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00:00Ce week-end encore, c'est incroyable, c'est incroyable !
00:04C'est un peu un jour sans fin la polémique autour de ces statues.
00:07C'est fou, c'est fou.
00:08Non mais alors il y a eu Jean-Luc Mélenchon.
00:09Alors on va revenir là-dessus et sur les infos qu'on a, bon apparemment c'est Chikirou.
00:13Chikirou et Bonpar on m'a dit.
00:15Vous l'avez dit, je vous l'avais dit, vendredi.
00:17Je vous l'avais dit, vendredi, c'est sa nouvelle voix, on dirait un bioman, je vous l'avais
00:21dit, vendredi.
00:22Et vous pensez sérieusement que si c'est Sofia Chikirou, Jean-Luc Mélenchon ne l'a
00:26pas vue ?
00:28Écoutez ce qu'a dit Julien Dray, l'ancien député cofondateur de OSS Racisme, écoutez
00:34ce qu'il a dit.
00:35Je sais un petit peu comment travaille Jean-Luc Mélenchon, il n'y a pas une affiche qui
00:40sort comme ça sans qu'il l'ait regardée, ça n'existe pas ça.
00:43Surtout quand c'est une campagne nationale, centrale comme on dit, en vue d'une manifestation
00:48très importante le 22 mars.
00:49Tout le matériel de communication est vu par la direction politique, il y a eu une
00:53imprimature comme on dit, c'est-à-dire un bond attiré.
00:56Le bond attiré est donné par la direction politique.
00:59J'entends qu'ils disent que c'est un visuel et non une affiche.
01:02D'accord, mais même un visuel.
01:03Sur les réseaux sociaux.
01:05Mais il y a un contrôle politique.
01:06Vous voyez que je me fais l'avocat de la France Insoumise, j'espère être bon.
01:10Je ne sais pas si vous êtes bon, mais moi je sais comment marche cette organisation
01:13centralisée, disciplinée et qui n'est pas autogérée et que ce n'est pas le centralisme
01:18des bonaires.
01:19Ça a été visé et ce qui est plus grave, c'est que je pense qu'au départ ils ont
01:22cru que c'était un bon coup.
01:24C'est un bon coup parce qu'ils sont tellement habitués à tous ces codes, à toute cette
01:29dénonciation, que pour eux c'était un bon coup.
01:32Il y a beaucoup de gens qui pensent qu'au départ c'était un bon coup.
01:35Non mais regardez ça.
01:38Vous n'avez pas écouté le bruit ?
01:39Qu'est-ce que vous pensez ?
01:40Non mais ça n'a pas écouté.
01:41Non mais il a tout dit quand il dit que c'était un bon coup.
01:43Il pense qu'il pensait que c'était un bon coup.
01:44Oui parce qu'effectivement, comme ils sont habitués à flirter avec cette ligne de crête
01:48et à dire qu'on l'envoie des ballons d'essai et on voit qu'il ne se passe rien, là c'est
01:52un ballon d'essai supplémentaire mais ils n'ont pas vu que c'était le ballon de trop.
01:55Et voilà.
01:56Fabien Lequeu, ça va Fabien ?
01:57Il enlève sa chemise.
01:58En fait il enlève sa veste.
02:00Bon sa veste, c'est un petit, pour le commun des mortels, c'est un petit cardigan, c'est
02:06un bon héros.
02:07Merci, c'est un bon héros pour le commun des mortels.
02:10Comme vous, j'ai enlevé la veste.
02:12Merci, n'enlevez que la veste, merci.
02:15Bon dans l'émission Dimanche en politique sur France 3, Jean-Luc Mélenchon a de nouveau
02:19réagi à la polémique.
02:20Il était face à Francis Letellier.
02:22Qui était très très calme.
02:23J'aime bien Francis.
02:24Il est incroyable.
02:25Très bon journaliste.
02:26Je l'adore.
02:27J'adore Francis Letellier.
02:28Et Letellier, c'est normalement le nom d'un flic dans un film avec Belmondo.
02:32Non mais sérieux, écoutez-moi bien Letellier, j'aime pas vos méthodes.
02:36A partir de maintenant, on va faire comme moi j'ai décidé.
02:40Letellier, vous vous comportez comme si vous étiez le chef.
02:43Oui patron.
02:44Letellier, dans mon bureau.
02:46D'ailleurs je crois qu'il y a un film avec Belmondo où il y a un Letellier dedans.
02:51Je crois que c'est Peur sur la ville.
02:52Peur sur la ville.
02:53Je pense que c'est Peur sur la ville.
02:54Exactement.
02:55Minos.
02:56Merci Gauthier Lebray.
02:57Merci.
02:58C'était très fort ça.
02:59Bravo.
03:00Regardez-le pour vos émissions.
03:01Allez, écoutez ce qu'a dit Jean-Luc Mélenchon.
03:02Il a des goupillets.
03:04La fiche Cyril Hanouna, c'est une erreur ou pas ?
03:07Mais écoutez monsieur, pourquoi vous me posez cette question ? De quel droit ?
03:10Parce que c'est vous.
03:12Vous m'accusez ? Est-ce que vous m'accusez ?
03:15Pas du tout.
03:16Alors taisez-vous.
03:17Vous êtes en train de continuer une campagne qui a démarré à l'extrême droite contre
03:20Jean-Luc Mélenchon.
03:21Il ne fallait pas publier ce visuel.
03:22Alors attendez.
03:23Donc maintenant on demande à l'extrême droite ce qu'on peut publier ou pas.
03:26Vous pensez que la tête de monsieur Hanouna, comme la mienne, ne peut pas être caricaturée.
03:30Moi je suis caricaturé continuellement.
03:32Vous voulez que je vous montre les caricatures de Charlie Hebdo ?
03:34Et ça n'est pas de l'antisémitisme.
03:35Mais pourquoi ça serait de l'antisémitisme ? Ça suffit.
03:38Ça suffit maintenant.
03:40Merci.
03:41Jean-Luc Mélenchon.
03:42C'est énorme.
03:43Non mais ça suffit maintenant.
03:44Non mais en plus c'est faux d'importement.
03:45On va revenir là-dessus dans un instant.
03:46Alors là je veux vraiment qu'il y ait des auditeurs.
03:50Des auditeurs qui réagissent là-dessus.
03:5101-80-20-39-21.
03:52Et on va se poser une question.
03:56Est-ce que la fille n'est pas en train d'exploser ?
03:58Imploser.
03:59Imploser.
04:00Imploser.
04:01Exploser.
04:02Merci.
04:03Excusez-moi.
04:04Le petit Larousse là.
04:05Ou le petit Robert.
04:06Il va.
04:07Non mais incroyable ce mec.
04:08Non mais sans déconner.
04:09J'aimerais bien avoir votre avis dans un instant.
04:10Merci.
04:11Oui.
04:12Vous voulez que je vous donne l'avis de Fabien Lecun ?
04:13Oui.
04:14Allez-y.
04:15Je vais vous le donner dans un instant.
04:16Vous allez voir.
04:17Je le connais exactement.
04:19Allez.
04:2001-80-20-39-21.
04:21Tout de suite on fait une petite pause d'une minute sur Europe 1.
04:22Une minute.
04:2316h.
04:2418h.
04:25Serrez la nana sur Europe 1.
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04:42La vie claire.
04:43Les petits prix bio la vie claire, ça vaut vraiment le goût.
04:44Car les petits prix bio, ce sont près de 200 produits du quotidien à prix bloqué
04:45pendant un an.
04:46Dont 100 produits à moins de 3 euros.
04:47Alors la bio accessible, ça vaut le goût.
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05:01Ils sont près de 200 produits du quotidien à prix bloqué pendant un an, dont 100 produits à moins de 3 euros.
05:06Alors, la bio accessible, ça vaut le goût ou pas ?
05:09La vie claire, la bio clairement engagée.
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05:14Pour votre santé, évitez le gagnoter.
05:16Fort pro !
05:17Allez patron, j'y vais !
05:18Attendez !
05:19Oui ?
05:20Vous êtes branché Bénodier.
05:21Ah bon, vous trouvez ?
05:22Mais non, c'est vrai que je travaille mon style.
05:24Le câble, c'est électrique, c'est le nouveau e-transit custom Bénodier.
05:28D'accord, donc c'est nouveau.
05:29Oui.
05:30En mars, pendant les jours plus productifs Fort Pro,
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05:36Également disponible en diesel et hybride rechargeable.
05:40Du coup patron, je suis branché ou pas ?
05:41Démarrez Bénodier, démarrez !
05:43Fort Pro.
05:45Europain.
05:4616h, 18h.
05:47On marche sur la tête.
05:49Cyril Hanouna.
05:50Ah là là, Jean-Luc Mélenchon, qui est perséné.
05:54Ce dimanche, alors tout le monde n'a parlé que de ça, tout le monde ne parle que de ça.
05:57C'était dans l'émission Dimanche en politique, hier, sur France 3.
06:00Et c'est vrai que ça a fait rouler énormément d'encre.
06:02Et il y a plusieurs sons de cloche, il y a plusieurs analyses à ce pétage de plomb.
06:06J'aimerais que vous reveniez là-dessus, vous autour de la table.
06:08Et bien sûr, des auditeurs, 0180, 29, 21.
06:11Est-ce que la France Insoumise n'est-elle pas en train d'exploser ?
06:16Oudon, s'il vous plaît ?
06:17Ou imploser.
06:18Merci.
