On voit qu'il réessaye, on voit qu'il ne s'arrête jamais, même quand il y a échec.
08:01Oui, c'est un joueur qui provoque sans cesse, qui tente des choses,
08:06qui est très, très habillé techniquement.
08:08Déjà, ça aide pour tenter des choses.
08:10Après, moi, là où il m'impressionne le plus, c'était peut-être dans son volume de jeu.
08:13Je ne pensais pas qu'il était capable de répéter autant de courses,
08:16autant offensif que défensif.
08:18Après, avec le ballon, cette qualité, il l'a toujours eu.
08:21Aujourd'hui, il est la qualité, il est devenu encore plus efficace et plus collectif.
08:26Donc en tout, ça fait un joueur quasi complet qui est capable de nous régaler ce soir.
08:29Et très heureux, vous le voyez, de sa joie sur le troisième but parisien,
08:34Désiré Doué, qui a réalisé un match complet.
08:37Un match référence aussi pour lui à ce niveau,
08:40pour sa première saison avec le Paris Saint-Germain,
08:43et puis la joie à la fin du match.
08:45Convaincu que ce troisième but a tout changé pour le PSG.
08:48Oui, vous avez raison d'insister sur le côté collectif.
08:51C'est qu'il y a beaucoup de prises de risques individuelles,
08:54de volonté de faire la différence.
08:55Mais c'est toujours au service du collectif.
08:57Ça débouche toujours sur quand c'est possible
08:59et quand le jeu le demande sur la passe utile.
09:02Et ça, c'est vrai que c'est important.
09:04Ça, c'est sûr que ça, pour le coup,
09:07la nouvelle orientation du PSG, c'est celle-là.
09:11Et ça change tout.
09:12Globalement, l'audace fait partie des...
09:16est nécessaire pour aller le plus loin possible dans des compétitions.
09:19mais le collectif, si tu ne l'as pas,
09:21tu ne peux pas arriver jusqu'en finale ni gagner un titre.
09:24Justement, c'est ça qui est assez bluffant avec Désiré Doué
09:27parce que jusqu'à la mi-décembre et ce match à Salzbourg,
09:30il avait du mal à s'intégrer dans ce collectif du Paris Saint-Germain.
09:33On sentait très clairement qu'il était encore dans un apprentissage,
09:35qu'il était en manque de confiance.
09:36Et là, en l'espace de quatre mois,
09:38la dimension que décrivait tout à l'heure Bertrand
09:40qu'il est en train de prendre dans des matchs...
09:42Là, on ne parle pas d'un match lambda de Ligue 1.
09:44On parle d'un huitième de finale,
09:46d'un quart de finale de Ligue des Champions,
09:48de match important aussi avec l'équipe de France
09:49qu'il venait tout juste de découvrir.
09:51Il est bluffant depuis quatre mois
09:53et son apprentissage, là, il est express.
09:55Et il faut sans doute aussi louer le travail de Luis Enrique
09:57et de son staff avec Mentalement.
09:58Il est très armé, je crois.
09:59Il a la confiance de Luis Enrique
10:00et je crois que ça lui donne raison
10:02à l'entraîneur du Paris Saint-Germain
10:04d'avoir aligné Vara et Doué
10:06à l'attaque avec NBL.
10:09Il est non seulement validé,
10:10mais en plus, je pense que là,
10:13nous, ce qu'on voit dans ces matchs-là,
10:16ce qu'on ne voit pas, c'est à l'entraînement.
10:18Je pense qu'à l'entraînement,
10:19il doit y avoir une dose de travail
10:20qui doit être effectuée,
10:21qui doit être énorme.
10:22Je crois que ça doit être un joueur
10:23qui doit énormément bosser.
10:25– Il est très, très organisé.
10:26– C'est ça, justement, oui.
10:27– Voilà, c'est ça, c'est ça, voilà.
10:29– Il est très prêt, il est programmé,
10:31c'est-à-dire qu'il y a ce qu'on voit sur le terrain,
10:33il y a tout ce qui est en dehors,
10:33manifestement sur la diététique, le sommeil, etc.,
10:36il est déjà très avancé.
10:36– Oui, c'est des choses dont on parle rarement.
