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00:00:00Par la main, on fait beaucoup de choses, déjà c'est le nom de ce sport, on tire, on passe,
00:00:18on marque, on arrête, par la main, on sèche nos larmes, on s'encourage, on se relève.
00:00:48Allez Bellevue, allez ! On ferme tout, les oreilles, et on garde la tête droite ! Allez Bellevue !
00:01:08Ils n'ont le temps qu'un second, avec Silva, Silva pour Kiko Costa, allez être solide là,
00:01:19à l'opposé, allez Schaum ! Allez Schaum ! Allez Schaum !
00:01:38On va aller voir l'enquête, on regarde comme ça, et on tire, parce qu'il y a beaucoup,
00:02:05C'est vrai que ça a été assez abrupt la façon dont ça s'est terminé, sportivement, sur le terrain,
00:02:23mais aussi, derrière, tout le monde a dû repartir à gauche, à droite, quelques heures après,
00:02:27donc c'est vrai que, derrière, de ne pas se revoir pendant de si longs mois, je pense que c'était important de se retrouver enfin,
00:02:35et c'est vrai, de voir des sourires, de voir de la joie d'être ici, de se retrouver, je pense que c'est vraiment le premier pas.
00:02:43On aura une cicatrice qui sera à vie, sûrement, en tout cas pour moi c'est sûr,
00:02:58ça fait vraiment du bien de se retrouver, d'essayer de clôturer ce qui s'est passé,
00:03:08et de vraiment avancer pour la prochaine échéance.
00:03:12Un nouvel objectif qui arrive, rapidement, un championnat du monde,
00:03:15et je pense que tout le challenge est là, de pouvoir se projeter,
00:03:19et c'est la chance qu'on a dans le sport de haut niveau, c'est qu'il y a toujours un nouveau défi qui attend, pas loin.
00:04:08C'est maintenant un moment que je commence à faire des stages avec l'équipe de France,
00:04:13et c'est ma troisième compétition, mon premier mondial, donc forcément beaucoup d'excitation,
00:04:19et on a hâte de commencer, la prépa c'est jamais la chose qu'on préfère,
00:04:25et je me suis bien senti sur la prépa, et j'ai vraiment hâte de commencer ce mondial, en espérant apporter à cette équipe de France.
00:04:33Ça va ? Bien dormi ?
00:04:36Il est passé vite du coup !
00:05:03Ça va ?
00:05:05On ne peut pas se plaindre des conditions, on est vraiment encore une fois dans des installations qui sont vraiment optimales,
00:05:12il fait beau, le spot est magnifique, on peut aller faire les balades au bord de l'eau,
00:05:18puisqu'on est au bord de la mer ici à Porreges, donc vraiment on est dans des conditions assez cool pour démarrer ce mondial.
00:05:27Je suis trop équipé, j'ai trop de choses.
00:05:31À gauche !
00:05:33La première chose que je fais quand je rentre dans la chambre avec Hélo ?
00:05:36Tu écartes l'héli.
00:05:37J'écarte l'héli, direct.
00:05:39Si je me mêle à Hélo, non, je suis trop loin de toi, c'est vraiment...
00:05:43On va pousser par là.
00:05:45Il y a qu'on ne se parle pas.
00:05:48Pauvre héroïne.
00:05:53Juste là, c'est pour ça que je vais me poser, regarde.
00:05:55C'est génial.
00:05:56Vas-y, pousse !
00:05:57Je peux me pousser là ?
00:06:00Je m'installe et on va être là pendant une semaine.
00:06:03Il faut se sentir confortable.
00:06:05Ça va, c'est plutôt confort.
00:06:07Tu fais bien l'héli ?
00:06:09Ouais, on a eu pire.
00:06:11Allez, on sort d'un bon lit, là.
00:06:13C'est une question de largeur, en fait.
00:06:14Toi, t'as besoin de courir et de dormir, là.
00:06:17Prêt ? Hop !
00:06:19Allez, allez ! Super !
00:06:293, 2, 1...
00:06:31Hop !
00:06:412, 1...
00:06:43Hop !
00:06:47Bravo, les gars.
00:06:49Bien joué !
00:06:59On a décrassé.
00:07:01On va tirer un peu.
00:07:03Il y avait un switch, déjà, qui s'est fait de la part de tout le monde.
00:07:07On sent qu'on a monté un degré en termes d'implication, de concentration.
00:07:11Il fallait faire passer aussi le tournoi de France.
00:07:13On a joué deux matchs en deux jours,
00:07:15donc on a fait un premier décrassage
00:07:17avec une bonne séquence animée par Olive Morelli, le préparateur physique,
00:07:21qui nous a bien décrassés, bien remis en jambe,
00:07:24bien fait passer le trajet.
00:07:293, 2, 1...
00:07:31Hop !
00:08:00Début du 29e championnat du monde en Croatie,
00:08:03après la désillusion vécue à Paris lors des derniers Jeux Olympiques.
00:08:06Cet été, les champions d'Europe en titre, en quête de résilience,
00:08:09veulent écrire une nouvelle histoire en lettres d'or.
00:08:12Première marche face au Qatar, dix ans après leur sac.
00:08:16On connaît les anciens qui étaient là, déjà, au Mondial 2015.
00:08:20On connaît deux noms.
00:08:22On a vu qu'ils étaient très agressifs, surtout en défense.
00:08:25Ça peut mettre beaucoup d'agressivité, beaucoup d'entraide.
00:08:28Il va falloir réussir à bien se lâcher les ballons
00:08:31et à gérer cette profondeur qu'ils vont sûrement mettre demain.
00:08:37On a bien travaillé. Normalement, ça devrait le faire.
00:08:41Un ballon raté par Carl Conan, l'un de ses rares ballons en attaque.
00:08:47Le bonheur absolu de Carl Conan, ça ne trompe personne.
00:08:51On aime voir ce visage radieux.
00:08:53Deuxième tentative.
00:08:55Cette fois, c'est la bonne pour le premier but
00:08:57en championnat du monde pour Julien Bosse.
00:09:01Avec la récupération de Ludovic Fabregas.
00:09:08Thibaut Brié qui s'envole.
00:09:10Sixième but sur huit tentatives.
00:09:12Lagarde qui gagne son duel et qui va tout emporter sur son passage.
00:09:19C'est bien. Samir Belhassen pour terminer
00:09:22les soixante dernières secondes de cette partie à Sens Unique.
00:09:25Emre Hikmet jusqu'au bout.
00:09:33Une première sortie convaincante pour l'équipe de France
00:09:35dans ce championnat du monde ici à Porec
00:09:38sur les bords de l'Adriatique avec ce dernier but inscrit
00:09:41par Melvin Richardson pour confirmer ce large succès.
00:09:46C'est parti !
00:09:52C'est revenu !
00:09:53C'est où ?
00:09:58Ça n'arrête pas tout le temps. Je suis le fort.
00:10:05C'est une place de fou d'entamer comme ça
00:10:07et de tout donner sur un premier match comme ça.
00:10:10C'est que le premier but.
00:10:12C'est l'un des seuls buts qui mettra de la compétition.
00:10:14Arrête !
00:10:17Peut-être encore le prochain.
00:10:24Ce soir, on a fait vraiment un bon gros match.
