• il y a 2 semaines

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00:00Une politique, Dimitri Vernet, bonjour Dimitri.
00:02Bonjour à tous.
00:03Bonsoir mes amis, bonsoir tout le monde, hello my friends.
00:08Et bienvenue dans la réalité parallèle de la France, le Canada,
00:12pays où quand un chef d'État est désavoué, c'est simple, il démissionne.
00:17Servir en tant que premier ministre, ça a été l'honneur de ma vie,
00:21mais j'ai tellement hâte de me redévouer à 100%,
00:26à mon rôle le plus important, celui de papa.
00:30Tabarnak, ça fait rêver cette histoire.
00:32Justin Trudeau hier au Canada, pendant ce temps-là, en France.
00:37Comme souvent, Moscou crée des crises pour prétendre ensuite
00:40vouloir contribuer à les régler, selon ses propres termes.
00:45Vous recevez hier la présidente Moldave au programme,
00:48forcément la guerre en Ukraine et l'adhésion du pays à l'Union Européenne.
00:53Dans ce contexte difficile, après l'ouverture des négociations
00:57et l'adhésion à l'Union Européenne en décembre 2023,
01:00les Moldaves ont conforté dans les urnes leur choix en faveur de l'Europe,
01:04qui permettra de dynamiser votre économie et de moderniser vos infrastructures.
01:10Petit lapsus fraudien concernant l'Union Européenne.
01:13En attendant, le chef de guerre est suivi par une grande partie du gouvernement,
01:17comme Manuel Valls au micro de BFM.
01:21Cela nous oblige surtout, nous, à réagir,
01:23et c'est ce qu'impulse le président de la République, et je m'en félicite.
01:26Nous sommes là, dès ces moments majeurs.
01:28J'avais écrit un petit livre sur le courage.
01:30Je terminais d'ailleurs avec un portrait sur Volodymyr Zaneski,
01:33qui incarne ce courage.
01:35Mais nous sommes dans ces moments où il faut relire Churchill et de Gaulle.
01:40Et où il faut relire Manuel Valls, donc, sur Sud Radio.
01:43C'est le député Roland Lescure qui était invité.
01:46Moi, je crois la responsabilité collective face à une vraie menace.
01:49Soit on se serre les coudes, soit on se met la tête dans le sable.
01:52Et pour ça, Roland semble avoir une idée.
01:54Une idée macroniste, comme toujours.
01:57Et aujourd'hui, je considère qu'il y a des gens, chapeau,
02:00qui sont prêts à se serrer les coudes,
02:02que les retraités puissent aussi...
02:04Moi, j'ai une maman que j'adore, qui est retraitée, qui a 92 ans.
02:07Je suis sûr que si je lui demande, elle me dira,
02:09ben oui, moi, je suis prêt à contribuer aussi.
02:11On n'avait pas vu venir celle-là.
02:13Les retraités seraient prêts à un effort national pour la défense.
02:16Plus c'est gros, plus ça passe.
02:20Je rentre d'Ukraine et que moi, ça me rend malade.
02:23Ça me rend malade de me dire que notre génération va peut-être être celle
02:27qui va les regarder se faire anéantir par la Russie.
02:32Enfin, on termine avec Gabriel Attal au micro du podcast.
02:35Tant qu'il y aura des hommes, l'ancien Premier ministre,
02:38pas du tout nostalgique de ses anciennes fonctions.
02:40Pas du tout.
02:42Quand vous êtes Premier ministre,
02:43c'est 50 décisions que vous prenez dans la journée.
02:47Et oui, ça, c'est quelque chose qui me manque.
02:49Après, moi, je ne suis pas dans la nostalgie.
02:51Je ne vis pas du tout avec nostalgie ce moment-là.
02:54Pas de nostalgie. Enfin, peut-être un tout petit peu.
02:57Vous avez voulu de cette dissolution, par exemple ?
02:59Je ne l'ai pas comprise.
03:01Quand vous êtes Premier ministre,
03:02le fait que cette décision soit pensée, préparée, anticipée
03:05sans que vous en soyez informé, évidemment, c'est dur.
03:09Maintenant, je ne suis pas du tout à ressasser et j'essaie d'avancer.
03:13Pas du tout, Gabriel.
03:14Ce n'est pas son genre.
03:15Pas vraiment son genre de ressasser.
03:17J'ai été Premier ministre pendant huit mois,
03:19mais avant ça, j'ai été au gouvernement pendant plusieurs années.
03:21Et ce qu'il y a, pour moi, de vraiment épanouissant
03:25quand on est dans l'exécutif, au gouvernement,
03:27c'est qu'effectivement, on peut prendre des décisions
03:29qui s'appliquent tout de suite.
03:30C'est pour ça que ça s'appelle l'exécutif.
03:32Bref, on laisse Gabriel dans ses souvenirs.
03:34Et nous, on se dit à demain.
03:35Voilà, maintenant, moi, je ne suis pas du tout à ressasser
03:37et j'essaie d'avancer.
03:39Mais oui, il faut avancer.
03:40Merci, le ministre Hivernier.

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