في لقاء خاص مع قناة العربية، أكد رئيس وزراء لبنان، نواف سلام، أن شعار "دولة، جيش، مقاومة" أصبح من الماضي، ولم يتم ذكره في البيان الوزاري الجديد، كما كان يحدث في الحكومات السابقة، مشددًا على أن قرار الحرب والسلم بات حصريًا بيد الدولة اللبنانية، وأوضح سلام أن جميع الوزراء ملتزمون بحصر السلاح بيد الدولة اللبنانية، معتبرًا أن هذه الخطوة ضرورية لتعزيز سيادة لبنان وإنهاء أي كيانات مسلحة خارجة عن سلطة الحكومة، وفيما يخص الاحتلال الإسرائيلي للنقاط الخمس في جنوب لبنان، شدد سلام على أن هذا الوجود يهدد الاستقرار الحدودي ويتناقض مع القوانين الدولية والتفاهمات الأخيرة التي تم التوصل إليها برعاية أميركية وفرنسية، وفي محاولة لطمأنة اللبنانيين، أكد رئيس الوزراء أنه لن يكون هناك أي شطب لودائع المودعين، لكنه أوضح أن هناك فئات معينة فقط ستكون قادرة على استرداد ودائعها، وهو ما قد يثير جدلًا واسعًا في الأوساط المالية والاقتصادية، وخلال حديثه عن قيادته للدولة اللبنانية، أشار سلام إلى السياسات الناجحة لرئيس الوزراء الأسبق رفيق الحريري، مشيدًا بدوره في حماية لبنان بعد اتفاق الطائف، وبدعم المملكة العربية السعودية الذي ساعد في استقرار البلاد.
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NewsTranscription
00:00Il y a eu une première rencontre avec la médiation arabe.
00:04C'était une rencontre exclusive avec le président du ministère du Liban, le Dr Nawaf Salam.
00:11Au début, nous avons reçu cette nouvelle avec une sorte de grande joie
00:15que nous allions participer à ce dialogue.
00:17Et en effet, je suis allée à Beyrouth pour faire ce dialogue.
00:20C'était la première fois où j'ai rencontré le Président Nawaf Salam directement.
00:24C'est un personnage très simple, très sérieux.
00:30Il n'utilise pas les mots de la langue arabienne
00:33ou les termes qui s'utilisent très souvent.
00:38Mais il porte des idées très importantes pour le nouveau Liban.
00:44Il a un grand ambition et, comme il l'a décrit,
00:47il a une vraie chance à ce moment-là
00:50d'essayer d'entrer en Liban de manière véritable.
00:54Depuis les premières instants où nous avons fait cette rencontre,
00:57et depuis l'apparence de la confrontation sur l'écran arabe,
01:00jusqu'à ce moment-là, il a évoqué un grand débat et des réactions.
01:06Qu'est-ce qu'il a dit ? Nous allons suivre.
01:24Il y a eu des expressions différentes.
01:33Mais il n'y a personne qui peut revenir à des expressions précédentes
01:38comme l'armée, le peuple, la résistance,
01:40qui étaient présentes dans des expressions précédentes.
01:44C'est une page qui est tombée.
01:46C'est une page du passé.
01:48Tous les ministères, je ne veux pas dire la plupart des ministères,
01:51mais tous les ministères sont impliqués dans la déclaration du ministère.
01:56Cette déclaration du ministère est la résultation d'un débat
02:00qui s'est déroulé au sein du ministère.
02:03Nous avons eu confiance en lui.
02:04Tout le monde s'est impliqué dans ce débat.
02:06Il indique clairement l'exclusion de l'armée de l'État.
02:11Il indique clairement la nécessité de l'État lebanais
02:16de l'exécuter sur toutes ses terres,
02:18avec ses forces individuelles.
02:21C'est ce qu'ont dit les deux ministères.
02:23Tout le monde s'est impliqué dans ce débat.
02:26Cette déclaration a été très importante.
