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  • 07/03/2025
🔮 Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2025-03-07##
Transcription
00:0017h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delaval.
00:04Soyez les bienvenus dans votre émission, c'est votre avenir.
00:07Alors, je suis ravi de vous retrouver durant cette heure et finir cette semaine avec vous.
00:13Et tout d'abord, je tenais à vous remercier de tout cœur, nos auditeurs de Sud Radio,
00:17car hier à 15h48, nous avons atteint les 1 million d'abonnés sur YouTube.
00:24Et oui, c'est un moment historique pour Sud Radio.
00:26C'est grâce à vous, à la diversité des programmes que vous êtes sur YouTube,
00:32plus d'un million d'abonnés, mais sans compter tous les autres réseaux du digital.
00:37Mais bien avant tout ça, c'est aussi la FM et là où a commencé toute l'histoire de Sud Radio.
00:43Aussi, une grande place dans les audiences avec le DAB+,
00:47et puis aussi avec l'appli Sud Radio.
00:50Et pour ma part, je suis fier, car depuis ces sept dernières années,
00:56je fais partie de cette progression, de cette radio Sud Radio, de son pas en vrai.
01:01Il faut savoir aussi que c'est la seule et unique émission de radio en France
01:05où à l'heure du 16-17, et en direct en plus, on laisse la parole à des auditeurs
01:11de parler de spiritualité, d'irrationalité aussi, pour vous accompagner dans votre futur.
01:18Et je le suis. Je suis fier aussi d'être à l'origine de cette émission,
01:22de la faire vivre tous les jours. Vous êtes toujours autant fidèles
01:26et de plus en plus nombreux. Aucune émission de ce genre en France n'a atteint autant de succès.
01:33Merci à vous tous. Merci à la direction de Sud Radio et de me faire aussi confiance.
01:38Alors, continuons comme ça et prouvons-nous encore que c'est tout à fait possible.
01:45Et vous pouvez le faire en appelant le standard de 0826 300 300
01:50pour poser toutes vos questions, qu'elles soient d'ordre sentimental,
01:55qu'elles soient d'ordre professionnel ou bien sur d'autres sujets.
01:58Eh bien, je suis là pour vous répondre durant cette heure.
02:00Et puis, vous savez que tous les vendredis, on fait un petit tour d'horizon
02:04sur les endroits en France, les endroits mythiques et légendaires.
02:08Et aujourd'hui, on va aller se balader du côté de Carnac,
02:12dans le Morbihan, sur l'alignement des pierres.
02:16Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delaval.
02:19Et j'ai le plaisir d'accueillir ma première auditrice, Lili. Bonjour, Lili.
02:24Oui.
02:25Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Lili.
02:28Oui, merci. Je suis ravie de faire partie de votre studio.
02:33Merci. Je crois que nous avons un petit souci de connexion, Lili.
02:37Alors, ce qu'on va faire pour essayer de corriger ce petit souci-là
02:42et pour la qualité aussi de nos auditeurs,
02:46on va accueillir Alexandra et puis on va reprendre Lili juste après.
02:49Bonjour, Alexandra.
02:52Oui, bonjour.
02:53Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Alexandra.
02:57Merci de me recevoir.
02:58Merci à vous. Vous nous appelez d'où, Alexandra ?
03:01Alors, je vous appelle à côté d'un juin d'une ville qui s'appelle Villeneuve-sur-Lhôte.
03:06Villeneuve-sur-Lhôte, que je connais bien aussi.
03:09Il fait beau temps, j'imagine. Il fait beau partout.
03:11Voilà, il fait très, très beau temps. Oui, oui.
03:14Alexandra, vous venez d'appeler Le Standard.
03:16Vous avez été sélectionnée par Zac.
03:19Et je crois que vous vous appelez pour votre fils, c'est ça ?
03:22Voilà. Oui, oui. Je vous appelle par rapport à mon fils.
03:25Il s'appelle Théo, qui a 20 ans.
03:28Il va avoir 21 ans au mois de juin.
03:30Et en fait, il est dans une situation où en fait, il ne sait rien de ses journées.
03:34Il se lève vers 16h, 17h.
03:38Il sort le soir. Il ne rentre à pas d'heure.
03:42Quand il trouve un travail, il le garde trois jours.
03:46Et puis, il décide qu'il ne veut plus y aller parce qu'il s'est disputé avec son manager
03:50ou parce qu'il n'a pas envie de se lever.
03:52Et voilà, ça fait maintenant un an et deux que ça dure.
03:57Il faut savoir aussi qu'il a des problèmes aussi relationnels.
04:01En fait, il ne me supporte pas.
04:03C'est très, très difficile parce que je vis seule avec lui.
04:06Et moi, j'essaie de l'aider, mais en fait, il m'en veut pour je ne sais quel motif.
04:13Je ne sais pas, mais en fait, il ne peut plus me supporter.
04:16Et on est dans ce huis clos tous les deux.
04:19Et je ne vois pas.
04:21J'aimerais savoir si pour lui, ça va évoluer positivement,
04:26s'il va pouvoir sortir de cette situation-là parce que je vois que les semaines passent
04:32et que rien ne change en fait.
04:34Alors, je vais vous poser une question directe.
04:36Est-ce qu'il y a des consommations illicites à l'entourage?
04:42Je vous pose ça parce que je le ressens réellement qu'il y a ce problème-là et il s'enferme.
04:49Il y a une forme de dépression.
04:50Après, bien entendu, je ne suis pas le médecin, évidemment,
04:53mais chez lui, il y a une certaine forme de dépression.
04:56Il y a eu peut-être par rapport à l'entente familiale des fragilités auparavant.
05:02La relation avec son père, est-ce que vous vous entendez bien avec son père?
05:09Moyenne, moyenne, mais on arrive à se parler quand même malgré tout.
05:12D'accord.
05:13Est-ce que votre fils a assisté à des conflits qui ont pu se faire entre vous et son père?
05:21Oui, oui, oui, il a assisté, oui.
05:23Attention, je ne suis pas en train de vous porter la responsabilité,
05:27mais de ce que je ressens, il y a deux aspects.
05:29C'est-à-dire que vous avez perdu en crédibilité en tant que parent
05:33le fait qu'il y a eu des conflits et que vous n'avez pas réussi à vous positionner
05:37autant vous que votre mari.
05:41Et attention, ce n'est pas un jugement, parce que d'être parent, ce n'est pas évident.
05:44On peut faire tous des erreurs.
