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00:00L'autre il m'a... On n'a pas des extraits de Macron d'hier là ?
00:02On en a ou pas ? Parce que c'était incroyable !
00:0415 millions ! Sans compter les jeunes...
00:05Non mais excusez-moi, vous vous foutez de ma gueule ?
00:08Euh...
00:09Quoi ?
00:09Non mais j'ai l'impression que c'est la régie de la chaîne
00:13qui a été transférée en radio.
00:14Ils viennent de me dire, on n'a pas des extraits mais on t'a mis des verbatims.
00:17Ah !
00:17Non mais les mecs, comment vous savez que vous n'avez pas pris des extraits d'Emmanuel Macron d'hier ?
00:22Moi vous allez m'entendre, en tout cas ils me disent qu'on ne voulait pas l'entendre.
00:25Bah moi vous allez m'entendre moi !
00:26Mais ils sont incroyables, William, franchement ça ne te ressemble pas.
00:29Bon, donc Emmanuel Macron.
00:31Bon, hier.
00:32Donc ils sont où les verbatims ? Ils sont où ?
00:34Ah les verbatims, ah voilà.
00:36Ils sont là.
00:36Verbatim, ça veut dire ce qu'il a dit.
00:38Il vient du verbe, verbatus, verbatare.
00:42Bah bien sûr, alors...
00:43Verbatum.
00:43Bon, verbatum, verbatiras.
00:46Alors il dit,
00:47notre sécurité et notre prospérité sont devenues incertaines,
00:49il faut bien le dire, nous rentrons dans une nouvelle ère.
00:50Bon, je vais vous expliquer en fait ce qu'a fait Emmanuel Macron,
00:52parce que moi j'ai des infos de l'intérieur.
00:54Euh...
00:56La musique est un cri qui vient de l'intérieur.
00:57Ça part d'où qu'on est ensemble ?
00:58Mais on est quand même ensemble !
01:00Euh...
01:00Je vous explique.
01:01Emmanuel Macron, il sait qu'un accord de paix va être signé très prochainement.
01:04Donc il se dit, les mecs,
01:05c'est comme quand t'es à une boum
01:08et que personne veut danser avec toi au quart d'heure américain.
01:10Tu dis, tu sais quoi ?
01:12Je vais saboter la boum.
01:13Je vais arrêter,
01:14je vais enlever tous les slow.
01:16Bon bah c'est pareil, il s'est dit,
01:17il y a un accord de paix qui va être signé bientôt.
01:19Euh...
01:19Je vous le dis, là c'est même pas la peine de...
01:21Je vous le dis, voilà.
01:22Non mais attendez.
01:24Là-dessus je suis pas du tout...
01:25Non mais je ne vous ai pas demandé votre avis.
01:26Merci.
01:26Je vais demander l'avis à vos auditeurs.
01:270180 39 21.
01:290180 39 21 sur Europe 1, vous nous appelez.
01:32Vous pouvez aller faire un tour.
01:33Euh...
01:34Allez voir si je ne suis pas sur notre radio.
01:36Merci.
01:37Les auditeurs, 0180 39 21.
01:39On est là pour regarder.
01:40Très bien, ça le fait rire.
01:41Ah bah oui, ça commence bien.
01:43C'est clair.
01:44Il est 16h08.
01:47Ça va être long, ça va être long.
01:51Eh, Maléry.
01:52Ça va être long.
01:53Benaïm, c'est marrant.
01:54C'est pas parce que maintenant vous entendez un ton soif
01:55que c'est ce qu'il se passe.
01:56Je vous l'avais dit.
01:57Merci.
02:00Allez.
02:01J'ai envie d'avoir des auditeurs là-dessus.
02:03Donc qu'est-ce qu'il s'est dit ?
02:04Qu'est-ce qu'il s'est dit ?
02:05Il s'est dit quoi ?
02:06Il s'est dit, je veux en être.
02:07Il s'est dit, il faut que je fasse un coup d'éclat.
02:09Il faut que je dise, attention,
02:10on va faire la paix, mais pas à n'importe quel prix.
02:11Donc c'est moi qui vais être...
02:12Après comme ça, je pourrais dire, vous avez vu,
02:14l'accord de paix,
02:15c'est moi au dernier moment,
02:16j'ai dit, stop, attention,
02:17c'est pas cet accord de paix-là qu'on va signer,
02:18c'est un autre.
02:19Mais ce qu'il a oublié,
02:20c'est qu'hier,
02:21c'est vrai qu'il y a 15 millions de Français qui l'ont regardé.
02:2315 millions de Français qui ont dû se réveiller aujourd'hui
02:25en se disant,
02:26on est bien dans la panade.
02:27Mais ils doivent se dire,
02:29mais qu'est-ce qu'il raconte ce mec-là ?
02:30Et ces 15 millions de Français aujourd'hui,
02:33non, non, je vous le dis,
02:34beaucoup de Français,
02:35ben j'ai envie d'en avoir des auditeurs.
02:360 à 82, 39, 21.
02:38Dites-nous ce que vous avez pensé de ce qu'il a dit hier.
02:40Le président qui a essayé de nous...
02:42Moi, je vous le dis,
02:43ça, c'est une technique imparable,
02:44c'est ce que tout le monde fait.
02:45Quand on sait qu'on ne peut plus rien faire dans le pays,
02:47on essaie d'agir à l'international.
02:48Comme il sait qu'il n'a deux ans à rien faire,
02:50il s'est dit, tiens,
02:51j'ai trouvé un os à ronger,
02:52c'est cette paix avec l'Ukraine,
02:53cette paix entre l'Ukraine et la Russie,
02:55donc il s'est dit,
02:56je vais faire peur à tout le monde
02:57et je vais essayer d'apparaître pour les Français
02:59comme le sauveur de l'humanité,
03:02comme le sauveur de l'Europe,
03:03le sauveur de la France.
03:04Voilà.
03:05Donc je suis le maître de guerre,
03:06bon, voilà,
03:07donc il a dit,
03:08voilà,
03:09donc il a fait peur à tout le monde,
03:10mais ce qu'il ne sait pas,
03:11Emmanuel Macron,
03:12c'est que,
03:13mais il ne nous compte pas du tout.
03:14Je croyais que Donald Trump,
03:15ce matin,
03:16il a dit,
03:17Emmanuel Macron a parlé hier soir,
03:18il a parlé hier soir,
03:19mais il n'en a rien à carrer.
03:20Je croyais que vraiment,
03:21Vladimir Poutine
03:22a dit ce matin,
03:23Emmanuel Macron a parlé,
03:24il n'en a rien à carrer.
03:25Les Russes ont réagi.
03:26Ah oui,
03:27la France a réagi.
