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00:00C'est à dire que c'est à Abdel Niaïa.
00:02Non, tu sais que c'est à Abdel Niaïa.
00:04Tu es ici,
00:06tu n'as pas pris des pochons radicals, mais parfois il peut arriver
00:09d'équilibrer.
00:11Même avec les médias qui ont des lignes auditoriales, c'est normal.
00:14Partout dans le monde, les médias ont des lignes auditoriales.
00:16Mais ça n'empêche qu'un jour,
00:18tu vas venir,
00:20sur ce professionnalisme,
00:22tu vas être équilibré.
00:24C'est ce que tu as dit.
00:26C'est une TV.
00:28C'est ce que tu as dit.
00:30C'est ce que tu as dit.
00:32Il n'y a pas de l'argent.
00:34Il n'y a pas d'autre point.
00:36Il n'y a pas de l'argent,
00:38il n'y a pas d'autre point.
00:40Il n'y a pas d'autre point.
00:42Parce que tout Fad Abdel n'est pas à l'aise.
00:44Vous ne pouvez pas dire
00:46qu'il n'y a pas d'autre point à Ousmane Sonko,
00:48ou ce n'est pas un bon point.
00:50Ne pas prendre nos chroniques,
00:52tous les uns de Ousmane Sonko.
00:54Ne pas prendre nos termes.
00:56Mais c'est ce qu'il y a de la matière, c'est ce qu'il y a de la matière.
01:00Il faut qu'il y ait des professionnels, des cliniqueurs.
01:03Mais c'était haut de gamme.
01:05Mais aujourd'hui, c'est ce qu'on appelle Fadr Abdo.
01:09Ce que je remercie à Dieu, c'est que c'est le pouvoir de ne pas le baisser.
01:13Ce n'est pas normal.
01:15Parce qu'il faut réparer une injustice.
01:17Il y a des choses, il y a des choses, il y a des choses.
01:19Il y a des choses, il y a des choses, mais il y a des choses.
01:22Et c'est ce qu'on appelle.
01:24C'est ce qu'on appelle Macky Sal.
01:26Ce qu'on appelle, c'est ce qu'on appelle.
01:28C'est ce qu'on appelle.
01:30Parce que c'est ce qu'on appelle le Sénégal.
01:32Si on appelle les fondamentaux de la nation sénégalaise.
01:36Pour des affaires armées, des affaires chètes.
01:38Mais c'est ce qu'on appelle le Président Diomaye.
01:42Tu sais où tu l'attends?
01:44Tu sais où tu l'attends?
01:46Dans la gestion du pays.
01:48La gestion du pays.