05:46Un parent parfait, est-ce que ça existe? Je ne sais pas.
05:49Mais en attendant, votre fils, lui, s'est retrouvé un peu observateur de certaines scènes,
05:56de certaines situations, qui fait que ça a fait perdre un petit peu,
06:00pas en légitimité, mais un peu en crédibilité par rapport à l'éducation que vous avez apporté,
06:06même si vous lui avez apporté une réelle éducation avec des vraies valeurs.
06:10Et puis, il y a ce côté aussi d'autonomie.
06:14C'est-à-dire qu'à un moment donné, il s'est autorisé ou il a pris une autonomie.
06:18Bon, il a 21 ans, donc il est adulte.
06:21Je l'entends bien et je le comprends bien.
06:22Mais si vous voulez, il s'est peut-être, il est devenu autonome très jeune.
06:29C'est-à-dire qu'en fait, moi, je travaillais tard.
06:31Donc, après, on habitait à côté de son collège.
06:36Et c'est vrai que le soir, il ne rentrait pas systématiquement à la maison.
06:41Je pense qu'il a commencé à avoir des fréquentations qui n'étaient pas très bonnes.
06:45Et ça a duré.
06:47Donc, il y a eu un petit souci, si vous voulez, où il s'est autorisé une autonomie
06:51et peut-être un encadrement sur lequel vous n'avez pas pu tout gérer
06:54parce que malheureusement, vous avez des obligations de travail.
06:58Et aujourd'hui, d'être parent, on ne peut pas rester seulement à la maison.
07:04D'autant plus que la vie est de plus en plus chère.
07:06Donc, c'est normal.
07:07Et chez lui, il y a cette problématique aujourd'hui de consommation illicite
07:14qui fait que ça l'enferme dans une forme de dépression,
07:18dans un rapport d'autorité aussi, d'opposition à l'autorité.
07:23Et il ne vous supporte plus. Pourquoi ?
07:25Parce qu'à un moment donné, c'est inconscient.
07:27C'est vraiment inconscient.
07:28Et lui, peut-être, ne peut pas l'exprimer de cette manière-là.
07:31Il pourra l'exprimer plus tard, quand il sera beaucoup plus grand et beaucoup plus adulte.
07:36Mais à un moment donné, il a eu le sentiment que vous l'avez abandonné.
07:40Je parle d'un sentiment. Je sais très bien que vous ne l'avez pas abandonné.
07:43Vous voyez bien la différence de ce que je veux dire ?
07:45Oui, bien sûr, je le comprends.
07:48Et inconsciemment, il renvoie cette notion de rejet,
07:53cette notion d'autorité sur vous et de vouloir décider.
07:58Il va falloir durcir un peu les choses.
08:00Sincèrement, je ne veux pas vouloir jouer le gendarme
08:04ou, en tous les cas, vous dire ce que vous avez à faire.
08:07Mais j'ai l'impression que, même s'il est dans une fragilité,
08:11même s'il n'est pas bien, il faut qu'il se responsabilise et qu'il se prenne en main.
08:16Et se prendre en main, c'est aussi se faire aider psychologiquement.
08:20C'est aussi, à un moment donné, se réveiller et prendre conscience
08:25que la vie, à cet âge-là, et surtout à 21 ans,
08:28ce n'est pas de rester toute la journée enfermée dans une chambre.
08:31Ce n'est pas ça.
08:34Et ça ne veut pas dire pour autant qu'il faut employer la force,
08:38qu'il faut employer la violence. Pas du tout.
08:41Mais il faut être déterminé, il faut être juste,
08:44il faut créer une certaine forme de rigueur
08:49et, à un moment donné, vous êtes chez vous, il ne faut pas oublier,
08:54et c'est vous qui décidez.
08:57D'accord, oui, mais pour le faire agir, justement,
09:00parce que là, c'est vrai que je lui dis effectivement, je l'incite,
09:04même je l'incite à aller voir Amesim, mais il a le déni.
09:07Oui, mais vous l'incitez.
09:10Le terme, vous l'avez bien employé, vous l'incitez.
09:13En tous les cas, je pense qu'à un moment donné,
09:16soit tu décides de changer et tu fais ce qu'on te demande de faire,
09:21parce que ça fait partie des règlements.
09:24Vous savez, quand vous éduquez votre enfant,
09:28il y a des règles d'éducation, de bonjour, de merci, de revoir.
09:33Ce sont des règles simples, mais ce sont des règles qu'on doit appliquer dans l'éducation.
09:37C'est comme dans une entreprise.
09:39Une entreprise, on ne peut pas faire tout ce qu'on veut.
09:41On a des devoirs de conduite, d'attitude, de choses comme ça.
09:45Eh bien, à la maison, c'est la même chose.
09:48Je pense qu'il ne faut pas l'inciter,
09:51mais à un moment donné, il faut mettre en place ce protocole
09:55et ces accords ensemble pour que ça s'améliore
09:59et lui laisser bien sûr ce temps.
10:01Évidemment, il ne faut pas être non plus inhumain,
10:04mais laisser ce temps qu'il se récupère.
10:07Mais en attendant, pour moi, je sens que ça va être compliqué, ça va être difficile.
10:13D'accord.
10:14En fait, vous ne voyez pas l'issue dans les prochains mois.
10:19Vous voyez quand même que ça peut évoluer positivement.
10:22Oui, mais faites-vous aider.
10:23Parce que c'est peut-être vous, de votre côté,
10:25où vous devez peut-être changer d'attitude et devoir être beaucoup plus ferme.
10:32D'accord ?
10:33D'accord, très bien.
10:34Merci à vous, Alexandra.
10:35Prenez soin de vous.
10:36Et puis surtout, revenez vers nous dans quelques mois
10:38pour voir comment vous avez évolué.
10:40Mais j'espère que ce que je vous ai dit sont des bons conseils
10:44et vous aideront à avancer.
10:46Merci.
10:47Sans doute pas.
10:48Je vous remercie, Alexandra.
10:49Au revoir.
10:51Et je retrouve Lili.
10:52Bonjour, Lili.
10:53Re-bonjour.
10:55Vous êtes là ?
10:56On vous entend bien ?
10:57Oui, je suis là.
10:58Lili, vous nous appelez de Toulouse.
11:00Oui, tout à fait.
11:01C'est ça.
11:02Vous avez des...
11:03Vous vous interrogez sur votre travail.
11:06Vous avez des petits problèmes ou des gros problèmes.
11:09Je ne sais pas.