02:29Depuis les premières instants d'intervention,
02:31il y a eu de nombreuses réponses très rapides et fortes.
02:35Les supporters de Hezbollah considèrent que ce débat
02:39auquel le président de l'État lebanais s'adresse
02:42est un chemin de révolution de leur point de vue.
02:45Il y a eu de nombreuses réponses à ce sujet.
02:47Ils considèrent que c'est un vrai chemin
02:49pour l'évacuation de l'État lebanais à ce moment-là.
02:52Je l'ai demandé dans la deuxième partie du débat
02:56sur la situation de l'armée de l'État de Gaza
03:00et comment cela a conduit à l'entrée de l'État lebanais
03:02dans ce combat contre l'Israël,
03:05et comment ce sont les conséquences.
03:06Il y a eu de nombreuses réponses très fortes à ce sujet.
03:10Il a utilisé des définitions très précises.
03:12Il a clairement dit que cette frontière
03:15qui a été ouverte pour l'entrée de l'État de Gaza
03:17n'est pas l'entrée de l'État de Gaza,
03:19ni l'entrée de l'État lebanais,
03:21ni l'entrée de l'État israélien.
03:23C'était une rédaction réelle de ce qui s'est passé sur la terre.
03:28Mais il y a aussi une autre partie des définitions importantes
03:30dont il a parlé avec nous.
03:42C'est une menace à la gouverne de l'État lebanais.
03:46C'est une menace à la gouverne de l'État lebanais.
03:49C'est contre la décision de 1901 de l'Assemblée nationale de l'État.
03:54C'est contre les compréhensions que l'on a reçues
03:58lors de l'accompagnement américain-français.
04:05Il indique ici une pointe très importante.
04:08L'ennemi qui se trouve en Libye, c'est l'Israël
04:11qui s'est trompé depuis le début de l'accompagnement américain-français.
04:16Il essaie d'utiliser les armes ou les fusils de Hezbollah
04:20comme une arme d'attaque contre le Liban.
04:24On l'a vu très clairement.
04:26Netanyahou essaie d'ouvrir une nouvelle page
04:29des confrontations militaires au Moyen-Orient,
04:31que ce soit en Gaza ou au sud du Liban.
04:34Je ne sais pas si le Président de la République
04:38a voulu indiquer ou attirer l'attention des Libanais
04:43que l'on a un ennemi extérieur qui nous attaque.
04:47Nawaf Salam a aussi parlé à nous
04:51de la façon dont le pays libanais va gérer.
04:54En réalité, ceux qui suivent la scène libanaise
04:57sentent que celui qui ouvre cette place,
05:00la place du Président de la République en Libye,
05:02est un homme qui est confronté à de grandes défis.
05:05C'est-à-dire qu'il essaie d'attirer l'attention de chaque côté.
05:09Chaque côté veut ce qu'il veut.
05:11Il n'est pas satisfait de cela,
05:13sauf quand il dit ce qu'il veut de chaque côté.
05:16Il est donc dans une situation difficile
05:19et les défis sont énormes.
05:21Nous, les journalistes,
05:23quand nous vous transmettons de l'extérieur
05:25tout ce qui se passe dans les studios,
05:27la situation est complètement différente
05:29lorsqu'on arrive sur la terre de la réalité,
05:31lorsqu'on rencontre le responsable directement,
05:33dans l'atmosphère publique autour de ces événements,
05:36on trouve que la situation est beaucoup plus difficile.
05:39Mais j'ai demandé à ceux-ci des grands dirigeants
05:42avec lesquels Hariri s'entraînait
05:44et cela a permis de réussir son expérience.
05:48J'ai reçu des réponses,
05:49et j'ai des difficultés après ces réponses.
05:51Attendons.
05:52Il y a Hariri, un personnage exceptionnel
05:54dans l'histoire de ce pays.
05:57C'est un personnage incroyable.
05:59C'est-à-dire qu'il est venu
06:01dans des circonstances difficiles.