06:19Je pense que ça implose.
06:20C'est pour vous que je fais ça.
06:22Il y a des centres de dissension interne, oui.
06:25Allez, alors, Wautier.
06:26Oui, les distensions internes, il y en a déjà eu.
06:28À la fin, on coupe les têtes.
06:30Raquel Garrido, Alexis Corbière, Clémentine Autain.
06:33Ce qui est intéressant, c'est de voir que Manuel Bompard, sur Europe 1,
06:36disait que c'était une erreur, c'est affiche.
06:38Et puis, deux heures plus tard, Jean-Luc Mélenchon conspue le journaliste
06:41qui ose simplement lui poser une question.
06:43C'est-à-dire que Jean-Luc Mélenchon, maintenant,
06:45il veut choisir les questions des journalistes.
06:47Au nom de quoi vous me posez cette question ?
06:50Au nom de quoi ?
06:51C'est juste la polémique de la semaine.
06:54Plus que des suspicions d'antisémitisme à la France Insoumise,
06:57c'est normal que l'erreur journalistique
06:59aurait été d'éluder le sujet et de ne pas y revenir.
07:02Après, je trouve M. Le Tellier très calme,
07:05parce que c'est quand même au nom de...
07:07Raquel, très calme.
07:08Il lui dit, parce qu'on ne l'a pas entendu dans le sonore,
07:10on vous accuse d'être radins.
07:11Est-ce que moi, je vous accuse d'être radins ?
07:13Je ne sais même pas de quoi il parle.
07:15Ensuite, il lui dit, taisez-vous !
07:17Taisez-vous !
07:18Au nom de quoi vous me posez cette question ?
07:20Il y aurait de quoi imploser ou exploser, justement.
07:22C'est la stratégie de la France Insoumise.
07:24Évidemment, c'est Jérôme Getsch qui disait
07:26qu'il connaissait par cœur les colères surjouées de Jean-Luc Mélenchon.
07:29Il avait préparé son coup.
07:30Il savait très bien qu'il aurait la question.
07:32Il savait très bien comment il voulait y répondre.
07:35Il y répond par l'invectif.
07:37Il y répond sans y répondre.
07:38En éructant, maintenant, on sait ce qu'est la France Insoumise.
07:41Après, c'est aux électeurs de faire leur choix.
07:43Il n'y a aucun doute sur ce qu'est la France Insoumise
07:45et ce qu'est devenu Jean-Luc Mélenchon
07:47avec une tentation, je suis désolé, autoritaire
07:50quand il s'agit de dire aux journalistes
07:52vous pouvez me poser telle ou telle question.
07:53Ce qu'il y a de très marquant dans cet extrait
07:55et la fin de cette interview,
07:56c'est le calme et le sang froid de l'hôtelier
07:58qui ne fait que rehausser la violence et l'agressivité
08:03sans nom de Jean-Luc Mélenchon.
08:05Moi, j'ai toujours pensé que le moment perquisition
08:08La République, c'est moi
08:10allait marquer durablement la réelle personnalité
08:14de Jean-Luc Mélenchon.
08:15Mais pour finir, il s'en est remis.
08:17Il a fait derrière un score à la présidentielle.
08:19Mais là, il y a quelque chose autour de l'affaire de l'affiche
08:22qui est totalement inédit pour la France Insoumise.
08:26Ils n'ont jamais vécu une actualité de cette nature-là.
08:29Avec quand même des premiers dirigeants
08:31qui valident cette affiche,
08:33des premiers dirigeants qui la suppriment des réseaux sociaux
08:37et un dissensus, une cacophonie sur la journée politique d'hier
08:41où ils ne disent pas la même chose.
08:42Et où la séquence est clôturée par Jean-Luc Mélenchon
08:45avec cette image-là.
08:46Ce n'est pas très très bon pour eux.
08:49Fabien Lecoeuf ?
08:50Ils avaient tenté de faire porter le chapeau
08:52à la fameuse intelligence artificielle.
08:56Je voudrais qu'on reste sur Jean-Luc Mélenchon.
08:58Jean-Luc Mélenchon, je pense que le parti se fissure.
09:02Au-delà de tout.
09:03C'est-à-dire que lui a été le père
09:05et qui a donné naissance à ce parti, la France Insoumise.
09:07Et je pense qu'il va être celui qui va malheureusement
09:11le mettre à terre, c'est évident.
09:13Parce que là, ça va être très difficile
09:15avec une implosion comme ça en interne.
09:16Surtout quand ils vont lancer des sondages
09:18peut-être d'ici quelques semaines en interne
09:21pour savoir est-ce que justement la France Insoumise,
09:24qu'est-ce qu'elle peut faire aux prochaines élections
09:26après cette affaire, etc.
09:27Je pense que les sondages sont très mauvais, évidemment.
09:29Ils ne consultent jamais les adhérents en interne.
09:31Il n'y a pas de congrès, il n'y a pas d'élection de direction.
09:34Je sais qu'il y a très peu d'adhérents à la France Insoumise.
09:36Il y avait une grande enquête du Parisien
09:38qui prouvait qu'il n'y avait que deux adhérents
09:39à la France Insoumise.
09:40Il y a des collectifs locaux.
09:42Il y a des comités locaux.
09:43Mais les partis en interne ne lancent pas des sondages en interne.
09:46La France Insoumise est un parti qui ne ressemble à aucun autre.
09:49Déjà, ce n'est pas vraiment un parti.
09:51Il y a très peu d'adhérents.
09:53C'est un mouvement, comme le dit Olivier.
09:55Il n'y a pas d'élection interne
09:57ou de manière très opaque
09:59comme la nomination de Manuel Bompard
10:01à la tête de la France Insoumise.
10:03Donc, si tu veux,
10:05la France Insoumise n'a rien de démocratique.
10:07Ce qui était très amusant, c'est que dans le pouvoir,
10:09dans le programme de Jean-Luc Mélenchon,
10:12il y a la volonté de faire une sixième république
10:15où les choses seraient plus verticales
10:17et moins horizontales.
10:18Il n'y a pas un parti plus horizontal
10:20que la France Insoumise.
10:21Tu vois les 3-4 dissensions internes,
10:23les 3-4 off dans la presse
10:25de 4 LFI
10:27qui expliquent qu'ils rejettent
10:29et qu'ils vomissent cette affiche.
10:31Je te mets mon billet.
10:32À la prochaine dissolution,
10:34Jean-Luc Mélenchon aura sa petite liste
10:36avec ceux qui le ont tiré dessus
10:38ou qui ont critiqué la France Insoumise.
10:40Quand ils parlent en off, à la fin,
10:41on retrouve toujours qui c'est.
10:42Et il fera en sorte de leur mettre quelqu'un
10:44dans leur circonscription
10:46ou qu'ils ne soient pas candidats.
10:48Il y a ceux qui suivent comme un seul homme,
10:49Jean-Luc Mélenchon,
10:50et puis les autres qui sont considérés
10:51comme des traîtres au parti.
10:52C'est aussi simple que ça.
10:53Exactement.
10:54Bon, là, c'est en train d'exploser.
10:55Oui, oui.
10:56C'est en train d'imploser.
10:57C'est vraiment ce que je suis en train de me dire
10:59avec Big Louie.
11:00C'est d'imploser de l'intérieur
11:01et ils subissent les attaques de l'extérieur.
11:02Qui a déjà implosé de l'extérieur ?
11:05Ce qui est intéressant aussi,
11:06c'est de voir le narratif
11:08qu'ils essaient de mettre en place.
11:09C'est-à-dire, c'est pas moi, c'est l'autre.
11:11C'est la faute à,
11:12alors d'abord, dans l'ordre,
11:13c'est la faute à Groc,
11:14c'est-à-dire une intelligence artificielle,
11:16mais on n'explique pas que le prompt,
11:17c'est-à-dire la commande qui a été faite,
11:19comment elle a été faite.
11:20C'est la faute à l'extrême droite,
11:22comme si le soulèvement de tout le monde
11:26était un soulèvement
11:27ou l'indignation était une indignation
11:30uniquement des gens d'extrême droite,
11:32en évacuant tous ceux qui,
11:34à gauche ou autres d'ailleurs,
11:36se sont émus de l'image.
11:38Bref, c'est la faute de tout le monde,
11:40sauf du parti et de ceux qui ont créé l'affiche.
11:43On sait que Sofia Chikirou,
11:49apparemment, elle a les pleins pouvoirs,
11:52elle a les filles, pas inquiets.
11:53Est-ce qu'elle a vraiment fait validé à Jean-Luc Mélenchon ?
11:55L'affiche ?
11:56Oui, elle a fait que avec Manuel Mopin.
11:59Moi je pense que...
12:00Il n'y a rien qui se passe entre les deux.
12:01Moi aussi, c'est ce que je pense.
12:03Il n'y a pas une affiche qui sort
12:05sans l'aval de Jean-Luc Mélenchon.
12:07Une campagne d'affichage qui met des personnalités en avant,
12:11en plus avec des affiches qui caricaturent
12:15les personnalités qui sont mises en avant,
12:18donc évidemment que Jean-Luc Mélenchon
12:20a dû avoir son mot à dire.
12:22Et d'ailleurs, dans les éléments de langage
12:23pour sauver Jean-Luc Mélenchon,
12:25pour dire qu'il n'a pas vu cette image,
12:27on dit que ce n'est plus une affiche,
12:28c'est un visuel.
12:29Et donc, ce n'est pas passé forcément par...
