Revue de Presse du 7 Avril 2025 avec Fabrice Nguema
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00:00Sénégal, bonjour. Adoption de la loi interprétative au menu de l'actualité de Tribune Quotidien ce matin.
00:06Dans le journal du groupe Démédias, c'est l'ancien SEMGA, chef d'état-major général des armées, Mamadou Mansour 5, qui appelle à la prudence.
00:14Bref, l'ancien chef d'état-major général des armées, Mamadou Mansour 5, met en garde contre toute stigmatisation des forces de défense et de sécurité.
00:23Dans le journal du groupe Démédias, il s'agit de ces propos, à savoir, on a vu des manifestations attaquées et attaquées des camps militaires aussi.
00:30C'est la première fois que je vois ça. Il faut se dire compte de tout ça.
00:34Dis-là, en tout cas, mon général, Mamadou Mansour 5, ancien chef d'état-major général des armées dans Tribune Quotidien.
00:40Restons, en tout cas, avec le journal du groupe Démédias qui affiche la réaction au vitriol de l'Alliance Sauver le Sénégal, de Balagamba Ingara, sur l'annulation de la loi interprétative.
00:51En tout cas, le peuple souverain, eh bien, le peuple souverain compte sur la sagesse du conseil constitutionnel, dis-là, Balagamba Ingara, de l'Alliance Sauver le Sénégal, dans Tribune Quotidien.
01:02Lorsque je dois souligner l'autre avis de l'homme, comprenez, la constitution ne permet pas, alors là, pas du tout, du tout, du tout, à une loi interprétative de modifier les termes de la loi qu'elle interprète aussi.
01:13Le conseil constitutionnel va vérifier si la loi interprétative a modifié ou pas les termes de la loi d'amnistie.
01:19Voilà ce qu'il a l'air de retenir autour, justement, de la réaction au vitriol, aux allures de coup de pied dans la fourmilière, pour ne pas dire de parler dans la barre, signé Balagamba Ingara, de l'Alliance Sauver le Sénégal, dans Tribune Quotidien.
01:30En attendant, WOLF Quotidien, WOLF Quotidien, au chapitre des lenteurs, lenteurs, entre guillemets, de la justice, de nous apprendre que Ndeke Teyo, Ndeke Teyo, Ousmane Diagne, garde des Sceaux, ministre de la justice de son état,
01:44jetez en pâture, jetez en pâture, au nom de qui ou de quoi, quoi qu'il en soit, dans l'Observateur L'Obs, c'est Maître Babacar Ndiaye, DG de la SNR, qui parle, parler pour dire quoi ?
01:55Maître Babacar Ndiaye, l'interview brûlante, voilà le titre qu'il parle à une de l'Observateur L'Obs, le journal du groupe Futur Média.
02:01En tout cas, de souligner les propos de Maître Babacar Ndiaye, à savoir, c'est le ministère de la justice, qui est directement concerné par la réponse du Président John May, des doigts de Maître Babacar Ndiaye.
02:13En tout cas, il doit, le ministre de la justice doit, poser des actes forts pour accélérer la marche de la justice, dit là, Maître Babacar Ndiaye, au livre L'Observateur L'Obs,
02:22d'où l'intérêt pour nous de prendre direct juste, qui bosse à une d'une interrogation, Kourou Baïfane et Boldé Bouride, comprenez, John May, Ousmane Ndiaye, va-t-on, et bien, va-t-on vers le clash ?
02:31Bon, on atteste la réaction de M. le Président, Son Excellence, Bassirou Dioumaï Yahed Faï, à lire dans le direct juste, comprenez, chaque Sénégalais, et bien, chaque Sénégalais a le droit de mettre la pression sur la justice pour qu'elle fasse son travail.
02:45Le temps de la justice n'est pas le temps politique, mais il doit être celui du peuple souverain au nom duquel cette justice est rendue.