06:04Il est venu après l'accord de l'Opposition.
06:07Oui.
06:08C'est-à-dire qu'il avait les mains blanches
06:11pour le Royaume arabe saoudien.
06:15Mais il est venu avec un soutien arabe
06:18et un soutien international,
06:21et il a besoin d'un emploi interne.
06:25Le gouvernement de Saraya,
06:27le bureau du président du gouvernement lebanais,
06:30trouvera à l'extérieur des idées
06:32pour le partenariat avec Hariri.
06:34Il y a des comptes qui portent sa photo.
06:37La manière dont le président lebanais
06:39a parlé à Hariri
06:41et à son collègue lebanais
06:43est une manière de faire
06:45le travail de l'entreprise
06:47qui est le plus important
06:49pour l'intérêt du pays.
06:51Le président du gouvernement lebanais
06:53a parlé à Hariri,
06:55en s'assurant qu'il avait
06:57des expériences exceptionnelles
06:59au Liban.
07:00Mais peut-être que j'ai fait une erreur,
07:03mais j'ai senti que Hariri
07:05avait envie de voir
07:07l'ampleur du soutien
07:09qu'il avait reçu
07:11à l'échelle arabe et internationale
07:13après la guerre.
07:14Les circonstances peuvent être similaires.
07:16Hariri a pris le pouvoir
07:18au Liban après la guerre
07:20et le président du gouvernement
07:22lebanais a aussi pris le pouvoir
07:24au Liban.
07:25Le Liban a été détruit
07:27et peut-être encore plus détruit.
07:29Mais l'ampleur du soutien
07:31à l'échelle arabe et internationale
07:33que Hariri a reçu
07:35a été remarquable.
07:37Peut-être que le président
07:39ne l'a pas expliqué
07:41mais je pense qu'il avait
07:43envie d'apporter un signal
07:45sur ce soutien.
07:47Et ce signal a peut-être
07:49été apporté par vous.
07:51Nous voulons un soutien plus grand.
07:53Si nous avions un soutien
07:55de 10 personnes, nous voulions un soutien
07:57de 20.
08:01Il souhaite que
08:03le soutien arabe soit grand
08:05et très grand.
08:07C'est ce qu'a dit le député
08:09Gébran Basil.
08:11Vous ne voulez pas notre confiance
08:13car vous êtes vraiment soutenu.
08:15C'est ce qu'il voulait.
08:17Merci beaucoup.
08:47Je vous salue,
09:01et je vous félicite
09:03pour cette rencontre
09:05qui a éprouvé
09:07beaucoup de disputes
09:09au Liban.
09:11C'est une rencontre
09:13qui a eu un impact
09:15sur la langue égyptienne.
09:21C'est un impact
09:23sur votre personnalité
09:25et sur le président.
09:27Merci.
09:29Je ne parle pas
09:31aujourd'hui
09:33au nom de Hezbollah.
09:35Hezbollah n'a pas
09:37interdit la rencontre
09:39avec le président.
09:41Il est en train
09:43de s'occuper
09:45de la relation
09:47entre le président
09:49et le président.
09:51Il a dit
09:53que ce n'est pas
09:55seulement le fait
09:57de Hezbollah,
09:59mais aussi de tout le Liban.
10:01Hier, nous avons vu
10:03un grand attaqué israélien
10:05sur le Liban.
10:07C'est une question
10:09de respect pour le Dr. Nawaf Islam.
10:11Comment affronter l'Israël ?
10:13Est-ce qu'il suffit
10:15d'explications ?
10:17Si l'Israël n'a pas
10:19besoin de résistance,
10:21comment affronter l'Israël ?
10:23L'armée libanaise
10:25n'a pas été capable
10:27d'affronter l'Israël.
10:29Hier, il y a eu
10:3150 attaques.
10:33C'est une question
10:35de respect pour le Liban.