12:31Je prépare le dossier juridique déjà.
12:33Mais franchement, de qui se moque-t-on ?
12:35Alors, il y a Manuel Mompar qui était
12:37chez notre ami Pierre Devineau.
12:38On l'adore.
12:39Alors il était...
12:40Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
12:41Oui, dans le grand rendez-vous.
12:42Qu'est-ce qu'il y a ?
12:43Oui, bravo, merci.
12:44Qu'est-ce qu'il y a ?
12:45C'est bon ou pas le mec ?
12:46Qui a parlé en même temps ?
12:47C'est vous ?
12:48Non.
12:49Qu'est-ce que vous vouliez dire ?
12:50J'ai vu l'émission samedi.
12:52C'est dimanche, ça tourne bien.
12:55Toujours à côté de la plaque.
12:56C'est un truc de fou.
12:57Mais il en faut.
12:58Remarquablement mené par Pierre Devineau.
13:00Il est exceptionnel.
13:01J'adore Pierre.
13:02Qui est un ami qui est exceptionnel.
13:03Lui aussi, très calme, très bien.
13:04J'adore, j'adore.
13:05Et il a reconnu que cette affiche, lui, n'aurait pas dû être publiée.
13:08Donc, vous vous rendez compte déjà ?
13:10Il y a un fichoir.
13:11Écoutez, il y a un fichoir.
13:14Je vous dis que cette affiche a été supprimée
13:16à partir du moment où elle commençait à donner lieu
13:18à ce paramètre.
13:19Et je peux même vous dire...
13:20Quel paramètre ?
13:21Ce parallèle, pardon.
13:23Et je peux même vous dire sans aucun problème,
13:25sans aucune difficulté,
13:26que manifestement, puisqu'elle a permis de faire ce parallèle,
13:28cette affiche n'aurait pas dû être publiée.
13:30Ce visuel n'aurait pas dû être publié.
13:32Vous, Manuel Bonpart, vous, en tant qu'humain,
13:34en tant que personne, sans être éléphi ou quoi que ce soit,
13:36qu'est-ce que vous en pensez de cette affiche ?
13:38Je pense qu'à partir du moment où elle peut faire référence
13:40ou donner l'impression d'avoir eu une intention
13:44qui visait une personne en fonction de sa confession religieuse,
13:46il ne fallait pas la publier.
13:47Donc, c'est pour ça qu'elle a été supprimée.
13:50Alors, que vous dites ?
13:52Je dis déjà que Manuel Bonpart et Jean-Luc Mélenchon disent le contraire.
13:55Mais là, ce qu'on va vous montrer pendant cette émission,
13:57c'est qu'on va voir à chaque fois des extraits de personnes,
13:59d'éléphi, et à chaque fois...
14:01Ils s'entredisent.
14:02On va entendre Mathilde Panot juste après, ça n'a rien à voir encore.
14:04Et moi, je suis fasciné par leur incapacité
14:08à reconnaître l'erreur, alors Manuel Bonpart le fait,
14:11mais à aller au-delà, à présenter des excuses.
14:14Parce qu'un parti de droite aurait fait une affiche pareille,
14:18mais il y aurait eu la personne responsable,
14:21il y aurait eu un fusible tout de suite,
14:23avec quelqu'un qui aurait été viré du parti.
14:25Manu Militari.
14:26Là, on parle du directeur de la communication,
14:28c'était les infos de l'opinion,
14:30vendredi, disant que le directeur com'
14:32savait que cette affiche pouvait être jugée antisémite
14:35et l'a quand même publiée.
14:36Même lui, il a passé le week-end.
14:38Je pense que la personne, comme vous dites,
14:39c'est sûr qu'elle aurait été virée par un Manu.
14:41Et Militari.
14:44Non, mais la moindre des choses,
14:46ne serait-ce que de prendre la parole
14:49pour s'excuser auprès de vous, Cyril ?
14:52Enfin, je ne sais pas.
14:54C'est la moindre des choses.
14:57Moi, je pense qu'au-delà d'être une erreur,
15:00c'est même une faute.
15:01Ce n'est pas simplement une erreur.
15:02Pour moi, c'est une faute.
15:03C'est une faute morale, c'est une faute politique,
15:05c'est une vraie faute.
15:07Et au-delà, je pense qu'il aurait fallu...
15:10Avec une chose, ne sous-estimez pas,
15:12je pense que c'est totalement inédit,
15:14le retrait du visuel des réseaux sociaux.
15:16Jamais la France insoumise ne fait un pas en arrière.
15:19Jamais.
15:20Quand Fabien Roussel avait été qualifié,
15:23comparé à Doriot,
15:25c'était d'ailleurs sauveté à Shikirou,
15:27ça n'a pas amené à ce qu'il retire cette déclaration.
15:30Donc, premièrement,
15:31jamais quelque chose n'a été retiré, c'est le cas.
15:33Deuxièmement, c'est une organisation
15:36qui, quand il décide d'une stratégie,
15:38notamment d'éléments de langage,
15:39tout le monde le trace d'indirection.
15:41C'est-à-dire là, il n'y a pas du...
15:44Et là, il n'y a pas le même récit derrière,
15:47ils sont en réelle difficulté.
15:49Pour la première fois, je n'ai pas de souvenirs,
15:51en rembobinant le film des Insoumis,
15:53il ne s'est jamais passé ça pour eux.
15:55Oui, mais il n'y a jamais eu quelque chose d'aussi grave.
15:57Il y a eu une bascule pour eux.
15:58Et en effet, Cyril,
15:59c'est-à-dire que là,
16:00il y a très certainement,
16:01je ne sais pas qui disait ça la semaine dernière,
16:03une bascule,
16:04c'est-à-dire une digue,
16:06la dernière digue qui a cédé.
16:07Ils n'ont jamais eu SOS Racisme
16:09qui a pris ouvertement parti...
16:11Il faut dire que SOS Racisme,
16:12ils ont mis le temps.
16:13Ils ont mis le temps.
16:14Ils ont attendu la réflexion.
16:15Ils ont attendu samedi.
16:16Il a fallu de pression,
16:17M. Sopo,
16:18pour sortir un communiqué
16:20publié sur les réseaux sociaux.
16:22C'est la première fois que SOS Racisme
16:24s'en prend à la France Insoumise.
16:26Pour eux, c'est très infamant.
16:27C'est-à-dire que soi-disant,
16:28on avait les grands défenseurs
16:30des minorités
16:31qui devaient marcher le 22 mars
16:32contre le racisme.
16:33Il y a SOS Racisme qui s'en prend à eux.
16:35Donc maintenant,
16:36il faut dire les choses clairement
16:37et c'est le dessin de Plantu.
16:38Le 22 mars,
16:39ceux qui seront dans la rue
16:41seront complices d'une manifestation antisémite
16:43qui a appelé un rassemblement
16:45avec des visuels antisémites.
16:47Et Plantu a très bien résumé.
16:49C'est devenu une manifestation antisémite.
16:51Donc tous ceux qui y vont,
16:52iront en pleine conscience de cause.
16:54Et vous aurez des gens
16:55qui ont été mis en cause par SOS Racisme.
16:57Comment manifester contre le racisme
16:58quand vous êtes mis en cause par SOS Racisme ?
17:00Et il faudra être attentif le 22.
17:02Pour ceux qui y vont le 22,
17:04il faudra être attentif
17:06à ce qu'il n'y en ait pas
17:07qui ressorte l'affiche de Cyril.
17:09Je suis certain que le niveau de haine
17:11et de détestation
17:12fait que certains peuvent se pointer
17:14avec l'affiche de Cyril.
17:15Je vous fiche mon billet
17:16qui aura cette affiche dans la manif.
17:17Elle le fiche.
17:18Non mais vraiment.
17:19Vous fichez votre billet.
17:20Ce sera vérifié.
17:21Moi je fiche,
17:22je suis comme je suis en fiche.
17:24Et SOS Racisme,
17:25pour revenir sur SOS Racisme,
17:26ils ont mis énormément de temps
17:28samedi
17:29et dans leur petit verbatim,
17:31dans leur texte,
17:33ils trouvent quand même le moyen
17:35de faire une critique de Cyril Hanouna
17:36pour dire que c'est un troll
17:37ou je sais quoi.
17:38Donc ils y sont allés
17:39mais sur des oeufs.
17:40Pardon, c'est trop salingue.
17:41D'ailleurs le texte
17:42c'était un petit peu soporifique.
17:45C'est pas un texte
17:46qu'ils font de leur plein gré.
17:47C'est un texte fait par la pression.
17:48Parce que sinon,
17:49ils sont plus crédibles.
17:50Bien entendu.
17:51Mais tout le monde sait
17:52que c'est une succursale
17:53de la France Insoumise.
17:54On va écouter Mathilde Pannot
17:55dans un instant.
17:56Je sais que ça fait mal aux oreilles.
17:57L'important c'est de ne pas tomber dans.
17:590 à 80 20 39 21.
18:01Vous nous appelez sur Europe 1.
18:02Il y a beaucoup d'éditeurs
18:06Europe 1.
18:0716h 18h.
18:08On marche sur la tête.
18:10Cyril Hanouna.
18:11Merci.
18:12Merci d'être avec nous
18:13sur Europe 1.
18:14Il est 16h32.
18:15On est en direct.
18:16Et on reparle bien entendu
18:17de cette affiche
18:18parce qu'en fait
18:19il y a eu l'affiche
18:20et il y a eu toutes les réactions
18:21ce week-end.