11:10Racontez-nous.
11:11Alors, en quelques mots, je suis depuis plus de 25 ans aide-soignante.
11:19Je fais partie d'un syndicat.
11:21Oui.
11:22Et je fais partie aussi d'un CSE de l'entreprise.
11:26Il s'avère que depuis quelques mois, je rencontre des problèmes internes
11:31concernant des collègues de travail.
11:36Et ma position dans le syndicat dérange énormément.
11:41Voilà.
11:42Ça crée des tensions, des jalousies.
11:45Voilà.
11:46Donc, du coup, les restructurations qui sont à ce moment,
11:52ça met beaucoup aussi en mal le fonctionnement des services.
12:02Oui.
12:03Voilà.
12:04Du coup, là, j'ai eu un problème important au niveau de ça.
12:13C'est un souci de jalousie, un souci de regard sur vous, un jugement un peu difficile.
12:21C'est ça.
12:22Et votre question aujourd'hui ?
12:27Ma question serait de la situation à venir.
12:32Ce qui va en être par rapport à moi.
12:37Ça vous fait perdre confiance en vous, Lili ?
12:41Alors, en quelques mots, oui.
12:43Sachant que je suis quand même une personne qui adore mon travail,
12:47adore ce que je fais.
12:48Alors, on essaie de me déstabiliser par n'importe quel moyen,
12:51mais pour l'instant, il n'y arrive pas.
12:54Non.
12:55Lili, ce que j'ai à vous dire, c'est vraiment, vous êtes sur la bonne route.
12:59Vraiment, c'est ce que je ressens.
13:00Vous êtes sur le bon chemin, vous êtes sur la bonne route.
13:03Et effectivement, on va dire qu'il y a des vents un peu contre vous
13:07qui essayent de vous déstabiliser, comme si on essayait de vous déraciner de quelque chose.
13:11Pourquoi ?
13:12Parce que vous avez peut-être une méthodologie de travail, une rigueur.
13:16Vous êtes consensueuse dans votre travail.
13:20Oui, parfait.
13:21Et certains ne le sont pas de la même manière, pour ne pas vouloir juger et critiquer.
13:26Mais voilà.
13:27Donc, du coup, ça dérange.
13:29Ça dérange parce que vous êtes à cheval sur certaines règles, sur certains principes de travail.
13:34Restez comme vous êtes.
13:36Vraiment, restez.
13:37N'ayez pas peur.
13:38Ne vous sentez pas agressée ou ne vous sentez pas trop attaquée.
13:43Vous l'êtes, oui.
13:44Ça, c'est vrai.
13:45C'est ce qui semble ressortir.
13:46Effectivement, vous l'êtes.
13:48Quand vous parlez de jalousie, il y a effectivement une forme de jalousie.
13:51Il y a des moments où ça peut être un peu méprisant, la manière dont ils agissent envers vous.
13:57Mais plus vous allez ne pas, je dirais, vous laisser déstabiliser, perdre confiance en vous,
14:06et plus ça va donner de la force et plus ça va vous donner cette capacité à les faire chuter et vous à résister
14:14et à pouvoir arriver à réussir à ce que vous avez envie, tout au moins la manière dont vous avez envie de réussir.
14:23Donc, je sens que oui, c'est difficile.
14:27Oui, c'est compliqué.
14:28Oui, c'est de l'affrontement.
14:29Oui, c'est à un moment donné de savoir prendre du recul.
14:32C'est de savoir placer les mots et de savoir répondre comme il faut répondre.
14:37Mais en tous les cas, ce que je ressens, c'est que vous allez y arriver,
14:40que vous ne perdrez pas totalement confiance et que vous avez la capacité de dépasser tout ça
14:45et qu'à un moment donné, vous allez tous les mettre à terre pour pouvoir vous continuer sereinement et tranquillement.
14:51Et du coup, parce que j'ai un projet externe qui est complètement à l'opposé,
14:57que je voudrais mettre en place d'ici quelques temps.
15:00J'attends l'approbation, la validation, vous savez, avant de mettre en place les choses.
15:05Est-ce que vous pensez que là-dessus...
15:08Oui, ça peut se faire. Alors bon, on ne l'a peut-être pas assez abordé, mais ça peut se faire.
15:12Je réponds par rapport à votre question et votre préoccupation d'entreprise là, aujourd'hui.
15:18Mais sur votre projet, je ne sens pas d'opposition, je ne sens pas des choses.
15:22On dirait que ça va mettre du temps à se mettre en place, il ne faut pas se précipiter en tous les cas.
15:27Vous pouvez le faire en parallèle, c'est ce que je ressens.
15:31D'accord, c'est parfait alors.
15:33Merci à vous, prenez soin de vous Lily.
15:36Merci, bonne journée à vous.
15:38Merci.
15:39Allez, vous posez vous aussi peut-être des questions sur votre devenir, sur votre week-end, comment va-t-il se passer ?
15:45En tous les cas, apparemment il va faire beau, donc vous avez peut-être des activités à venir.
15:49Mais quel que soit le sujet ou le domaine, je suis là pour répondre à toutes vos préoccupations.
15:54Un seul numéro, 0 826 300 300.
15:57Dans quelques minutes, j'aurai le plaisir d'accueillir Marie.
16:01Marie qui a subi une dépression récemment et elle a besoin d'évoluer professionnellement.
16:07Alors, va-t-elle y arriver ?
16:08Eh bien, la réponse est dans quelques minutes.
16:11Aujourd'hui, on va parler des alignements de pierres à Carnac, en Bretagne, dans le Morbihan.
16:16Battues par les vents depuis plusieurs millénaires, ces mystérieuses pierres situées en Bretagne, dans le Morbihan, ont alimenté de nombreuses légendes.
16:25Ces lignes, dessinées par d'imposantes pierres aux formes irrégulières, s'étendent sur plus de trois kilomètres.
16:33Les alignements de Carnac ont longtemps été attribués aux Gaulois.
16:37Un mythe encouragé par un célèbre petit Gaulois à la moustache jaune.
16:41Ce n'était pas moi, bien entendu.
16:43Et ces pierres ont pourtant été érigées aux Néolithiques, il y a près de 5000 ans, soit bien avant les Gaulois.
16:51Ces derniers ont longtemps fait l'objet de légendes et soulèvent encore aujourd'hui de nombreuses questions.
16:57Comment de simples hommes du Néolithique ont-ils pu ériger ces pierres ?
