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00:00C'est la civilité qui a fait ça.
00:05Oui mais on ne connait pas les acteurs politiques au Sénégal.
00:12Je pense qu'ils sont toujours en mesure de trouver des plans de convergence.
00:19Je n'ai jamais entendu parler de divergences de vues sur la télévision.
00:25Ce sont les vrais acteurs politiques qui le portent.
00:29On ne sait peut-être pas ce qu'ils font sur internet.
00:35Les divergences ne sont pas fondamentales.
00:42Ce sont des divergences de vues et de points de vue.
00:51Je pense qu'ils sont toujours en mesure de trouver des plans de convergence.
00:55Parfois, les gens le savent.
00:58Parfois, les gens se sentent des numéros, ils parlent et discutent.
01:04Parfois, il y a des conséquences et tout ça doit exister en politique.
01:08C'est off the record comme on dit.
01:11Les gens ne le voient pas, ils parlent sur la télé, sur internet.
01:17Ce ne sont pas des acteurs majeurs qui le portent.
01:21Mais je pense que ce n'est pas une chose nouvelle.
01:23Il y a des divergences de vues sur le PS, sur le PS, sur les parcs de gauche.
01:30Il y a aussi des divergences entre Aboulaye Wad et nous.
01:35Mais les gens se retrouvent.
01:37Avant de parler de PASSEF, on avait une première divergence de 2000 à 2012.
01:43De 2012 à 2019, c'était fondamentalement PASSEF.
01:48Et maintenant, on est dans le PASSEF.
01:52Pour dire la vérité, on est tous ensemble.
01:55Les gars, on ne peut pas continuer sur internet.
01:57Mais les gars, entre nous, on est des gentils.
02:00Je pense que les jeunes doivent le soutenir.
02:02Je vois que vous êtes les deux.
02:04C'est un plateau qui est difficile, mais en dehors quand même.
02:07C'est notre ami, Amit Pong.
02:11Parce qu'il n'y a pas d'animosité.
02:14Je l'aime, je l'aime pas, je sais.
02:16C'est ce qui se passe.
02:17Même parfois, sur Facebook,
02:20les gens ne comprennent pas.
02:24Parfois, il y a un message, mais il y a quelqu'un qui débarque de là-bas,
02:28il ne comprend pas, puis il vient et insulte.
02:30Il rend l'ambiance un peu compliquée, un peu difficile.
02:34Finalement, c'est comme ça.
02:36Mais dans la vie réelle, on est invités tous les jours.
02:39Avant l'émission, on ne se comportait pas.
02:42On est des amis, on a pas de problème.
02:45Donc, c'est ça la politique.
02:47Maintenant, il faut juste apprendre, les jeunes doivent apprendre.
02:50Si on peut, c'est parce qu'on a appris à s'exprimer.
02:54Si on est des gars, on s'exprime avec des divergences de vie fondamentales.
02:58Entre Abdoul Rahim Agne et Idriss Seck,
03:01les gens nous rappellent encore de leurs débats.
03:03Les gens nous rappellent encore des débats entre Mbaye et Mourdiagne Fadel.
03:08Donc, on s'habitue à ça.
03:10En fait, il y a des joutes verbales.
03:13Quand on parle avec des gars, c'est comme ça.
03:18Mais au-delà de tout, on est des gars.
03:21C'est une chose, c'est vrai.
03:25Donc, c'est ce que je veux dire.
03:27Donc, c'est des choses qui arrivent.
03:28Mais il n'y a pas d'échec.
03:31Effectivement, la question vient à soi-même,
03:33parce qu'on est dans le corps.
03:34Donc, il y a de l'amitié, de l'amitié, de l'amitié.
03:37Donc, c'est toujours important de rappeler ça.
03:40D'accord.
03:41Si tu as fait tous tes débats, je t'en prie,
03:43tu as débattu avec le président de la République,
03:46parce qu'il n'y a pas d'opposition,
03:48tu as débattu avec tout le monde.
03:50Il n'y en a pas beaucoup qui ont débattu.
03:52Il y a Mbaye, Mbareme Souleil.
03:53Mbareme Souleil et Mbareme Mbareme Souleil ont tous débattu.
03:56Si tu n'as pas fait tous tes débats, il n'y a pas de débat.
03:58Si tu n'as pas fait tous tes débats, il n'y a pas de débat.
04:02Bon, j'avoue que tous les débats que j'ai eu avec eux,
04:08je l'avoue honnêtement, à chaque fois que je débattais avec eux,
04:11c'était sur des questions de principe, sur des questions économiques.