03:28Oui, les Russes,
03:29voilà,
03:30ça ne fait qu'énerver tout le monde.
03:31On va en parler dans un instant,
03:32je veux des auditeurs en ligne,
03:330180 20 39 21.
03:34Cet échange était intéressant.
03:35Merci.
03:36Merci d'être avec nous,
03:37je vais échanger avec les auditeurs.
03:38Je veux des auditeurs qui échangent
03:39avec nous,
03:40avec moi là-dessus,
03:41avec nous,
03:42avec moi,
03:43à tout de suite sur Europe 1.
03:44Europe 1,
03:4516h,
03:4618h.
03:47On marche sur la tête,
03:48Cyril Hanouna.
03:49J'adore cette musique,
03:50c'est la musique d'On marche sur la tête,
03:52sur Europe 1.
03:53Merci à vous d'être là,
03:54bon, on rigole beaucoup aujourd'hui,
03:55vous l'avez vu,
03:56on est très agité.
03:57Toute l'équipe est heureuse
03:58de se retrouver,
03:590180 20 39 21.
04:00On a eu un bon débat.
04:01Oui, c'était intéressant.
04:02C'était intéressant.
04:03On a déjà échangé.
04:04J'ai déjà échangé.
04:05Les points de vue,
04:06on peut évoluer.
04:07S'il vous plaît,
04:08s'il vous plaît,
04:09s'il vous plaît,
04:10s'il vous plaît.
04:11On a Emmanuel Macron,
04:12on va réécouter un son
04:13d'Emmanuel Macron,
04:14je ne sais pas ce que c'est,
04:15je crois que c'est,
04:16j'ai quoi,
04:17c'est,
04:18I've got a feeling ?
04:19Si vous regardez,
04:20c'est Emmanuel Macron,
04:21c'est Emmanuel Macron,
04:23I've got a feeling ?
04:26Si vous regardez,
04:27c'est Emmanuel Macron
04:28et les bloqués de pieds
04:29sur Europe 1.
04:30C'est parti.
04:31La Russie du Président Poutine
04:32viole nos frontières
04:33pour assassiner des opposants,
04:35manipule les élections
04:36en Roumanie,
04:37en Moldavie.
04:38Elle organise
04:39des attaques numériques
04:40contre nos hôpitaux
04:41pour en bloquer le fonctionnement.
04:42La Russie tente
04:43de manipuler nos opinions
04:44avec des mensonges
04:45diffusés sur les réseaux sociaux.
04:46Et au fond,
04:47elle teste nos limites.
04:48Elle le fait dans les airs,
04:49en mer,
04:50dans l'espace
04:51et derrière nos écrans.
04:52Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières.
04:55Qui peut donc croire, dans ce contexte, que la Russie d'aujourd'hui s'arrêtera à l'Ukraine ?
05:00La Russie est devenue, au moment où je vous parle et pour les années à venir,
05:04une menace pour la France et pour l'Europe.
05:06C'est insupportable.
05:07Merci.
05:12Cet échange est magnifique.
05:13On va assister à un échange entre vous et Pascal Praud qui est sublime.
05:15Je l'aime.
05:15Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ?
05:16J'aime cet homme.
05:17L'échange entre Cyril Hanouna et Pascal Praud sur le degré de démocratie possible.
05:23Dans les émissions.
05:24C'est formidable.
05:25C'est-à-dire qu'on n'a même pas tenté d'essayer la moindre contradiction pendant...
05:28Vous voulez que je vous dise ? Je n'ose même pas le regarder.
05:31Calmez-vous.
05:32Calmez-vous.
05:330 1 80 20 39 21.
05:34Allez, on va parler à Anne-Marie qui est avec nous du Val-de-Marne.
05:41Je vais parler aux auditeurs.
05:42Voilà, je n'ai pas envie de vous parler.
05:43J'ai envie de parler qu'aux auditeurs aujourd'hui.
05:45Merci.
05:46Merci.
05:47Anne-Marie est avec nous du Val-de-Marne.
05:48Je veux parler qu'aux auditeurs.
05:49Merci.
05:50Anne-Marie, merci d'être là.
05:51Merci d'être avec nous sur Europe 1.
05:52Bonjour Anne-Marie.
05:53Bonjour Anne-Marie.
05:54Merci d'être là.
05:55Anne-Marie, je n'en peux plus de cette équipe-là qui me...
05:59Ah, mais elle est extra, votre équipe, elle est extra.
06:02Je vous lis.
06:03Ils me roulent dans la boue.
06:05Mais non, mais non, ils vous adorent.
06:07Bon, alors.
06:08Moi, je voulais vous dire par rapport à Macron.
06:11Alors, je ne peux pas parler.
06:14Non, mais allez-y, on peut écouter Anne-Marie.
06:16Mais non, ils sont là en train de rigoler.
06:18Ils sont dissipés, ils sont dissipés.
06:19Mais c'est bien, c'est bien.
06:20Ils sont dissipés aujourd'hui, Anne-Marie.
06:21Ah, ils sont dissipés.
06:22Mais ils ont raison, ils ont raison.
06:24Dites-moi toi, Anne-Marie.
06:25On a fait du bien de rigoler.
06:26Ah, bah oui.
06:27Bon, alors, on va parler là de ce pleutre de Macron.
06:30Ah, ça démarre bien.
06:31Je n'aime pas ce terme.
06:32S'il vous plaît, laissez parler Anne-Marie.
06:34Je trouve qu'il est vraiment tout à fait dans son rôle, c'est son rôle.
06:37Alors, bon, comme on a un problème avec l'Algérie,
06:40eh ben, hop, on va dévier vers l'Ukraine.
06:43C'est tellement mieux.
06:44Et puis, on va mettre un pays en guerre.
06:46Bien sûr.
06:47Bah, voyons.
06:48Bon, il n'y aura qu'une seule chose de bien,
06:50c'est que tous ceux qui sont soi-disant français,
06:52ils vont tous foutre le camp dans leur pays d'origine.
06:54On aura de la place.
06:55Ça, c'est sûr.
06:56Je voudrais vous dire que, bon,
06:58je n'ai pas regardé parce que je savais ce qu'il allait dire.
07:02Bon, ce matin, moi, parce que je suis très branché 16 et 26, voilà.
07:07D'autre part, comme ça, je sais à peu près, d'un côté comme de l'autre.
07:12Et d'autre part, moi, je vous verrais bien, très honnêtement,
07:17comme un bon portefeuille de ministre des économies.
07:22Ah bah oui, ça, c'est sûr.
07:23Ah bah oui, c'est ça.
07:24C'est ça, savoir manager.
07:26Bien sûr.
07:27Je vais vous dire, Anne-Marie, hier, j'ai lu ce qu'a dit Emmanuel Macron.
