Le maire d'Istanbul Ekrem Imamoglu, principal opposant au président turc Recep Tayyip Erdogan, a été interpellé mercredi matin, accusé de "corruption". A Istanbul, ses partisans dénoncent un "couo d'Etat".
Catégorie
🛠️
Style de vieTranscription
00:00Le 12 janvier 2014, les politiciens de la République européenne ont envoyé un message à l'Union Européenne pour se rassurer de la situation.
00:04Le grand public a dit qu'il ne voulait pas se rassurer et que l'union européenne n'allait pas s'assurer de la situation.
00:09Les gens se sont rassurés et ont fait face à des questions de sécurité, de qui je ne vais pas répondre.
00:15Les militants ont évoqué les faits, et ont fait face à des questions de sécurité.
00:20Nous sommes face à une grande difficulté, mais je veux que vous sachiez que je ne me baisserai pas.
00:28J'aime vous tous, je m'occupe de moi-même et de ma nation.
00:32Je vais continuer à lutter avec l'esprit qui a utilisé ce processus comme un appareil.
00:58Nous allons soutenir le peuple turc et les électeurs qui vivent sur la terre de ce pays jusqu'à la fin de l'élection d'Ekrem Memoğlu.
01:08Car c'est l'honneur, l'espoir et la fierté de ce peuple.
01:28Je pense que c'est une décision politique.
01:33Je suis sûr que la plupart des pays pensent que c'est une décision politique.
01:38Il n'y a pas de loi, il n'y a pas de justice.
01:45Il n'y a pas d'explication, il n'y a qu'une décision de la gouvernement.
01:52Je suis très en colère, je pense que c'est suffisant de le dire.
02:00On ne se sent pas bien.
02:03Il y a des raisons, c'est clair, mais il y a certainement une façon de le faire.