10:37Je veux dire
10:39que j'ai rencontré
10:41le président
10:43Joseph Aoun
10:45dans un interview
10:47qui m'a été accueillie
10:49à son bureau.
10:51Il m'a indiqué
10:53que l'armée
10:55est capable
10:57d'affronter
10:59l'Israël.
11:01Il m'a indiqué
11:03que l'armée libanaise
11:05a un rôle à jouer
11:07dans l'affrontement
11:09de l'ennemi israélien.
11:11Elle n'a pas besoin
11:13de résistance
11:15ni d'extrême-droite.
11:17C'est une opinion
11:19d'un professeur.
11:21Ce n'est pas un sujet
11:23de slogans.
11:25C'est un sujet
11:27d'action.
11:29Aujourd'hui,
11:31l'armée libanaise
11:33est capable
11:35d'affronter
11:37les attaques israéliennes
11:39sans raison.
11:41C'est un problème
11:43aujourd'hui.
11:45Ce n'est pas un sujet
11:47de slogans.
11:49C'est un problème
11:51d'affrontement
11:53d'Israël.
11:55C'est un problème
11:57d'affrontement
11:59d'Israël.
12:01En effet,
12:03votre question
12:05peut répondre
12:07à la question
12:09d'un professeur
12:11de la Grèce.
12:13C'est l'affrontement
12:15d'Israël.
12:17Personne n'a
12:19le droit
12:21à exprimer
12:23sa opinion
12:25sur ce sujet.
12:27Mesdames et Messieurs les spectateurs,
12:29la première confrontation que nous pourrions avoir avec l'Israélite est celle de retirer les armes devant l'Israélite
12:41et de ne pas donner aucune preuve d'attaque contre le Liban ou contre le Darboulon.
12:46Le retirage des armes commence par la non-mobilisation de Hezbollah,
12:51comme s'il n'avait pas commencé la guerre et comme s'il n'avait pas pris la décision de retirer les armes depuis le 7 octobre.
13:02Le Hezbollah, jusqu'à ce moment-là, se moque et essaie de dire qu'il existe et qu'il n'a pas retiré d'armes.
13:09C'est-à-dire qu'il y a toujours des preuves d'attaque contre l'Israélite, mais nous devons aussi mettre nos doigts sur le problème.
13:23Le Hezbollah n'a rien fait depuis 6 mois jusqu'à aujourd'hui.
13:27Le Hezbollah est un citoyen libanais qui vit dans les zones libanaises.
13:32L'Israélite attaque les habitants.
13:35Le Hezbollah n'a rien fait depuis 6 mois jusqu'à aujourd'hui.
13:41Il a abandonné le sud britannique.
13:43Il n'a rien fait, il a juste détruit le pays.
13:46Il a juste détruit le pays.
13:48Il a abandonné l'économie.
13:50Le Hezbollah n'a rien fait depuis 6 mois jusqu'à aujourd'hui.
13:54Le Hezbollah a détruit la Lébanon.
14:15Il n'a rien fait, il a juste détruit la Lébanon.
15:16Nous pouvons utiliser les relations entre la Lébanon et l'Arabie internationale pour détruire l'Israélite
15:24et pour l'empêcher d'en sortir de ses points ou de ses règles.
15:30Mais il y a aussi l'accord.
15:33Le Hezbollah essaie d'expliquer sans explication.
15:38Quand ils parlent du sud britannique et du nord britannique,
15:42ils parlent en arabe et en langue du Hezbollah.
15:46C'est comme s'ils avaient encore le droit de s'en sortir.
15:49Je ne dis pas que l'Israélite est un juge,
15:52mais je dis toujours que l'Israélite cherche sur les plantes.
15:56Nous devons tirer les plantes comme les Lébanais et sur le Hezbollah.
15:59C'est une question importante aussi.
16:01On peut la poser à M. Qassim.
16:03J'ai demandé à le Président de la République sur ce sujet.
