[#Reportage] Gabon : Alfred Nguia Banda disposé à accompagner le Gén. Oligui Nguema
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00:00Chers éditeurs, amis, je vous remercie d'être venu animer cette conférence de presse qui intervient deux semaines après mon retour au Gabon.
00:31Après neuf ans d'exil passé en France, cette conférence de presse s'articule autour de trois points saillants.
00:54Les conditions abracadabra testent de mon départ au Gabon, ma vie de réfugié politique en France et mon retour au Gabon après neuf ans d'exil.
01:24S'agissant du premier point, je voudrais dire que la vie politique en France, autant pour moi, en Afrique,
01:48est dominée par ce que j'appellerais la loi des reins.
01:55La loi des reins parce que les principes fondamentaux qui régissent le fonctionnement régulier de la démocratie sont lamentablement violés.
02:21Et je dirais même réléguée aux magasins des accessoires.
02:27En effet, la prétendue défense des libertés, de la parole, du respect des droits de l'homme, de la dignité du citoyen n'est que chimère et bilévisée.
02:58Messieurs les journalistes, en Afrique, le règne de la pensée unique, de la pensée unilatérale, de l'obscurantisme, du conformisme,
03:26et je dirais même du conformisme avachis, anachroniques, éculés, sont érigés en mode de gouvernance, ont été érigés en mode de gouvernance pendant quatorze du règne d'Alibaba.
03:53À cela, il faut ajouter la caporalisation des intelligences et des consciences.
04:03Les conditions rofambolesques de mon départ en exil constituent à un point douté la parfaite illustration de la violence manifeste exercée contre des paisibles citoyens.
04:34Contre les acteurs politiques qui ne font que respecter les principes de la démocratie.
04:45En effet, le 23 août de 2005, à 16h, sortant d'une réunion politique au QG du président Champine,
05:12élu démocratique au nom par le peuple gabonais, je suis tombé dans un traconat, dans une embuscade tendue, je le dirais,
05:34je le dirais, écharçue, tendue par les terroristes de la Dégère, à 300 mètres de mon domicile,
05:50planqués dans un picot de couleur blanche non immatriculée, les terroristes de la Dégère,
06:09armés comme s'ils allaient en guerre, m'ont tout chassé jusqu'à mon domicile.
06:24Pris par un réflexe de survie, j'ai sauté miraculeusement ma barrière de deux mètres de hauteur,
06:45avant que les terroristes ne pénètrent dans ma conception.
06:53De ce saut, je sors avec une double fracture de la cheville droite, n'ayant pas mis la main sur moi,
07:17les terroristes de la Dégère se sont livrés à des actes criminels, susceptibles de poursuites judiciaires,
07:34dans un état qui se dit état de droit. Ces actes, je peux les éliminer.
07:51La violation de mon domicile est unie par l'article 12 de la Constitution.
08:22Violation manifeste du domicile.
08:29La tentative d'assassinat, pénalement considérée comme un crime,
08:39la destruction de mes biens, les portes, les fenêtres, les télévisions, les plafonds de ma maison principale,
09:02cette maison, ont été vandalisées, détruites. La villa secondaire et le pédalo ont subi le même sort.
09:19Les terroristes de la Dégère ont emporté avec eux, je dirais, le vol, définit un droit pénal comme la fausse assumption du mot de la cause,
09:43et je te pénalise sur le corps du droit pénal. Les terroristes ont emporté avec eux des biens.
09:57Ils voulaient 11.000 de France État, 5.000 euros. Ils ont emporté avec eux un véhicule de type pajot,
10:21ils ont emporté même ma littérie, les draps, ils ont emporté mes costumes, on peut comprendre que c'est la pauvrisation,
10:35et curieusement, même mes chiots ont été emportés. Voyez, et la cave a été complètement vidée.
10:55Il y a eu une arrestation arbitraire et les tortures infligées à mon neveu qui était là, qui habitait chez nous, à mon maître d'hôtel et à mon gardien.