07:31Je n'ai pas regardé, j'étais à l'antenne en face.
07:33Bah oui, je sais que vous regardez.
07:35Merci, Anne-Marie.
07:36Franchement, je n'ai pas regardé.
07:37Je vous dis la vérité, je n'ai pas regardé
07:38parce que je savais exactement ce qu'il allait dire.
07:40C'était cousu de fil blanc.
07:41Bah, voilà.
07:42Bien sûr.
07:43C'est une technique que tous les pauvres hommes politiques ont fait.
07:46Quand ils n'ont plus aucun pouvoir dans leur pays,
07:48quand ils sentent qu'ils n'ont plus aucune marge de manœuvre,
07:51ils essaient de faire peur.
07:52Ils essaient de faire peur.
07:53Ils essaient de dire, ah bah tiens, attention, je suis quand même le chef des armées.
07:56Attention, la situation est catastrophique.
07:58Mais il n'est rien, il n'est rien.
08:00Il n'est rien, ce type.
08:02Il n'a pas, comme on dit, de colonne vertébrale.
08:05Un jour, il vous dit blanc.
08:07Le lendemain, il vous dit gris.
08:08Et puis, bon, après, il vous dit noir.
08:10Mais ce n'est rien, ce type.
08:12Ce n'est rien.
08:13Non mais, Anne-Marie, au-delà de moi aussi.
08:15On est gouverné par ce type.
08:17Mais vous vous rendez compte ?
08:18Il dit, il va nous amener à la guerre, ce con.
08:20Ah mais, je vous dis, mais vous voulez que je vous dise ?
08:23Alors, je vais dire un truc.
08:25Je pense à un truc.
08:27Je le dis sur l'antenne d'Europe 1.
08:29Je me demande s'il ne cherche pas à créer le chaos, Emmanuel Macron,
08:32parce qu'il ne lui reste plus que deux ans,
08:34et se dire, peut-être, vous savez qu'en période de guerre,
08:36un président peut rester.
08:38Moi, j'imagine tout, vous savez, j'imagine tout.
08:40Oui, oui, vous avez raison.
08:41J'imagine tout, moi, vous savez, Anne-Marie.
08:43Absolument.
08:44Fabien, on est d'accord ?
08:46Vous n'êtes pas loin de la vérité, je pense.
08:48Merci, Fabien.
08:49Fabien, vous allez beaucoup parler.
08:52Restez là.
08:53N'allez pas dans les couloirs.
08:55Parce que je rappelle que si...
08:57C'est une stratégie, tout ça.
08:58Si le pays est en guerre, bien entendu.
08:59Mais, Anne-Marie, je vais vous dire la vérité.
09:01On est à quelques semaines, à quelques jours,
09:04d'un accord de paix.
09:05Tout le monde le dit.
09:06Même les plus proches de Macron le disent.
09:08Mais qu'est-ce qu'ils foutent ?
09:10Ils mettent les pieds qu'ils mettent pas.
09:12Un orteil.
09:13Partout où il met les pieds,
09:14on voit comment ça se termine.
09:16Il met ce qu'il veut.
09:18Je crois que je voulais l'inscrire au Poney.
09:20Impeccable, impeccable.
09:22C'est très bien pour lui, c'est très bien.
09:24Merci, Anne-Marie, d'avoir écouté.
09:25Les animaux font du bien.
09:27Quand il a des enfants, ça va lui faire du bien.
09:29Un orteil avec une loutre pendant des années.
09:32Et une louve magnifique.
09:34Valérie Bénahim, regardez.
09:35Regardez comme elle est belle.
09:36Si vous étiez un animal, Valérie Bénahim,
09:38vous seriez...
09:39Une panthère.
09:40Elle sort les griffes.
09:42Merci.
09:43La panthère aussi a des problèmes auditifs.
09:46Merci.
09:47Merci, Anne-Marie, d'avoir été avec nous sur Europe 1.
09:49Écoutez, il n'y a pas de quoi.
09:50Je vous embrasse fort.
09:51Bravo à vous.
09:52C'est un amour.
09:53Merci beaucoup.
09:54Et elle a vraiment l'ouverture extra.
09:57On se régale, on se régale.
09:58Extra.
09:59Je vous embrasse fort.
10:00Je vous laisse.
10:01Je vous embrasse fort.
10:02Vous inquiétez pas, il y a de la place pour tout le monde.
10:04Merci, je vous embrasse fort.
10:05Allez, au revoir.
10:06Je vous embrasse tous.
10:07Et super.
10:08Merci.
10:10Comme on ne peut pas parler, je ne ferai que le relevé des discussions.
10:12Merci, merci.
10:13Faut ne plus être orteil.
10:15Merci.
10:16Merci.
10:17Allez voir sur Europe 1.
10:18Voyez ce que fait Olivier Dartigold.
10:19Et dis-le-en.
10:20Tiens, il y a Wilfried qui est avec nous.
10:21Wilfried de Bordeaux.
10:22Appelez-nous à 018-20-29-21.
10:24Wilfried de Bordeaux.
10:25Après, on parlera, bien entendu, encore de C8.
10:28Parce que malgré la fermeture de C8, hier, on a encore battu des records d'audience.
10:32C'est énorme.
10:33Et ça va poser une vraie question.
10:34Est-ce que le modèle de télévision est terminé ?
10:35On va poser la question.
10:37Je suis tombé sur nombreux patrons de chaîne qui sont venus me voir, qui étaient dépités.
10:42J'étais hier au Parc des Princes.
10:44Et c'est vrai qu'ils n'étaient pas bien.
10:46Sachez-le.
10:47Ils me disaient que ça allait être compliqué.
10:49Dites-nous ce que vous en pensez.
10:50Puis, on écoutera deux ou trois témoignages, bien entendu.
10:52Mais pour le moment, on reste sur l'élocution.
10:54L'allocution.
10:55Qui se fait-il, l'élocution ?
10:56L'élocution, c'est Fabien Lecoeuf qui s'exprime extrêmement bien, d'ailleurs.
10:59On reste sur l'allocution d'Emmanuel Macron.
11:01Hier, une flemme absolue.
11:03Wilfried, dites-moi tout.
11:05Bonjour, Wilfried.
11:06Bonjour, Cyril.
11:07Moi, je l'ai vu ce matin.
11:09Hier, bien sûr, je te regardais, comme d'habitude.
11:11Merci, Wilfried, vous avez bien fait.
11:12Oui, oui.
11:15Je pense que les 15 millions de Français qui nous ont écoutés
11:17se sont réveillés énervés ce matin.
11:19Mais moi, je suis très énervé.
11:20Mais extrêmement énervé.