18:22Ça n'a pas arrêté.
18:23Ça a réagi de partout.
18:24De partout.
18:25De partout.
18:26De partout.
18:270 à 80 20 39 21.
18:28Est-ce que vous voulez
18:29qu'on écoute Mathilde Pannot ?
18:30Elle qui est plutôt
18:31côté Jean-Luc Mélenchon.
18:32Allons-y.
18:33On écoute.
18:34Alors il y a eu une réaction
18:35de Mme Chabot
18:36puisque nous l'avons retirée.
18:37Mais qui a validé ?
18:38Comment on peut valider ?
18:39Mais quand même comprenez
18:40quelque chose
18:41qui est très important.
18:42Ce visuel faisait partie
18:43d'une série de visuels.
18:44Et je le dis,
18:45jamais la France insoumise
18:47ne ciblera une personnalité
18:49du fait de son appartenance religieuse
18:51ou de son origine réelle ou supposée.
18:53Est-ce que vous présentez
18:54ces excuses à M. Hanouna
18:55aujourd'hui ?
18:56M. Hanouna n'est pas sur cette affiche.
18:57Est-ce que vous présentez
18:58vos excuses à lui ?
18:59M. Hanouna n'est pas sur cette affiche
19:00parce qu'il serait
19:01de tel ou tel conflux.
19:03Il est sur cette affiche
19:04parce qu'il propage
19:05des idées d'extrême droite
19:06et donc il est le relais
19:07de ces idées d'extrême droite.
19:08Oui mais ça rappelle tellement
19:09une affiche.
19:10Ça peut passer comme ça ?
19:11Parce que ça a été fait
19:12sur l'intelligence artificielle ?
19:13Oui, ce qui est une erreur
19:14puisque nous interdisons
19:15l'usage de l'intelligence artificielle
19:16pour nos visuels.
19:17C'est un visuel
19:18qui a été enlevé
19:19quasiment immédiatement
19:20qui depuis n'est diffusé
19:21que par l'extrême droite
19:22et par des médias
19:23à longueur de journée
19:24pour nuire à la France insoumise.
19:25Vous présentez vos excuses
19:26à M. Hanouna
19:27aujourd'hui ?
19:28Mais écoutez,
19:29M. Hanouna,
19:30qu'il se rassure,
19:31il n'est pas sur cette affiche
19:32pour sa confession religieuse
19:33parce que nous,
19:34nous n'en avons que faire
19:35et nous luttons
19:36contre toutes les discriminations
19:37qui seraient liées
19:38à la question de l'appartenance.
19:39Mais vous entendez
19:40qu'on ne vous le croit pas
19:41et qu'on ne vous entende pas ?
19:42Alors,
19:43non mais elle est terrible.
19:44On rappelle que l'extrême droite
19:45c'est la France insoumise
19:46donc je relaie jamais
19:47des idées d'extrême droite.
19:48Oui.
19:49C'est ça.
19:50Non mais jamais.
19:51Jamais ils vont manifester
19:52contre l'extrême droite
19:53sans se rendre compte
19:54qu'ils ne sont pas
19:55les héritiers
19:56parce qu'on voyait ça
19:57dans la France de Vichy,
19:58des caricatures antisémites
19:59comme celle-ci.
20:00Ils ont quand même
20:01réussi l'exploit,
20:02c'est un exploit,
20:03à mettre la faute
20:04sur Elon Musk
20:05et son intelligence artificielle.
20:06C'est extraordinaire.
20:07Deux personnes
20:08ont démontré par A plus B
20:09que la photo
20:10générée par l'intelligence artificielle
20:11ne ressemble pas
20:12à l'affiche
20:13et qu'il a fallu
20:14modifier cette première photo
20:15pour qu'elle ressemble
20:16à la caricature antisémite
20:17du film de Joseph Goebbels
20:18Le Juif éternel,
20:19le film noir
20:20qui a été réalisé
20:21par un artiste
20:22qui n'a pas été
20:24film nauséabond,
20:25antisémite.
20:26A la fois votre avocat,
20:27Cyril,
20:28qui a vraiment fait
20:29la démonstration
20:30par A plus B
20:31en venant avec
20:32la photo d'origine,
20:33la première photo
20:34générée par l'intelligence artificielle
20:35et pour CNews,
20:36Olivier Benkemoun
20:37a refait l'expérience
20:38montrant bien
20:39qu'on ne peut pas
20:40avoir le cliché
20:41qui s'est retrouvé
20:42sur l'affiche
20:43quand vous faites une demande
20:44à l'intelligence artificielle
20:45je veux Cyril Hanouna
20:46en colère.
20:47Quand vous faites
20:48cette demande-là,
20:49vous avez une première photo
20:50qu'il faut ensuite modifier
20:51et on voit bien
20:52qu'ils ont accentué
20:53votre nez,
20:54qu'ils ont accentué
20:55le contour autour
20:56de votre nez,
20:57les oreilles,
20:58tous les traits du visage
20:59qu'ils ont rendus
21:00exactement,
21:01qu'ils ont fait apparaître
21:02les dents
21:03pour que ça ressemble
21:04à l'affiche
21:05du Juif éternel.
21:06Il y a bien eu manipulation
21:07et encore une fois
21:08c'est les infos
21:09de l'opinion
21:10avec le directeur
21:11de la communication
21:12qui savait
21:13au moment
21:14où il publiait l'affiche
21:15que ça allait être jugé
21:16comme une affiche antisémite
21:17parce que c'est une affiche
21:18antisémite.
21:19Donc c'est de la mauvaise foi
21:20pure et dure.
21:21Non mais c'est sûr.
21:22Oui, d'articuler.
21:23Après c'est terrible
21:24de se...
21:25Excusez-moi,
21:26je vous étions au ministère.
21:27Non, non, je réfléchissais
21:28par rapport à ce que disait Gauthier.
21:29Je n'ai pas souvenir
21:30dans...
21:31Je suis un passionné
21:32par la politique,
21:33je n'ai pas souvenir
21:34d'un tel moment.
21:35C'est-à-dire où on est obligé
21:36de regarder
21:37comment cette affiche
21:38immonde
21:39a pu être créée
21:40de partir
21:41des déclarations
21:42fausses,
21:43alambiquées,
21:44pas correctes,
21:45pas en tout cas
21:46convaincantes
21:47des Insoumis.
21:48Mais reste que
21:49supprimer
21:50ce visuel
21:51c'est s'accuser.
21:52Bien sûr.
21:53Le supprimer
21:54c'est s'accuser.
21:55Donc derrière,
21:56à partir du moment
21:57où c'est supprimé,
21:58ils signent
21:59leur forfait
22:00et ils ont beau
22:01donner les éléments
22:02sur l'intelligence artificielle,
22:03alors le travail
22:04a été fait
22:05par votre avocat,
22:06par des journalistes,
22:07rien de ce qu'ils
22:08peuvent dire
22:09et raconter
22:10n'est convaincant.
22:11Arlette Chabot
22:12le souligne
22:13d'ailleurs.
22:14Donc il n'y avait
22:15qu'un élément
22:16à faire,
22:17c'est bien sûr
22:18mener
22:19une enquête interne
22:20pour que
22:21véritablement
22:22voir
22:23le niveau de responsabilité
22:24mais ils ne peuvent
22:25pas le faire
22:26puisque ça a été
22:27validé politiquement.
22:28Ça devient une ligne politique.
22:29Est-ce qu'on se rend compte
22:30qu'il y a
22:31l'affiche antisémite
22:32et ils ajoutent
22:33à cela le mensonge.
22:34C'est ça.
22:35Parce que personne
22:36ne le laisse unir comme ça.
22:37Affiche antisémite,
22:38pseudo-regret,
22:39ça dépend
22:40qui vous êtes,
22:41Jean-Luc Mélenchon
22:42zéro regret,
22:43Manuel Bompard
22:44quelques regrets,
22:45Mathilde Panot entre les deux.
22:46Et zéro excuse
22:48On demande à Mathilde Panot
22:49est-ce que vous vous excusez
22:50auprès de Cyril Hanouna ?
22:51Elle botte en touche,
22:52elle ne veut pas répondre à ça.
22:53Et elle ment.
22:54Pourquoi cette couleur jaune
22:55qui ne fait pas partie
22:56d'un charte gratuite
22:57des insoumis ?
22:58C'est Raymond qui le disait.
22:59Vous voyez son numéro d'ailleurs ?
23:03Pourquoi vous ne m'avez pas envoyé
23:04ce journal ?
23:05Ça serait quelqu'un d'autre,
23:06ça serait le RN
23:07qui produirait une telle affiche.
23:08Et en plus après,
23:09on ment derrière.
23:10Mais au RN,
23:11le directeur de communication
23:12aurait été viré
23:13Manu Militari.
23:15Oui, c'est pour faire plaisir à Cyril.
23:17Donc là, le monsieur...
23:18Alors je ne veux pas
23:19qu'il y ait un fusible forcément
23:20parce qu'à mon avis,
23:21ça se passe au-dessus de lui.
23:22Et on connaît la politique du fusible.
23:23On désigne quelqu'un,
23:24comme ça on protège les chefs.
23:25Mais là,
23:26c'est quand même incroyable
23:27que personne n'ait démissionné
23:28ce week-end,
23:29que personne n'ait été viré
23:30ce week-end.
23:31Et puis cibler des personnalités publiques,
23:32on en a parlé.