04:14Je me rappelle un jour, Mbareme Souleil venait débattre,
04:16j'étais avec un gars dans une chiffrure,
04:18il m'a dit que tous les débats étaient sur des chiffres déprimés.
04:21J'ai essayé de lui donner une direction,
04:23il m'a dit qu'il allait à Flanders,
04:24mais je commençais juste par dire qu'il allait dans une chiffrure.
04:26Il m'a dit qu'il allait à côté de la chiffrure.
04:28Mais bon, tous ces choses, je sais qu'il y a de l'amitié.
04:30Bon, comme je l'ai dit, tous les débats m'ont marqué.
04:34Même avec le président Diomaye.
04:35Oui, Diomaye, bien sûr, parce que c'est un homme très correct,
04:39il faut le dire, très courtois.
04:41Donc, il a débattu avec nous et tout.
04:42Bon, il y a tout ce qu'il y a.
04:44Donc, vraiment, et moi, je le dis avec le recul,
04:47bon, les rares choses, je suis d'accord avec le passé quand même.
04:51Je vous le dis, c'est grâce à Dieu.
04:52Vous savez, maintenant, au Sénégal, il y a beaucoup de choses à dire.
04:55Maintenant, quand vous parlez, vous dites que vous n'êtes pas d'accord.
04:58Non, je suis d'accord.
04:59Je suis dans l'opposition, je m'oppose et je l'assume.
05:03Alors, si je suis interpellé dans des cas, je ne sais pas comment dire,
05:07si j'ai la possibilité de vous parler bien,
05:10et que je sais que vous êtes d'accord, je vous le dis.
05:12C'est parce qu'ils ont contribué à relever les débats politiques,
05:15ça, il faut le dire.
05:16Ce sont les rares choses, d'ailleurs, je suis d'accord avec eux.
05:19Mais ça, c'est à un moment donné.
05:20Et maintenant ?
05:22Non, non, à un moment donné, ça dit de 2014, je me rappelle bien,
05:25jusqu'en 2019, bon, vraiment, ça, je peux le témoigner.
05:28J'ai eu une période où je disais que si je débattais avec eux,
05:30je n'allais pas réussir.
05:32Mais j'avoue qu'à part de 2019, en 2020,
05:34les gars, ils ont radicalement dépassé.
05:36C'est pour ça qu'ils ont commencé à dire qu'ils n'allaient pas réussir.
05:37Voilà, voilà.
05:38Mais après, les choses ont bougé, avec les jambolisations,
05:41il y a eu beaucoup de jambolisations.
05:43Ils ont commencé à communiquer, à parler de leurs affaires.
05:46Ils ont dit qu'ils n'avaient pas le temps.
05:49Ils ont contribué à nous jamboliser comme ça, parce qu'ils avaient intérêt.
05:52Tu sais, mais déjà, pour coordonner un produit,
05:55il faut être fonctionnaire de l'agriculture.
05:57Oui, oui, mais tu sais, c'est ça, c'est ça.
05:59C'est notre box de productif.
06:00Je me disais, non mais Pape Malik, on découvre Pape Malik.
06:03Mais je dis, mais...
06:04C'est vrai, tu ne peux pas être fort.
06:05Parce que, on peut dire que, il y a un auteur qui m'a écouté,
06:08qui est, bon, le président de Maxalle, je l'ai dit,
06:10le président de Maxalle, je l'ai dit,
06:12parce que Pape Malik, quand on l'a vu en l'encomposant,
06:14il a dit que c'était le pape Malik qui avait le pouvoir.
06:16Parce que, pour beaucoup de questions techniques,
06:17en ce moment, quand on l'évoque, on dit que,
06:19si ce n'était pas Pape Malik,
06:21est-ce que les Lama ne vont pas venir au niveau de l'APER?
06:23Parce que, quand on est dans les débats,
06:24tu sais, il y a des chiffres ou des mots techniques
06:26un peu sur certains ministères.
06:27Tu as l'habilité pour sortir de tes discours
06:31et faire quelque chose d'audible.
06:32C'est ce que Pape Malik doit préparer le produit pour faire.
06:35Ou est-ce que c'est parce qu'il est en retard?
06:36Ou est-ce que c'est parce que le niveau de débat aussi,
06:37c'est ce qu'il doit faire exactement?
06:39Tu sais, l'APER, il y a beaucoup de profils.