17:04Alors, si les chercheurs sont aujourd'hui en mesure de fournir une explication sur leur construction,
17:09une grande question demeure, à quoi servent-elles ces pierres ?
17:13Eh bien, la région de Carnac comporte sept alignements et 579 ménhirs.
17:20Nombreuses sont les légendes qui entourent le site mégalithique de Carnac,
17:25et ancien peut-être cimetière gaulois, puisque ces pierres auraient été aménagées pour honorer les morts.
17:31Suivant certaines légendes, les grosses pierres auraient été destinées aux plus riches,
17:36tandis que les plus petites étaient réservées aux plus pauvres.
17:39Selon un autre mythe, ces pierres ne seraient ni plus ni moins que des soldats païens changés en pierres
17:45après avoir poursuivi Saint Cornélie, devenu pape au IIIe siècle, et l'avoir acculé au bord de la mer.
17:54Dans une autre variante, les pierres seraient l'armée pétrifiée de César,
17:59pierre gardienne d'un secret ou d'un trésor reposant sur leurs pieds.
18:03Mais en réalité, les récentes études et couvertes scientifiques ont montré
18:07que les ménhirs auraient été élevés entre le Ve et IIIe millénaire avant notre ère,
18:13par les habitants du Néolithique, et donc Carnac serait l'œuvre d'une population du Néolithique.
18:20Et à présent, je vais accueillir Marie. Bonjour Marie.
18:24Bonjour Alexandre, merci de prendre mon appel.
18:27Merci à vous. On est loin de cette ère néolithique, même si parfois l'actualité nous fait penser à y revenir.
18:36Oui, ça fait peur.
18:38Oui, effectivement. Alors Marie, vous nous appelez de la Gironde.
18:42Oui, c'est ça.
18:44En 2022, vous avez subi une dépression. Est-ce que c'était une dépression ou un burn-out ?
18:51Un peu les deux.
18:53Un peu les deux, d'accord.
18:55Et vous avez travaillé dans une conciergerie.
19:00Oui.
19:01Où l'expérience n'a pas toujours été très bonne.
19:04Mais dans cette conciergerie, vous avez rencontré une cliente qui vous fait une proposition de travail.
19:09Racontez-nous.
19:10C'est ça. Et là, depuis peu, elle m'a fait un contrat.
19:17D'accord. Alors, c'est quoi comme proposition de travail ?
19:23Je ne peux pas trop parler.
19:25D'accord. Mais c'est toujours autour de la conciergerie ?
19:28Non.
19:29Non, d'accord. Ok. Ça reste un secret professionnel.
19:33C'est quelqu'un qui m'a embauchée définitivement suite au travail que j'ai exercé chez elle.
19:40D'accord. Ok. En tous les cas, vous travaillez pour elle.
19:44Oui.
19:45Très bien.
19:46Pour une cliente de cet emploi de service.
19:51D'accord. Et quelle est votre question aujourd'hui, Marie ?
19:55Quelques mois après avoir signé le contrat, j'ai eu un déclenchement du canal carpien qui me fait mal.
20:05Ça me fait très peur.
20:07Parce que votre travail est physique ?
20:09C'est faire du ménage, faire de l'entretien.
20:13De l'entretien, oui. C'est physique quand même.
20:15Oui.
20:16Ça ne se fait pas en claquant. Vous n'êtes pas Joséphine Angegardien.
20:20Voilà.
20:21C'est génial.
20:22C'est vous qui m'aviez dit qu'il fallait que je sorte de la maison pour prendre l'air.
20:27Ah, ok. Parce que vous avez déjà appelé l'antenne de Sud Radio.
20:31Oui, oui.
20:32Vous n'êtes plus dit. Exprimez-vous. On veut tout savoir, ma chère Marie.
20:40Je vous ai déjà téléphoné plusieurs fois depuis le Covid, depuis l'affaire du Covid.
20:46Ah, ok. Et je vous avais dit de prendre l'air.
20:49Oui, oui.
20:50Donc vous avez pris l'air ?
20:52Oui. C'est vous qui m'aviez dit et je vous ai écouté.
20:55Parce que ça m'a fait beaucoup de bien.
20:57Ah, justement.
20:58Je me rabaissais tout le temps. J'étais pas capable, j'étais pas capable.
21:01Et un jour, je me suis dit, ok, je prends mes deux mains et je m'en vais travailler.
21:06D'accord. Et du coup, aujourd'hui, est-ce que vous vous regrettez pas ?
21:10Vous approuvez ce que je vous ai dit en termes de conseils ?
21:13Ah, pas du tout. Mais si vous saviez comme je m'éclate.
21:16Bon, mais c'est magnifique. Là, je vous sens détendue.
21:19Autant, je vous sentais timide au début du témoignage.
21:25Et là, je vous sens beaucoup plus détendue. Donc, c'est magnifique.
21:28Oui, parce que j'avais le cœur qui battait à fin de verre.
21:30Ah, bon, d'accord. Alors, vous avez des soucis au niveau de la main.
21:35Vous avez fait une intervention ou pas ?
21:37Non, je ne veux pas. Je ne veux pas parce que c'est deux mois d'arrêt après.
21:43Oui, mais sincèrement, attention, je ne suis pas le médecin et je ne veux pas faire de diagnostic.
21:49Mais votre corps, lui, il manifeste quelque chose. Il manifeste une douleur.
21:56Donc, il demande à vérifier et être vigilante sur ça.
22:01Cependant, vous avez un métier qui forcément sollicite votre main.
22:06Donc, prenez en compte l'avis du médecin. Vraiment.
22:11Je sais, j'entends que vous ne voulez pas décevoir votre cliente.
22:16Vous voulez être présente. Vous êtes motivée.
22:20Mais vous n'êtes pas un robot. Vous n'êtes pas une sur-personne, une sur-femme.
22:26Vous avez aussi, parfois, le droit, à un moment donné, de prendre soin de vous.
22:33Et si le médecin, aujourd'hui, vous dit qu'il y a un besoin de soins particuliers,
22:39et notamment d'arrêt pour justement faire une petite intervention, faites-le.
22:44Pourquoi ? Parce que plus vous retorderez et plus je sens que ça va vous rattraper.
22:49Alors, il n'y a pas d'urgence. Il n'y a pas d'urgence.
22:52C'est ça que je voulais entendre.
22:53Mais votre médecin, il vous dit quoi, aujourd'hui ?
22:56Non, je ne vais pas voir le médecin. J'allais voir un guérisseur.