23:33C'est de leur mettre
23:34véritablement une cible dans le dos.
23:38Alors qu'ils ont déjà été condamnés
23:39pour ça.
23:40Oui, bien sûr.
23:41Dans le climat actuel,
23:43ils portent une lourde responsabilité.
23:46Ça rappelle aussi une période
23:47que faire la liste de noms.
23:50Tu as raison.
23:51Il y a deux choses
23:52qui sont intéressantes à soulever.
23:53Il y a à la fois
23:54le caractère antisémite de l'affiche.
23:56Et puis dans un second temps,
23:57il y a le fait
23:58que la France Insoumise
23:59décide de façon,
24:00comme une ligne politique,
24:02d'afficher des opposants,
24:03en tout cas ceux
24:04qu'elle considère comme tels,
24:05et de les nommer,
24:06et d'en faire effectivement,
24:07comme tu le dis,
24:08des sortes de listes
24:09de ceux,
24:11de les exposer à la Vendique,
24:12à en battre métaphoriquement,
24:13mais qui peuvent être aussi
24:14le bras armé d'un dingue,
24:15on ne sait pas.
24:16Et ce qui est dingue Valérie,
24:17c'est qu'ils avaient fait la même chose
24:18avec Nathalie Saint-Cricq.
24:19Tout à fait.
24:20Nathalie Saint-Cricq les a fait condamner.
24:21Exactement.
24:22Et ils récidivent.
24:23Et ils récidivent.
24:24Donc ce sont des...
24:25Ils font une caricature antisémite,
24:26ils sont morteurs et récidivistes.
24:28Je trouve que ça fait
24:29un peu beaucoup quand même.
24:30On est d'accord.
24:31Voilà.
24:32Dans un instant,
24:33tiens,
24:34Olivier d'Artigolle.
24:35Oh oui.
24:36Là, il a un truc à nous raconter.
24:37Il paraît-il.
24:38On prendra des auditeurs également,
24:39bien entendu,
24:40concernant cette affaire.
24:41Mais Olivier d'Artigolle
24:42a quelque chose à nous raconter.
24:43Il paraît...
24:44Alors je ne suis pas au courant de l'histoire
24:45mais il paraît que c'est fou.
24:46Il paraît que c'est fou.
24:47Il paraît que c'est incroyable.
24:48Ça concerne une personnalité.
24:49Politique et médiatique.
24:50Politique et médiatique.
24:51Quoi ?
24:52Une personnalité politique et médiatique ?
24:53Les deux.
24:54Les deux.
24:55D'accord.
24:56Il va nous raconter ça dans un instant.
24:57Sachez qu'il ne citera pas la personnalité.
24:59Il faudra trouver de qui il s'agit.
25:01Vous nous appellerez au 01.80.20.39.21
25:03pour passer une journée avec Olivier d'Artigolle.
25:05C'est ça le cadeau ?
25:06Non, ce n'était pas...
25:07Merci Valérie.
25:08Benaim...
25:09Non, mais je dois savoir, c'est ça le cadeau ?
25:10Vous en rêvez, Benaim ?
25:11Vous n'êtes pas au courant ?
25:12Quoi ?
25:13De cette histoire ?
25:14Non.
25:15Moi non plus ?
25:16Non.
25:17Fabien non plus ?
25:18Non.
25:19Pourquoi Valérie est au courant ?
25:20Parce que c'est sa meuf.
25:21A tout de suite.
25:22Merci.
25:2316h.
25:2418h.
25:25C'est la Nina, c'est l'Europe 1.
25:26Grand frère.
25:27Oui, c'est Von Schmurz, votre thérapeute.
25:30Cet après-midi, je peux pas, j'ai Grand Frère.
25:32Ils offrent un sac en toile de jute parfait pour faire mes courses.
25:35Alors, je sais que vous aviez besoin de vider votre sac,
25:38mais moi là, je dois vraiment remplir le bien.
25:40Ce mercredi 19 mars,
25:42Grand Frère vous offre un sac en toile de jute
25:44pour tout passage en caisse.
25:45Régalez-vous, faites vos courses.
25:48Grand Frère !
25:49Le meilleur marché.
25:50Des 25 euros d'achat, voire condition sur grandfrère.com,
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26:55On marche sur la tête.
26:57Cyril Hanouna.
26:5816h41 sur Europe 1.
26:59Par contre, il y en a une qui a envoyé du pâté,
27:01c'est Raquel Garrido.
27:02Elle a cité l'opinion.
27:03Elle n'a pas mâché ses mots.
27:04Est-ce qu'on l'a, Raquel Garrido ?
27:05Parce que Raquel Garrido,
27:06elle a vraiment envoyé du pâté.
27:07On l'écoute.
27:09Moi, je suis triste
27:10de voir l'énorme gâchis.
27:13La France insoumise,
27:14ça ne devait pas être ça.
27:15Et aujourd'hui,
27:16vous avez des personnes là-dedans
27:18qui ne sont même pas assez cultivées
27:21ou je ne sais pas,
27:22parce que comme l'a dit,
27:23je l'ai lu dans l'Opinion,
27:24un insoumis sous couvert d'anonymat.
27:27La personne qui a publié ça
27:29est soit un connard inculte,
27:31soit une ordure antisémite.
27:33Ce n'est pas moi qui le dis,
27:34c'est quelqu'un qui est encore à la maison.
27:36Vous citez des propos anonymes
27:37qui ont été publiés dans l'Opinion.
27:39Les grossièretés, pardon,
27:41mais enfin, ce sont les propos
27:42qui ont été publiés dans l'Opinion.
27:44Quand on a un minimum de culture politique,
27:46on sait que cette image-là,
27:48elle est directement tirée
27:49de l'iconographie antisémite des années 30.
27:52On le sait.
27:53Je ne dis pas qu'elles sont connues
27:54de tout le monde.
27:55Les personnes responsables
27:56doivent rendre des comptes.
27:57Et je suis allée voir sur l'organigramme.
27:59Aujourd'hui, l'organigramme,
28:00les responsables de la communication,
28:02c'est Manuel Bampard,
28:03Sofia Chikirou et Bastien Parisot.
28:05Et donc, vous demandez quoi ?
28:06C'est eux qui doivent être sanctionnés.
28:08Bravo Raquel Garrido.
28:09Raquel Garrido, elle y est allée quand même.
28:11J'aime bien.
28:12Et son décryptage est d'autant plus important
28:14que Raquel Garrido, c'est Canal Historique.
28:17C'est vraiment le parti de gauche,
28:18le début des insoumis.
28:19Elle connaît tout ça.
28:20C'est un fonctionnement interne.
28:21Elle sait comment ça se passe.
28:22Et elle a été l'une des purgées
28:24qui ont fait perdre sa circonscription.
28:26Il ne faut pas l'oublier.
28:27Ça a été d'une violence inouïe,
28:29un procès politique.
28:30Parce qu'elle s'était opposée
28:31à la réintégration d'Adrien Quatennens.
28:32Et elle avait posé des questions
28:33de démocratie interne, justement.
28:35Un nouveau fonctionnement,
28:36mais impossible.
28:37Et en tout cas,
28:38elle donne les noms
28:39qui, en effet,
28:40sont les noms au plus près
28:42de Jean-Luc Mélenchon.
28:43La guerre doit rapprocher.
28:44Pensez que Manuel Bampard,
28:45qui est le patron du parti,
28:46n'a pas validé cette affiche
28:47et que c'est le directeur de communication
28:49qui, tout seul dans son coin,
28:51en sachant que ça pue l'antisémitisme,
28:53décide de publier ça.
28:54Franchement, personne ne peut y croire.
28:56Donc Raquel Garrido,
28:57elle cite les noms.
28:58Manuel Bampard,
28:59Sophia Chékirou,
29:00Bastien Parisot.
29:01Et moi, j'ai envie de savoir
29:02si, au bout d'un moment,
29:03on va rendre des comptes ou pas.
29:05C'est tout simple.
29:06Et qui a fait cette affiche ?
29:07Comme a dit Raquel Garrido.
29:08Mais bien sûr.
29:09Et à ce niveau-là,
29:10il n'y a pas d'inculture politique.
29:12À ce niveau de responsabilité,
29:14il n'y a pas d'inculture politique.
29:15Ils sont même pétris
29:16de politique et d'histoire.
29:18Ils connaissent tout ça par cœur.
29:20Les références, ils les ont.
29:22Encore une fois,
29:23ils le savaient.
29:24On le sait maintenant.
29:25Ils le savaient
29:26que c'était une affiche antisémite.
29:27Mais ils ne répondent jamais
29:28à la question
29:29quand on leur parle d'antisémitisme
29:30ou de...
29:31Est-ce que vous le saviez ou pas ?
29:32Ils se victimisent.
29:33Ils se victimisent
29:34et ils disent
29:35vous relayez la propagande
29:36d'extrême droite.
29:37Ils ne répondent pas à la question.
29:38C'est toujours leur défense.
29:39Dès qu'ils sont pris en étau,
29:40ils parlent de l'extrême droite.
29:42Dès que vous ne partagez pas
29:43leurs idées ou leurs faits,
29:44on évite l'extrême droite.
29:46Luc a voulu y réagir
29:47sur Jean-Luc Mélenchon.
29:48Oui, simplement,
29:51peut-être sur ce sujet-là,
29:53en fait, dire que
29:54le ça suffit de dimanche
29:56était fabuleux.
29:58J'y crois pas une seconde.