10:38– Il est débordant d'ambition
10:39et parfois, on peut le reprocher aux joueurs,
10:41mais c'est sans doute ce qui le motive,
10:42il a des objectifs très élevés.
10:44Là, il digère bien l'équipe de France aussi,
10:45ce qui n'est pas toujours le cas de tous les joueurs,
10:47il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de signaux positifs.
10:48– On ne devait pas être étonné,
10:49il a commencé à 16 ans, à 16 ans déjà à Rennes,
10:50il avait des fulgurances et il était déjà exceptionnel.
10:53Là, en plus, il travaille avec un entraîneur de top niveau,
10:58il est dans un effectif et un plan de jeu
11:00où on va essayer de le mettre dans les meilleures conditions
11:02pour qu'il ait justement à faire parler ses qualités.
11:06et ses qualités, il est ça.
11:07Et s'il s'appelle Duinho, on me dit, c'est un brésilien,
11:09j'y crois, dur comme fer.
11:10– Et ça tombe bien, il ne s'appelle pas Duinho,
11:13mais il s'appelle Dué, Désiré,
11:14et il est avec Marco Dumontinho.
11:17– Effectivement, alors une première question
11:24sur cette façon, Désiré,
11:26dont vous avez réussi à retourner le match
11:28et avec quelle vertu mentale surtout ?
11:31– On a gardé l'état d'esprit qu'on met à chaque match,
11:33c'est-à-dire mettre de l'intensité du début jusqu'à la fin,
11:36rester soudé, rester fidèle au plan de jeu.
11:38Et ça a encore marché ce soir, donc il faut continuer comme ça.
11:40– Il y a eu un peu de magie aussi sur le terrain,
11:42à l'image de votre but.
11:43Dès la prise de balle, vous savez que vous alliez tirer
11:45ou est-ce que vous pouvez le décrypter ?
11:47– Ma première intention était de centrer.
11:50Quand j'ai décalé, après j'ai vu qu'il n'y avait pas vraiment d'option,
11:52donc j'ai choisi la frappe et elle est dedans, donc c'est super.
11:55– On sent que c'est un régal pour vous de jouer dans ce collectif,
11:58est-ce que vous le ressentez aussi sur le terrain ?
12:00– Bien sûr, quand on est entouré de grands joueurs comme ça,
12:02le jeu est fluide, le jeu va vite, je prends beaucoup de plaisir ici
12:05et je suis très très content de jouer dans cette équipe.
12:07– Lequel est le plus beau but ce soir ?
12:09Il faut se mouiller un peu là.
12:10– Non, c'est le mien, c'est le mien.
12:12– D'accord, en toute humilité, mais vous avez raison,
12:14c'est un très très beau but.
12:15Dernière question sur le match retour quand même,
12:17parce qu'on est quand même à la mi-temps quelque part
12:19de cette double confrontation, comment conserver cet avantage à Villa ?
12:23– On sait qu'il y a une deuxième mi-temps, un deuxième match à faire,
12:26on va aborder le match de la même manière,
12:27avec le même sérieux et on va y aller là-bas pour gagner.
12:30– Merci beaucoup et félicitations.
12:31– Merci à vous.
12:31– Il y a match sur la beauté des lumières,
12:36je suis assez d'accord, non ?
12:38Vous préférez celui de Gvara ?
12:39– Non, je préfère celui de Douai.
12:40– Celui de Douai, on est d'accord.
12:41– Mais tous sont beaux, tous sont beaux.
12:43– Ils sont beaux celui de Gvara.
12:45– On va en parler de Gvara,
12:48qui a été désigné homme du match,
12:50et on parlait de ce choix de mettre Gvara et Douai sur le terrain
12:54comme titulaire au coup d'envoi.
12:56C'est un choix gagnant,
12:58avec en tout début de seconde période,
13:00on avait à la mi-temps espéré que Paris emballe le match
13:03comme il avait fini la première.
13:04C'est ce qu'ils ont fait,
13:05avec Gvara dans une situation qui lui est propre,
13:08qui lui est familière,
13:09et surtout cette frappe premier point.
13:10– Il est pas mal quand même, c'est celui-là.
13:12– C'est pour ça que j'ai du jeu.
13:13– Il y a match, hein ?