16:05Lorsque le Président de la République a dit que la décision de la guerre et la paix
16:08est dans la main du gouvernement,
16:11le chef Naïm Qassim a dit que la résistance n'abandonnera pas ses armes
16:15et que la résistance restera présente.
16:18Cela donne des indications à l'extérieur,
16:21et peut-être aussi à l'intérieur,
16:23que la décision n'est pas dans la main du gouvernement.
16:25C'est le proof que le Président Naïm Qassim
16:27tire sur le mur tout ce que dit le président du gouvernement.
16:30La décision de la guerre et la paix est dans la main du gouvernement.
16:35Le Hezbollah ne fait rien aujourd'hui dans le domaine militaire.
16:39Mais la révision ou la réparation des armes de la résistance
16:43est une affaire lébanaise à l'intérieur.
16:45Ce n'est pas de l'Israël ni d'une relation avec l'Israël.
16:48Ce n'est pas de l'Israël.
16:49Il n'y a pas de bombardement de Lébanon,
16:50ni d'intervention,
16:51ni d'exploitation des agriculteurs.
16:53L'Israël a fait des attaques à Lébanon.
16:55Aujourd'hui, la responsabilité est sur l'armée lébanaise et sur le gouvernement.
16:58Depuis six mois jusqu'à aujourd'hui,
17:00le Hezbollah répète la même chose.
17:02Nous ne faisons rien.
17:04C'est la responsabilité du gouvernement et de l'armée lébanaise.
17:06C'est la responsabilité du peuple lébanais.
17:08Mais M. Naïm Kassim, dans ses annonces,
17:10dit que la résistance va continuer à préserver ses armes.
17:13C'est le contraire de ce que dit le gouvernement,
17:15que ce soit le président ou le président.
17:17Il n'y a qu'une seule chose.
17:19Chaque peuple qui est touché par l'occupation,
17:21chaque peuple dans le monde
17:23qui est touché par l'occupation,
17:25a la responsabilité de se résister.
17:27C'est une responsabilité naturelle.
17:28Il n'y a pas besoin de lois et de loisirs.
17:30Désolé, M. Kassim,
17:32pour que M. Beshara s'assoie.
17:34Le Hezbollah dit depuis 6 mois jusqu'à aujourd'hui,
17:36nous n'allons pas discuter d'ici 6 mois
17:38pour ne pas entrer dans le sujet,
17:40que la décision du gouvernement
17:42et de l'armée lébanaise
17:44doit permettre à l'armée lébanaise
17:46et aux communications
17:48de séparer l'Israël
17:50de l'occupation
17:52des territoires lébanais
17:54et d'arrêter les attaques israéliennes.
17:56Désolé, M. Beshara,
17:58pour l'instant,
18:00j'ai dit à M. Beshara
18:02que j'étais du sud
18:04et que j'étais une partie
18:06de cette résistance.
18:08Je veux me rassurer
18:10et laisser à M. Beshara
18:12et à ses communications
18:14de séparer l'Israël
18:16des territoires lébanais
18:18et des attaques israéliennes.
18:24M. Kassim,
18:26il ne va pas nous laisser
18:28parler de ce qui s'est passé
18:30dans notre pays.
18:32C'est ce que j'espère.
18:34Ce n'est pas l'Israël
18:36qui a attaqué
18:38Hezbollah
18:40en 1928
18:42après la guerre de l'Isnad.
18:44Hezbollah a décidé
18:46de faire la guerre de l'Isnad
18:48pour Gaza
18:50et d'ouvrir la frontière
18:52de la Lébanon
18:54qui n'était pas
18:56la guerre de l'Isnad.
19:26Je suis désolé
19:28d'avoir vu
19:30que l'Israël
19:32était capable
19:34de montrer
19:36les faits
19:38que Hezbollah
19:40est en train
19:42d'agir.
19:44J'espère
19:46que M. Beshara
19:48et le Président
19:50de la République
19:52vont travailler
19:54ensemble pour
19:56améliorer
19:58la situation
20:00dans notre pays.