06:40Bon, moi, peut-être, j'ai eu l'occasion,
06:42on parle de questions économiques.
06:44On parle de questions financières,
06:45on parle de gestion publique.
06:47Bon, moi, peut-être, c'est ce que j'ai appris,
06:48c'est ce que j'ai travaillé.
06:49C'est ce que j'ai fait,
06:50mais on aurait dû parler d'autre chose,
06:52du droit, par exemple.
06:53Bon, il y a des gens qui sont plus habilités à l'APER
06:55pour parler de ça.
06:56Bon, maintenant, par rapport à Pape Malik,
06:58qui vient, qui impose des débats politiques,
07:00des débats techniques et tout,
07:01je pense que je parle sous votre contrôle.
07:04Avant 2019, avant 2020, avant 2021,
07:06vous pourriez m'inviter.
07:07Tu sais, moi, c'est ce que j'ai fait depuis longtemps.
07:09Je suis élu, j'ai étudié l'économie,
07:12j'ai étudié la science des cours,
07:13j'ai étudié l'université de Dakar,
07:14je n'ai pas étudié le chiffre,
07:16je n'ai pas étudié d'autre chose,
07:17j'ai étudié ça.
07:18Tu vois, j'ai fait mon parcours,
07:19c'est un parcours honorable,
07:21je pense que je ne vais jamais reprendre une pauvre classe,
07:23je parle sous le contrôle de mes collègues.
07:25Je n'ai pas encore étudié.
07:27Tu n'as pas encore étudié.
07:28J'ai fait mon troisième cycle.
07:29Tu vois, j'ai eu mon diplôme au troisième cycle,
07:32je suis allé faire mon doctorat,
07:33je suis allé travailler au ministère de l'économie et des finances.
07:36Je suis allé au ministère de l'économie et des finances aussi,
07:37il faut que je travaille quand même,
07:38j'en profite d'ailleurs pour l'occasion,
07:39pour s'intégrer à l'économie,
07:41comme tu le sais,
07:42j'ai travaillé avec Pierre Ndiaye.
07:45Pierre Ndiaye, c'est sa meilleure planification.
07:48Non, à DGPP.
07:49Avant, il avait été de la prévision des économies.
07:51J'ai eu l'occasion d'intégrer là-bas.
07:53J'ai travaillé là-bas,
07:54j'ai travaillé au bureau des finances publiques,
07:55donc je sais beaucoup.
07:56Tous ceux qui sont ici,
07:58les chefs,
07:59ce sont des anciens collègues que je connais très bien,
08:01ils ont travaillé avec moi.
08:03Donc, si vous avez des profils,
08:05le débat est imposé,
08:07naturellement, vous allez venir me parler.
08:08Après, à un moment donné,
08:09les gens avaient intérêt à me présenter
08:12sur un R ou un autre truc,
08:13c'est vrai que...
08:14Un registre quoi.
08:16Voilà, un registre, parce qu'ils avaient intérêt,
08:17parce qu'il y a des gens,
08:18si vous venez me voir,
08:19vous voulez me montrer,
08:21oui, c'est bien,
08:22il n'y a pas de problème,
08:23il n'y a pas de problème,
08:25il n'y a pas de problème,
08:26il n'y a pas de problème,
08:27il n'y a pas de problème,
08:29il n'y a pas de problème,
08:30il n'y a pas de problème,
08:31il n'y a pas de problème,
08:32et j'ai un profil politique,
08:34et vous voyez, je suis très technique,
08:35c'est vrai, je suis d'accord,
08:36j'ai appris, j'ai développé,
08:37je travaille,
08:39et la preuve, c'est que je connais mon travail,
08:40mais par contre,
08:41je suis un homme politique,
08:43parce qu'à l'âge de 29 ans,
08:44je suis le président du conseil départemental,
08:45c'est important.
08:47Donc là, vous voulez venir...
08:482014...
08:49Je suis le président du conseil départemental.
08:50Moi, si je me suis posé ici,
08:52vous allez me dire,
08:53on a gagné,
08:54je vais y aller, en 2014.
08:56Je suis un pédeste,
08:57Je suis un maître de la télévision,
08:58Non, mais c'est vrai,
09:00si vous avez gagné,
10:02C'est un plaisir de le dire, j'ai travaillé sur 7-8 produits.
10:05J'en profite pour vous donner l'excuse.
10:08Vous avez 29 milliards de produits.
10:11Le Sénégal est l'un des pays où il y a le plus grand nombre de produits.