13:15– Le dribble, le geste technique,
13:17la prise de balle de suite, en fait.
13:18– La préparation.
13:19– Et même la construction, je veux dire,
13:20la planète d'Embélé,
13:22il y a pas mal de choses dans ce but,
13:24il n'y a pas que la fin.
13:24– Et là, il est à 50 mètres,
13:25il sait de suite qu'il va aller le provoquer
13:27pour finir par quelque chose.
13:29Et là…
13:30– Donc assez souvent,
13:31il prend l'intérieur pour frapper du droit.
13:34– Et là, la fin de frappe qui est parfaite
13:35parce que ça l'amène à gauche.
13:38– On se rend compte,
13:38ce qu'il faut faire pour marquer un but
13:41à ce gardien,
13:43il faut toujours faire une frappe de malade extraordinaire
13:47qui touche le poteau.
13:48Les deux ont touché le poteau
13:50sur le premier et le deuxième but.
13:51– Oui.
13:51– Après, sur le troisième,
13:52il avait bien l'effet Spartaire quand même, Martin.
13:54– Oui, mais bon, il est pris dans la faute.
13:55– Ah, ça te fait plaisir de dire.
13:56– Ça te fait plaisir, oui.
13:57– Si on peut le revoir à nouveau,
13:59moi j'aime bien les quatre fers en l'air,
14:00la Martinez.
14:01– Mais vous le reverrez.
14:02– Il n'y a pas que le moitié,
14:02mais ça a fait but quand même.
14:04– Là, il y a eu victoire.
14:05– Cette frappe, elle est extraordinaire.
14:07– 100 km heure.
14:08– 100 km heure.
14:09– 100 km heure.
14:09– On le voit d'ailleurs, cette puissance.
14:11– 100 km heure, mauvais pied en plus.
14:13– Oui, mauvais pied.
14:13– Ça aurait pu être la faille de ce match-là,
14:16c'est un manque d'efficacité,
14:17et ils l'ont été.
14:19Alors, ils ont quand même eu des tirs cadrés
14:22ou des arrêts ou aussi des tirs non cadrés,
14:24mais je pense que le niveau de Ligue des Champions,
14:27au niveau de l'efficacité,
14:28je trouve qu'ils l'ont eu ce soir
14:29parce que c'était un grand gardien quand même
14:30et ils ont mis des buts de dingue.
14:31– On parlait d'originalité,
14:33de singularité chez Douai,
14:35c'est un peu la même chose avec Vara,
14:37il fait des choses que seul lui fait dans une partie.
14:40– Et il y en a beaucoup fait ce soir,
14:42élu homme du match, on l'a vu en début de débrief,
14:45mais c'est vrai que finalement,
14:46ça fait quoi, deux mois qu'il est au Paris Saint-Germain,
14:49un petit peu plus.
14:50Maintenant, on va revoir son match justement ce soir
14:53et sa place de titulaire,
14:55elle est totalement logique
14:56et il l'a encore bien montré ce soir.
14:58– C'est un immense joie.
15:01Un immense joie, je pense que c'est une des meilleures
15:03signatures au Paris Saint-Germain
15:06depuis des années maintenant
15:08parce qu'avoir ce pouvoir d'intégration aussi rapide,
15:11on le voit, balle au pied,
15:12il est capable de…
15:13Puis il ne rechigne jamais sur les efforts,
15:16il redouble de…
15:18Il essaye tout le temps,
15:19en fait c'est un joueur qui te donne envie de te dépasser
15:22et il envoie un message à ses coéquipiers.
15:25– Non mais moi, je l'ai vu pendant le match
15:28revenir quasiment latéral gauche parfois,
15:31enfin quand il y avait un déséquilibre
15:33pour venir défendre.
15:34Et c'est ça aussi,
15:36c'est qu'il rentre complètement dans le projet de jeu
15:38du Paris Saint-Germain
15:41et de Louis-Saint-Germain
15:42dans sa globalité quoi,
15:43sur le côté collectif pardon.
15:46– Ce qui est fort, fort, fort,
15:47c'est qu'en plus de ses qualités,
15:49il a relancé toute l'attaque en fait.
15:52– Oui, tu as raison, tu as raison.