11:21Tu ne peux pas savoir comment je suis en colère ce matin.
11:24J'ai même contacté des anciens amis, des anciens collègues de l'armée.
11:28Tu vois ce que j'ai fait, Wilfried ?
11:30J'ai même contacté des ex à moi.
11:32Juste pour leur parler.
11:34Non, mais je t'explique l'histoire où c'est très très grave.
11:38Je voudrais que vous t'interviewe Pierre de Villiers, le général.
11:41Il t'expliquera comme quoi l'armée, en guerre conventionnelle,
11:45on ne tient pas trois jours face à la Russie.
11:47La seule façon qu'on a de résister, c'est l'arme atomique.
11:49Il veut quoi ? Il veut utiliser la bombe nucléaire ?
11:51Mais c'est ce qu'il a dit.
11:52Il veut utiliser la bombe nucléaire contre la Russie ?
11:54Il est fou dans ce qu'il dit, Wilfried.
11:56Il ne veut pas utiliser la bombe nucléaire contre la Russie.
11:58Mais bien sûr que si, il l'a dit.
12:00Valérie, écoute-moi, je vais t'expliquer.
12:03Valérie, je vais t'expliquer.
12:05L'armée, on ne tient pas trois jours.
12:08La moitié des hélicoptères, on n'a pas les pièces détachées.
12:11Les chars, on n'a pas les pièces détachées.
12:13À l'armée, mes collègues.
12:16Les gars, on n'a rien.
12:18Wilfried, je voudrais m'arrêter deux petites secondes
12:20sur ce que vient de dire Valérie Benaym qui est incroyable.
12:22C'est vrai que je suis assez incroyable.
12:24Incroyable quand même.
12:26Vous avez vu ce qu'elle a dit ?
12:27Elle a dit oui, il a dit oui.
12:28S'il vous plaît, merci.
12:29Il a dit oui, on va se réarmer.
12:30Non mais les mecs, il va se réarmer en deux semaines le mec.
12:32Mais c'est pas possible.
12:33Comment on peut dire des bêtises ?
12:34En dix ans, on sera déjà annexé.
12:36Qu'est-ce que vous racontez en dix ans ?
12:37Il dit n'importe quoi.
12:40Vous dites des conneries Valérie Benaym.
12:42Il dit qu'on va se réarmer pendant dix ans.
12:45Qu'est-ce qu'il raconte comme connerie ?
12:46Cyril, est-ce qu'on peut ne pas nier un instant
12:48qu'il y a un péril russe ?
12:50S'il vous plaît, laissez parler Wilfried d'abord.
12:52En plus, se réarmer, on ne va pas se réarmer.
12:54Bien sûr, on ne va pas se réarmer n'importe quoi.
12:56On est dépendants de la Chine.
12:57Mais bien sûr.
12:58Autonomiser les trucs chimiques.
13:01Tout ce qui est chimique, la Chine et l'Inde.
13:04Nous, on ne produit rien en France.
13:06C'est pas vrai.
13:07On produit du fromage.
13:08On va envoyer des camemberts nous.
13:11Mais bien sûr, mais on n'a rien.
13:12Et du vin.
13:13Les rafales, c'est pas français ?
13:15Non, il n'y a que les rafales.
13:16Moi, je suis à la retraite.
13:17Maintenant, je peux parler.
13:18Je peux dire comment ça se passe.
13:19C'est une catastrophe.
13:22On nous a démilitarisés.
13:23L'armée ne sert plus à rien.
13:25Ne sert plus à rien en France.
13:27On a fait trop confiance à notre défense nucléaire
13:31que l'armée conventionnelle, elle ne vaut plus rien.
13:33Elle ne vaut plus rien.
13:34Ils ont joué sur la dissuasion avec l'arme nucléaire,
13:37mais l'armée ne vaut rien.
13:38Et je veux poser une question aux Français et aux Françaises.
13:41Est-ce que les parents sont prêts à voir leurs gosses aller mourir en Ukraine
13:45et revenir voir les cercueils ?
13:46Parce qu'une guerre, il y a toujours des dégâts.
13:49Les gars, ils rentrent invalides et dans des cercueils.
13:52Moi, j'ai vu des camarades rentrer dans des cercueils.
13:54Alors je peux vous dire qu'une guerre, c'est pas beau à voir.
13:57Il y a un gars, je l'appelle le colonel Troufassolle,
14:00qui ce matin quand je l'ai vu, ça m'a foutu hors de moi,
14:04qui est prêt à aller se battre contre la Russie,
14:06mais qu'il y aille faire la guerre.
14:07Il n'a même pas fait le service militaire.
14:08Il ne sait même pas tenir une arme dans sa main.
14:10Et ce mec-là, il va être le chef des armées.
14:13C'est une honte.
14:14Et Pierre de Villiers, quand il est parti, il a eu bien raison de partir.
14:18On se fout de la gueule des militaires.
14:20Il a eu bien raison de partir.
14:21Et pourquoi il est parti ?
14:23Pourquoi il est parti ?
14:24Parce qu'il avait demandé l'augmentation d'un budget par rapport à l'armée.
14:28On y arrive à cette augmentation du budget.
14:30Mais 6 ans après, arrêtez de dire des bêtises.
14:32Vous savez combien il faut pour augmenter le budget pour tenir à la guerre ?
14:35Il faut au moins 10 à 15 % du PIB.
14:38Mais ils n'y connaissent rien.
14:3910 à 15 % du PIB.
14:41On ne peut même pas entretenir les rafales.
14:43Il a tellement raison, Wilfried.
14:44On n'a pas les pièces détachées.
14:46Vous savez combien d'avions et d'hélicoptères sont au sol et ne peuvent pas voler ?
14:50Mais vous avez tellement raison.
14:52Les collègues à l'armée, on compte les balles pour s'entraîner à tirer.
14:57Mais vous voulez savoir ce que c'est l'armée en France ?
15:01Mais c'est une catastrophe.
15:04Bien sûr, j'ai beaucoup d'amis dans l'armée, je vous dis la vérité.
15:06Une catastrophe.
15:07Il disparaît comme Wilfried.
15:09Donc arrêtez de croire au Père Noël.
15:11Les militaires ne vont pas se battre pour le colonel Troupasol.
15:13Personne. Il n'a raison. Personne.
15:15Personne n'ira.
15:16Il va peut-être envoyer la Légion étrangère parce que c'est des étrangers,
15:18parce que les mecs sont payés pour ça.
15:20Mais le reste, franchement, ils n'iront pas.
15:23Et les Français ?
15:25Quand ils verront leurs enfants, leurs fils et leurs filles revenir dans les cercueils ?
15:29Mais je peux vous dire qu'il peut partir de la France, Troupasol.