10:16Est-ce que vous savez qu'il y a un projet de 59 milliards de produits?
10:20Si j'étais le pilote de Danaka,
10:24je ne serais pas là pour faire ce financement
10:27mais pour travailler pour créer des marchés.
10:29Moi, j'ai créé tous les marchés.
10:32Vous avez entendu parler du projet?
10:34Vous savez qu'il y a un scandale?
10:37Donc, il n'y a pas de scandale.
10:38Vous n'avez pas de scandale mais vous avez atteint vos objectifs.
10:43Vous n'avez pas de scandale.
10:46C'est vrai que le rapport de Dakar est contre l'UNEMA.
10:48Il n'y a pas de scandale.
10:50Vous n'avez pas atteint vos objectifs.
10:53Je veux vous expliquer qu'aujourd'hui,
10:56quand on parle de scandale,
10:57Je vous ai dit que j'ai créé 59 milliards de produits.
11:01Je vous le dis car le marché est très bon.
11:04Dans un pays normal, il n'y a pas de scandale.
11:07Je me suis posé la question,
11:08vous avez créé 59 milliards de produits,
11:10mais vous n'avez pas de scandale.
11:12Je suis d'accord mais vous savez pourquoi je suis là?
11:14Si vous avez créé 100 ou 200 francs,
11:18je vous le dis, j'ai créé 59 milliards de produits.
11:21Dans 3 ans, j'ai créé des Sénégalais
11:24qui ont travaillé ici jusqu'à l'instant actuel.
11:26Ils ont inauguré.
11:27Si je ne l'ai pas créé, je ne l'aurai pas créé.
11:29Et pourtant, vous avez dit qu'on était des sacrés.
11:31Cela ne nous fait pas mal.
11:32Effectivement, tu as raison.
11:34Le rapport de la Cour des justices est venu.
11:35Mais vous l'avez perdu.
11:37Quand on a sorti le rapport de la Cour des justices,
11:39j'étais à la une partout.
11:40Papa Malick l'a volé et je l'ai tué.
11:43Un an après, je me suis dit que je n'étais pas le père du pays.
11:47Je rappelle encore une fois que je n'étais pas ministre.
11:53Si je n'étais pas ministre, je n'aurais pas attendu la Cour des justices.
11:56J'ai expliqué le rapport de la Cour des justices
11:59mais les gens ont voulu qu'on fasse comprendre.
12:01J'ai vu quelqu'un dire qu'il y avait seulement 300 millions.
12:05Mais il n'y a eu pas mal de manquements dans le rapport.
12:07Bien sûr, il y a eu des manquements.
12:09Il y a des objectifs que vous n'avez pas mentionnés.
12:11Je vous en parlerai plus tard.
12:13Il y a eu beaucoup de manquements, je suis parfaitement d'accord.
12:16Mais personne n'a dit que papa Malick était le père du pays.
12:19Et pourtant, dans les réseaux sociaux,
12:21il y a eu beaucoup de manquements dans le rapport.
12:25Est-ce que ce n'est pas là où se trouve le malheur aussi?
12:27Quelqu'un qui a réalisé un objectif et qui doit l'atteindre
12:31après avoir fait des manquements.
12:33Très bien, ça me permet d'expliquer ce que j'ai fait au Poradac.
12:36Tu peux m'expliquer ce que j'ai fait au Poradac.
12:40Je suis très fier de mon bilan au Poradac.
12:42J'ai réalisé le Poradac en 2 ans.
12:44J'ai fait un projet de 29 milliards pour les problématiques.
12:49Quand j'arrivais ici, j'avais 4 projets et un n'était pas prêt.
12:55Il y avait des Israéliens là-bas et leur présence n'était pas spécifique.
13:01Mazar.
13:02Non, Green 2000.
13:05C'est ce qu'il y avait dans le continent.
13:07Il y a eu 3 autres projets qui n'avaient pas commencé.
13:12Quand j'arrivais ici, il n'y avait pas commencé.
13:15Je l'ai trouvé en 2017 et je l'ai arrêté là-bas.
13:20C'est la situation que j'ai trouvée.
13:21J'avais fait un projet de 52 milliards depuis 2017.
13:26Mais on l'avait arrêté car il n'y avait pas eu de marché.
13:30C'est ce que j'ai trouvé au Poradac.
13:32Je suis très fier de ce que j'ai fait.
13:36Je suis avec des Israéliens.
13:38Votre présence au niveau du Poradac, rien ne l'explique.
13:41Parce que vous êtes prêts pour l'exploitation du travail.