00:10:26Je pense que ça vient aussi concrétiser
00:10:29toute la préparation qu'on a pu faire en amont de la compétition
00:10:31mais aussi sur ce match-là en particulier.
00:10:33Je trouve qu'il y a eu beaucoup de sérieux,
00:10:35beaucoup de concentration sur la prépa de ce match
00:10:38et je pense que c'est significatif aussi
00:10:40par rapport aux résultats qu'on a eu.
00:10:45C'est bon.
00:10:54J'ai envie de jouer en fait.
00:10:55J'ai envie de jouer, j'ai envie de reprendre,
00:10:57j'ai envie de participer,
00:10:58j'ai envie de contribuer aux championnats du monde.
00:11:02Mais moi, je suis un compétiteur.
00:11:03Ça fait deux mois que je n'y ai pas joué.
00:11:08Moi, je suis comme ça.
00:11:10Je suis là sans être là.
00:11:12Il y a un match.
00:11:13Concentrez-vous les gars,
00:11:14c'est vous les acteurs du terrain.
00:11:15Nous, on est là, on est derrière vous.
00:11:25Tu oublies, je ne suis pas ancré.
00:11:29Vas-y, vas-y, on va fixer.
00:11:34Avec les élastiques, tu vas chercher des exos
00:11:36qui vont t'emmener dans des recoins,
00:11:40on va dire de mobilité,
00:11:42où ton corps n'a pas l'habitude d'aller
00:11:44pour aller chercher un peu plus d'amplitude et autres.
00:11:47C'est bien aussi, mais il ne faut pas non plus en abuser.
00:11:57Concernant une épaule qui a été remise,
00:12:02il faut que je retrouve de l'amplitude,
00:12:03mais aussi de la stabilité.
00:12:05Donc, l'importance de travailler dans les muscles profonds
00:12:07tout en essayant de garder un peu d'amplitude.
00:12:22Je ne fais jamais 40 shots par match,
00:12:24ou 30 shots, même 20, je n'en fais pas.
00:12:26C'est rare.
00:12:27Donc, c'est un peu épuisant pour l'épaule ou autre.
00:12:32Bien, oui.
00:12:37Ça va revenir tout seul.
00:12:38Dans les situations de duel tireur-gardien,
00:12:41ce n'est pas facile non plus.
00:12:43C'est à moi, toi, contre lui.
00:12:45Tu ne peux pas jouer avec le con,
00:12:47tu ne peux pas être un petit vice.
00:12:51Pour terminer, on fait un concours avec les deux.
00:13:02C'est carrément nul.
00:13:08Il faut que tu pousses,
00:13:09parce qu'elle est plutôt bien placée.
00:13:23Oh non !
00:13:24Mais comment tu as le réflexe ?
00:13:26Je prends mon mal en patience.
00:13:28Je suis là, l'équipe marche super bien.
00:13:30On l'a vu pour ce premier match.
00:13:32Donc, chaque chose en son temps.
00:13:34Voilà, c'est patience et vertu.
00:13:56Je ne sors plus mal.
00:14:19Jamais la première attaque, c'est une 3-3.
00:14:21On bosse à droite pour Melf.
00:14:23Ils sortent Melf et ils jouent avec Melf.
00:14:25Moi, je rentre direct avec Melf.
00:14:27C'est la première fois.
00:14:53C'est la première fois.
00:14:54C'est la première fois.
00:14:55C'est la première fois.
00:14:56C'est la première fois.
00:14:57C'est la première fois.
00:14:58C'est la première fois.
00:14:59C'est la première fois.
00:15:00C'est la première fois.
00:15:01C'est la première fois.
00:15:02C'est la première fois.
00:15:03C'est la première fois.
00:15:04C'est la première fois.
00:15:05C'est la première fois.
00:15:06C'est la première fois.
00:15:07C'est la première fois.
00:15:08C'est la première fois.
00:15:09C'est la première fois.
00:15:10C'est la première fois.
00:15:11C'est la première fois.
00:15:12C'est la première fois.
00:15:13C'est la première fois.
00:15:14C'est la première fois.
00:15:15C'est la première fois.
00:15:16C'est la première fois.
00:15:17C'est la première fois.
00:15:18C'est la première fois.
00:15:19C'est la première fois.
00:15:20C'est la première fois.
00:15:21C'est la première fois.
00:15:22C'est la première fois.
00:15:23C'est la première fois.
00:15:24C'est la première fois.
00:15:25C'est la première fois.
00:15:26C'est la première fois.
00:15:27C'est la première fois.
00:15:28C'est la première fois.
00:15:29C'est la première fois.
00:15:30C'est la première fois.
00:15:31C'est la première fois.
00:15:32C'est la première fois.
00:15:33C'est la première fois.
00:15:34C'est la première fois.
00:15:35C'est la première fois.
00:15:36C'est la première fois.
00:15:37C'est la première fois.
00:15:38C'est la première fois.
00:15:39C'est la première fois.
00:15:40C'est la première fois.
00:15:413 contre 1, 4-0 quand même.
00:15:44On va le dire ainsi, regardez.
00:15:46La réunion, les larmes.
00:15:47Voilà, ça c'est bien mieux.
00:15:49Donc, j'étais là, c'était 3 positions.
00:15:52Dans la qualité d'engagement et dans la détermination.
00:15:54Allez les gars, c'est parti !
00:15:56Madame, c'est Monsieur Thibault Prierre !
00:16:02Thibault, j'ai un capot ?
00:16:04Les gueules cassées.
00:16:05Les gueules assez jouées là.
00:16:06Ça ne fait rien.
00:16:07Ça essaie de faire un marquant des disserts.
00:16:09Tu m'as comprimé, j'ai chaud. J'ai chaud au crâne.
00:16:13Emerick !
00:16:14Emerick !
00:16:15C'est cool ?
00:16:16Ah oui.
00:16:22Allez la Réunion !
00:16:27Merci !
00:16:28Merci !
00:16:29Barbe à Réunionnaise.
00:16:30C'est pas incroyable ou quoi ?
00:16:31Quand on rote sur le terrain comme ça, drapeau, les fans et tout, c'est cool.
00:16:34Franchement, ça fait plaisir.
00:16:36Bonne année !
00:16:38C'est cool.
00:16:39Ils ont fait autant de chemin, ils sont venus de loin.
00:16:41Ça amène un peu d'ambiance dans la salle, c'est bien.
00:16:43C'est toujours du bien d'avoir un petit peu de spectacle quand t'es sur le terrain.
00:16:46Donc c'est cool.
00:16:47C'est très bonheur de vous voir.
00:16:49C'est très bonheur de vous voir.
00:16:50Vous êtes ici le premier mois que nous avons rentré.
00:16:53Ah ouais !
00:16:55C'est un plaisir.
00:17:01Merci !
00:17:03Merci !
00:17:05Elle pleure de joie.
00:17:09T'es contente ?
00:17:11C'est incroyable.
00:17:23Merci !
00:17:24Merci beaucoup !
00:17:33Après t'es parti où toi ?
00:17:35Dans le studio ?
00:17:36Ouais.
00:17:37Oh, dans la salle.
00:17:38C'est le cœur de vous.
00:17:43Merci !
00:17:44Tu fais comme Dylan.
00:17:45Tu fais comme Dylan.