15:32Parce qu'il sera pendu.
15:34Non mais bon, on n'en est pas là, Wilfried.
15:37Les gens ne se rendent pas compte de ce que c'est la guerre.
15:39Mais bien sûr. Merci Wilfried d'avoir été avec nous.
15:41Franchement, ça m'a fait du bien de vous entendre.
15:43Parce que je suis avec les amis du colonel Troupasol.
15:47Merci.
15:48On va se retrouver dans un instant sur Europe 1.
15:50Vous nous appelez 01-80-20-39-21.
15:52Je vais absolument avoir beaucoup d'auditeurs aujourd'hui.
15:54Et Fabien est là, magnifique.
15:56D'Artigol, merci d'être là.
15:5801-80-20-39-21.
16:00On est sur Europe 1.
16:02Ce renversement d'alliance.
16:06Vous réagissez à tout ça, bien entendu.
16:08Et c'est vrai que c'est fou, ce qui s'est passé hier soir.
16:10Je sais qu'il y a beaucoup de Français qui étaient inquiets.
16:13Ce matin, ne soyez pas inquiets.
16:15C'est beaucoup de bruit pour pas grand chose, une fois de plus.
16:20A tout de suite sur Europe 1.
16:22Merci.
16:24Non, non, non. C'est moi qui fais choisir celui-là.
16:26Merci Émilie.
16:28On rigole beaucoup aujourd'hui.
16:30Merci d'avoir été avec nous.
16:32Il est 16h30.
16:34On est en direct, bien entendu, sur Europe 1.
16:38D'Artigol, il est dans une forme aujourd'hui.
16:40C'est très intéressant.
16:42Il retrouve l'URSL, donc il est content.
16:48Tu voulais savoir ce que ça faisait de vivre sous l'énigme ?
16:5001-80-20-39-21.
16:52S'il vous plaît, on va prendre des auditeurs en ligne.
16:54Il est 16h33.
16:56On parle de l'allocution d'Emmanuel Macron, hier soir.
17:00La courageuse allocution, disait Gauthier.
17:02Catastrophique.
17:04Ne dites rien.
17:06Marie-Isabelle est avec nous.
17:08Merci Marie-Isabelle.
17:10Marie-Isabelle, qu'est-ce que vous en avez pensé ?
17:12C'est catastrophique.
17:14Catastrophique, Marie-Isabelle.
17:16En fait, la réponse est dans la question.
17:22Bonjour à toute l'équipe.
17:24Je vous embrasse tous.
17:26Je vous suis régulièrement.
17:28Je vous félicite d'avoir
17:30fait un pied de nez
17:32à l'ARCOM
17:34et à tous qui s'en suivent.
17:36Je suis heureuse pour vous
17:38et pour nous tous.
17:40Par rapport à l'allocution
17:42du serpent K,
17:44parce que moi je l'appelle comme ça,
17:46le serpent K du maître
17:48plus libre de la jungle.
17:50Je trouve que c'est une catastrophe,
17:52évidemment.
17:54Il veut faire peur à tout le monde,
17:56parce qu'il veut reprendre la main.
17:58Il est extrêmement
18:00en colère, parce qu'il sent
18:02bien qu'il perd de son pouvoir
18:04et de son charisme, qu'il n'a jamais eu.
18:06En tout cas, en ce qui nous concerne.
18:08Je pense
18:10qu'il a encore trouvé un moyen
18:12aussi de nous piquer des sous.
18:14Puisqu'il est question
18:16que...
18:18En fait,
18:20il a épuisé 3 ou 4
18:24dans les assurances-vie des Français.
18:26Dans l'épargne.
18:28C'est très grave,
18:30parce qu'ils ont la possibilité
18:32de le faire, comme le trésor.
18:34Vous piquez des sous
18:36sur votre compte.
18:38Donc c'est extrêmement grave.
18:40C'est catastrophique.
18:42Oui, parce qu'ils ont la possibilité
18:44du jour au lendemain de dire
18:46voilà,
18:48on vous prend sur votre épargne.
18:50On ne peut rien faire.
18:52Et là, on est vraiment bloqués.
18:54C'est incroyable comment il l'a amené hier.
18:56Marie, c'était incroyable.
18:58Comment il l'a amené hier.
19:00Il a dit pas d'augmentation des impôts.
19:02Mais quelle hypocrisie.
19:04Justement, il a commencé par dire
19:06qu'il n'augmenterait pas les impôts
19:08pour pouvoir dire ensuite
19:10qu'il allait pouvoir piquer
19:12de l'argent aux Français.
19:14Et moi, ce qui me fait très très peur,
19:16c'est la naïveté des gens
19:18qui continuent
19:20à le croire.
19:22Valérie Bénahim, franchement,
19:24elle est adorable.
19:26Vous pouvez lui dire ce que vous pensez.
19:28Marie-Isabelle,
19:30elle est adorable.
19:32On n'a pas besoin.
19:34Ma peluche aussi, elle est adorable.
19:36Mais elle ne donne pas son avis sur la guerre en Ukraine.
19:38Elle est incroyable.
19:40Oui, c'est vrai.
19:42Je comprends.
19:44Elle n'a rien dit.
19:46Alors, ça prouve qu'elle a un grand cœur.
19:48Mais qu'elle soit encore
19:50perméable
19:52à ce genre
19:54de peur.
19:56C'est le Covid.
19:58Avant le Covid, on ne nous piquait pas des sous
20:00sur notre compte. Moi, ce qui m'inquiète,
20:02c'est qu'on me pique des sous sur mon compte.
20:04Je ne suis pas très riche,
20:06mais en même temps, j'y tiens quand même un petit peu.
20:08Et je trouve qu'il a la possibilité
20:10de le faire.
20:12Il faut le dire à tout le monde.
20:14Il faut que les Français le veuillent.
20:16Les adresseurs Valérie et Marie-Isabelle,
20:18juste sur l'épargne des Français,
20:20c'est quand même, rendez compte où on en est.
20:22Ils veulent tout prendre.
20:24C'est plus Jean-François Copé qu'on a parlé.
20:26C'est ce qu'Emmanuel Macron a dit.
20:28Jean-François Copé est intelligent.
20:30Il a dit qu'il fallait toucher à l'épargne des Français.
20:32On n'a jamais dit qu'il voulait toucher à l'épargne des Français.
20:34Macron a pris soin de dire tout.
20:36Il l'a dit. Il l'a sous-entendu.
20:38J'étais avec Anouna
20:40à 20h.
20:42Bien sûr. Merci Marie-Isabelle.
20:44Mais il l'a sous-entendu
20:46fortement. Il a dit
20:48qu'il allait créer un compte où les gens
20:50pourraient verser des sous. Mais on ne s'inquiète pas ça du tout.