29:59C'est une espèce de colère
30:00déjà prévue.
30:02Bon, du coup, pour fêter ça,
30:04j'ai mis le ça suffit
30:05en sonnerie de SMS.
30:06Il m'a bien fait rire.
30:07J'adore, c'est drôle.
30:08Non, mais c'est vrai que
30:10en fait, ce que je pensais
30:11en vous écoutant,
30:12c'est que
30:13quand on ne sanctionne pas,
30:15on cautionne.
30:16Donc, même si ce sont
30:18les gens de la communication
30:20qui ont fait cette affiche
30:21antisémite qui est
30:22plus que dégueulasse,
30:23et je pense que là,
30:24il y a un moment donné,
30:25il va falloir qu'un ministre
30:26en place dise
30:27on va peut-être les sortir
30:28de l'arc républicain
30:29parce que c'est un mot
30:30qui est sorti
30:31à tout bout de champ,
30:32donc il serait peut-être
30:33temps de l'utiliser
30:34parce que c'est infâme.
30:35Je me dis que
30:36Jean-Luc Mélenchon
30:37n'a pas sanctionné,
30:38ne s'est pas excusé.
30:39Donc, pour moi, il cautionne
30:40et je pense qu'il y a vraiment
30:41une branche de la LFI
30:42qui est en train,
30:43je vais dire le mot,
30:44il est peut-être fort ou pas,
30:45mais de se radicaliser.
30:46Non mais ce n'est pas
30:47ce qu'on a déjà dit
30:48dans cette émission.
30:49Oui.
30:50Gauthier,
30:51ce que dit Lucas,
30:52c'est ce que vous pensez.
30:53Mais évidemment.
30:54Alors, chaque jour
30:55qui passe,
30:56il se radicalise
30:57un peu plus que la veille.
30:58Et depuis le 7 octobre 2023,
30:59bon ben là,
31:00c'est en route
31:01vers la radicalisation
31:02quand on s'affiche
31:03ouvertement
31:04à côté d'islamistes
31:05comme Elias Dimzalen,
31:06Fichéès,
31:07antisémite notoire,
31:08qu'on fait des manifestations
31:09avec lui,
31:10qu'on invite
31:11des islamistes
31:12à l'Assemblée Nationale
31:13comme Raphaël Arnault
31:14la semaine dernière,
31:15qu'on tente de faire rentrer
31:16des terroristes
31:17à l'Assemblée Nationale
31:18comme Ersilia Soudet,
31:19l'ail,
31:20Elbran Pivet
31:21l'avaient empêchée.
31:22Évidemment,
31:23quand on qualifie le Hamas
31:24de groupe de résistance,
31:25quand on dit
31:26d'Elbran Pivet
31:27qu'elle va camper à Tel Aviv,
31:28que l'antisémitisme,
31:29au moment où il explose en France,
31:30il est résiduel
31:31et qu'on termine
31:32en faisant des affiches antisémites.
31:33Je ne sais pas
31:34ce qu'il faut dire
31:35pour convaincre
31:36ceux qui ne voient pas
31:37la dérive de la France insoumise.
31:38À un moment donné,
31:39je ne sais pas
31:40ce qu'il faut
31:41pour leur rendre la vue
31:42ou leur enlever
31:43la tête du sable
31:44parce qu'on est sur
31:45une telle mauvaise foi
31:46et évidemment,
31:47avant le 7 octobre,
31:48il y avait déjà
31:49la perquisition,
31:50les attaques contre la police
31:51qu'il fallait désarmer.
31:52Je trouve que ça,
31:53c'est ce qui a fait,
31:54j'ai l'impression
31:55que ça a fait
31:56plus de bad buzz
31:57que la perquisition.
31:58Bien sûr,
31:59parce que c'est extrêmement grave.
32:00Là, ils ont passé un cap.
32:01On est d'accord,
32:02c'est ce que tout le monde dit.
32:03À droite, à gauche.
32:04J'ai vu...
32:05Je vais le reciter.
32:06Je vais le reciter.
32:07Jean-Michel Apathy,
32:08j'ai adoré son tweet aussi
32:09sur Jean-Luc Mélenchon.
32:10Même le tweet qu'il a fait
32:11sur Jean-Luc Mélenchon,
32:12que ça suffit.
32:13Jean-Michel Apathy,
32:14il a fait un tweet
32:15qui était excellent.
32:16Je vais le lire ce soir.
32:17Mais c'est vrai
32:18qu'il a raison là-dessus.
32:19Et là,
32:20c'est unanime.
32:21Là, vraiment,
32:22on ne les a jamais sentis
32:23aussi isolés.
32:24Vraiment, on le voit.
32:25Même au sein
32:26de leur parti.
32:27Jean-Luc Mélenchon
32:28n'a jamais été aussi isolé
32:29même au sein de son parti,
32:30je trouve.
32:31Et c'est pour ça
32:33de dire qu'on relaie
32:34une sorte de propagande
32:35d'extrême droite
32:36ne tient pas la route.
32:37Puisqu'on voit bien
32:38que ceux qui s'y opposent
32:39sont des hommes
32:40ouvertement de gauche.
32:41Merci.
32:42Lucas,
32:43merci d'avoir été avec nous
32:44sur Europe 1.
32:45Vous êtes excellent, Lucas.
32:46On va se voir
32:47parce que vous allez
32:48passer une journée
32:49avec Olivier Dardigolle.
32:50Il y a la pub, Cyril,
32:51ou on a deux secondes encore ?
32:52Il y a la pub,
32:53mais vous pouvez revenir après.
32:54De toute façon,
32:55je vais vous dire
32:56pour ce que ça me rapporte.
32:57Non, bien sûr,
32:58on en parle dans un instant.
32:59Lucas0180203921,
33:00on va passer
33:02beaucoup d'auditeurs en ligne.
33:03À tout de suite.
33:04Europe 1,
33:0516h18h.
33:06On marche sur la tête.
33:07Cyril Hanouna.
33:0817h40
33:09sur Europe 1.
33:10Tiens, je propose
33:11qu'on réécoute
33:12Jean-Luc Mélenchon.
33:13C'était chez Francis Letellier,
33:14bien entendu.
33:15C'était sur France 3.
33:16On va réécouter
33:17ce sonore.
33:18C'était dans Dimanche en politique.
33:19Il a complètement perdu
33:20ses nerfs
33:21face à Francis Letellier.
33:22C'est l'image
33:23qui a le plus tourné
33:24ce week-end
33:25de Jean-Luc Mélenchon.
33:26Et c'est vrai
33:27que c'est assez incroyable.
33:28Enfin, il continue
33:29Jean-Luc Mélenchon
33:30de plus en plus isolé.
33:31C'est ce que je disais
33:32il y a un instant.
33:33Jean-Michel Apathie
33:34qui a dit
33:35après le célébrissime
33:36La République c'est moi,
33:37Jean-Luc Mélenchon récidive
33:38avec un nouveau tube.
33:39Ça suffit maintenant.
33:40Étonnant non,
33:41c'est vrai que c'est un nouveau tube.
33:42Ça suffit maintenant.
33:43Il y a eu Édouide Plenel.
33:44Laissez-vous.
33:45Édouide Plenel,
33:46bravo.
33:47Je n'ai rien qu'on retrouve
33:48le tweet d'Édouide Plenel
33:49parce que c'est vrai
33:50qu'il est incroyable.
33:51Et très bon tweet
33:52d'ailleurs d'Édouide Plenel.
33:53Moi, vous savez,
33:55et je dis bravo à lui
33:56et je voudrais qu'on le cite
33:57dans un instant.
33:58Édouide Plenel.
33:59Je l'ai sous les yeux si vous voulez.
34:00Vous l'avez sous les yeux.
34:01Allez-y.
34:02Alors Édouide Plenel
34:03dénoncer l'extrême droite
34:04en lui empruntant ses méthodes
34:05n'est pas une façon
34:06de souligner cet art
34:07mais au contraire
34:08un hommage involontaire
34:09du plus malheureux effet.
34:10Et il y a eu un deuxième tweet.
34:11Soit LFI était conscient
34:12du caractère antisémite
34:13de l'affiche
34:14et l'a tout de même validé.
34:15Soit par provocation
34:16et c'est dramatique.
34:17Soit personne dans la chaîne
34:18de décision
34:19n'en a été conscient.
34:20Et alors c'est affolant
34:21d'un culture visuelle et historique.
34:22Exactement.
34:23Il dit un peu comme
34:24Raquel Garrido.
34:25Exactement.
34:26Allez on va écouter
34:27Jean-Luc Mélenchon.
34:28L'affiche Cyril Hanouna
34:29c'est une erreur ou pas ?
34:30Mais écoutez monsieur
34:31pourquoi vous me posez
34:32cette question ?
34:33De quel droit ?
34:34Parce que c'est vous.
34:35Vous m'accusez ?
34:36Est-ce que vous m'accusez ?
34:37Pas du tout.
34:38Alors taisez-vous.
34:39Vous êtes en train
34:40de continuer une campagne
34:41qui a démarré
34:42à l'extrême droite
34:43contre nous.
34:44Il ne fallait pas publier
34:45ce visuel.
34:46Alors attendez.
34:47Donc maintenant on demande
34:48à l'extrême droite
34:49ce qu'on peut publier ou pas.
34:50Vous pensez que la tête
34:51de monsieur Hanouna
34:52comme la mienne
34:53ne peut pas être caricaturée.
34:54Moi je suis caricaturé
34:55continuellement.