00:17:57Je m'occupe d'une mission.
00:17:59Une mission qui a commencé le premier jour où je me suis fait opérer.
00:18:03J'avais que le mondial en tête.
00:18:06C'était une compétition que je ne voulais pas rater.
00:18:14Donc si j'avais l'opportunité, comme je l'ai dit à mon club, à ma famille, à mon entourage,
00:18:19si j'avais cette possibilité de pouvoir être en équipe de défense,
00:18:23j'allais la saisir.
00:18:24Donc c'est ce que j'ai fait depuis le premier jour où je me suis fait opérer.
00:18:27Une bonne rééduc, faire attention à moi, pas non plus griller les étapes,
00:18:32revenir petit à petit.
00:18:34Et voilà, aujourd'hui je suis là et je suis super content.
00:18:48C'est souvent moi qui prends les premiers tirs dans les matchs.
00:18:51Je prends pas mal de tirs.
00:18:53Mais c'est quelque chose qui se fait naturellement parce que je le sens,
00:18:56j'estime que je suis dans les positions pour le faire.
00:19:00Mais au-delà du mondial, depuis un peu la reprise de ce nouveau cycle,
00:19:05c'est vraiment d'afficher un 100% de sérieux.
00:19:12On va avoir des moments un peu plus faibles ou un peu plus difficiles,
00:19:17mais c'est toujours d'avoir l'attitude à 100% et être irréprochable.
00:19:21Bien !
00:19:26C'est pas coordonné.
00:19:51Le début des choses sérieuses pour l'équipe de France.
00:19:53Troisième et dernier match à Porec, avant de basculer à Barragis
00:19:57pour le tour principal.
00:19:58Objectif évidemment, une troisième victoire consécutive.
00:20:03Avec Di Kamem, personne sur lui.
00:20:05Pourquoi ? Ce privé !
00:20:07Essayez de retrouver de la vitesse.
00:20:09La nouvelle, c'est que les Français trouvent facilement Nicolas Tourna.
00:20:13L'essentiel pour l'équipe de France, après cette troisième victoire en trois sorties,
00:20:18le scouting de Giano Garza.
00:20:24C'est décent !
00:20:30L'essentiel pour l'équipe de France, après cette troisième victoire en trois sorties,
00:20:35le scouting de Giano Garza.
00:20:40Qu'est-ce que ça me fait rêver !
00:20:42Le score, 35-27.
00:20:49Viens les gars, viens.
00:20:50Yeah !
00:20:57Yes, bien caméra, bravo.
00:21:00Bien, bravo, bravo, bravo.
00:21:03Voilà, ça suffit.
00:21:43C'est juste les assiettes, c'est pas important.
00:21:51Ça suffit, toute l'année à leur côté, ça suffit.
00:21:55Je préfère manger tranquille, un peu écarté.
00:22:00On est au quotidien ensemble à Nantes.
00:22:03On évolue dans la même équipe.
00:22:06C'est génial de se retrouver en sélection.
00:22:08Bien sûr, on se chambre, parce qu'on se connaît bien.
00:22:11On aime bien se charrier, se chambrer, comme tu as dit.
00:22:15Donc forcément, c'est cool et on est à l'aise.
00:22:28C'est léger.
00:22:29Non, la première, je suis en train de sauter, tu me pousses.
00:22:32C'est dans le corner.
00:22:33Tu m'arrêtes.
00:22:36On n'a pas les mêmes règles.
00:22:37Je fais un training camp, si tu veux, pour t'aider à marquer.
00:22:40Un but en quatre mètres.
00:22:42Il m'intéresse.
00:22:44Quand tu as des mecs que tu connais bien et avec qui tu joues tous les jours,
00:22:48je trouve que c'est toujours plus simple en dehors et sur le terrain.
00:22:51Dans le dos, je prends cher.
00:22:53Quand je suis fatigué, il me tape.
00:22:55Quand je suis fatigué, il me tape.
00:22:57Quand je suis fatigué, il me tape.
00:22:59Quand je suis fatigué, il me tape.
00:23:01Quand je suis fatigué, il me tape.
00:23:03Donnant, donnant, quand je suis fatigué, il me tape.
00:23:05Quand je retrouve de l'énergie, il est mort.
00:23:09Tony, Tony.
00:23:12Là, il y a lui.
00:23:13Ça, c'est un spécial.
00:23:15C'est parti.
00:23:17Entre Nantais, les choses sont plus faciles.
00:23:24On a des annonces qu'on fait en club et on se comprend hyper bien.
00:23:27On a les bons timings.
00:23:28Après, il ne faut pas non plus que l'on réussisse à jouer avec soi-même
00:23:31que quand on joue entre Nantais.
00:23:33Il faut aussi trouver les marques avec les autres
00:23:35parce qu'on ne sera pas tous les mêmes.
00:23:37C'est ça, c'est ça.
00:23:38C'est ça, c'est ça.
00:23:39C'est ça, c'est ça.
00:23:40C'est ça, c'est ça.
00:23:41C'est ça, c'est ça.
00:23:42C'est ça, c'est ça.
00:23:43C'est ça, c'est ça.
00:23:44Il faut trouver les marques avec les autres
00:23:46parce qu'on ne sera pas tous ensemble sur le terrain tout le temps.
00:23:56On a les entenchements de Nantes qu'on connaît par cœur
00:23:58et du coup, on se connaît par cœur.
00:24:00Je pense que ça crée un plus dans notre jeu.
00:24:07Plus de petits coups un peu fin.
00:24:09Un peu de vices.
00:24:10Un peu de vices, ça va.
00:24:11Un peu de vices, bien joué.
00:24:13Un petit coup de secret quoi.
00:24:14Ouais, c'est ça.
00:24:15Mais ça, il ne faut pas le dire.
00:24:16On est en train de se les faire piquer un bras
00:24:17donc on va devoir faire attention.
00:24:18À chaque fois, on nous demande le nom de l'enclenchement
00:24:20et on a appris des données et les noms de l'enclenchement.
00:24:28Bienvenue dans la coloc.
00:24:31C'est Manu, une fois mamie avec Nico.
00:24:33Avec Nico, on s'entend bien.
00:24:34Ça se passe très bien.
00:24:35La chambre est super bien rangée.
00:24:38C'est une menace pour la société, lui.
00:24:41Sachez-le.
00:24:42On ne peut pas être tranquille ici.
00:24:45Plus un caméraman qui…
00:24:47Voilà, surtout on est des collègues.
00:24:49On se côtoie souvent.
00:24:50On n'a pas de conneries à dire.
00:24:53Hey.
00:24:55Dégage, ce sera…
00:24:57Djoef, hop la.
00:24:58Djeof, Djoef.
00:24:59On voit.
00:25:01Et ça va au livres.
00:25:02Du golf.
00:25:03Du football à electricity.
00:25:05Djoef, monsieur.
00:25:06On ne le voit pas, non ?
00:25:07Non.
00:25:08Arrête, arrête.
00:25:09Djoef, djoef ?
00:25:10Je m'arrête, je m'arrête,
00:25:11je m'arrête là.
00:25:12Non mais il il va travailler.
00:25:13Djoef, ta명대, enlightened.
00:25:19Attends, je vais devoir moi-même
00:25:20choper un cafeteria pour le soir.