02:51On ne peut pas, alors là, pas du tout, ni du tout, ni du tout, identifier des personnes épinglées par les rapports et laisser la justice fonctionner au ralenti.
02:59Voilà ce qu'a tenu à dire, à haute intelligible voix, M. le Président de la République, rappelle tout simplement, et tout bonnement, direct juste, dans le journal, on peut également lire ce que pense le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ousmane Ndiaye, à savoir,
03:11je n'ai jamais, au grand jamais, accepté qu'on fasse pression sur moi, en 38 ans de carrière, dans la magistrature, surtout dans un sens déterminé, qu'on ne compte pas, alors là, pas du tout, ni du tout, ni du tout, sur moi, pour exercer la moindre pression sur les magistrats du siège.
03:26Ces propos sont de Ousmane Ndiaye, garde des Sceaux, ministre de la Justice de son état, rappelle, direct juste, d'où l'interrogation du journal, comprenez, Diomaye décider à mettre, et bien à mettre, la pression sur le ministre de la Justice qui ne l'accepte pas, du tout, va-t-on, et bien va-t-on vers la fin, et bien la fin du compagnonnage ?
03:43Aussi, Diomaye accepterait-il que l'opposition demande au peuple de mettre la pression sur le gouvernement face aux urgences de l'heure ?
03:50Voilà l'autre interrogation à lire, bien entendu, dans le direct news, mais la news, et bien la news de l'il quotidien, ne souffre, et bien ne souffre aucun doute.
03:58En tout cas, pression politique sur le ministre de la Justice, Ousmane Ndiaye, et bien Ousmane Ndiaye tient tête, à part Steve Lepatriote, y a-t-il lieu là de dire Foulaye Ndiaye Dakar ?
04:07En tout cas, l'il quotidien de nous livrer une contribution magistrale, signé mon confrère Mohamed Diop, journaliste du groupe Gebega, adressé à monsieur le garde des Sceaux, ministre de la Justice Ousmane Ndiaye, intitulé, ne céder pas, alors là, pas du tout, du tout, du tout, à la pression,
04:22en attendant, le point actuel de revenir en long et en large sur une déclaration parmi les déclarations de monsieur le président, son excellence Bassidou Dioumay Yarenfaye, face à la presse, à savoir, il n'a jamais été question de changement de régime au cours des assises de la justice.
04:38Bon, c'est Dieu qui donne le pouvoir, un dialogue national sur les grands désaccords dans l'espace politique, le 28 mai, informe bien entendu le point actuel, tout compte fait. Dans le point actuel quotidien, il est également question d'un rapport de cours des comptes non signé, et là, c'est le magistrat Ali Ounian qui dément.
05:07Bon, le rapport est signé, dit là, bien entendu, Ali Ounian, si on en croit le point actuel. Je voudrais de souligner l'autre point évoqué par le magistrat Ali Ounian qui n'a pas manqué de dire à haute et intelligible voix, nous ne dépendons d'aucun et bien d'aucun pouvoir, nous ne défendons aucun pouvoir, nous sommes un pouvoir.
05:24Nous sommes tentés de dire, que dire d'autre ? Sinon, une actualité qui intéresse après une étude de 24 heures, le journal de Réveillé, indépendance de la cour des comptes, rapport et signature conforme, Ali Ounian balance tout, tout sur la réaction aux vidéos d'Ali Ounian à la une de Vox Populi. Le journal d'affiché, deux mois après la publication du rapport sur la situation des finances publiques, la cour solde ses comptes est clarifiée.
05:45En tout cas, Ali Ounian, président de la chambre de discipline financière, compte attaque vigoureusement. En quoi faisant ? Eh bien, en jurant la main sur le cœur avant de dire à haute et intelligible voix, la contradiction a été respectée avec les administrations qui ont produit des données. Il n'existe pas de certification de compte au niveau de la cour des comptes. Voilà ce qu'a tenu à expliquer Ali Ounian, président de la chambre de discipline financière, nous livre Vox Populi ce matin.