15:53– De par sa venue, la concurrence avec tout le monde,
15:55tu sais que si tu fais une mauvaise performance,
15:57il y en a un des trois autres
15:59qui va prendre ta place.
16:00Donc tout le monde est obligé
16:01d'aligner les grosses performances
16:02pour pouvoir espérer être titulaire
16:04et lui en plus de ses qualités
16:06qui sont la percussion,
16:08la frappe de balle,
16:09il est aussi collectif
16:10parce qu'à Naples,
16:12je le voyais presque comme un soliste.
16:13Je me posais la question
16:14de s'il était compatible avec Enrique.
16:17– Barcola, avant qu'il arrive,
16:18il était mais la tête sous l'eau.
16:21– Il l'a relancé ?
16:22– Mais complètement.
16:23– Et de la polyvalence,
16:24vous avez vu ces ballons touchés
16:25en attaquant de la droite vers la gauche,
16:28mais ça permute constamment avec Doué,
16:31avec Barcola aussi lorsqu'il joue.
16:33Mais cette équipe, elle est protéiforme.
16:35– On n'insistera jamais assez,
16:37je pense que sur le travail de Louis-Saint-Riquet
16:40depuis deux ans maintenant,
16:41sur le fait que l'équipe du Paris Saint-Germain
16:44a été décriée pendant des années
16:46où on disait qu'il y avait des individualités,
16:48certes, mais il n'y avait pas de résultats à l'arrivée.
16:50Là, on se retrouve avec finalement un groupe homogène,
16:54une équipe capable d'être très performante,
16:56pour moi, une des meilleures équipes d'Europe.
16:58Aujourd'hui, si ce n'est la meilleure équipe d'Europe,
17:01capable de tout gagner,
17:03et grâce au collectif.
17:05Avant, on avait les individualités
17:07qui pouvaient faire la différence,
17:08et aujourd'hui, c'est le collectif.
17:10Et dans ce collectif, il y a du talent.
17:12On a mentionné Doué, Vara, Tembélé,
17:15quand il fait des trucs,
17:16et un milieu de terrain, il ne faut pas oublier ce soir,
17:17des Vitiniens, gros travailleurs,
17:20Joao Neves, on n'en a pas parlé,
17:21mais qui a fait son travail aussi,
17:23et Ruiz qui fait son boulot.
17:25On va faire plaisir à Bertrand.
17:26Ah !
17:27Les cas de fer en l'air !
17:28Les cas de fer en l'air !
17:30De Nono Mendes !
17:31Ah non, attendez,
17:32vous allez patienter, vous permettez ?
17:35Bertrand Achraf Hakimi est avec Margot Dumont.
17:42Achraf, qu'est-ce qui vous a plu ce soir,
17:43et en quoi Paris a été supérieur finalement à Aston Villa ?
17:47Non, bonsoir, la première.
17:50On est contents,
17:51je pense qu'on a fait ce qu'il nous a besoin de faire,
17:54et les choses qu'on vient de faire toute l'année,
17:57de la personnalité,
18:00de courir les uns pour les autres,
18:02et c'est ça qu'on a montré aujourd'hui.
18:04Encore il reste un match là-bas,
18:05et on est contents pour la victoire d'aujourd'hui.
18:08Il y a une vraie différence entre ce PSG
18:10et celui des autres années,
18:11que vous avez connue aussi,
18:12qui est plus collectif,
18:13est-ce que vous le ressentez comme ça aussi ?
18:15Je pense que c'est la continuité de la dernière année,
18:18depuis que Luis Enrique est venu,
18:20il a montré,
18:21il a dit qu'on est une équipe,
18:22et que la force de cette équipe,
18:24c'est tous ensemble,
18:25et je pense qu'on a vu ça la dernière année,
18:27et on continue cette année à montrer ça.
18:29Il y a aussi des magiciens sur le terrain,
18:30à l'image de Kvara,
18:31de Doué,
18:32est-ce que vous aussi,
18:32vous êtes impressionné de les voir jouer comme ça ?
18:35Oui, c'est ça la force,
18:36on est tous ensemble,
18:38comme je disais avant,
18:38la force de cette équipe,
18:40ce n'est pas l'individualité,
18:41c'est vrai qu'il y a des actions
18:42que chacun fait,
18:44mais après c'est la force du collectif.