23:00Qui m'a dit qu'il s'occuperait de moi pour me laisser passer l'année.
23:04D'accord. Alors, il y a le scientifique et il y a l'irrationnel.
23:08Ça tombe bien, vous êtes à la bonne porte.
23:10D'accord. Mais on peut valider l'irrationnel par...
23:16Enfin, on doit valider l'irrationnel par le rationnel.
23:20D'accord. Donc, pour moi, vous pouvez continuer avec ce magnétiseur,
23:25si vous faites du bien et si vous sentez du bien.
23:27Mais il faut aller voir un médecin.
23:29Et si le médecin vous dit qu'il faut faire une petite intervention,
23:32faites confiance à la médecine scientifique parce qu'elle est là.
23:35Elle est utile aussi.
23:37Mais par contre, est-ce que je pourrais quand même faire l'année jusqu'au mois de septembre ?
23:41Complètement.
23:43Ah d'accord.
23:45Vous pouvez.
23:47C'est ça que je voulais savoir.
23:49Vous pouvez et vous nous rappelez à la rentrée pour nous dire comment ça se passe.
23:53Merci Alexandre, parce que j'avais peur que je ne sois arrêtée suffisamment.
23:57N'ayez aucune crainte et moi je vous embrasse.
24:00Et moi aussi.
24:02Ça va vous donner du réconfort.
24:04Je crois que vous me réconfortez chaque fois.
24:06C'est magnifique, merci.
24:08Vous avez besoin d'avoir des réponses à vos questions comme Marie ?
24:11Eh bien, tout simplement, appelez le 0826 300 300.
24:15On va se retrouver avec Maryse.
24:17Maryse, après 20 ans dans la même entreprise,
24:19eh bien, c'est justement l'appel pour son fils qui a subi un enfer.
24:27On en parle juste après.
24:2916h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir.
24:31Alexandre Delaval.
24:33Bienvenue de retour dans votre émission, c'est votre avenir.
24:36Alors, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
24:38Je rappelle que nous sommes en direct.
24:40Et si vous avez besoin de réponses à vos questions,
24:43n'hésitez pas, Zach Austandard est là pour vous.
24:47Tout simplement pour vous accueillir au 0826 300 300.
24:51Si vous voulez être plus près de chez nous et de chez vous,
24:56eh bien, surtout téléchargez l'appli Sud Radio.
24:59Comme je vous ai dit tout à l'heure,
25:01nous avons atteint plus d'un million d'abonnés sur YouTube.
25:04Mais n'hésitez pas aussi à être présent par d'autres réseaux sociaux
25:09et sur le digital.
25:11Nous sommes aussi bien présents.
25:13Allez, à présent, j'ai le plaisir d'accueillir Maryse.
25:17Excusez-moi, décidément.
25:19Maryse, elle est déjà passée avec nous.
25:21Et là, c'est Maryse.
25:23Vous nous appelez d'où ?
25:25De l'Occitanie.
25:27Vous vous appelez pour votre fils, Maryse.
25:29C'est ça, oui.
25:31Alors Maryse, votre fils a quel âge aujourd'hui ?
25:3442 ans.
25:36Et il a vécu une difficulté professionnelle.
25:41Racontez-nous un petit peu.
25:43Voilà, c'est ça.
25:45Ça faisait une vingtaine d'années qu'il était dans une entreprise.
25:47Et l'an dernier, ça a changé.
25:49Ils ont été rachetés.
25:51Au début, ça a fusionné.
25:53Et alors, le management a changé complètement.
25:55Lui, il ne se retrouve plus.
25:57Avant, il faisait attention à ses clients et aux commerciaux.
25:59Et là, maintenant, c'est que les chiffres comptent.
26:01Il s'en fout des clients.
26:03Pour lui, c'était inconcevable.
26:05Il a été tellement déçu.
26:07Il avait...
26:09Auparavant, pourtant, il était bien reconnu.
26:11Oui, oui, oui.
26:13Avec l'ancien patron.
26:15C'était très bien.
26:17Il était très content.
26:19D'ailleurs, pour être resté 20 ans.
26:21Est-ce que lui-même a du mal...
26:23Je comprends.
26:25Je comprends qu'aujourd'hui,
26:27il est dans une situation de fragilité,
26:29de difficulté.
26:31Surtout quand, à un moment donné,
26:33on vit une période, dans une entreprise,
26:35une période de succès.
26:37Et puis, du jour au demain, on n'a plus cette reconnaissance-là.
26:39Et qu'on n'a rien changé.
26:41Dans la méthode de travail ou autre.
26:43Mais que le regard est différent.
26:45Mais...
26:47Est-ce que lui, justement, il ne souffre pas de ça ?
26:49Au-delà de comportements,
26:51d'attitudes des autres.
26:53Mais le fait qu'entre ce qu'il a vécu
26:55auparavant et aujourd'hui,
26:57d'une autre période.
26:59Est-ce qu'il n'est pas en souffrance avec ça ?
27:01Si, parce que ce n'est pas du tout
27:03sa façon de travailler.
27:05Avant, il privilégiait
27:07tous les clients.
27:09C'était comme ça dans la boîte.
27:11La philosophie de la boîte.
27:13Maintenant, tout a changé.
27:15Et du coup, il est en maladie
27:17depuis le mois de mai dernier.
27:19Et il n'a toujours pas repris ?
27:21Non.
27:23Sans reprendre,
27:25on ne sait pas ce qui peut arriver.
27:27On ne lui propose rien.
27:31Est-ce qu'il a essayé de négocier un départ ?
27:35Il a été convoqué,
27:37mais ils n'y ont proposé rien du tout.
27:39Ils pensaient que quand il avait été convoqué,
27:41une fois c'est arrivé.
27:43Pour moi, j'ai l'impression
27:45qu'il va avoir un entretien
27:47et il y a une possibilité,
27:49il y a une issue.
27:51On peut éventuellement lui proposer
27:53quelque chose, mais j'ai l'impression
27:55que ça ne va pas s'adapter
27:59à sa personnalité
28:01et à ses capacités,
28:03à ses compétences professionnelles.
28:05Donc, il pourra jouer de ça
28:07pour effectivement
28:09revenir sur le sujet,
28:11de dire que ce que je veux,
28:13c'est négocier un départ et partir.
28:15Et je crois qu'ils vont le faire, ils vont accepter.