00:25:21Hop, hop, 5 heures de bus, c'est parti, ça va le dodo ronfler.
00:25:28J'ai envie d'y aller chez moi, c'est un peu le développement personnel,
00:25:54il y en a qui partent au Népal, qui travaillent sur eux-mêmes.
00:26:02C'est vrai que maintenant, c'est en train de devenir la norme où tu changes de pays,
00:26:07tu changes de ville.
00:26:08Au bout d'un moment, ça pèse aussi quand même sur les organismes et sur les physiques,
00:26:15donc il faut trouver le juste milieu.
00:26:17On a vécu un voyage de 6 heures dans des conditions où le bus était basique,
00:26:22voire assez serré, personne n'a réussi finalement à bien dormir.
00:26:25La veille, on s'est couché aussi un peu tard.
00:26:27J'ai toujours tendance à analyser un petit peu ce que fait l'adversaire,
00:26:43ce qu'on peut faire nous.
00:26:45Du coup, là, je revoyais un petit peu les images d'hier du match contre l'Autriche,
00:26:49notamment cette défense à 6 contre 7.
00:26:51Donc je prends quelques notes, histoire d'analyser un petit peu,
00:26:54voir ce qui a bien marché, moins bien marché,
00:26:56histoire de pouvoir progresser dans la compétition.
00:27:13Quoi ? Il fait froid ici.
00:27:19Il fait trop froid.
00:27:31L'Hongrie a quand même une certaine réputation par rapport à leur style de jeu,
00:27:35aux grands gabarits qu'ils peuvent avoir dans leur effectif.
00:27:38Et ça démontre la qualité qu'il y a sur cet adversaire
00:27:42et surtout l'adversité qui nous attend sur ce match-là.
00:27:48Allez !
00:27:58Allez !
00:28:00Allez !
00:28:14Grands-Hongries au menu de ce choc entre deux prétendants aux quarts de finale.
00:28:18Un plat de résistance à l'échant pour des Bleus affamés.
00:28:21Une victoire et les phases finales s'ouvriraient en grand.
00:28:26Oh, super travail de Neymar et Milli.
00:28:29Là aussi c'est à côté, pas de gardien.
00:28:31Allez Rémi, bien sûr, comme d'habitude, dans un fauteuil.
00:28:40Et personne ne monte !
00:28:46Allez Rémi.
00:28:48Parfait !
00:28:50Superbe !
00:28:53Le déménageur, Nicolas Tourna.
00:28:57Emre Hikmet jusqu'au bout.
00:28:59La démonstration des Bleus sur l'ensemble de la rencontre.
00:29:09C'est 4e pour Carlito.
00:29:10C'est 4e !
00:29:13Imagine !
00:29:15Piqué tout en bas.
00:29:21On savait que ça allait être un gros duel, un gros combat physique.
00:29:24Il fallait répondre présent de suite.
00:29:26Et ce que toute l'équipe a fait, elle a mis de suite une grosse pression.
00:29:29Ils ont essayé de poser des problèmes.
00:29:31Mais on a de suite sur-répondre intelligemment, que ce soit en attaque ou en défense.
00:29:35Et derrière, Rémi a fermé la cage.
00:29:38Donc du coup, un gros match de l'ensemble de l'équipe.
00:29:41Et c'est très bien pour la suite.
00:29:45Bravo, Kapik !
00:30:02Ils ont tous gagné l'Islam, pour le moment ?
00:30:06Ouais.
00:30:07C'est une façon de vivre différente.
00:30:10On a pu s'insister sur tout ce qui est récupération, tout ce qui est soins.
00:30:14Même si on a des douleurs qui ne sont pas très importantes,
00:30:17c'est quand même bien d'aller vérifier pour ne pas que ça s'amplifie.
00:30:21Après, c'est l'expérience.
00:30:24C'est un bon combat qu'on fait ensemble, qu'on a un peu l'habitude de voir.
00:30:29Mais on arrive à trouver nos habitudes, nos automatismes pour bien gérer tout ça.
00:30:41Un petit glace.
00:31:01Amir, cette souplesse.
00:31:11Oh !
00:31:13Un tourniquet !
00:31:15Tarkoé !
00:31:16Katenaccio !
00:31:20Ouais, ouais, ouais !
00:31:32Non !
00:31:34Je passe à deux centimètres debout à la fin.
00:31:36Ah !
00:31:39Les détails.
00:31:41Ça joue à les détails.
00:31:42Toujours.
00:31:43C'est gel.
00:32:01Ça nous tient à cœur d'avoir une belle vie de groupe,
00:32:03où ça charrie énormément, où ça rigole tout le temps.
00:32:06Mais quand il faut passer au travail, mais quand il faut passer à l'heure du match,
00:32:09c'est là où on met le bleu de chauffe, le visage se ferme.
00:32:12Et là, tout le monde ressort avec une intensité extrême.
00:32:15C'est ce qu'on veut faire ressortir de ce groupe.
00:32:18Et pour l'instant, ça se passe super bien.
00:32:19Quand il n'y a pas d'entrée, on peut faire 0-6.
00:32:210-6 classique.
00:32:23Un peu de hauteur.
00:32:26Tu peux sauter.
00:32:27C'est libre.
00:32:34Normalement, extérieur là-dessus, il a tendance là aussi à se raplatir.
00:32:38Tu vois, quand l'ennemi arrive, normalement, il redescend à nouveau.
00:32:41C'est pour ça qu'on peut faire les Islandais aussi dans les deux sens.
00:32:54Tu vois, c'est plus dans l'alternance, en fait.
00:32:56Il faut d'abord venir chatouiller le 3.
00:32:57Et derrière, clac.
00:33:00Ah oui, c'est pareil.
00:33:01Ah ouais, clairement.
00:33:04Attention.
00:33:06C'est en ballon, Romain.
00:33:08Allez, Bois !
00:33:09On finit par du shoot.
00:33:14Il n'y a pas de col là.
00:33:16On va dire que Bois, c'est le deuxième pote en noir.
00:33:23Après, tout dépend aussi de comment est placé le gardien.
00:33:26Et si je gagne, tu me sers à manger tout à l'heure.
00:33:29C'est important de toujours garder cette espèce de challenge entre nous.
00:33:34Et on sait très bien que celui qui perd, à la fin, il va ramasser.
00:33:39Celui qui fait quelque chose de mal, il va ramasser.
00:33:41Mais c'est aussi ce qu'il nous fait, voilà, cet esprit d'équipe,
00:33:44cet esprit de challenge.
00:33:47On fait l'écart.
00:33:48On fait l'écart.
00:33:49Et là, il faut la lumière.
00:33:50Dans la lumière.
00:33:51Et là, Romain.
00:33:53Tellement ça a l'écart.
00:33:55Tellement ça a l'écart.
00:33:56J'ai gratté la lumière.
00:33:58Allez, tiens.
00:33:59Tu peux pas t'en servir.
00:34:00On te sacre les gueules.
00:34:01Bien.
00:34:02Bien.
00:34:29Aujourd'hui, en fait, on est dans un système où on a envie de battre tout le monde.
00:34:34On a tellement une profondeur de banc avec de la qualité
00:34:38qui fait qu'aujourd'hui, nos métabolismes, ils sont vachement mieux gérés.