18:47Merci,
18:47on vous souhaite bon courage pour le match retour,
18:48merci à vous.
18:49Achraf Hakimi qui portait le brassard ce soir
18:52en l'absence de Martignos,
18:54Martignos qui sera de retour au match retour,
18:56d'un latéral à l'autre,
18:57parlons donc de Nomen Dès,
18:59le latéral gauche portugais,
19:01qui a marqué le but,
19:03qui fait la différence certainement,
19:05avant le match retour,
19:06dans les arrêts de jeu,
19:07ce but,
19:08là aussi,
19:09issu d'un mouvement collectif magnifique,
19:11cette passe surtout,
19:12c'est cette passe qui est magnifique.
19:13Justement,
19:14est-ce qu'on peut parler quand même du rôle
19:15d'Ousmane Dembélé ?
19:16Parce que ce soir,
19:17il n'a pas marqué,
19:18mais sur le deuxième but,
19:18ça part d'un décrochage
19:20où il y a sa talonnade,
19:21là ça part aussi d'un décrochage
19:22qu'on le retrouve entre les lignes
19:24et où il trouve cette passe magnifique.
19:26C'est vraiment une passe décisive.
19:27Parce que parfois,
19:28la passe décisive,
19:28c'est une passe de 5 mètres,
19:30une passe de 30 mètres.
19:31Voilà, il casse la ligne.
19:32Mais là,
19:32c'est une vraie passe décisive,
19:34au sens de l'étranger.
19:36Sur les deux derniers buts,
19:37il joue ce rôle de faux numéro 9,
19:39alors qu'il n'est pas un buteur sur le coup,
19:40mais qui participe grandement à l'action.
19:42Est-ce qu'on peut garder ce ralenti ?
19:44Laissons Bertrand apprécier ce jeu.
19:46Mais tout le monde apprécie.
19:47On est contents du troisième but,
19:49mais bon.
19:49Oui, mais il n'y a pas une saveur particulière,
19:51non ?
19:52Pas plus que ça ?
19:52On n'est pas comme ça.
19:53En tout cas, vous en avez eu une.
19:54On n'est pas comme ça.
19:54Oui, mais je crois que le public aussi
19:55était assez ravi.
19:56Ah bon ?
19:57Oui, mais il n'y a que vous
19:59qui êtes des mauvais Français.
20:00Bien sûr, moi, je viens avec ma baguette.
20:01Je n'étais pas content pour Marcones.
20:02Est-ce que tu es content
20:03parce que le PSG a marqué ?
20:04Oui.
20:04Je suis content pour les deux.
20:06Ça tombe bien, c'est les deux en même temps.
20:07Exactement.
20:08Pour les deux ?
20:08Bien sûr.
20:09Est-ce que vous allez dériger sur le score
20:11à 2-1, oui, à 3-1 ?
20:13Est-ce qu'on se dit
20:14qu'il y aurait pu en avoir
20:14un petit quatrième de plus ?
20:16Parce qu'il y a eu des occasions,
20:17quand même, si on fait le bilan.
20:18Avec cette frappe, là,
20:22notamment de Dembélé, là ?
20:24Compte tenu du scénario,
20:25on va dire que c'est bien.
20:27Regardez un zéro.
20:28Déjà, on va voir ça.
20:29Exactement.
20:30Il y avait quand même 2-1
20:30jusqu'à la 90e.
20:32Vous avez 80 à la fin, vous.
20:34Vous êtes un peu gourmand, quand même.
20:35C'est pas gamelle, ça compte double.
20:37Je suis gourmand.
20:38C'est plus de la gourmandise,
20:39à ce leur source.
20:39Regardez la petite erreur
20:40de Martínez.
20:41Est-ce qu'aurait pu vous faire
20:41encore plus plaisir ?
20:42Ça aurait été indécent.
20:47Ah là là.
20:47Non, mais c'était important
20:49de marquer le 3e but.
20:50Parce qu'Aston Villa
20:51a quand même des références
20:52à domicile.
20:54Ils ont battu Bayern Munich.