28:17Je vois une issue,
28:19je vois quelque chose. Dans un premier temps,
28:21je ne les vois pas venir à lui
28:23avec une idée
28:25de licenciement
28:27ou de se séparer de lui.
28:29Ils arrivent avec une idée d'un projet,
28:31je ne veux pas dire bateau,
28:33mais d'une proposition de poste
28:35qui ne soit pas
28:37pour lui adaptée, légitime et autre.
28:39Et à partir de là, ça lui donne
28:41de la force, ça lui donne de la puissance
28:43pour justement
28:45proposer un départ.
28:47Et là, on rentre en négociation vers un départ.
28:49Alors, il acceptera,
28:51même si cette négo...
28:53C'est ce qu'il souhaite.
28:55Il acceptera parce que même si cette négociation
28:57n'est peut-être pas la négo du siècle,
28:59il pourrait avoir mieux,
29:01mais il a besoin
29:03de se libérer et surtout de passer à autre chose.
29:05Et ça va se faire comme ça.
29:07Et oui, parce que là, il voudrait revenir, mais comment faire ?
29:09Il cherche autre chose ?
29:11Je ne sais pas. Vous le voyez dans un autre
29:13secteur que le commerce ?
29:15Je ne sais pas.
29:17Il va continuer. Il ne faut surtout pas qu'il reste
29:19sur un sentiment d'échec,
29:21mais d'une expérience qu'il a vécue auparavant
29:23parce qu'il a les performances,
29:25il a les compétences, c'est un bon dans son domaine.
29:27Donc, il a été fragile,
29:29il a été peut-être surmené,
29:31il a été trop, je dirais, pressé
29:33auparavant. Et ce n'est pas aussi
29:35la faute que d'un changement
29:37de hiérarchie
29:39ou de management. C'est aussi, lui,
29:41il s'est trop mis cette pression.
29:43Donc, il a besoin, la prochaine fois,
29:45dans ses prochaines expériences, de voir
29:47les choses autrement et différemment,
29:49mais il a les compétences. Et pour moi, il reste dans
29:51un domaine, peut-être un secteur différent,
29:53mais dans le même
29:55métier de ce qu'il faisait
29:57auparavant. D'accord ?
29:59Oui, le commerce, c'est ce qu'il sait le mieux de faire.
30:01C'est ce qui lui plaît.
30:03Après, il ne savait pas trop
30:05ce qu'il voulait faire.
30:07Non, il a besoin de franchir
30:09des étapes. Donc, pour l'instant,
30:11ça reste le commerce, mais
30:13je ne peux pas trop vous dire de quoi il s'agit
30:15exactement.
30:19Je ne ressens pas ça, pour l'instant.
30:21Je ressens plus, voilà,
30:23rester dans un statut salarié
30:25et commerce.
30:27D'accord ? Merci, Maryse.
30:29N'hésitez pas à revenir vers nous.
30:31D'accord. Merci.
30:33Bonne journée.
30:35J'ai le plaisir d'accueillir Isis.
30:37Bonjour, Isis. Oui,
30:39bonjour, Alexandre. Je suis contente
30:41de passer à l'antenne. Joli prénom,
30:43Isis. Oui, merci.
30:45Je ne vous drague pas, ne vous inquiétez pas.
30:49Vous appelez d'où,
30:51Isis ? Des Bouches-du-Rhône.
30:53Des Bouches-du-Rhône, parfait.
30:55Alors,
30:57vous travaillez dans le secteur social ?
30:59C'est ça, depuis 25 ans.
31:01D'accord.
31:03Et que se passe-t-il ?
31:05Alors, il y a une restructuration
31:07qui a été
31:09enclenchée
31:11il y a quelques semaines, voire mois.
31:13Moi, je suis à distance
31:15parce que je suis
31:17immobilisée, je me suis fracturée
31:19la jambe.
31:21Je suis à distance de tout ça.
31:23Et je voulais
31:25voir si j'allais m'adapter
31:27parce que
31:29il y a des personnalités
31:31un petit peu fortes
31:33et puis aussi un remaniement.
31:35J'aurais voulu voir si j'allais
31:37pouvoir m'adapter.
31:39Est-ce que je vais continuer
31:41dans le social
31:43toute ma carrière ?
31:45Je suis au milieu de ma carrière.
31:47Est-ce que ça va être toujours au sein de la même institution ?
31:49Est-ce que je vais
31:51pouvoir m'ouvrir à d'autres
31:53perspectives, que ce soit dans un autre
31:55domaine ou bien
31:57travailler dans un autre endroit ?
31:59Est-ce que
32:01je voulais voir un petit peu,
32:03faire le point
32:05par rapport à ça, ce que vous ressentez ?
32:07Moi, de ce que je
32:09ressens, Izzy, c'est que
32:11vous êtes dans cette période de peur,
32:13de crainte, dans des
32:15doutes
32:17et d'une certaine forme d'appréhension
32:19mais plutôt d'une appréhension avec vous-même
32:21et non pas
32:23par rapport à ce que vous devez
32:25affronter. Enfin, si
32:27de la manière dont vous allez affronter les choses
32:29mais ce que je veux dire, pas par rapport
32:31aux personnes en elles-mêmes
32:33qui vont être face à vous, mais vous
32:35comment vous allez pouvoir réagir,
32:37inter-réagir, comment vous allez pouvoir
32:39véhiculer
32:41tout ça
32:43et c'est surtout ça qui semble
32:45apparaître chez vous comme
32:47en étant une faiblesse. Donc
32:49arrêtez d'avoir peur,
32:51arrêtez peut-être de vous
32:53sous-estimer
32:55de vos capacités, de vos
32:57possibilités et surtout
32:59restez dans cette notion
33:01de confiance,
33:03de possibilités où vous allez
33:05arriver à avancer,
33:07à évoluer et
33:09surtout d'être
33:11dans l'engagement dans lequel vous êtes
33:13aujourd'hui. Et l'engagement, il est bon.
33:15Donc pour moi, il y a une évolution
33:17au sein de la structure
33:19dans laquelle vous êtes.
33:21Il y a une évolution et
33:23vous avez cette capacité
33:25à faire encore pas mal de choses.
33:27Maintenant, à vous,
33:29peut-être de
33:31vous interroger, à savoir est-ce que
33:33vous êtes vraiment en phase
33:35avec ce que vous faites aujourd'hui
33:37ou est-ce que vous avez peut-être envie
33:39d'évoluer sur un autre
33:41métier aussi ?
33:43Est-ce que vous vous êtes déjà posé cette question-là ?