00:34:43Je pense qu'aujourd'hui, la plupart des mecs ne sont pas si fatigués que ça
00:34:47au vu des rotations qu'on a.
00:34:54Face aux Pays-Bas, la France devra une nouvelle fois produire.
00:34:57La France devra une nouvelle fois produire un handball séduisant, inspiré et rigoureux.
00:35:02Dubin qui attaque très fort.
00:35:03Il est passé.
00:35:04Il est passé.
00:35:05Parfait, ça.
00:35:11Avec Eloïne Fordi.
00:35:13Boum.
00:35:14Voilà.
00:35:15Allez.
00:35:16Bien, Rémi.
00:35:17Super.
00:35:28Oh, exceptionnel.
00:35:30Sur cette tentative de Kung-Fu.
00:35:32Charles Bolsinger.
00:35:35Oh la la.
00:35:36Ça, une fois.
00:35:37C'est bon.
00:35:38C'est bon.
00:35:39C'est bon.
00:35:40L'équipe de France est la toute première à se qualifier officiellement
00:35:44pour les quarts de finale du Championnat du Monde.
00:35:48Merci.
00:35:49Je t'espère.
00:35:50Je t'espère.
00:35:51Je t'espère.
00:35:52Merci.
00:35:53Je t'espère.
00:35:54Merci.
00:35:55Merci.
00:35:57Let's go.
00:35:58Let's go.
00:36:14Parfois, on va moins bien jouer.
00:36:16Mais c'est quand même important de chercher des victoires dans ces contextes-là
00:36:20où il n'y a pas grand monde dans les tribunes.
00:36:22C'est un match un peu poussif.
00:36:24Mais au final, le résultat, c'est que les points sont là
00:36:27et c'est le plus important au final.
00:36:29Let's go.
00:36:30Let's go.
00:36:31Let's go.
00:36:32Let's go.
00:36:33Let's go.
00:36:39Ça commence à faire long là.
00:36:40Ça commence à faire long trois semaines là.
00:36:43Mais quand tu le fais, ça ne te dit pas que tu es au bout de trois semaines.
00:36:47Tu te dis que tu es au bout.
00:36:48Oui.
00:36:50C'est vrai.
00:36:51C'est vrai.
00:36:52Ça te dit.
00:36:53C'est vrai.
00:36:54Ca te dit.
00:36:55Quand t'es au bout, t'es au bout.
00:36:56Trois semaines, là, c'est...
00:36:58Mais quand tu gagnes, ça va.
00:37:03Faut aller au bout, c'est ça ?
00:37:04Faut aller au bout pour qu'elle gagne.
00:37:05C'est l'objectif.
00:37:13Oh là là !
00:37:20Qu'est-ce que tu fais ?
00:37:21Tu fais la course ?
00:37:22Oui.
00:37:23Vas-y, vite.
00:37:24Toi, tu cours vite.
00:37:25On est en stage depuis le 1er janvier, mine de rien.
00:37:27Et là, aujourd'hui, on est le 24.
00:37:31Donc, mine de rien, pour les enfants, c'est pas facile.
00:37:34Et pour moi aussi, d'ailleurs.
00:37:36Je te vois plus.
00:37:40Du coup, on a des petits moments par téléphone.
00:37:42Et parfois, ça se passe bien.
00:37:44Mais parfois, ça pleure parce qu'on leur manque.
00:37:46Donc, c'est dur.
00:37:48Et c'est vrai que ça, c'est pas évident à gérer.
00:37:51Bisous, je vous aime fort.
00:37:52À demain.
00:37:55Je vais draper le lapin.
00:38:12La France va terminer première de ce groupe,
00:38:15quel que soit le résultat.
00:38:17Le plein de confiance avant de quitter
00:38:19cette ville du nord de la Croatie barrage.
00:38:21Pour prendre la suite de la compétition
00:38:23et vivre un quart de finale
00:38:25dans cet écrin magnifique
00:38:27qu'est la Zagreb Arena.
00:38:36Oh, la grosse voûte.
00:38:37La grosse voûte de Dianei.
00:38:38Oh, attention.
00:38:40Oh, n'importe quoi.
00:38:49Il m'a mis un PK.
00:38:50Là, il est tout polaire.
00:38:54Oh là là.
00:38:55Transpercé.
00:38:57Smalowski face à lui.
00:38:58Et deuxième.
00:39:00Superbe Rémi.
00:39:07Allez Mathieu.
00:39:08Oh, sublime.
00:39:10Mathieu Grémy.
00:39:12Le succès 32-25
00:39:14de l'équipe de France
00:39:16direction Zagreb
00:39:18pour disputer les quarts de finale
00:39:20et passer aux choses sérieuses
00:39:23C'est la compétition.
00:39:24Allez.
00:39:25Let's go, let's go, come on.
00:39:26Mathique, ça va ?
00:39:27Tu mets combien sur 10 sur ta fatigue ?
00:39:29Là, là, c'est la bombe.
00:39:31More cuts.
00:39:33Étirements, boissons de récup, Didier.
00:39:35Petite nuit, là.
00:39:42C'est clos.
00:39:44C'est bon.
00:39:45C'est bon.
00:39:47C'est bon.
00:39:48C'est bon.
00:39:49C'est bon.
00:39:50C'est bon.
00:39:51C'est bon.
00:39:52C'est bon.
00:39:56On m'a posé la question
00:39:57si je me taignais les cheveux.
00:40:01J'ai dit non.
00:40:12Tout arrive.
00:40:14Et c'est là que tu vois
00:40:15qu'une carrière, ça passe vite aussi.
00:40:18J'ai l'impression que c'était hier
00:40:19le petit jeune dans l'équipe de France.
00:40:22Maintenant, ça fait plus de 10 ans.
00:40:26Je suis l'ancien d'assez loin en plus.
00:40:28C'est un rôle qui me plaît aussi.
00:40:31Tu vis aussi l'aventure un peu différemment
00:40:33et c'est un autre plaisir aussi.
00:40:40C'est vrai que j'ai eu un début de compétition
00:40:42avec quelques accrochages, quelques sinistres.
00:40:45Un en match, un petit coup de coude de Thibaut.
00:40:48Un bon même d'ailleurs.
00:40:49Je viens d'enlever les points
00:40:50mais il a fallu recoudre.
00:40:51Et puis le lendemain,
00:40:52une petite poussette, un coup de Carl.
00:40:55Voilà, le plus doux de l'équipe.
00:40:57Et pareil, la lèvre ouverte.
00:40:58J'ai la lèvre qui pique depuis une semaine.
00:41:04Oui, je me rapproche de la fin de mon aventure
00:41:06en équipe de France.
00:41:08L'état d'esprit, il est d'essayer de profiter à fond
00:41:11de cette équipe de France,
00:41:12de ce groupe-là,
00:41:14avec ces gars qui sont tous plus jeunes que moi maintenant
00:41:16mais que je connais depuis longtemps.
00:41:18Je me sens bien dans cette équipe
00:41:19mais ça reste l'équipe de France.
00:41:22Elle continue d'avancer.
00:41:23Les joueurs vont, viennent.
00:41:24Moi, je sais que je suis sur la fin de mon aventure
00:41:27mais il reste encore des choses à faire,
00:41:31des choses à apporter.
00:41:32C'est l'état d'esprit dans lequel je suis.