11:22Et vous le savez aussi bien que moi que la torture est un crime. Et ils ont tous des séquelles de cette torture.
11:35Mais les seuls biens, je dis biens, biens qui n'ont pas touché, ce sont les bibliothèques. Les deux bibliothèques n'ont pas été touchées,
11:52et vous comprendrez pourquoi les bibliothèques n'ont pas été touchées. C'est ce que j'appellerais l'indigence intellectuelle des criminels.
12:10Mais la DGAR, à ma connaissance, n'a pas pour mission de terroriser les populations, mais de faire des investigations qui doivent, en cas d'infraction commise,
12:37des infractions de droits communs et des infractions politiques comme atteintes à l'assurété de mes cas.
12:50En me prenant en compte est-ce que j'avais commis des infractions relevant du droit commun ou de la perturbation de l'ordre public,
13:06telles sont les mobiles de cet acharnement. Et je répète qu'en d'autres lieux, cette structure terroriste est consumable.
13:26J'ai tenté de le faire en face, mais j'ai été tué. Et la flèche a été recevable. Et quand ils m'ont attaqué, après avoir sauté cette barrière que vous allez voir de deux mètres,
13:47j'ai passé toute une nuit dans une banlieue, devenant la proie des motifs.
14:07Nous sommes le 24 août, à 5 heures, avec le portable d'un gardien qui m'a réfléchi. J'ai lancé un appel de détresse, un appel de secours
14:33chez deux amis femmes, chez un ami féminin. Et ce sont ces trois amis qui me sauveront la vie.
14:55Trois amis. Et vous voyez bien que je parle de deux amis femmes, d'un ami féminin. Nous devons faire donc attention à des considérations géotechniques et mystiques.
15:22Nous devons être vides.
15:26A dessus, je ne voulais pas alerter mes frères aux actes obédients qui m'ont conduit.
15:46Je n'ai pas voulu alerter mes frères aux actes obédients, qui sont le droit des membres chaluts, dominés par la haine, les intrigues.
16:16La déformation, le complexe d'infériorité est éligible en complexe de supériorité. Alors que rien ne prouve que cela, cette frange des aînés, sont supérieurs à qui que ce soit.
16:35Et c'est pour cela que je disais ici qu'au regard des comportements, l'acte obédient est un nouveau acte obédient.
16:51La réussite d'un acte obédient crée des démarches, donne des palpitations de cœur à l'acte obédient.
17:21Mes amis réussiront à m'exfiltrer vers le Cameroun le 30 septembre 2007. Le 1er octobre 2016, je quitte Yaoubi pour Paris par un vol d'Air France.
17:46Heureusement, vous savez, il y a des signes qui ne comptent pas. Avant d'aller à la conférence stratégique au UG de Jampy, je me lève. Le premier réflexe, c'était de prendre mon passeport, qui avait un visa français de 5 ans.
18:15Arrivé, je suis allé immédiatement à l'hôpital américain. Après plusieurs examens, j'ai subi une opération chirurgicale de 3 heures.
18:37Après cette opération chirurgicale, j'ai immédiatement sollicité l'asile. Ma demande a été traitée et le statut de réfugié politique m'a été immédiatement accordé
19:04par l'Office français de protection des réfugiés et de sa patrie. Je ne cesserai de remercier les autorités françaises qui, d'ailleurs, ont mis à ma disposition des moyens substantiels pour vivre ensemble.
19:34Mes enfants ont été scolarisés au Connex et au lycée. Actuellement, ma première fille est à l'université, à la faculté de droit et de sciences économiques. J'ai mis d'autres avantages qui m'ont permis de vivre ensemble.
20:04Mesdames et Messieurs, c'est le premier point que je voulais aborder ici. Le deuxième point porte sur ma vie dans ce monde.
20:26Je dirais que la vie d'un réfugié politique, et plus précisément la mienne, n'était pas un effet chelou. Elle était un moment d'épanouissement.