20:55Là, le 3e but,
20:56ça leur donne quand même
20:56un petit confort
20:58avant le match retour.
21:01Ouais, joli.
21:02Vous voyez, Hervé,
21:02comme analyse ?
21:03Oui, très bien.
21:04Je regarde tous ces arrêts
21:06de Martínez.
21:06Je regarde toutes ces occasions.
21:08Vous êtes en admiration.
21:10Non, non, mais je le trouve
21:11très bon, c'est sûr.
21:12Mais là, j'adore
21:13cette passe immédiate
21:14de Guevara
21:15qui a fait un exploit,
21:16qui aurait pu vouloir
21:17porter le ballon
21:18pour valoriser son ballon
21:19et qui tout de suite
21:20le donne
21:21aux joueurs
21:22qu'il voit devant.
21:24Là, c'est un sacré arrêt aussi.
21:25Oui, très bel arrêt.
21:26Il va très vite au sol.
21:27La même ferme.
21:28Très, très bel arrêt.
21:29De la mythe Bertrand.
21:31Il mérite 100 fois
21:32de gagner.
21:32Comment ça s'est passé ?
21:36Le public, on est d'accord,
21:38Paul et Sidney,
21:39qu'il a hué Martínez
21:41du début à la fin.
21:42N'empêche qu'il a quand même
21:44un sacré charisme,
21:45ce gardien.
21:46Je disais tout à l'heure
21:47que pour le battre,
21:48il faut presque un exploit
21:49à chaque fois.
21:53Oui, du charisme,
21:54un certain don
21:56pour la provocation.
21:57Et puis, il y a beaucoup
21:58de talent aussi
21:58en tant que gardien.
21:59C'est vrai que personne
22:00n'avait oublié
22:00la finale de la Coupe du Monde
22:02et qu'il a été bien reçu
22:04par le Parc des Princes.
22:05Et puis après,
22:06sur le terrain,
22:06Sidney, force est de constater
22:08qu'il assume son statut
22:09de leader d'Aston Villa.
22:11Huit arrêts aujourd'hui.
22:13Il fait partie du top mondial
22:14au niveau des gardiens.
22:16Oui, carrément.
22:17Déjà, il a un gabarit.
22:18Physiquement, il est impressionnant.
22:20Donc forcément, c'est un leader.
22:21Oui, hormis son côté chambreur
22:23qui peut en exaspérer certains.
22:26Je trouve que c'est un très,
22:27très bon gardien.
22:27Il a de la prestance.
22:28On l'a vu dans ses relances
22:29aux pieds, très, très long.
22:30Il joue très, très juste.
22:32Non, c'est un bon gardien.
22:33On a vu ce soir,
22:33pour lui marquer un but,
22:34comme vous l'avez dit,
22:35il a fallu trois buts d'exception.
22:37Et là aussi,
22:38c'est fort de la part des Parisiens
22:39parce que face à un très grand gardien
22:40et dans la situation
22:41où ils étaient menés
22:42juste avant la pause,
22:44ils auraient pu se frustrer
22:44un petit peu plus vite.
22:45Ça n'a pas été le cas.
22:46Bravo aux Parisiens.
22:49Bertrand ?
22:49Il y a quelque chose
22:49qui m'interroge
22:50quand même dans le parcours
22:51de Martinez
22:52et il y a zéro provocation
22:53de ma part,
22:54mais c'est s'il est aussi bon que ça,
22:55comment se fait-il
22:56qu'il y a 32 ans,
22:57il ait joué à Reading,
22:59Retafé et Aston Villa
23:01et que même après le titre
23:02de champion du monde
23:03et la lumière
23:03qui a été mise sur lui,
23:05il n'y a pas un des clubs
23:06du top 8 européen
23:06parce que sans être injurieux
23:07à l'égard d'Aston Villa,
23:09ce club-là n'en fait pas partie
23:10et qu'il ne soit pas ailleurs.
23:12C'est une très bonne question.
23:13C'est dur de déloger un gardien.
23:14Oui, c'est des aléas
23:15de postes de gardien.
23:16C'est peut-être un problème de taille.
23:17C'est des gardiens,
23:18c'est très difficile.
23:19Quand les grands clubs
23:20sont pris,
23:21ils ont en place.