00:41:34Prendre du plaisir, apporter à cette équipe
00:41:37et tout donner.
00:41:39Voilà, c'est l'état d'esprit que j'ai.
00:41:48Tu crois qu'on prend la vitamine D à travers la vie ?
00:41:52Hein ?
00:41:54C'est pour le moral.
00:41:55Ça ne fait pas grand-chose mais ça fait du bien.
00:41:58On est comme à la maison.
00:42:19On va parler avec une balle.
00:42:26Je l'ai.
00:42:27Je l'ai, je l'ai, je l'ai.
00:42:29T'es chaud ?
00:42:30T'as des bras chouchou, gros !
00:42:31T'as des bras chouchou, gros !
00:42:32Oh, le fric de ouf !
00:42:37On va voir comment il vient.
00:42:49Ça va être une belle scène.
00:42:51On rentre, on change de ville et tout.
00:43:18Vous avez une photo ?
00:43:19Oui, bien sûr.
00:43:20Merci.
00:43:48Mais c'est l'intention que vous allez mettre derrière.
00:44:18Putain !
00:44:38Je t'ai pris dans la protection par rapport à mon bras.
00:44:40Bien sûr.
00:44:41Quand ils font l'inversement en me coutrant sur moi...
00:44:43Je n'ai pas besoin de faire le pas.
00:44:44Tu n'en tiens pas.
00:44:49S'ils sont bas comme il l'a fait, il faut prendre le bloc.
00:44:51Oui, oui.
00:45:19Vas-y ! Vas-y ! Vas-y !
00:45:21Vas-y ! Vas-y ! Vas-y !
00:45:25Vas-y ! Vas-y !
00:45:30Demain, on bascule
00:45:31pour le premier match décisif de cette compétition.
00:45:34Plein d'énergie, plein de bonnes vibes pour tout le monde
00:45:37pour aller chercher cette qualif.
00:45:40Pika !
00:45:43Ouais !
00:45:44Ouais !
00:45:45Ouais !
00:45:48Ouais !
00:46:18Bien joué !
00:46:48Parfait, ce que font les Français.
00:46:54Attention, ne pas en faire de trop.
00:46:56Avec Eldera, le retour.
00:46:58Pas de gardien.
00:46:59L'égalisation égyptienne.
00:47:03Parfait, parfait.
00:47:04L'altruisme d'Emre Kimin pour Ludovic Fabregas, son capitaine.
00:47:13Le duel, c'est le ring-fondé.
00:47:14Ça enchaîne.
00:47:15Parfait.
00:47:16Il a bien ralenti son tir, Nedim Remili.
00:47:23Boum !
00:47:24Voilà, la patate de Forin.
00:47:25On est content de la revoir.
00:47:28Bien, Rémi Desbonnez est solide et autoritaire.
00:47:31Julien Bosse, premier tir.
00:47:32Parfait, Julien.
00:47:34La passe et le glissement derrière de Ludovic Fabregas.
00:47:37Parfait.
00:47:38Thibaut Brillet.
00:47:39Marcel Massry.
00:47:40Dicamé.
00:47:41Ouais !
00:47:42Situation pour Mbappé dessus.
00:47:45Thibaut Brillet.
00:47:46L'emprise de responsabilité.
00:47:48Allez, Nedim !
00:47:49Voilà !
00:47:50C'est maintenant ou jamais.
00:47:51Allez, les Français.
00:47:5210 secondes.
00:47:53C'est bon.
00:47:54Oh, mais déjà.
00:47:55Il y a des remarques.
00:47:56Sortez, sortez, sortez.
00:47:57Oh, là, là, là, là.
00:47:58Il reste encore du temps.
00:47:593 secondes.
00:48:02Luka Karabatic.
00:48:03Luka Karabatic !
00:48:06Oh, Luka !
00:48:08Incroyable, Luka Karabatic !
00:48:14Oh, c'était fou.
00:48:15Merci, les Bleus.
00:48:16Merci pour ce suspense incroyable.
00:48:19C'est parti, les Bleus.
00:48:202 !
00:48:211 !
00:48:22Allez.
00:48:232.
00:48:242.
00:48:252.
00:48:262, c'est bon.
00:48:27Allez, c'est fini.
00:48:28C'est fini, c'est fini.
00:48:292 !
00:48:302.
00:48:311.
00:48:32Les Bleus, c'est fini.
00:48:332.
00:48:342, c'est fini.
00:48:352.
00:48:361.
00:48:37C'est fini.
00:48:38On est fini, c'est fini.
00:48:39On est fini.
00:48:40Ça fait embodied, les Bleus.
00:48:41C'était vraiment énorme.
00:48:42C'était génial.
00:48:43C'était génial.
00:48:44C'était incroyable.
00:48:45C'était incroyable.
00:48:46C'était incroyable.
00:48:47L'équipe n'a pas honte au tout moment.
00:48:48On a un quart de finale, on peut le faire.
00:49:18Allez les gars, allez !
00:49:20Allez les gars, allez !
00:49:22Allez les gars, allez !
00:49:24Allez, mon dieu !
00:49:30C'est vrai qu'à 59'6, on voyait pas encore la balle tirer.
00:49:32C'est vrai qu'à 59'6, on voyait pas encore la balle tirer.
00:49:34Mon dieu !
00:49:36Mon dieu !
00:49:38Je crois que t'as jamais tiré aussi fort de ta carrière.
00:49:40Je crois que t'as jamais tiré aussi fort de ta carrière.
00:49:42Tellement que je suis tombé en fait.
00:49:44Je voulais pas calmer la masse.
00:49:46Je suis là, j'ai dit putain,
00:49:48je suis là, j'ai dit putain,
00:49:50si on part en prolongation,
00:49:52l'ascenseur émotionnel il est trop gros.
00:49:54C'est que j'avais peur putain.
00:50:00J'ai mis tout ce que j'avais.
00:50:02J'ai mis tout ce que j'avais.
00:50:04J'ai mis tout ce que j'avais.
00:50:10Il faut quoi pour que tu te déplaces là ?
00:50:12Il faut quoi pour que tu te déplaces là ?
00:50:14Ah merci !
00:50:20Si t'es un show, tu mets le maillot de 2009.
00:50:44Tu l'as tiré comme ça ?
00:50:46Un peu.
00:50:48Parce que j'ai couru trop vite.
00:50:50Parce que j'ai couru trop vite.
00:50:52Je l'ai vu très loin pour moi.
00:50:54Je l'ai vu très loin pour moi.
00:50:56J'ai essayé un peu.
00:50:58J'ai essayé un peu.
00:51:00Non j'ai vu.
00:51:02Non j'ai vu.
00:51:04Non j'ai vu.
00:51:10Oui, ça va ?
00:51:12Oui, ça va ?
00:51:16C'est un peu trop loin.
00:51:20Je vous laisse un peu d'expérience.
00:51:22Je vous laisse un peu d'expérience.
00:51:24Il a fait ça à 6 mètres quand il est rentré, il a mis un tir à la tête, entre les jambes et après il y a des missions entre 18 et 48.
00:51:35Sécuriser le croisé, c'est ce qu'on s'est dit, et pareil bien orienté au cas où s'il passe dans le second.
00:51:42Le tout c'est d'arriver à voir où le bras sort.