20:52Je vais vous dire ce qu'il va faire.
20:54Il nous a parlé. Parce que je sais ce qu'ils disent.
20:56Ils veulent faire un peu comme pour Notre-Dame.
20:58Ceux qui veulent donner, donnent.
21:00Mais c'est une énorme supercherie Marie-Isabelle.
21:02Non, là c'est plus grave.
21:04Bien sûr. Je sais. C'est ce qu'ils veulent faire croire.
21:06Ils commencent par semer la peur.
21:08J'ai entendu dans les rues
21:10parce que je me balade beaucoup et je suis
21:12sur Paris et j'entends des gens
21:14qui commencent à avoir peur.
21:16Et qui n'avaient pas peur avant.
21:18Et je sens que
21:20ça commence à prendre.
21:22Je voudrais parler, alors c'est très prétentieux,
21:24ce que je fais à tous les auditeurs
21:26et dire mais faites attention parce que
21:28il peut le faire. Parce que les gens pensent
21:30que c'est abstrait en fait.
21:32Et il peut le faire.
21:34Il a toute possibilité de piquer votre épargne.
21:36Mais bien sûr.
21:38De l'argent que vous avez mis de côté
21:40pour vos petits-enfants. Vous avez travaillé toute votre vie
21:42pour que l'autre vienne vous les enlever
21:44pour des bêtises.
21:46Il faut quand même combler le
21:48trou qu'ils ont laissé. Parce que personne
21:50en fait ce trou qu'ils ont laissé
21:52personne ne passe devant
21:54aucune commission. Moi si je vole
21:5610 euros quelque part, on va me
21:58je ne sais pas ce qu'on va me faire d'ailleurs
22:00mais là
22:02ils ne rendent compte de rien en fait.
22:04Il y a eu une promotion parlementaire
22:06sur la sortie de route du budget.
22:08On sait comment ça va finir.
22:10Monsieur D'Artigolle, on sait comment ça va finir.
22:12Nous n'avons aucune
22:14illusion niveau 10 mois.
22:16Donc moi
22:18j'ai très peur. En fait
22:20je voudrais que les gens arrêtent d'être naïfs.
22:22C'est plus un naïf.
22:24Vous savez
22:26il y a une phrase qui dit
22:28le mal triomphe par l'inaction
22:30des gens de bien.
22:32Et cette phrase n'est pas de moi.
22:34Et il faut absolument
22:36que les gens fassent
22:38très attention parce que ce qu'il dit
22:40il peut le faire.
22:42Je suis persuadée que pour les gens qui
22:44ne connaissent pas ça, c'est abstrait.
22:46Et ils peuvent le faire.
22:48Merci Marie-Isabelle.
22:50Thierry, je voudrais vous dire quelque chose juste
22:52par rapport
22:54je ne sais pas si vous avez
22:56des ambitions présidentielles ou quoi que ce soit
22:58mais j'ai une super idée moi
23:00pour augmenter le pouvoir d'achat
23:02alors ça serait peut-être trop long de le dire
23:04là à l'antenne.
23:06Est-ce que ça serait possible que je sois remise
23:08en rapport avec vous ?
23:10Avec grand plaisir Marie-Isabelle, on va s'en parler.
23:12C'est quelque chose de très concret.
23:14Et c'est quelque chose je pense
23:16qui peut être fait. Parce que vous savez
23:18le lien qu'on fait entre Coluche et vous
23:20au-delà
23:22du côté
23:24populaire, c'est que
23:26Coluche il a donné à manger aux Français.
23:28Donc
23:30le gouvernement a très bien
23:32compris que tant qu'on donnerait
23:34à manger aux gens, ils ne se révolteraient
23:36pas. Parce que la révolution
23:38française, c'est quand
23:40les gens ne pouvaient plus nourrir
23:42leurs enfants. Tant qu'on peut
23:44donner à manger aux gens, ils ne se révolteront pas.
23:46Moi j'ai une super idée
23:48et je peux en parler à personne
23:50et je voudrais vraiment
23:52pouvoir vous en faire part.
23:54Parce que je sais que vous avez
23:56le pouvoir de la mettre
23:58Avec plaisir, on en parlera avec plaisir. J'essaierai
24:00de faire le max en tout cas.
24:02Ça serait possible de me rappeler ?
24:04Avec plaisir Marie-Isabelle, on s'appelle
24:06ce week-end. Je vous embrasse fort.
24:08Merci Marie-Isabelle.
24:10Merci à tous. Bonne émission
24:12et bonne suite.
24:14Merci Marie-Isabelle.
24:16On se retrouve dans un instant sur Europe 1. Continuez à nous appeler
24:1801 80 20 39 21
24:20A tout de suite, on revient dans une minute.
24:22Europe 1, 16h18
24:24On marche sur la tête.
24:26Cyril Hanouna. Merci d'être
24:28avec nous sur Europe 1. Il est 16h42.
24:30Merci aux auditeurs de nous appeler. Merci aux auditeurs
24:32de réagir. C'est un bonheur.
24:34A demain, il y aura François Bayrou.
24:36François Bayrou qui sera invité exceptionnel
24:38d'Europe 1 demain matin
24:40avec Sonia Mabrouk et Laurence Ferrari.
24:42Les deux. Entre 8h10 et 9h.
24:44Je pense qu'Olivier D'Artigolle va passer une tête.
24:46C'est essentiel.
24:48D'Artigolle.
24:50D'Artigolle.
24:52D'Artigolle va passer une testasse.
24:54Merci mon Darty.
24:56Il adore les buffets.
24:58Merci. Allez, on a des auditeurs
25:00qui veulent réagir justement à
25:02l'allocution
25:04d'Emmanuel Macron hier.
25:06Merci Cyril pour ce moment de débat suite à cette
25:08allocution.
25:10J'arrête pas de débattre.
25:12C'est quoi votre problème ?
25:14Vous ne respectez pas
25:16les Français.
25:18Respectez les auditeurs qui nous appellent
25:20et laissez-les parler. Vous parlez assez dans l'émission.
25:22En plus, vous vous êtes payés.
25:24Nathalie est avec nous.
25:26Nathalie d'Ile-de-France. Merci Nathalie.
25:28Merci d'être là.
25:30Merci Nathalie.
25:32Bonjour.
25:34Bonjour Nathalie. Quel bonheur de vous entendre.
25:36Bonjour Cyril. Bonjour à votre équipe.
25:38Bonjour.
25:40Je suis très heureuse de vous
25:42avoir en direct. Ça fait très longtemps
25:44que je vous suis. On adore vos émissions.
25:46On rigole énormément.
25:48Toute votre bonne humeur, vos sketchs.
25:50On est au top.