34:56Vous voulez que je vous montre
34:57les caricatures de Charlie Hebdo ?
34:58Et ce n'est pas
34:59de l'antisémitisme.
35:00Mais pourquoi ça serait
35:01de l'antisémitisme ?
35:02Ça suffit.
35:03Ça suffit maintenant.
35:04Merci.
35:05Jean-Luc Mélenchon.
35:06De quel droit ?
35:07De quel droit ?
35:08Taisez-vous.
35:09C'est incroyable.
35:10Un journaliste
35:11il peut se dire
35:12de quel droit ?
35:13Sinon tu ne viens pas.
35:14Mais mec ne venez pas
35:15dans les émissions.
35:16Si vous ne voulez pas
35:18ça suffit maintenant.
35:19Qu'est-ce que c'est que ce sketch ?
35:20Est-ce qu'on peut lui expliquer
35:21que dans une démocratie
35:22les journalistes posent
35:23des questions qu'ils ont
35:24envie de poser ?
35:25Sinon tu ne viens pas.
35:26C'est incroyable.
35:27Tu es surtout
35:28après une semaine de polémique
35:29comme celle que la France Insoumise
35:30venait de vivre.
35:31C'est évident que cette question
35:32devait être posée.
35:33Bien sûr.
35:34Taisez-vous c'est désastreux.
35:35Dire à un journaliste
35:36taisez-vous c'est désastreux.
35:37Non mais taisez-vous
35:38ça suffit maintenant.
35:39Allez il y a Samia
35:40qui est avec nous de Paris.
35:41Bonjour Samia.
35:42Bonjour.
35:43Je suis hyper contente
35:45Merci Samia
35:46d'être avec nous.
35:4729 ans.
35:48Elle habite à Paris.
35:49Je suis très heureux
35:50de vous parler Samia.
35:51Merci d'être là.
35:52Merci beaucoup.
35:53En fait,
35:54félicitations pour tout le carton
35:55CPMP et Europar.
35:56Merci.
35:57Je pense que c'est vraiment
35:58la meilleure réponse
35:59à apporter à toutes ces personnes
36:00et ces institutions
36:01qui tentent de vous censurer.
36:02Exactement.
36:03Je pense qu'il n'y a pas mieux
36:04que la réussite
36:05et le succès.
36:06On trace.
36:07On trace.
36:08Exactement.
36:09On trace.
36:10On est d'accord.
36:11Merci.
36:12Samia je suis très heureux
36:13d'être avec toi.
36:14Merci.
36:15Vous vouliez réagir
36:16à l'affiche à l'FI.
36:17Oui.
36:18C'est vrai que
36:19je crois que
36:20vous avez
36:21votre petite idée.
36:22Pourquoi ils ont fait ça ?
36:23En gros,
36:24je vais vous dire,
36:25on pensait avoir tout vu
36:26en termes de provoque,
36:27de bassesse.
36:28Oui.
36:29Mais là,
36:30c'est du niveau
36:31masterclass en bas de buzz.
36:32Là,
36:33la réaction de Mélenchon
36:34est la preuve
36:35qu'ils sont à court d'arguments
36:36et qu'ils ne savent plus
36:37comment réagir.
36:38Ils sont démasqués,
36:39je pense.
36:40Aujourd'hui,
36:41ils sont démasqués.
36:42Les Français voient
36:43très bien ce qu'ils fassent.
36:44Et c'est une honte
36:45qu'ils n'arrivent pas
36:46à s'excuser
36:47et à prendre du recul,
36:48à dire,
36:49voilà,
36:50on a foiré.
36:51C'était une faute.
36:52Ce n'était pas une erreur,
36:53en fait.
36:54C'était une faute.
36:55Parce que,
36:56comme a dit Raquel Garrido,
36:57c'est soit
36:58vous êtes inculte
36:59et dans ce cas-là,
37:00vous n'êtes pas légitime
37:01et c'est très grave,
37:02soit vous vous foutez
37:03de la gueule du monde
37:04et dans les deux cas,
37:05c'est grave.
37:06C'est grave.
37:07C'est grave.
37:08C'est grave.
37:09C'est grave.
37:10C'est grave.
37:11C'est grave.
37:12Et voilà,
37:13comme je vous dis,
37:14moi je pense que
37:15la meilleure réponse
37:16c'est vraiment
37:17de continuer
37:18à se caler
37:19et à monter
37:20et je pense que ça
37:21l'a fait rager,
37:22mais vraiment.
37:23Je pense aussi.
37:24Ça me fait bien plaisir,
37:25Samia.
37:26Vous êtes un amour,
37:27en tout cas.
37:28Merci d'avoir été avec nous.
37:29Cyril,
37:30juste,
37:31est-ce que je peux avoir
37:32une petite parenthèse,
37:33s'il te plaît ?
37:34Avec grand plaisir,
37:35Samia, allez-y.
37:36Alors,
37:37en fait,
37:38je ne sais pas
37:39si tu comptes toujours
37:40dans ce projet,
37:41mais en tout cas,
37:42si c'est le cas,
37:43je te dis,
37:44je suis vraiment
37:45the personne
37:46pour bosser avec toi
37:47pour le faire.
37:48C'est vrai ?
37:49Ça me ferait plaisir.
37:50Vraiment,
37:51je ne t'ai pas rendu mon CV,
37:52mais en gros,
37:53c'est du technique,
37:54tu me feras passer
37:55un entretien
37:56si tu veux après.
37:57On va prendre tes coordonnées
37:58en rentaine,
37:59Samia,
38:00mais ça m'intéresse
38:01parce que je pense vraiment
38:02qu'on en a parlé.
38:03On en a beaucoup parlé.
38:04Olivier d'Artigolles,
38:05je vais lui redire,
38:06parce que c'est vrai
38:07que j'avais évoqué
38:08l'idée de parrainer
38:09des familles
38:10des plus pauvres
38:11parce qu'il y a
38:12plein de gens
38:13qui travaillent,
38:14qui arrêtent de travailler
38:15ou bien qui n'arrivent plus
38:16à travailler
38:17et qui sont dans
38:18une détresse financière
38:19et bien sûr
38:20qui est dramatique
38:21et je me disais
38:22peut-être qu'à chaque fois,
38:23une personne
38:24très aisée
38:25parraine une autre personne.
38:26Donc,
38:27on s'était dit
38:28peut-être les 100 000
38:29plus riches
38:30ou 500 000 plus riches
38:31si on prend les entreprises,
38:32voilà,
38:33parraine.
38:34Ça faisait 10 000 euros
38:35par an
38:36pour qu'au moins,
38:37on puisse faire les courses
38:38etc.
38:39Et c'est vrai que
38:40moi,
38:41j'aimerais beaucoup le faire.
38:42Et j'aborde,
38:43Cyril,
38:44de ta proposition,
38:45c'était une personne âgée
38:46qui était sur un marché
38:47et qui glanait
38:48pour une personne âgée
38:49qui disait
38:50je ne peux pas sinon.
38:51Et l'idée,
38:52c'était d'ailleurs
38:53l'idée géniale
38:54de Coluche
38:55dans une autre dimension,
38:56on va faire,
38:57on va arrêter d'attendre
38:58et on va faire,
38:59on va se prendre en main
39:00et on va faire,
39:01on voit ce que ça va donner.
39:02Et là,
39:03l'idée,
39:04c'est peut-être
39:05à l'échelle d'une commune
39:06y compris de réfléchir
39:07avec une commune,
39:08on connaît des maires
39:09dans l'émission,
39:10ils sont passés,
39:11on peut essayer de voir,
39:12de mettre en contact
39:13directement des personnes
39:14qui le peuvent
39:15avec des personnes humaines
39:16concrètes,
39:17que les rencontres
39:18s'établissent
39:19et que ça puisse
39:20créer des rencontres
39:21humaines
39:22et une solidarité
39:23concrète
39:24pour le temps
39:25que la personne
39:26puisse s'en sortir,
39:27que cet échange
39:28se fasse.
39:29Tisser un réseau,
39:30on peut mettre
39:31bien sûr les communes,
39:32les entreprises,
39:33le supermarché du coin,
39:34il peut y avoir
39:35plein de dispositifs
39:36à réfléchir
39:37mais que ce soit
39:38concret,
39:39que le monsieur
39:40se dise
39:41ah ben tiens,
39:42cette dame-là,
39:43ça fait trois mois,
39:44on la connaît,
39:45on va peut-être
39:46prendre un café ensemble,
39:47comment ça va ?
39:48Que ce soit de l'aide
39:49concrète,
39:50financière bien sûr,
39:51mais avec un rapport
39:52humain,
39:53parce que la solitude
39:54du grand âge
39:55des personnes
39:56qui ne sont pas
39:57en EHPAD
39:58ou etc,
39:59elle existe
40:00dans nos villes.
40:01Il y a aussi des jeunes
40:02qui sont en détresse
40:03financière.
40:04En tout cas,
40:05je pense que c'est un truc
40:06qu'on va creuser
40:07et Samia,
40:08si on le fait,
40:09vous ferez partie
40:10du projet à coup sûr.
40:11Voilà,
40:12je vous le dis.
40:13Ah oui,
40:14ben voilà,
40:15merci beaucoup.
40:16Merci Samia d'avoir été là.
40:17On garde vos coordonnées
40:18en tout cas,
40:19les équipes.
40:20Merci.
40:21Il y a Isabelle
40:22qui est avec nous
40:23du VAR.