33:45Oui, c'est vrai qu'avec cette
33:47immobilisation,
33:49je réfléchis beaucoup, je suis
33:51beaucoup dans des
33:53lectures spirituelles,
33:55j'aurais envie, il y a des choses qui me
33:57traversent, j'aurais envie d'aider,
33:59de soigner,
34:01de guérir quelque part.
34:03C'est-à-dire que je vous sens effectivement être dans cette
34:05phase peut-être de
34:07réflexion et de se dire peut-être une reconversion
34:09et ça viendra. Ça viendra,
34:11peut-être que ça va se mettre en place mais pas
34:13avant 3-4 ans, pas avant. En attendant,
34:15restez dans l'action,
34:17dans la responsabilité dans laquelle vous êtes aujourd'hui
34:19et n'ayez pas peur,
34:21surtout n'ayez pas peur parce que ça va bien se passer.
34:23D'accord ?
34:25Très bien, merci beaucoup pour vos conseils.
34:27Merci beaucoup Alexandre.
34:29Merci, à très bientôt Ulysse.
34:33Et j'ai le plaisir d'accueillir Christine.
34:35Bonjour Christine.
34:37Oui bonjour. Bienvenue
34:39à l'antenne de Sud Radio Christine.
34:41Merci. Vous vous appelez d'où ?
34:43J'habite
34:45l'Aquitaine. C'est l'Aquitaine.
34:47Nouvelle Aquitaine.
34:49D'accord, très bien.
34:51Alors, vous avez fait une rupture
34:53conventionnelle il y a deux ans
34:55suite à un burn-out.
34:57Alors le vendredi, on parle
34:59principalement du côté
35:01professionnel parce qu'il y a beaucoup de
35:03demandes et je crois que
35:05aujourd'hui, beaucoup
35:07de gens vivent un véritable
35:09stress dans le monde de l'entreprise,
35:11dans le travail mais pas seulement
35:13celui de l'entreprise en étant même
35:15indépendant ou autre.
35:17Il y a de plus en plus, je le vois
35:19depuis ces dernières années et
35:21notamment depuis peut-être le Covid, il y a de plus
35:23en plus de gens qui ont des problèmes
35:25dans le travail, dans l'épanouissement
35:27du travail.
35:29Et vous en faites partie.
35:31Oui, bon moi j'ai un peu cru
35:33les problèmes de travail,
35:35la formation par-dessus
35:37et la famille.
35:39Le burn-out il était un peu logique,
35:41il n'était pas lié au travail.
35:43J'ai quand même cru avoir
35:45cette formationnelle et je me suis
35:47redirigée vers quelque chose
35:49qui me convenait
35:51beaucoup au niveau de la passion
35:53mais pas du tout au niveau des émotions professionnelles.
35:57Il faut une autre
35:59formation
36:01qui me fera plus de force
36:03parce que sinon,
36:05j'ai déjà fait un âme.
36:07Alors on ne vous entend pas très bien,
36:09excusez-moi, je parlais bien près du micro
36:11Vous pouvez remonter
36:13vos parleurs peut-être.
36:17Et aujourd'hui, votre question
36:19c'est quoi Christine ?
36:21Quand je vais
36:23commencer cette nouvelle formation,
36:25dans quel domaine vous faites
36:27cette formation ?
36:29Contabilité.
36:31Est-ce qu'en train je vais aboutir
36:33à quelque chose ? Est-ce que je vais trouver une stabilité
36:35professionnelle ?
36:37Pour moi oui. Donnez-moi une couleur en pensant à ça.
36:39Rouge.
36:41Pour moi oui.
36:43Au contraire, vous avez besoin de ça
36:45pour stabiliser les choses,
36:47pour être dans une notion d'ancrage,
36:49de stabilité.
36:51Je pense que vous allez
36:53vous révéler à travers
36:55cette formation-là, même si
36:57auparavant vous auriez pu être
36:59hésitante, même si vous pouvez douter
37:03peut-être de vous trouver une passion
37:05au travers de ce genre de choses.
37:07Eh bien si. Pour moi, je vous sens
37:09avancer, je vous sens évoluer et je vous sens avoir
37:11beaucoup de succès dans votre travail. C'est-à-dire que je vous sens
37:13à un moment donné avoir une opportunité
37:15de trouver une entreprise qui
37:17va vous embaucher et qui va vous donner
37:19beaucoup de valeur avec
37:21la possibilité d'évoluer au sein
37:23de cette entreprise. D'accord ?
37:25Je sais vraiment
37:27c'est ce que j'attends.
37:29Ça va arriver. N'hésitez pas à travailler
37:31la pensée créatrice et vous verrez que
37:33les choses sont en train de se mettre en place
37:35pour vous. D'accord.
37:37Et puis revenez vers nous pour nous tenir au courant.
37:39D'accord. On fera la fin
37:41de la formation en décembre.
37:43Eh bien on se donne rendez-vous pour Noël.
37:45D'accord. Eh bien pourquoi pas.
37:47Bonne journée au travail, je vous attendais.
37:49Merci à vous. Prenez soin
37:51de vous. A bientôt. Au revoir.
37:53Allez, on va faire une petite pause avant
37:55de retrouver Jean. Jean
37:57s'inquiète pour sa situation professionnelle.
37:59Il veut savoir si
38:01il va avoir un changement professionnel.
38:03On parle dans quelques minutes. Si vous
38:05souhaitez poser des questions
38:07et passer aussi sur l'émission
38:09de Marie
38:11lundi dans C'est Votre Avenir,
38:13n'hésitez pas à appeler le
38:150 826 300 300.
38:17Appelez maintenant.
38:19C'est votre tour dans votre émission
38:21C'est Votre Avenir avant de retrouver
38:23les vrais voix. Présenté par Philippe David, Cécilie
38:25Minibus et puis j'ai à mes côtés
38:27justement le réalisateur des vrais voix
38:29Maxime qui est là.
38:31Vous êtes déjà là.
38:33Oui, on est prêt. On arrive dans 10 minutes.
38:35C'est gentil. Encore quelques minutes pour C'est Votre Avenir.
38:37On vous les laisse. D'accord.
38:39Merci. Allez, à présent,
38:41je vais accueillir mon dernier auditeur
38:43de la journée. C'est Jean. Bonjour Jean.
38:45Bonjour Alexandre. Bienvenue à l'antenne.
38:47Merci.
38:49Vous nous appelez d'où Jean ?
38:51J'habite Pau.