25:52On apparaît sur une émission.
25:54Vous me regardez sur quoi en ce moment ?
25:56On est sur Orange.
25:58Orange 80.
26:00Petite parenthèse.
26:02C'est absolument incroyable.
26:04Je voudrais vous remercier Nathalie.
26:06Tous les auditeurs. Tous les téléspectateurs.
26:08Vous vous rendez compte qu'hier, on était encore premier talk de France
26:10de 18h45 à 21h15.
26:12Première chaîne. C'est absolument incroyable.
26:14Devant France 5. Devant TMC.
26:16Devant W9. Devant tout le monde.
26:18C'est absolument fou. Et tout ça, c'est grâce à vous.
26:20Je voulais vous remercier Nathalie et Isabelle
26:22qui étaient avec nous tout à l'heure. Marie-Isabelle.
26:24Tout le monde. Merci à vous. Merci beaucoup.
26:26De rien. On est avec vous.
26:28Et puis, encore merci pour tout ce que vous faites.
26:30Vous leur avez fait un sacré pied de nez.
26:32Franchement, je suis assez
26:34admirative de ce que vous avez fait.
26:36Vous avez rebondi très très vite.
26:38Vous êtes un amour.
26:40C'est très très fort, là, ce que vous avez fait.
26:42Merci beaucoup. Ça me touche beaucoup.
26:44C'est un gros pied de nez à ces gens qui nous gouvernent.
26:46Ah oui. Je vous confirme.
26:48Vraiment à cette dictature. Mini dictature.
26:50On est vraiment très très énervés
26:52au sens, évidemment,
26:54de tout ce qu'on voit.
26:56C'est incroyable ce qu'il se passe en ce moment.
26:58La parole ouverte.
27:00Il y avait avant
27:02une émission de Monsieur Bourdin
27:04où effectivement les auditeurs
27:06appelaient, moi j'appelais de temps en temps.
27:08Là, vous avez pris un relais
27:10très très fort et je pense que vous allez bien monter.
27:12J'espère Nathalie. En tout cas, ça me touche
27:14beaucoup ce que vous dites.
27:16Vraiment, hier, moi j'étais outré
27:18par ce qu'il s'est passé.
27:20J'ai regardé après. Emmanuel Macron,
27:22qu'est-ce que vous en avez pensé ?
27:24Vraiment, je me suis dit,
27:26quel foutage de gueule, Nathalie.
27:28Écoutez, en deux mots,
27:30parce que je pense qu'on est
27:32plusieurs millions de personnes maintenant.
27:34Avec 23%
27:36d'élections les premières années,
27:38on peut se poser la question de savoir si on est
27:40dans une république bananière ou pas.
27:42Excusez-moi de l'expression, Cyril.
27:44Vous m'avez compris quand je parle.
27:46On est à 17% et ça ne fait que baisser.
27:48Pour moi, c'est une énigme
27:50que cette personne soit toujours à la tête de notre pays
27:52qui s'enfonce. Je ne comprends pas.
27:54Je ne comprends pas le peu
27:56de personnes qui sont encore à le défendre
27:58jusqu'à ce qu'on prend son électorat.
28:00Jéraldine Maillet.
28:02Après, sur le fond...
28:04Il y a encore Jéraldine Maillet et Valérie Bénahim
28:06qui le défendent. Il est tranquille.
28:08Il a deux femmes formidables qui sont là pour le défendre.
28:10À mon avis, elles sont amoureuses.
28:12Il y a toujours une femme cachée
28:14derrière un homme, Cyril.
28:16Moi, il n'y a personne.
28:18Personne n'est caché.
28:20Il y en a plusieurs, peut-être.
28:26Merci.
28:28On reprend la parole.
28:30On va laisser la parole au producteur.
28:34On donne la parole aux auditeurs.
28:38Les auditeurs posent toujours des bonnes questions.
28:40T'as pique ?
28:42Moi, j'ai pas de lait sans cuir, Cyril.
28:44J'ai pas de lait sans cuir.
28:46Ce que j'ai pensé hier,
28:48c'est le surnom que j'aime beaucoup.
28:50D'ailleurs, M. Onfray
28:52en a fait un ouvrage
28:54qui s'est vendu énormément.
28:56Pour M. Macron, c'est
28:58Foutriquet, un nom très ancien
29:00qui résume en deux mots
29:02ce que cette personne représente.
29:04Une petite personne de petite taille,
29:06insignifiante, et qui aujourd'hui
29:08n'a plus crédit dans ce qu'il peut dire ou faire.
29:10Juste sur ce point,
29:12je m'arrête de le dire.
29:14Je m'arrête de le dire parce que tout le monde s'est tourné vers Fabien Lecoeuvre
29:16et je me suis senti gêné
29:18parce que c'est un ami.
29:20Et même Fabien Lecoeuvre,
29:22il m'a pensé qu'on parlait de lui.
29:24Ça m'a fait de la peine.
29:26Ça m'a fait de la peine parce que c'est un ami.
29:28Vraiment.
29:30Je fais la même taille que vous, Cyril,
29:32donc je me cochonne.
29:34On pensait de Fabien Lecoeuvre.
29:36Fabien Lecoeuvre,
29:38combien il mesure Fabien déjà ?
29:401,59.
29:42Non, il est plus grand.
29:44Vous comprenez quand je parle de taille.
29:461,67.
29:48À la taille de l'esprit.
29:50Je crois qu'il y a une séquence un jour
29:52avec Talleyrand
29:54qui disait
29:56Fouché.
29:58Non, pas Fouché, putain.
30:00Qu'est-ce que tu racontes comme connerie ?
30:02C'est Fouquet d'ailleurs et c'est les chocolats.
30:04Tu dis n'importe quoi.
30:08Je ne sais plus qui lui avait répondu.
30:10Il lui a dit, laissez-moi prendre le livre.
30:12Je suis plus grand.
30:14Et il lui a dit, non, vous êtes plus long.
30:16Et ça change tout.
30:18Et voilà.
30:20Une fois qu'on a dit ça,
30:22Cyril, je ne sais pas où est-ce qu'on va
30:24et quel est notre devenir
30:26parce que vraiment c'est...
30:28Franchement,
30:30je ne suis pas inquiet
30:32parce que je ne suis pas de nature inquiète
30:34mais c'est vrai qu'on a quand même...
30:36C'est fou, on a quand même...
30:38C'est comme si vous êtes dans une Formule 1
30:40et que vous avez un mec qui ne sait pas conduire.
30:42Forcément,
30:44difficile de gagner la course.
30:46C'est sûr que le drapeau
30:48à Damien, on n'est pas près de le voir.
