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00:00Moi je ne suis pas venu faire la fête à Gabriel Attal, il n'a rien à voir là-dedans, on a affaire d'abord à une procédure judiciaire.
00:09Encore une fois, je le disais ce matin chez vos confrères, cher Cyril Hanouna, il n'y a aucune menace qu'on doit faire auprès des magistrats, aucune, ça c'est inadmissible.
00:19Et je pense qu'il faut mettre ça au-dessus de tout, quand on touche un magistrat, quand on touche un élu, quand on touche un policier, un pompier, on touche à la République, on fragilise la France, ça c'est la première chose.
00:29La deuxième chose, c'est que la justice fait son chemin. La troisième chose, c'est que Mme Le Pen a des voies de recours.
00:35La quatrième chose, c'est que moi je préfère véritablement avoir à combattre, comme j'ai eu à le faire lors des dernières législatives, le rassemblement national face à face, projet contre projet, que contre une déclaration par forfait si on file l'image du sport.
00:50Et en tout cas, ce que je considère, pardonnez-moi, on n'est peut-être pas d'accord, mais je trouve que la proposition de M. Ciotti, elle n'est ni faite, ni à faire.
00:57C'est pas maintenant à un an ou deux ans de la présidentielle qu'on va changer les lois. Les lois, elles ont été votées en 2016.
01:04En revanche, après la présidentielle, qu'on refasse un reset, là je suis effectivement d'accord.
01:09En revanche, ce dont je me félicite, et bravo la justice si effectivement ça suit son cours, j'entendais Gauthier Lebrecht le dire tout à l'heure, c'est que si Mme Le Pen peut faire appel effectivement avant l'été 2026, et bien il y aura effectivement l'appel.
01:23La justice suivra son chemin et derrière, potentiellement, Mme Le Pen pourra se présenter à l'élection présidentielle et à titre personnel, c'est ce que je souhaite.

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