20:47Un moment d'épanouissement multivoire et multidimensionnel. Un moment de ressortir mes connaissances académiques, d'acquérir une expérience professionnelle et de comproyer certains acteurs politiques.
21:13Ma vie, en France, s'est également manifestée par l'approfit aux côtés de la diaspora résistante, de la lutte contre le régime totalitaire d'alliés de l'Europe mondiale et de certes unipérels et similaires.
21:40Je saisis ici cette opportunité pour saluer une fois de plus et très fraternellement tous les acteurs de la diaspora résistante.
21:55Ils ont vissé le drapeau japonais à la place mythique du Port-à-l'Europe de France et dans les grandes places publiques des grandes localités de France et de Belgique.
22:26Aux membres de cette diaspora résistante de France et d'Europe, qui m'a rendu un vibrant hommage par des témoignages édifiants, voyant le 11 janvier 2025 à l'hôtel Ullmann de la Téhuane,
22:48à ces membres je réitère solennellement mon amitié, mon affection et mon amour.
23:06A cette diaspora résistante, je ne cesserai de la remercier par son soutien qui forme et sa mobilisation lors du décès de mon épouse le 11 janvier 2018 à l'hôpital Amiens.
23:36Ce soutien restera indélébile, restera gravé dans ma mémoire.
23:51Concernant ce décès, le Rubicon, je dirais, a été franchi par la perfidie, la perversité, le coup de corne du régime déchu qui m'avait interdit de rentrer au Japon et de nommer mon épouse.
24:22Allant jusqu'à étimer l'ordre à la police de rembourser l'argent destiné au montant qui devait encadrer une grotteige funèbre.
24:37Je laisse au peuple gabonais le soin d'en juger ou de juger les comportements de ceux qui nous ont dirigés.
24:58Et dans la vie, il faut savoir laisser le temps au temps. Le temps est une grande thérapie, mais le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours maître.
25:21Ceux qui ont prétendu détenir le pouvoir des droits de vie et de mort sur les autres Gabonais sont aujourd'hui légalement, et ainsi, légalement embassés.
25:43Vous êtes aujourd'hui, aujourd'hui, corsés et claquemurés. C'est dire que dans la vie, nous devons faire attention aux actes que nous faisons.
26:03Mesdames et Messieurs les journalistes, je vous ai fait l'appellement, l'économie de ma vie en France, le troisième point d'appel sur mon retour.
26:19Et comme vous le savez très bien, le 30 août 2023 est une date historique, inoubliable et restera gravée dans la mémoire collective du Gabon.
26:39En effet, cette date marque le renversement d'une dictature féroce, d'une dictature stalinienne, par le général Brice Leclerc-Bolignais et ses frères du CTA.
27:09Une page, ce jour, une page tragique, ténébreuse de la vie politique gabonaise a été définitivement tournée avec grande apothéose et exaltation.
27:28Eu égard à la gestion apocalyptique, cataclysmique, erratique du Gabon, d'une part, et la sujettissement, l'affermissement et la persécution des Gabonais.
27:58D'autre part, le coup d'état du 20 août 2023 a juste dit être qualifié de libération. Et je suis mieux placé que quiconque pour parler de libération.
28:20Et j'ai suivi, vous avez suivi ce que je venais de dire, c'est une véritable libération.
28:31Et d'ailleurs, la liesse qui s'est emparée du peuple gabonien à l'annonce de ce coup de libération, elle n'a pas fait que illusifier.
28:47Mais cette libération devrait être encadrée par des hommes talentueux, compétents, brillants, honnêtes envers le libérateur.
29:09Et non par des transactionnels impéritants, obnubulés par une rétribution souvent déduite.
29:24Des hommes capables de concevoir et d'appliquer des logiques topiques et reformistes.
29:39Ayant libéré notre pays de la tyrannie, le président de la transition politique, le général de prise Olivier Guimard,
29:57avait dans un message abordé une posture participative, responsable.
30:13Dans un élan de rassemblée, les Gabonais, il a lancé un appel aux opposants et aux réfugiés politiques,
30:28pour qu'ils rentrent contribuer à la construction du nouveau Gabon.