23:21Lucas Chevalier par exemple.
23:24Avec tout le respect
23:24que j'ai pour Lille,
23:25son talent normalement
23:26n'est pas dans l'île de Lille.
23:26Mais il a 23 ans
23:27donc a priori,
23:28je pense qu'il ne finira pas
23:29à Lille, Chevalier.
23:30Rami Duta a démarré à Arsenal
23:31et c'est par des prix successifs
23:34qu'il a commencé
23:34à se faire un an
23:35donc je peux comprendre
23:36qu'il soit à Aston Villa.
23:36Il y a peut-être aussi
23:38une personnalité,
23:39une image
23:39qui peuvent déranger
23:40dans certains clubs.
23:42Mais lui,
23:43je le verrais bien
23:43à l'Atlético Madrid.
23:45Oui, c'est sûr.
23:46Ah oui, il serait bien.
23:48Sauf qu'il y a une blague
23:50depuis 18 ans.
23:51Amenez-lui une couronne,
23:53il est chez lui.
23:53Ah oui.
23:54Aston Villa aurait pu
23:55presque faire le deuil
23:56d'une éventuelle demi-finale
23:58ce soir
23:58sans l'ouverture du score
24:00qui leur laisse
24:02un peu l'espoir
24:03parce qu'ils n'ont pas existé
24:05les Villains
24:06hormis cette action,
24:09ce contre-éclair
24:09et ce but de Rodgers
24:11magnifiquement mené,
24:12il faut bien le dire.
24:14Je pense...
24:14Pardon.
24:15Vas-y, vas-y.
24:15Moi, je pense sincèrement
24:17qu'ils n'ont pas le matériel
24:19pour pouvoir lutter
24:20avec ce PSG-là
24:21mais je pense que même
24:22ils étaient résignés
24:23avant le match.
24:24On n'en prend pas trop
24:25pour rester en vie
24:26pour le match retour.
24:29Maintenant, il faudra gérer
24:30l'intensité
24:30que Aston Villa
24:32peut mettre au match retour
24:33même si Paris,
24:33c'est quand même
24:34plutôt bien le gérer.
24:34À sur-résister à Anfield,
24:35je pense qu'ils peuvent résister à...
24:37Pardon, Samir.
24:38Je me demande
24:39dans quelle mesure
24:39ça n'a pas été un mal
24:40pour un bien
24:40ce but pour les Parisiens.
24:41Ça a réveillé Paris.
24:42Je trouvais que...
24:44Bon, par la période,
24:45ils jouaient
24:45sans grand talent.
24:47Ce n'était pas vraiment
24:47un quart de finale.
24:48Enfin bon, il y avait un bloc bas,
24:50il se passait la balle.
24:50Je serais peut-être réveillé
24:51par d'autres moyens.
24:53On ne le saura jamais
24:54mais en tout cas,
24:55c'est loin de les avoir enfoncés.
24:56Ça les a vraiment réveillés
24:58avec Douai ensuite le but
24:59mais ça fait comme City.
25:01D'ailleurs, justement,
25:03cette saison,
25:03c'est la septième fois déjà
25:05que Paris gagne un match
25:06après avoir subi
25:07l'ouverture du score
25:08et sur les sept,
25:09il y en a eu beaucoup
25:10d'ailleurs depuis le début
25:11de l'année 2025,
25:12depuis début janvier.
25:13Vous savez qu'il y avait
25:13un millier de supporters
25:14d'Aston Villa
25:15qui étaient venus à Paris
25:16sans billet.
25:17Alors, ils ne sont pas compliqués.
25:19Ils sont arrivés à Paris,
25:20Gare du Nord
25:21et ils ont traversé la rue
25:22et ils sont allés au Bellucci
25:23qui est un bar Gare du Nord
25:25juste en face de la gare.
25:26Vous connaissez tous les bars de Paris ?
25:27Non, mais je sais que c'est Gare du Nord
25:29parce qu'on vient de me le dire.
25:31Ça, c'est la réaction
25:32des supporters au moment
25:33d'où le Arthur Duster.
25:34Je vois un mec avec son maillot
25:37du PSG,
25:38il a dû passer une bonne soirée.