13:46Nous savons où les gens vont.
13:48Je travaille avec eux pour qu'ils nous donnent un chemin pour les Israéliens.
13:53Les Israéliens sont là pour les Israéliens.
13:55Commencez par le travail.
13:57Commencez par le travail.
13:59Le travail.
14:00C'est ce que nous devons faire.
14:03C'est ce que nous devons faire.
14:04C'est ce que nous devons faire.
14:07Je vais vous expliquer ce que nous devons faire.
14:13Je vais vous expliquer.
14:15Je vais vous expliquer ce que nous devons faire.
14:19C'est un problème terrible.
14:22Personne ne peut le comprendre.
14:24C'est un problème terrible.
14:28Pour la petite histoire, c'est très croustillant.
14:33On en a besoin.
14:35Parfois, j'ai reçu des menaces mystiques.
14:39Ils m'ont dit que j'allais mourir dans ce terrain.
14:42Oui, parce qu'il y a des menaces.
14:44Le président a demandé à démarrer les choses.
14:48Les jeunes parlent de tout ce qu'ils ont dit.
14:52Mais j'ai risqué ma vie.
14:55C'est pour ça qu'on est là.
14:58Les gens sont là pour le travail.
15:02Mais je n'ai pas armé les achats.
15:05C'est l'occasion de rendre hommage à Sabourin Ndiaye.
15:09Il m'a beaucoup aidé.
15:11L'autorité a exercé son pouvoir.
15:13On a porté plainte.
15:16Mais on a porté plainte contre le pape Malik.
15:19On a porté plainte contre le pape Malik.
15:22Les Sénégalais ont dit que le pape Malik ne pouvait pas travailler.
15:26Mais j'ai fait ça, j'ai battu.
15:29J'ai exercé mon pouvoir.
15:31Quand le travail a commencé, j'ai demandé à l'Etat d'avoir un lien avec Green 2000.
15:38Comme problème d'emploi.
15:40Je pense que le rapport de la cour record l'avait dit.
15:43Il y avait beaucoup d'incombrutudes.
15:45Si le contrat était avec Green 2000, il y aurait eu des problèmes d'interprétation.
15:52C'est l'une des erreurs que nous avons eues en commerce.
15:56Green 2000 disait que c'était hors-taxe et qu'on devait payer l'impôt.
16:01C'est l'interprétation qu'on a eue.
16:04L'Etat sénégal a dit qu'il ne devait pas payer l'impôt.
16:10Il y a eu des ping-pong entre les deux.
16:12Malheureusement, le product a été victime de cette situation.
16:15C'est pour ça qu'il a arrêté les travaux au niveau de Saint-Galcam et de Kersant-Bacard.
16:20Je suis d'accord avec le projet de 5,9 milliards.
16:25On a boosté l'affaire, on a géré la situation en toute transparence.
16:29Je me souviens de l'affaire de Marseille.
16:32Je me souviens de l'affaire de Marseille.
16:38On a gagné le marché et on a dit que c'était bien.
16:42C'était transparent.
16:43Oui, on l'a oublié.
16:45On ne savait pas où on allait.
16:4950 milliards.
16:50C'est pour ça qu'on s'est dit qu'on allait travailler.
16:55On a beaucoup travaillé pour le Sénégal.
17:01On a hérité d'une situation très compliquée.
17:06Le retard du projet n'a pas permis d'atteindre ses objectifs.
17:11Je vous laisse 4 chantiers.
17:16Si je quitte le ministère de la finance, je vous laisse 4 chantiers.
17:19Donc, vous n'avez pas l'intérêt.
17:20On a l'intérêt d'y aller.
17:22C'est juste que vous n'avez pas l'intérêt.
17:24Je l'ai vu aujourd'hui.
17:26Dans un an, dans trois mois, dans cinq mois, dans six mois,
17:31si vous n'avez pas l'intérêt, je ne serai pas là.
17:34Mais vous savez que nous ne pouvons pas lâcher le travail.
17:38Donc, vous avez l'intérêt de dire qu'enfin les projets sont là.
17:43Mais vous n'avez pas l'intérêt.
17:45Je suis allé à Marseille et j'ai commencé les travaux.
17:48Je suis allé à Marseille et j'ai commencé les travaux.
17:53J'ai fait de l'éducation et il fallait remettre en cause beaucoup de choses.
17:57J'ai amélioré le climat et la gestion budgétaire.