00:51:45Il y en a juste une si il est bien à droite du terrain, tu sais qu'elle est bien externe là, et il fait son saut vraiment vers la droite,
00:51:49et là du coup il t'emmène et il te la lâche juste croisé tu vois.
00:51:53Il saute comme ça mais c'est pas intéressant ni ça, il va la poser comme ça tu vois,
00:51:59et une fois qu'il est là, il te la remettra pas à la tête tu vois, il va la remettre là-bas.
00:52:54On sent un peuple croate derrière sa patrie, derrière son équipe, et on joue pour ces moments-là.
00:53:02Vraiment on était excités, on avait envie de jouer la Croatie, en Croatie devant ses 16 000 supporters.
00:53:08Il y en a qui sont là depuis 12 ans en équipe de France, qui ont vu des belles salles, qui ont vu des 50 000 personnes et tout,
00:53:14mais ça c'est quand même des vrais arénas pour le handball, pour des arénas mythiques, là au 2009 ou autre,
00:53:20les grands, les experts et tout ça ont joué et ont concrétisé des super compétitions.
00:53:50Allez l'OM ! Allez l'OM !
00:53:54Allez, allez, allez !
00:53:56On s'en abuse !
00:54:18Bienvenue en enfer, c'est un volcan en ébullition,
00:54:21une éruption imminente dans la fournaise de la Zagreb Arena.
00:54:24La France face à tout un peuple.
00:54:37Avec Marrach, choisi pour débuter.
00:54:39Parfait, ce premier arrêt, il faut y retourner.
00:54:41Rémi Desbonnez, impacteux sur cette récupération
00:54:46et le premier but de cette demi-finale.
00:54:49Il va finalement pour étirer la défense et notamment le bloc central.
00:54:52Manque de précision, tant mieux pour les Français.
00:54:54La relance appuyée, Di Kamem qui sonne la charge à 11 mètres !
00:54:58Oh la patate énorme de Di Kamem !
00:55:04Non, non, non Thibaut, ça n'est pas du tout la solution.
00:55:19Di Kamem, avec la passe pour Benoît Picoude.
00:55:23Parfait Benoît !
00:55:28Le décalage, allez Rémi, allez pour toi !
00:55:30Au-dessus, impacte !
00:55:31Ils vont systématiquement chercher les impacteaux.
00:55:38Ce ballon lâché, Thibaut Brie est à l'envers.
00:55:40Et attention à cette contre-attaque !
00:55:44Avec ce plus 4 !
00:55:48Comme sur les deux matchs précédents, il faut garder l'attaque droite !
00:55:51Et c'était sans doute ce qui pouvait arriver de pire.
00:55:58Allez, encore, encore, l'arrêt, l'arrêt, le ballon qui ne sera pas rendu.
00:56:01Et l'erreur, l'erreur à nouveau.
00:56:12Et la punition !
00:56:19C'est un torrent qui est en train de s'abattre,
00:56:22même dans les pires cauchemars.
00:56:24L'équipe de France n'aurait pas imaginé vivre ça.
00:56:49On joue trop auprès, on joue trop auprès, il est accroché.
00:56:52Emre Yîmine au forceps malgré tout.
00:56:57C'est un rouge !
00:56:59Le cauchemar continue !
00:57:08Une bonne sortie de Huck Fabregas et derrière, c'est bien !
00:57:11Charles, il faut faire les arrêts ! Super Charles !
00:57:18Oh ! Exceptionnel le Dauphin Fabregas !
00:57:25C'est bien Charles !
00:57:26Allez, solide là-dessus.
00:57:42Allez, Nika !
00:57:44Allez, c'est bien, c'est bien, très bien.
00:57:45Ça rentre, ça passe.
00:57:47Trois buts.
00:57:55Allez, parfait, côté bras.
00:57:57Ludo, tranquillement, c'est bien.
00:57:58Non !
00:58:06La France a sombré et voit ses rêves de décrocher une 7ème étoile
00:58:10s'envoler dans la nuit noire bien sombre et obscure de Zagreb.
00:58:14La Croatie est en finale de Trois-Mondiales.
00:58:17C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
00:58:19Le match est terminé.
00:58:20C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
00:58:22C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
00:58:24C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
00:58:26C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
00:58:28C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
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00:58:32C'est la fin de l'Olympique de Marseille.
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00:59:151, 2, 3, 4, 3, 1, 2, 3, 2, Slogan, 20.
00:59:36Je pense que ce match-là,
00:59:37on le joue dix fois, on le gagne peut-être huit ou neuf,
00:59:39Ce qui est hyper frustrant, c'est qu'on n'a pas l'impression d'avoir perdu contre meilleurs que nous.
00:59:42Mais ils ont fait le match qu'il fallait pour nous piéger, et on n'a pas su répondre tactiquement.
00:59:49C'est le rôle du sport, et c'est ça qui est aussi beau dans le sport, c'est de voir des équipes peut-être plus faibles qui battent des équipes plus fortes.
00:59:57C'est dur, c'est frais, tu viens de perdre, tu gagnes tous tes matchs, et juste sur une défaite, la compétition ne s'arrête pas parce qu'on continue.
01:00:07Mais l'objectif d'être champion du monde ne peut plus être atteint, et c'est d'autant plus difficile.
01:00:15Tu perds contre la Croatie, contre tout un pays, et le lendemain tu voyages, tu prends l'avion, et tu as les mecs qui sont de rangée devant toi, qui chantent un peu.
01:00:27Donc c'est un peu à ce moment-là, le calice jusqu'à la vie, c'est pas facile à gérer.
01:00:32C'est pour ça que je disais que c'est hyper périlleux, il faut arriver à trouver le bon équilibre, à s'en servir pour avoir un peu de niaque, un peu de feu, et en même temps ça te ramène à ton échec.
01:00:42C'est vrai que c'était pas facile, et au-delà de ça il y avait aussi la fatigue.
01:00:47Nous on a fait un mondial, on n'a pas arrêté de changer d'endroit, on a été balader de gauche à droite, donc c'est aussi en ça que ça a été une vraie performance qu'on a réalisée.
01:00:56On a été à la place 3-4, aller en Norvège, retrouver ses marques comme ça sur deux jours, alors qu'on n'était pas du tout à cet endroit-là, donc c'était difficile, mais on a réussi à le faire.
01:01:26L'envoyage, surtout mentalement, après la défaite d'hier.
01:01:46C'est l'anniversaire d'Emile Ville en plus.
01:01:56Ça a été dur d'encaisser cette défaite après une compétition vraiment difficile.
01:02:02On a tous parlé, on s'est tous dit qu'il fallait bien terminer cette compétition par une médaille de bronze pour récompenser tout le travail qu'on a pu fournir depuis le début de l'année.
01:02:14Une compétition vachement positive. Je dirais même pas qu'on a raté un match, c'est qu'on a raté une mi-temps.
01:02:24On a tous parlé, on s'est tous dit qu'il fallait bien terminer cette compétition par une médaille de bronze pour récompenser tout le travail qu'on a pu fournir depuis ce nouveau cycle.
01:02:33Les générations d'avant, on met la barque tellement haute qu'on est attendus à chaque compétition.