06:10Ce matin, le journal de s'intéresser également à la réaction au vitriol de l'Alliance pour la République. En tout cas, après l'attaque du président Jomai contre le président Makisal, l'APF dénonce des propos et insinuations inqualifiables, manquant d'élégance et de tenue.
06:25Compte tenu de cette actualité, le mandat quotidien de Barressa une d'une interrogation, à savoir, relation entre Jomai et son prédécesseur Makisal Boukemissère. En attendant, restons avec le mandat quotidien qui révélera sa une, un an d'espoir, de détermination, soutenir ensemble le projet d'un Sénégal souverain, juste et prospère. C'est l'avis bien entendu de Diabel Seck, opérateur économique de son état. Dans le mandat quotidien, l'homme de rappeler il y a un an, un souffle nouveau, traverser la nation sénégalaise.
06:53Dans le mandat quotidien, ce matin, en tout cas, Diabel Seck, entrepreneur et investisseur sénégalais de son état. Dans une production intellectuelle à lire dans le mandat quotidien de soutenir ce premier adversaire de votre mandat, monsieur le président Basirou Jomai n'est pas une célébration, c'est un moment de vérité, un arrêt sur image, une invitation à mesurer la portée de vos choix et la profondeur des attentes placées en vous. Et de cela, vous avez su être à la hauteur, note bien entendu Diabel Seck, entrepreneur et investisseur sénégalais.
07:22Dans une contribution à lire, bien entendu, dans le mandat quotidien ce matin. Mais ce matin, Tribune Quotidien en appelle à la une de souligner le signé Babacar Justin Mbeng, alias Mbengas, délégué à la communication de la philosophie Gopso Bob, l'organisation dirigée par Bougad Geydali, le djambar en chef, en tout cas, pour Babacar Mbeng Justin, alias Mbengas. Dans Tribune Quotidien, Jomai oublie que depuis un an, c'est lui l'employeur,
07:52des trente mille personnes virées de leur travail. En tout cas, le journal du groupe des médias a ça, une dédiquée, premier ministre super fort, président en retrait, son co-manoeuvre, Jomai, eh bien, Jomai s'efface. Bah, d'où, d'où l'intérêt pour nous de relever les propos de Bacary Segga Bachili, DG de la piste qui n'a pas manqué de dire à qui il veut et à qui il veut le savoir, nous travaillons à faire élire Ousmane Sonko, président de la République du Sénégal, aux Sénégalaises et aux Sénégalais.
08:18Il conviendrait de prendre le quotidien en relief qui nous renseigne pour un Sénégal réconcilié, juste et prospère. La coalition de l'imam rati Mohamed Moustapha Gagne rappelle la pensée visionnaire de feu Abdallah Dion. Bon, restons avec le quotidien en relief qui révèle Spacebus 2025, Bacary Jomai, lance la caravane de la SES.
08:40Cependant, Mme Cairet ignore royalement le président, informe bien entendu le quotidien en relief et ce que met en relief le journal, pour tuer un fait clair, comprenez, des agents réclament l'audit de la SES.
08:53Est-ce qu'il semble tenter de dire que dire d'autre, sinon le titre du journal Les Echos à la une du quotidien, il est écrit, nouveau livre de Madjambal Gagne, vade, mille et une vies, les croustillantes révélations sur le GORGI national, international, universel, mondial, comprenez le président le plus diplômé du CAIR au cap de Dakar à Mogadiscio.
09:13Bon, Madjambal Gagne de retenir, c'est un personnage attirant, captivant, attachant, généreux, note les Echos, Echos favorables ou pas, en tout cas, il conviendrait de rester avec le journal Les Echos pour terminer.
09:24Bon, accusé d'avoir engrossé une fille, Bilal Diata, index, un député de PASTEF, les patriotes, avant d'interpeller directement, et bien directement, Ousmane Sonko.
09:34Bon, que Dieu préserve le Sénégal.