40:24Bonjour Isabelle.
40:25Oui,
40:26bonjour,
40:27bonjour à tous.
40:28Je suis trop contente
40:29de vous avoir
40:30de nouveau au téléphone.
40:31Je vous appelle
40:32de temps en temps.
40:33Il fait super beau.
40:34Il fait chaud.
40:35C'est le printemps
40:36avant l'heure.
40:37Comme d'habitude.
40:38Il paraît que jeudi,
40:39moi je vais en slip à l'émission.
40:40Il paraît que ça va être
40:41quelque chose.
40:42Oui,
40:43j'ai pété le string.
40:44Oui,
40:45tu as raison.
40:46Le string,
40:47pas encore.
40:48Je ne suis pas prêt.
40:49Je ne suis pas prêt,
40:50mais déjà le slip.
40:51Déjà le slip,
40:52c'est pas mal.
40:53Oui,
40:54c'est clair.
40:55Merci Isa.
40:56Déjà,
40:57bravo,
40:58bravo
40:59pour tout ce que tu as fait
41:00pour la continuation
41:01de l'émission.
41:02C'est vraiment
41:03une émission
41:04vraiment exceptionnelle.
41:05Merci pour nous
41:06parce que c'est
41:07super important
41:08en étant en situation
41:09de handicap.
41:10C'est ma petite
41:11étoile
41:12du soir.
41:13Ça me fait plaisir.
41:14Ce soir,
41:15on va beaucoup rigoler.
41:16Comme d'habitude.
41:17Je suis agité.
41:18Je suis agité.
41:19On va rigoler.
41:20Je me doute
41:21que ça se voit.
41:22J'ai l'impression
41:23que ça t'a encore
41:24plus déluré.
41:25Ça t'a encore
41:26plus excité
41:27qu'autre chose.
41:28On rigole,
41:29on rigole.
41:30Oui,
41:31c'est clair.
41:32Je voulais réagir
41:33sur Mélenchon.
41:34C'est clair,
41:35il est mort
41:36avant d'être
41:37mordu.
41:38C'est une évidence.
41:39Mon ancien métier,
41:40c'était infographiste.
41:41Je peux te dire
41:42qu'on ne pouvait pas
41:43sortir une publicité
41:44sans avoir eu
41:45un bois à tirer.
41:46C'est-à-dire
41:47l'aval du patron
41:48ou de la direction
41:49avant quoi
41:50que ce soit.
41:51Sinon,
41:52l'affiche,
41:53le document,
41:54même s'il n'est pas
41:55sur les réseaux sociaux,
41:56c'est toujours
41:57sur les réseaux sociaux.
41:58C'est toujours
41:59sur les réseaux sociaux.
42:00Même s'il n'est pas
42:01sur les réseaux sociaux,
42:02il a le logo
42:03quand même.
42:04Il ne saurait pas
42:05sortir ça.
42:06C'est une évidence.
42:07Il était bien sûr
42:08qu'il était au courant.
42:09C'est clair et net.
42:10Comme d'habitude,
42:11il a boit,
42:12il a boit,
42:13il a boit
42:14pour ne pas être mordu.
42:15C'est celui
42:16qui criera
42:17le plus fort.
42:18Il crie en premier.
42:19On le connaît tous
42:20maintenant.
42:21Tout simplement.
42:22C'est une honte.
42:23C'est une honte.
42:24J'ai honte.
42:25J'ai honte
42:26pour lui,
42:27franchement.
42:28Il ne peut faire que ça.
42:29De toute façon,
42:30gueuler comme il sait le faire,
42:31d'habitude,
42:32comme d'habitude.
42:33C'est tout
42:34ce qu'il sait faire.
42:35C'est une honte.
42:36Je suis assez d'accord.
42:37Quand il est pris
42:38idéologiquement,
42:39forcément,
42:40quand il fait une faute,
42:41il a toujours
42:42la même défense.
42:43C'est absolument incroyable.
42:44C'est l'attaque d'abord.
42:45Bien sûr.
42:46Il se met
42:47à gueuler plus fort
42:48que les autres.
42:49C'est absolument
42:50insupportable.
42:51C'est ça.
42:52C'est tout à fait ça.
42:53C'est
42:54l'attaque
42:55d'abord.
42:56C'est l'attaque
42:57et
42:58ce n'est pas possible.
42:59Il ne laisse pas passer
43:00l'attaque.
43:01Morte aussi.
43:02Ne vous inquiétez pas.
43:03Ne vous inquiétez pas.
43:04Le problème,
43:05c'est qu'on boit un peu trop.
43:06On commence à avoir
43:07des caries.
43:08Non,
43:09ça commence
43:10à bien se faire maintenant.
43:11Ça suffit.
43:12Ça suffit.
43:13Stop.
43:14Stop.
43:15Vous êtes un amour.
43:16En tout cas, merci Isabelle.
43:17Merci d'avoir été avec nous.
43:18Juste une petite chose.
43:19Avec grand plaisir.
43:20Si tu me permets,
43:21est-ce que tu refais
43:22tes PMP
43:23ouverts à tous
43:24le vendredi ou pas ?
43:25Bien sûr,
43:26et quoi qu'il arrive,
43:27la saison prochaine aussi.
43:28On fera
43:29tous les vendredis.
43:30Est-ce que je pourrais
43:31venir de nouveau ?
43:32Bien sûr,
43:33avec plaisir Isa.
43:34Ne t'inquiète pas,
43:35on va te caler ça.
43:36C'est super gentil.
43:37Je te fais d'énormes bisous
43:38et ne t'inquiète pas.
43:39Merci, gros bisous à tous.
43:40On va rigoler mon Isa.
43:41On va rigoler.
43:42Je vous embrasse fort Isa.
43:43Comme d'hab.
43:44Merci de guido à tous
43:45et je vous embrasserai fort.
43:46Et tenez bon,
43:47ne lâchez rien.
43:48On est bien là.
43:49Lâche pas le morceau
43:50Cyril.
43:51J'en ai beaucoup des morceaux.
43:52Merci Isabelle.
43:54Merci Isabelle,
43:55vous êtes un amour.
43:56Merci d'avoir été avec nous
43:57sur Europe 1.
43:58C'est fou,
43:59c'est vrai que la défense
44:00de Jean-Luc Mélenchon
44:01est toujours la même.
44:02Toujours pareil.
44:03J'ai hâte d'avoir des premiers
44:04sondages d'intention de vote
44:05parce que,
44:06est-ce qu'il perd vraiment
44:07des électeurs ?
44:08Est-ce qu'il perd des électeurs ?
44:09Il en gagne,
44:10c'est sûr,
44:11mais est-ce qu'il en perd en route
44:12avec sa stratégie de radicalisation ?
44:13Moi je pense qu'il en perd.
44:14Moi je crois qu'il en perd.
44:15Moi je pense que là,
44:16c'est une trop mauvaise séquence
44:17parce que même au sein
44:18de son parti,
44:20je pense que c'est peut-être
44:21la plus mauvaise séquence
44:22de la France Insoumise carrière.
44:23Il y en a eu, non ?
44:24La séquence Katnins,
44:25la séquence Perquisition.
44:26Pour moi c'est la plus mauvaise,
44:27c'est au-dessus de Katnins,
44:28c'est au-dessus de Perquisition.
44:29Je suis d'accord.
44:30C'est la première fois vraiment
44:31que là, il y a tout le monde
44:32contre eux,
44:33et même dans leur camp.
44:34C'est ça.
44:35C'est rare.
44:36C'est-à-dire qu'avant il y avait
44:37la séquence Perquisition,
44:38la séquence Katnins,
44:39maintenant on peut appeler
44:40cette séquence
44:41la séquence antisémitisme.
44:42Exactement.
44:43C'est la pire séquence.
44:44C'est la pire séquence.
44:45La séquence antisémitisme.
44:46La séquence antisémitisme.
44:47Celle-ci, je pense qu'elle va
44:48leur faire extrêmement mal.
44:49Et elle tombe, y compris à gauche.
44:50Bien sûr.
44:51Ah non, là partout,
44:52ça va être très compliqué
44:53d'expliquer ensuite
44:54on va faire un arc républicain
44:56ou un truc comme ça.
44:57Vous avez vu d'ailleurs,
44:58Gabriel Attal était en déplacement
44:59en Israël,
45:00il s'est fait interpeller
45:01sur cette question
45:02en disant
45:03pourquoi vous avez appelé
45:04au désistement face
45:05à la France Insoumise ?
45:06Et il était particulièrement
45:07mal à l'aise,
45:08l'ancien Premier ministre.
45:09Raphaël Arnault,
45:10je suis allé le combattre
45:11sur le terrain au premier tour.
45:12Vous avez quand même appelé
45:13à voter LFI face au RN.
45:14Donc prochaine dissolution,
45:15effectivement,
45:16c'est ça aussi qui change énormément.
45:17La question des alliances
45:18va se poser.
45:19La question d'appeler
45:20à voter LFI face au RN,
45:21à mon avis,
45:22on sera plus sur un vote blanc
45:23du côté,
45:24ce qui veut déjà aussi
45:25poser le débat.
45:26Est-ce qu'il faut appeler
45:27à voter blanc face
45:28à la France Insoumise
45:29maintenant ?
45:30Et Gérald Darmanin,
45:31ce matin,
45:32a dit que le vrai danger
45:33c'était LFI,
45:34pas le RN.
45:35Gérald Darmanin,
45:36une fois de plus.

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