30:36Cet appel a été entendu, cet appel a eu un écho favorable.
30:48Une première vague des opposants est rentrée.
30:55Depuis le samedi 15 février 2025, j'ai angoîté le pape et je réitère que je reste entièrement à la disposition
31:25du président de la transition politique, le général de prise Olivier Guimard, à qui je demande une fois de plus de se présenter aux élections du 12 avril 2025.
31:45Et je vous le dis, si possibilité m'est donnée, je participerai activement à la campagne électorale, aussi bien au Gabon qu'à l'étranger.
32:04Je suis persuadé que d'autres Gabonais de la diaspora vont suivre le mouvement, et rentrer au Gabon, et je vis à connaître.
32:23A ceux qui passent tout leur temps à me filer, je incite là-dessus, à filmer le véhicule qui m'a été atténué.
32:50Je leur demande rapidement d'arrêter ces actes qui les discréditent, qui leur remplissent correctement leurs offices, leurs obligations professionnelles.
33:09Au lieu de rêver de Giamanda Chakobinis, c'est une catastrophe, et le temps a changé.
33:24Le temps du goulot est derrière nous.
33:31À force de rêver illusoirement de Giamanda, certains d'entre eux risquent d'être foudoyés par des AVC et par des tensions artériennes.
33:56Je ne comprends pas pourquoi je peux donner des nuits insomniaques à ceux-là.
34:05Arrêtez-vous. Et vous savez, quand quelqu'un est jaloux de vous, c'est lui qui souffre.
34:12Mais il y a des gens narcissiques, et ceux-là sont narcissiques.
34:21Et quand on les fout, je les connais.
34:33Ce sont mes alliés, ce sont mes frères de l'alto-gouvernement pour la plupart.
34:37Et c'est les élèves que le peuple d'Aboné connaît, c'est lui seul, par le mal.
34:51J'assume ce que j'ai dit, par le mal, par la haine envers leur congénère alto-gouvernement.
35:03Et même à l'égard des autres combattants gabonais.
35:09Et c'est pour cela qu'ils ont décrié l'horreur d'aujourd'hui.
35:15Vous n'allez pas passer, chers frères alto-gouvernements, votre vie à terroriser les gens.
35:25Il faut arrêter. Le Gabon appartient à tous les Gabons.
35:32Hier, vous avez pris un otage, et sa politique a été catastrophique.
35:42Catastrophique.
35:44Et aujourd'hui, une foyer des transactionnels veut prendre le président politique en otage.
35:56Mais je crois que ça ne passera pas.
36:01Ça ne passera pas.
36:03Quand on travaille pour un chef, il faut faire correctement son travail.
36:10On ne trompe jamais le chef.
36:13On ne trompe jamais le chef.
36:17Il faut dire la vérité au chef, tout en mettant l'élégance, tout en mettant les formes, parce que c'est le chef.
36:28Alors, ceux qui sont là pour raconter à longueur de journée les inepties, qu'ils arrêtent.
36:43Qu'ils arrêtent.
36:45Le Gabon a besoin de tous ses fils.
36:50Et le général Oudidi a besoin de tous les Gabonais.
36:56Et vous voyez, il a mis en place une transition, mais qui n'est pas une transition exclusive, mais une transition inclusive.
37:10C'est l'esprit des rassembleurs.
37:14Et ceux qui étaient hier aux commandes et qui sont là, qu'ils comprennent que c'est une leçon de vie.
37:27C'est une leçon de vie.
37:29Ce n'est pas un signe de faiblesse.
37:31C'est une leçon de vie.
37:34Et changez vos mentalités, changez vos comportements.
37:40Un président qui est dans le public, arrêter d'en bricoler, le président.
37:49Mesdames et messieurs, quelle est la connaissance de ma conférence de presse ?
37:58S'il y a eu des manquements, s'il y a eu des insuffisances dans ma place de parole, veuillez m'excuser.
38:11Je vous remercie.