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00:00par rapport à cette question-là déjà je pense que
00:09déjà voilà je suis d'accord avec avec euh deux poids deux
00:18donc je suis je suis je suis tout à fait d'accord euh autant
00:24c'est-à-dire euh
00:28ou alors
00:32c'est-à-dire
00:36également
00:40alors pour moi voilà euh
00:47parce que
01:20C'est le gouvernement qui
01:24définit la politique pénale à
01:28travers son procureur.
01:32que je salue parce qu'il a fait
01:34du bon boulot pour demander au
01:38procureur d'être plus regardant
01:43avec les mandats de dépôt.
01:45Surtout contre certaines
01:48ça ne veut pas dire que
01:52mais la politique pénale
01:55c'est-à-dire que parce que
01:58procureur
02:01c'est ça la politique pénale.
02:04La politique pénale définie par
02:06le gouvernement
02:08certains écarts
02:10soient un peu indulgents jusqu'à
02:12une certaine limite. C'est ça la
02:14politique pénale. D'accord?
02:16Pour telle chose
02:20bon, c'est la loi.
02:24C'est la loi parce que
02:26politique pénale.
02:28Je le dis toujours,
02:30les enfants de notre pays
02:32qui n'ont pas d'enfants,
02:34qui n'ont pas d'enfants,
02:36qui n'ont pas d'enfants,
02:38qui n'ont pas d'enfants,
02:40qui n'ont pas d'enfants,
02:42qui ont peut-être un an.
02:45au minimum entre un et cinq
02:47ans. Donc en effet,
02:49université, dans les écoles,
02:51dans la rue, dans les maisons.
02:53Mais la politique pénale
02:55voudrait que on ferme les yeux
02:57jusqu'à un certain niveau.
02:59Une certaine pratique.
03:01Simplement. Mais
03:03oui,
03:05c'est pas lui qui
03:07décide de la loi
03:09aujourd'hui mais il décide
03:11de la politique pénale.
03:14Bon, aussi
03:16il faut parler aux gens
03:18chaque jour
03:20sur le net
03:22je ne sais pas
03:24je ne sais pas
03:26je ne sais pas
03:28et
03:30à façon
03:32d'une démarche sur la politique
03:34pénale
03:36le gouvernement
03:38expliquer
03:40que ça ne sert à rien
03:43que ça ne sert à rien
03:45d'entendre
03:47mais tant que nous
03:49l'entendons
03:51mais
03:53bon
03:55c'est vrai
03:57c'est intolérable
03:59que
04:01les procurateurs veillent
04:03à ce que
04:05mais
04:07c'est
04:09bon
04:12mais
04:14c'est
04:16pas
04:18bon
04:20mais
04:22c'est
04:24c'est
04:26c'est
04:28c'est
04:30c'est
04:32c'est
04:34et
04:36et
04:38et
04:40C'est un journal
04:43de la fin.
04:46Il y a
04:49de la fin.
04:52de la fin.
04:55D'abord,
04:58d'autres
05:01donc
05:04Je n'ai jamais vu un Sénégal sauf une mère qui s'appelait Grève de la Chine parce qu'elle avait un enfant.
05:11Mais si on l'a fait, on peut l'atteindre et c'est extrêmement grave.
05:16Mais c'est une affaire de l'homme d'ailleurs, je ne peux pas l'éliminer.
05:19Je ne l'éliminerai pas car je ne suis pas un Saga.
05:22Donc, les Saga et les Saga Bay sont les mêmes dans notre culture.
05:26D'accord? On peut tolérer les Saga, il y en a partout.
05:31Mais on ne peut pas dire qu'on est des Saga et qu'on fait ceci et cela.
05:36C'est une affaire de l'homme d'ailleurs.
05:39Quand on voit les Saga et les Sérig, on les caricature.
05:43On les caricature comme Charlie Hebdo.
05:46On les caricature comme les Marabouts.
05:51Quand on voit les Sérig, les talibs le voient mais les Sénégalais ne le voient pas.
05:54C'est la même chose avec les Saga.
05:57On ne peut pas laisser les Saga faire.
06:01Que ce soit sous le gouvernement de Sonko, de Macky ou de quelqu'un d'autre.
06:09On ne peut pas transformer le Sénégal en un pays d'insulteurs.
06:13On ne peut pas être des Saga.
06:17On ne peut pas être des Saga.
06:21On ne peut pas être des Saga.
06:23On ne peut pas être des Saga.
06:27On peut être des Saga mais on ne peut pas être des Saga.
06:33Donc il y a des limites.
06:36Mais les Saga sont des Sérig.
06:41C'est ce que l'on a dit au début.
06:45C'est ce que l'on a dit au début.
06:50Malheureusement, on a fait comme si c'était un non-homme politique non-dirigeant.
06:55On a fait comme si c'était un non-homme politique non-dirigeant.
07:01Je me rappelle très bien.
07:02Je décide d'envoyer quelqu'un à Californie pour qu'il parle.
07:08Le président Macky Salle a reçu tout ça.
07:12C'était un mauvais exemple.
07:17On devait l'avoir.
07:20Je pense qu'un homme politique doit avoir une position très claire.
07:25Qu'il soit le dirigeant ou l'opposant.
07:29On a une façon de vivre au Sénégal.
07:36On n'a jamais cette façon de vivre au Sénégal.
07:41Il peut y avoir des divergences.
07:44On va chercher nos cadeaux dans ces divergences.
07:47On va chercher à vivre notre vie.
07:52On a un niveau très élevé.
07:58On est tolérants mais le mal est très profond.
08:03On ne peut pas s'en sortir.
08:07donc
08:11ou alors
08:15jamais. Alors que nous euh
08:19Sénégal encore une fois, j'avais
08:21la je je je le dis on avait
08:25voyager à quelqu'un.
08:28Maman Sénégal,
08:31comme
10:04C'est ce qu'on appelle les chrétiens.
10:07Il y a des pays où, entre Julib et Yéfa, on s'occupe de soi-même.
10:13Ici au Sénégal,
10:16on voit les jeunes qui viennent ici,
10:19et ceux qui viennent de Tabaski.
10:23Les gens vivent harmonieusement.
10:25C'est ce qu'on a, c'est notre bonheur.
10:29C'est notre dénominateur commun.
10:31Il y a beaucoup de crises qui peuvent se résoudre avec ça.
10:35Je pense qu'il faut qu'on se divise.
10:39Au Sénégal, on n'est jamais un seul et même pays.
10:43Même s'il y a des divergences, c'est de notre faute.
10:47On a beaucoup d'étudiants et d'étudiants consorts.
10:53C'est de notre faute mais ça n'a jamais été de notre faute.
10:58Ça ne nous a jamais divisé et il faut qu'on s'occupe de ça.
11:03Aujourd'hui, le Sénégal est devenu un pays qui n'a jamais été reconnu.
11:09Tout le monde ne l'a jamais connu et on doit préserver ça.
11:12On doit faire des relations et on doit le faire.
11:18On doit prohibir les écarts dans notre langage.
11:22On ne peut pas faire ce qu'on veut.
11:24On ne peut pas faire ce qu'on veut et c'est ce qu'on doit faire.
11:30Par exemple, on voit que les gens vont trop loin pour faire ce qu'ils veulent.
11:37On ne peut pas faire ce qu'on veut.
11:40C'est pour ça qu'il faut qu'on s'occupe de ça.
11:43D'accord, c'est ce que j'ai pensé.
11:46Mais on n'a pas d'opposition.
11:48C'est pour ça qu'il faut qu'on s'occupe de ça.