01:02:43C'est une bonne pression, parce que bien sûr que nous les compétiteurs, on a envie d'aller chercher les meilleurs résultats, il y en a les moyens.
01:02:50Mais c'est vrai que dès qu'on fait un faux pas, on va être pointé du doigt, on va être critiqué.
01:02:55Mais ça fait partie du jeu, c'est comme ça. On vit pour ça, on vit pour vivre des moments-là.
01:03:02Quand on gagne, tout le monde va nous féliciter, et malheureusement quand on perd, toutes les personnes autour de nous vont essayer de trouver le pourquoi du comment.
01:03:10Ça ne peut pas se faire comme prévu.
01:03:13On l'a banalisé, mais ça reste quand même une super performance d'être dans le dernier carré.
01:03:19Il y a plein d'équipes qui n'ont jamais eu de médaille, ou qui en ont beaucoup moins que l'équipe de France.
01:03:25Moi j'ai dit aussi aux mecs que ça serait la plus belle médaille de ma carrière, je n'en ai pas d'autre.
01:03:30Avec l'hommage de l'équipe de France, et les médaillés en club, je n'ai pas non plus un grand palmarès.
01:03:35Ça serait pour moi la plus belle de ma carrière.
01:03:38Donc en tout cas, on comptait sur nous qu'on ferait tout pour aller la chercher.
01:04:36France-Portugal, un dernier sursaut, un ultime frisson pour revenir en France avec une médaille de bronze.
01:04:41C'est le prix à payer pour ne pas vivre une nouvelle immense désillusion six mois après celle terrible des JO de Paris.
01:04:53Et le premier but, de manière très symbolique, absolument irréprochable dans le jeu, dans ce qu'il apporte à l'équipe de France, Emric Mines.
01:05:00Julien Bosse, nouveau Nantais, à s'illustrer. Julien qui aura été irréprochable François-Xavier durant ce mondial.
01:05:16Et Thibaut, parfait ça, c'est très bien.
01:05:18C'est très bien.
01:05:23Le jeu auprès des Français, c'est très compliqué dans cet enjeu-là, mais pas pour le talent du génial Dylan Nailly.
01:05:34Trouver une solution, allez, c'est bien.
01:05:36Super Thibaut, brillé, qui a résisté à l'impact et qui a servi, lancé à toute allure.
01:05:43Et l'Olymprandie qui demande le bloc de Nicolas Tourna.
01:05:46Très bonne position.
01:05:47Voilà la violence de ce tir, on l'a vu dans ce petit coup d'oeil-là pour Nicolas Tourna.
01:05:53Et on va en rester là, 19-17 en faveur de l'équipe de France. Il y a de l'espoir.
01:05:58Brice Sylvain, dans ses oeuvres.
01:06:03Ça c'est bien, ça c'est bien.
01:06:04Travaillé Thibaut, brillé pour un long croisé.
01:06:07On profite d'Ikamem.
01:06:12Oui, ballon lâché.
01:06:14Bravo messieurs.
01:06:20Allez Dylan.
01:06:21Avec Ludovic Fabregas également, le décalage.
01:06:23Charbolt-Saint-Gilles est pour toi.
01:06:24Ouh mon garçon, allez.
01:06:27Et l'Olymprandie.
01:06:28Oh exceptionnel, c'est passé la réponse.
01:06:32Allez mon garçon.
01:06:33Allez Melvin, allez.
01:06:36On ferme tout, les oreilles.
01:06:38Et on garde la tête froide.
01:06:40Allez Melvin, allez.
01:06:42C'est bien, c'est bien.
01:06:43C'est bien, c'est bien.
01:06:44C'est bien, c'est bien.
01:06:45C'est bien, c'est bien.
01:06:46C'est bien, c'est bien.
01:06:47C'est bien, c'est bien.
01:06:48C'est bien, c'est bien.
01:06:49C'est bien, c'est bien.
01:06:50Allez Melvin, allez.
01:06:53Silva pour Kiko Costa.
01:06:55Il est solide là.
01:06:56Il est solide là.
01:06:57A l'opposé, allez Charles.
01:06:58Allez Charles, allez Charles.
01:06:59Allez Charles.
01:07:04Voilà.
01:07:08C'est gagné.
01:07:10L'équipe de France décroche la médaille de bronze.
01:07:20Hop !
01:07:43Non mais qu'est-ce que tu fais ?
01:07:44C'est quoi ici ?
01:07:47On fait les enfants dehors.
01:07:48Allez, allez, allez.
01:07:50On peut dire ce qu'on veut, on est quand même revenu avec une médaille, pas celle
01:08:07qu'on voulait mais au moins une médaille gratifiante.
01:08:20C'est d'abord un sentiment de fierté parce que c'est une médaille de bronze dans un
01:08:39mondial et puis je pense que surtout ça a été une belle compétition au final.
01:08:44Se récompenser par une médaille même si c'est qu'une médaille de bronze entre guillemets,
01:08:49ça permet de fixer un peu un truc qui s'est passé, de prendre une photographie d'une aventure
01:08:53parce que l'aventure humaine elle a été belle et de pouvoir la récompenser par ça,
01:08:58par la médaille, je trouve que c'est génial.
01:09:00J'ai jamais considéré que j'avais une place acquise en équipe de France et à chaque fois
01:09:20c'est un peu le discours de savoir peut-être que je reviendrai pas, peut-être que c'est
01:09:23ma dernière fois et ça reste une belle médaille, ça fait toujours plaisir de finir avec une médaille
01:09:29déjà, c'est pas forcément la couleur qu'on vise quand on commence la compétition mais
01:09:33voilà, être capable de rebondir après un échec et puis surtout de terminer par une victoire.
01:09:39En 2023 on termine par la médaille d'argent et mes enfants étaient là et pendant deux semaines
01:09:48j'ai eu le droit, ah c'est les rouges qui ont gagné alors que là j'ai ma fille qui m'a dit
01:09:53pendant une semaine c'est vous qui avez gagné la finale, vous avez gagné la finale, c'est la
01:09:57petite finale, on a gagné, oui mais vous avez quand même gagné, vous avez la médaille et ça,
01:10:01ça montre que voilà c'est un regard vachement positif sur la fin de cette compétition.
01:10:05Encore une fois, moi je vais te parler de quelque chose qui m'a touché personnellement,
01:10:12c'est le plaisir, le plaisir d'être sur un terrain, le plaisir de jouer avec ses copains,
01:10:15le plaisir de donner la balle à mon coéquipier, de marquer un but, de replier, de voir que tous
01:10:20tes copains sont contents pour toi, que t'es content pour eux, moi c'est toutes ces choses
01:10:23là qui m'animent quand je joue en balle.
01:10:26Quand je regarde d'un peu plus loin et j'essaie de prendre un peu de recul alors
01:10:53qu'on est encore dans la passion du match, je me dis qu'est-ce qui a été produit depuis
01:10:58quelques mois, depuis le démarrage de ce nouveau cycle et de qualité avec un état
01:11:04d'esprit des gars qui était vraiment excellent et puis quand on voit la qualité de chacun,
01:11:11quand on arrive à trouver cette bonne synergie entre les joueurs,
01:11:15on a une équipe qui forcément a de la gueule.
01:11:23C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça,
01:11:30c'est ça, c'est ça, c'est ça.
01:11:53C'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça, c'est ça.