38:53Pau.
38:55D'accord.
38:57Jean, vous avez
38:59malheureusement subi un licenciement
39:01économique en fin mars
39:032023.
39:05Pour quelle
39:07raison ?
39:09Je travaille dans
39:11l'aéronautique.
39:13Au départ, c'est une entreprise
39:15française qui a été rachetée par
39:17les Américains et rachetée par les Américains.
39:19Qu'est-ce qu'ils ont
39:21vu ? Profit, profit, profit.
39:23Ils ont construit une entreprise en Inde,
39:25au Mexique et ils ont délocalisé
39:27notre production.
39:29Si je peux me permettre,
39:31de le dire à l'antenne, à l'accord avec
39:33le grand-donneur d'Inde.
39:35Voilà.
39:37Ça a été
39:39une période un peu
39:41pour moi un peu lourde.
39:43Je suis rentré dans
39:45une entreprise et malheureusement,
39:47j'ai gentiment mis des
39:49bâtons dans les roues parce que
39:51j'étais trop qualifié.
39:53Voilà.
39:55J'ai rebondi.
39:57J'ai laissé passer l'année
39:5924.
40:01Début mars, non, 23.
40:03Début mars, j'ai fait 5 jours de coma.
40:05Voilà.
40:07Pour quelles raisons ?
40:09Soi-disant une bactérie
40:11parce que je suis l'effet.
40:13Ah ok.
40:15D'accord.
40:17D'accord.
40:19Entre-temps, j'étais en train de parler
40:21avec l'entreprise actuelle
40:23où je suis actuellement.
40:25Je suis finalement rentré
40:27au mois de juillet
40:292024
40:31en CDI.
40:33Tout s'est passé bien.
40:35Là-bas, je m'entends bien.
40:37Je suis écouté. Je suis valorisé.
40:39De ce côté-là, tout va bien.
40:41Après, je reviendrai dessus.
40:43Entre-temps,
40:45cette entreprise n'est pas
40:47à côté. Elle est à 70 km.
40:49J'ai une heure le matin,
40:51une heure et demie le soir en rentrant.
40:53Je m'y vais à 4h30.
40:55Une occasion s'est présentée.
40:57Une boîte d'intérim m'a appelé
40:59en septembre-octobre et m'a demandé
41:01si j'étais toujours à l'écoute du marché.
41:03J'ai dit oui
41:05parce que ça fait quand même un peu loin
41:07financièrement aussi. Il y a tout
41:09qui intervient, la santé, les usures
41:11et tout.
41:13J'ai dit oui.
41:15Il m'a dit si je voulais,
41:17je vais transmettre votre CV
41:19à une entreprise à laquelle
41:21votre CV pourrait correspondre.
41:23Il aurait fait.
41:25Je l'ai eu une ou deux fois. Après,
41:27je ne l'ai plus entendu.
41:29Je n'ai plus l'intention de le dire.
41:39Parce que moi, derrière,
41:41j'ai quand même continué.
41:43J'ai refait mon CV. J'ai renvoyé.
41:45C'est intéressant.
41:49Oui, il semble revenir,
41:51mais ça ne sera pas forcément avec elle.
41:53Pourquoi ? Parce que le moment où
41:55ils vont vous présenter quelque chose
41:57ou ils vont vous faire une proposition
41:59d'emploi,
42:01par rapport à l'échéance
42:03et par rapport au temps,
42:05vous risquez d'avoir une autre proposition
42:07qui va arriver sous
42:09une période de deux à trois mois.
42:11Dans deux à trois mois, vous êtes
42:13à nouveau dans une négociation
42:15sur un nouveau poste, sur une nouvelle fonction
42:17d'un endroit qui, effectivement,
42:19vous rapproche de
42:21votre domicile et vous permet
42:23de générer moins de fatigue
42:25et de trouver des accords
42:27pour que, dans le temps,
42:29vous puissiez évoluer au sein de
42:31cette structure. C'est-à-dire qu'on vous propose
42:33un poste qui vous paraît un peu juste,
42:35mais avec une promesse
42:37d'évolution par rapport
42:39à la structure qui est amenée à grandir.
42:41Et ce ne sera pas celle dont vous vous attendez.
42:43Parce que celle où vous attendez
42:45une réponse, elle va effectivement
42:47se manifester, mais je la sens se manifester
42:49un peu plus tard que
42:51la nouvelle proposition qui semble arriver
42:53d'ici deux à trois mois. D'accord ?
42:55C'est quand même quelque chose d'intéressant.
42:57Très intéressant et évolutif, surtout.
42:59Merci à vous.
43:01Prenez soin de vous
43:03et n'hésitez pas à revenir vers nous.
43:05Merci beaucoup.
43:07Je vous souhaite un très bon week-end.
43:09Je vous dis à mardi. Nous, on parlera
43:11mardi sur les méthodes énergétiques
43:13pour prévenir du burn-out.
43:15Mais lundi, ce sera Marie
43:17danser votre avenir. La parole est
43:19aux Vrais Voix. Bonsoir Philippe David.
43:21Bonsoir Alexandre Delovane. Au menu
43:23de ces dernières Vrais Voix de la semaine,
43:25on commence par
43:27la crise internationale. Emmanuel Macron
43:29qui va à Bruxelles hier pour le Somme Européen
43:31et qui se pose en leader en parlant
43:33de la puissance de la France avec sa force
43:35de dissuasion. Et on vous pose cette
43:37question. L'action de Macron
43:39sur la scène internationale peut-elle relancer
43:41la fin de son quinquennat ? Vous pensez
43:43que pour que son quinquennat se termine bien,
43:45il faut qu'il compte sur l'international ?
43:47Ou non ? Venez nous donner votre avis
43:49au 0826-300-300.
43:51A 18h40,
43:53Julien Bayou innocenté.
43:55Il y a eu plein d'autres cas d'acteurs
43:57etc. qui ont été innocentés.
43:59Et on va vous poser la question
44:01MeToo est-il allé trop loin ?
44:03Est-ce que pour vous c'est allé trop loin ?
44:05Ou est-ce que pour vous, ben non, maintenant, il y a des dommages collatéraux ?
44:07Tant pis. Venez nous donner votre avis
44:09au 0826-300-300.
44:11Nos trois vrais voix du jour,
44:13Philippe Bilger, René Chiche et un petit
44:15nouveau qu'on a régulièrement comme expert
44:17mais qui est de passage à Paris, Jean Petau
44:19politologue.

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