30:52C'est-à-dire qu'en fait, tout ce qu'il a dit hier,
30:54il parle de lui, la petite phrase qu'il dit,
30:56c'est celui qui dit qu'il naît.
30:58Donc il parle de manipulation,
31:00c'est clairement ce que lui fait
31:02depuis des années avec nous
31:04parce que le masque est tombé il y a longtemps.
31:06C'est celui qui dit qu'il y est, premier senteur, premier péteur.
31:08Analyse.
31:10Voilà, on connaît un petit peu
31:12le...
31:14Voilà.
31:16Différents adages.
31:18Merci, Nathalie.
31:20Je vous aime à tous,
31:22comme c'est papa par patient dont je suis originaire,
31:24arménienne.
31:26Très bien. On vous embrasse fort.
31:28Merci d'avoir été avec nous, Nathoo.
31:30Salut Nathoo. Merci beaucoup.
31:32Merci Nathalie. Merci d'avoir été avec nous.
31:34Gauthier Lebray voulait dire quelque chose. Vous avez dit qu'on n'était plus une Formule 1.
31:36Oui.
31:38J'aimerais bien m'attarder là-dessus.
31:40Bien sûr. Je pense que la France
31:42est incapable aujourd'hui de mener une guerre de haute intensité.
31:44Et d'ailleurs,
31:46le général de Villiers a été cité
31:48au long de l'émission,
31:50chef d'état-major des armées quand Emmanuel Macron
31:52arrive au pouvoir. Il le limoge très vite.
31:54C'est le frère de Philippe de Villiers.
31:56Et il le limoge pourquoi, Emmanuel Macron ?
31:58Parce que le général de Villiers protestait contre une coupe budgétaire
32:00dans les armées.
32:02Et il avait 100% raison, le général de Villiers.
32:04Et il s'est fait limoger pour ça. Et aujourd'hui,
32:06c'est le même Emmanuel Macron qui va doubler
32:08le budget des armées.
32:10On va aller taper dans votre épargne.
32:12Et le général devait dire la vérité
32:14parce qu'il était en commission parlementaire.
32:16Le mec ne se réveille qu'un trois après.
32:18Et il s'était fait humilier par Emmanuel Macron
32:20qui avait dit « je suis votre chef devant les armées ».
32:22Alors que le général de Villiers avait raison en 2017.
32:24Ce qui est malheureux, c'est qu'Emmanuel Macron
32:26a mis 7 ans.
32:28Un peu moins parce qu'il avait commencé à augmenter les crédits
32:30pour les armées il y a quelques années.
32:32Mais on a perdu du temps.
32:34Là où je donne le point à Emmanuel Macron hier,
32:36c'est de dire qu'il faut s'oréarmer.
32:38Il faut augmenter les budgets des armées.
32:40Mais on le fait trop tard.
32:42Les mecs, il se réveille trop tard. Il est 16h50.
32:44Il vaut mieux jamais que tard.
32:46Je vous le dis pour lui.
32:48Il vaut mieux jamais que tard. Parce que ça nous fout dans une panade pas possible.
32:50C'est n'importe quoi. Il a tout fait à l'envers.
32:52Ronny est avec nous. Merci Ronny.
32:54Et Valérie Benaym, c'est bon. On la barbe.
32:56Je veux bien dire un mot.
32:58C'est vrai que c'est une vraie menace.
33:00Pour l'instant, on a Ronny des Alpes-Maritimes.
33:02Merci Ronny.
33:04Bonjour Cyril.
33:06Bonjour toute l'équipe.
33:08Cyril, je vous adore.
33:10Je t'adore, mais à un point phénoménal.
33:12Parce que le pied de nez
33:14que tu as fait à l'ARCOM,
33:16ils ont fait de toi une légende.
33:18Tu étais un phénix.
33:20Voilà.
33:22Tu es un phénix.
33:24Parce que là, c'est plus possible.
33:28Ronny, franchement, vous me touchez.
33:32Cyril, je te suis depuis 2012.
33:34Quand tu étais encore à France 4.
33:36A France 4. D'accord ?
33:38Jusqu'à aujourd'hui.
33:40Hier, on a battu les Autol, alors qu'on n'est même pas sur la TNT.
33:42C'est absolument incroyable.
33:44C'est fou.
33:46Vous êtes un phénix.
33:48C'est grâce à vous, Ronny. Merci.
33:50Je te suis tout le temps.
33:52Je te regarde.
33:54Valérie, je t'adore.
33:56Votre équipe,
33:58vous êtes exceptionnelle.
34:00Merci Ronny.
34:02De haute coltise.
34:04Jamais dans la télé,
34:06on a vu une équipe comme ça,
34:08à part Pascal Praud.
34:10C'est vrai, je l'adore aussi.
34:14C'est vrai que le Macron,
34:16il a voulu vous censurer.
34:18Après, on dit que ce n'est pas politique.
34:20Et il nous dit maintenant,
34:22là, il courbe les Chines,
34:24avec l'Algérie, et il veut faire
34:26la morale au monde entier.
34:28C'est absolument incroyable.
34:30Vous avez tellement raison, Ronny.
34:32Vous avez tellement raison.
34:34Il s'est fait mettre un amende
34:36par l'Algérie, et là, il veut faire le beau.
34:38Il est arrivé hier, j'avais l'impression que c'était Napoléon.
34:40L'Algérie alliée à la Russie.
34:42Devant l'Algérie,
34:44il a les couilles entre les jambes.
34:46Il veut faire la morale à Trump,
34:48il veut faire la morale à Trump aussi.
34:50Non, mais oh, c'est quoi ce bonheur ?
34:52C'est quoi ça ?
34:54C'est du cacou, j'adore.
34:56C'est exactement ça.
34:58C'est quoi ce bonheur ?
35:02L'émission,
35:04elle n'a jamais porté aussi bien son nom.
35:06On marche sur la tête.
35:08Voilà. On marche sur la tête.
35:10Exactement, Ronny. On marche sur la tête.
35:14C'est une folie.
35:16Il nous met plus bas que terre,
35:18et maintenant, il veut nous prendre notre veille.
35:20Non, mais tiens. C'est fou.
35:22Il faut se réveiller, là.
35:24Allô, quoi.
35:26Non, mais comme elle disait, la Bina.
35:28La Bina. Allô, quoi.
35:30Non, mais allô, quoi.
35:32Merci, Ronny, d'avoir été avec nous.
35:34Je vous fais un énorme bisou, Ronny. Je vous adore.
35:36Et embrasse toute ton équipe.
35:38Vous êtes un amour, Ronny. Je vous embrasse très fort.
35:40Et à vous aussi, Gauthier, Olivier, tout le monde.
35:42On vous embrasse.
35:44Merci, Ronny. Merci d'avoir été avec nous.

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