18:02Je me rappelle très bien que je suis allé à Marseille
18:04mais en moins d'un an, j'ai gagné de presque 40 millions.
18:08Mais le recrutement n'est pas un problème.
18:10Non, je n'ai pas eu de problème.
18:12Parce qu'il y a des gens qui disent qu'ils sont littéraires et qu'ils recrutent.
18:15En fait, il n'y a pas de problème.
18:17Je vous l'expliquerai demain parce qu'il y a des gens qui disent ça.
18:22C'est un littéraire qui a été recruté au Paradoc avant mon arrivée.
18:25Avant sa arrivée.
18:27Je sais que c'est faux mais je le confirme.
18:33Il a été recruté avant moi.
18:34Quand je suis venu le recevoir, j'ai compris qu'il était recruté.
18:37C'est une question que je vais répondre.
18:41C'est ce que j'ai pensé.
18:43Quand le Paradoc a été lancé, il a décidé de tout faire pour intégrer le Dak.
18:48Il fallait qu'il y ait quelqu'un qui allait être le coureur de transmission
18:53entre le Paradoc et les lutteurs.
18:55Pour expliquer leurs principes.
18:58Et il a bien fait son travail.
19:00Donc, j'ai dit qu'il n'y avait pas de soucis.
19:02Pourquoi arrêter son contrat? On a continué.
19:04Mais après, les gens ont diabolisé et ont fait des choses.
19:06Mais c'est tout grave.
19:07Tout ça, on l'a fait et je vous remercie de m'avoir donné l'occasion
19:11d'expliquer ce que j'ai fait au Paradoc.
19:13Et ce que j'assume parce que j'ai bien travaillé là-bas.
19:17Il y a eu des problèmes mais j'ai travaillé avec eux.
19:20Quand je les ai rencontrés, ils m'ont dit qu'ils travaillaient avec Faye.
19:24Il n'y a rien que je peux leur donner pour que le Paradoc fasse ce qu'il a fait.
19:29J'ai vu ce qu'ils ont fait sur les réseaux sociaux.
19:32Il y a un point dans le programme
19:35où on leur a donné 300 millions pour que le Paradoc fasse ce qu'il a fait.
19:39C'est tellement ridicule.
19:41C'est faux.
19:43Je ne fais pas le Paradoc.
19:45Je parle sur le contrôle des agents qui sont là-bas.
19:48Je ne vais pas vous dire ce qui se passe.
19:50Comme toute entreprise, il y a des avances sur le salaire que les gens se font.
19:54Comme toute entreprise, on sait qu'il y a des facilités qui n'ont pas d'intérêt.
19:58Je n'ai jamais pris ça, je ne l'ai pas pris.
20:01Je ne l'ai jamais pris avant.
20:03C'est-à-dire que c'est des permis pour les coordonnées?
20:06Bien sûr, je ne l'ai jamais pris.
20:08Même pour les crédits bancaires, je ne l'ai jamais pris.
20:12Il faut travailler, il y a des décrets.
20:15Pour moi, je ne devrais pas travailler là-bas car je ne peux rien faire là-bas.
20:21Je ne peux pas faire de divergences de vie là-bas.
20:23Je dois aller à l'hôpital pour voir si j'ai la dignité de démissionner.
20:28Donc, tu dois prendre tes responsabilités.
20:31Je ne l'ai jamais fait.
20:33Après, il y a les affaires politiques et les projets de PDIS.
20:37C'est un projet de 4 ans qui doit être financé.
20:40Il faut le lancer pour qu'il y ait de l'argent.
20:42C'est un genre de filial qui provoque.
20:44Par exemple, le Sénéweb a un journal.
20:46Il faut le lancer pour qu'il y ait de l'argent.
20:49Il faut prendre 50.000f pour l'argent du Sénéweb.
20:53C'est ce qu'on a fait avec le PDIS, 300 millions.
20:56Je ne l'ai pas vu dans la station mais quand je suis venu, je l'ai remboursé.
21:02Il m'a dit que 300 millions pour quelqu'un qui a quitté le programme.
21:09300 millions pour quelqu'un qui n'a pas encore remboursé.
21:12Il est là, il est debout, il dit tout ce qu'il pense de ce pays.
21:15Il critique le gouvernement.
21:17Je ne l'ai pas vu dans la station, je l'ai remboursé pour 300 millions.
21:20Je ne l'ai pas remboursé pour 300 millions.
21:22C'est la meilleure manière de faire tes remarques.
21:24C'est la meilleure manière de faire tes remarques.