Le coach italien de l’Olympique de Marseille a tenu à rendre hommage aux Parisiens, estimant qu’ils n’évoluaient pas dans la même cour. « Le clasico, c’est quand il y a une lutte, tu prends un coup, tu en remets un », a-t-il lancé, estimant que le terme n’était plus approprié.
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00:00C'est probablement la plus forte équipe d'Europe, parce qu'elle avait beaucoup de joueurs forts avant, mais elle n'était pas une équipe.
00:07Elle a des joueurs forts et un entraîneur qui les a fait devenir une équipe.
00:12L'accoglience de Rabiot est une accoglience normale qui se produit chaque fois qu'un joueur va dans une équipe rivale.
00:23J'ai aimé le stade, mais pour revenir à la question du classique, mon point de vue c'est que le Volodrom est à un autre niveau.
00:33Mais c'est aussi mon point de vue, parce qu'on ne peut pas comparer la force économique de Paris Saint-Germain avec celle de Marseille.
00:43Je fais la guerre avec tout le monde. Même si je sais perdre la guerre, j'y vais avec la tête contre le mur et j'y vais de partout.
00:51Mais le classique, qu'est-ce que c'est que le classique ?
00:55Le classique c'est quand tu peux te battre, tu prends un coup, tu en donnes un, tu le prends, tu le donnes.