25:39J'ai l'impression
25:41qu'il ne buvait pas
25:41de la sauf Pellegrine.
25:43Mais franchement,
25:44c'est vraiment des passionnés
25:46pour venir à Paris
25:47et se mettre dans un bar à Paris
25:48juste en face de la gare.
25:49C'est assez bizarre.
25:50Le mec, il a fait sa recette
25:51de l'année.
25:51Un peu moins joyeux
25:52le but de Gvara
25:54en début de seconde période.
25:55Oui, il y a bien eu le but.
25:57Il y avait la clim dans le bar.
25:58Voilà.
25:58Et puis, le troisième but,
26:03vous allez voir
26:04dans les arrêts de jeu
26:04qu'il va les achever.
26:07C'est ça ou c'est la boisson
26:08qui est arrivée ?
26:09Un peu les deux.
26:12C'est vrai,
26:13c'est le petit but, je pense.
26:14Ce côté sadique
26:15de les montrer,
26:16c'est...
26:16Ils repartent de soi ou pas ?
26:18Je ne pense pas,
26:19il n'y a plus de train.
26:20Lucas Digne
26:21est avec Margot Dumont,
26:22l'international français
26:24d'Aston Villa.
26:24Allez-y, Margot.
26:25Lucas, comment est-ce que
26:29vous expliquez aujourd'hui
26:30cette défaite ?
26:32On a vu un Aston Villa
26:33jouer très bas,
26:34jamais aller chercher Paris.
26:35Comment vous l'expliquez, vous ?
26:36Non, c'était notre plan de jeu.
26:38Au départ,
26:39on avait réussi
26:39à ouvrir le score.
26:41C'était à peu près
26:42le plus difficile à faire.
26:43Après,
26:44on est coach
26:45une grande équipe aussi.
26:46Il faut le reconnaître.
26:47Ils ont eu des éclats
26:48comme la frappe à désirer.
26:50Elle est incroyable.
26:51Après,
26:52c'est à nous
26:52de faire le job au retour.
26:54Il faudra bien sûr
26:55qu'on se découvre un peu plus
26:56mais c'est encore jouable
26:57et on va tout faire pour.
26:59Ce n'est pas le PSG
26:59que vous avez connu
27:00en tant que joueur.
27:01Qu'est-ce qui vous impressionne ?
27:03Est-ce que d'ailleurs
27:03ce Paris Saint-Germain
27:04vous impressionne ?
27:05Non, c'est une très bonne équipe
27:06qui est bien organisée
27:07aussi bien offensivement
27:08que défensivement.
27:09C'est un système de jeu
27:11qui est différent
27:11de ce que j'avais pu connaître
27:12il y a quelques années
27:13mais ça fonctionne très bien
27:14et maintenant,
27:15ce sera à nous
27:15justement de trouver les failles.
27:18Il y a le Prince William
27:19qui est venu vous voir
27:19après le match.
27:20Avant le match aussi,
27:21il vous a checké.
27:21Qu'est-ce qu'il vous a dit ?
27:22Non, non, il nous a souhaité
27:23bonne chance.
27:24C'est un très grand fan
27:25et ça fait plaisir
27:26de le voir à chaque fois.
27:28Il va falloir ne pas le décevoir
27:28au match retour.
27:29Oui, bien sûr.
27:30Non, non, et à Villapark
27:31il y a nos fans aussi.
27:32Merci beaucoup Lucas.
27:33Merci à vous.
27:34Et le match retour
27:35viendra vite.
27:36Ce sera dès mardi soir
27:37sur Canal Plus Foot
27:38dès 18h15
27:39sur jour 2
27:41avec jour 2 foot
27:41avec Eric Benard
27:42et ensuite dans la foulée
27:4319h15
27:44Canal Champions Club
27:45et ce match retour
27:46à 21h
27:48Paris qui ne jouera pas
27:50avant la rencontre retour
27:51a été dispensé
27:52de matchs de Ligue 1
27:54alors que l'équipe
27:55d'Aston Village
27:56aura à Southampton
27:57le dernier du classement
27:58de la Première Ligue.
27:59Relégué.
27:59Ce sera samedi soir
28:01et vous pourrez suivre
28:02des images
28:03dans CFC bien sûr
28:04dimanche.
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