• il y a 13 heures
- Un corps retrouvé à 15 mètres de profondeur dans le barrage de Couzon, enquête pour meurtre en cours.

- Les élus du département de la Loire se réunissent pour discuter des orientations budgétaires de 2025.

- La participation financière du département pour l'aéroport d'Andrézieux-Bouthéon sera réduite de 15%.

- À Saint-Étienne, six travailleurs en situation de handicap participent au recyclage des roues avec Vélivert.

- La transmission des exploitations agricoles au cœur des préoccupations. Les agriculteurs inquiets pour leur départ à la retraite

- Un projet relance la production de la Rigotte de Condrieu pour sauver son AOP avec le soutien de la Communauté de Communes du Monts di Pilat

- Après des tensions avec les supporters, le coach de l'ASSE échange avec les Kops avant le match contre Angers.

- L'artiste peintre Kami expose ses œuvres de pop culture à la galerie Rêve d'Ailleurs à Saint-Étienne.

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Transcription
00:00Les élus du département se sont réunis ce vendredi pour aborder l'orientation des budgets pour l'année à venir.
00:21L'occasion pour eux de présenter les priorités de cette année mais aussi de faire un point sur leur participation financière à certains projets.
00:28On fera le point dans ce journal.
00:30Le service Vélivert ouvre son atelier aux personnes en situation de handicap.
00:35Pendant 5 jours, 6 travailleurs de l'ESAD Pépite auront l'occasion de réaliser le recyclage des roues qui ne sont plus utilisées.
00:42Un moyen de venir en aide envers les agents du service mais aussi pour les personnes en situation de handicap de découvrir un métier.
00:49On vous expliquera comment ce partenariat a été mis en place.
00:53On vous fera découvrir un nouvel agriculteur, cette fois-ci forésien, et on évoquera la transmission des exploitations agricoles.
01:00A l'approche du départ en retraite de nombreux agriculteurs, certains se demandent comment transmettre leurs terres.
01:06Et enfin, nous recevrons sur notre plateau Jean-Luc Rouchous, agriculteur de lait de chèvre.
01:11Il a décidé de rejoindre le projet de l'organisme de défense et de gestion de la rigote afin de préserver l'appellation d'origine protégée de la rigote de Condrieuc.
01:21Il nous expliquera les enjeux de ce projet.
01:25Bienvenue dans votre journal, je suis ravie de vous retrouver.
01:28Et on commence cette édition du côté du barrage de Couson sur la commune de Châteauneuf où, d'après nos confrères du Progrès,
01:36un corps a été repêché à 15 mètres de profondeur ce jeudi après-midi.
01:40Il s'agirait d'un homme âgé entre 30 et 40 ans et malgré l'intervention rapide des secours, il a été retrouvé sans vie.
01:48Une enquête pour meurtre a été ouverte puisque de nombreux témoins rapportent avoir entendu une dispute entre 4 individus sur le bord du barrage.
01:56Les circonstances exactes de ce drame restent à déterminer. Les investigations se poursuivent pour éclaircir les faits.
02:03On revient sur Saint-Etienne où, ce vendredi, les élus du département de la Loire se sont réunis pour aborder l'orientation des budgets de 2025.
02:13A cette occasion, le département a présenté les fondements de son budget pour cette année et de nombreux sujets ont pu être évoqués.
02:20L'Ouvala.
02:21Cette année, la Loire doit composer entre l'instabilité politique nationale et le projet de loi tardif sur le budget.
02:27Avec une dette maîtrisée, le département empruntera 58 millions d'euros pour maîtriser ses investissements.
02:33Nos priorités, c'est les solidarités humaines puisqu'on doit faire face à l'augmentation du nombre de personnes âgées en difficulté,
02:42aux bénéficiaires du RSA et au monde du handicap qui a besoin de notre soutien.
02:49On doit faire face à toutes ces problématiques.
02:52Nos difficultés, c'est la stabilité et la baisse de certaines recettes puisque le département ne lève plus l'impôt.
03:01Le département reçoit une contribution de l'État par différents mécanismes, différentes contributions, etc.
03:09Et ça, malheureusement, n'a peu de visibilité.
03:12L'enjeu du département, c'est aussi de s'adapter à sa population vieillissante.
03:16En 2040, un tiers des habitants aura plus de 65 ans.
03:19Et justement, pendant cette conférence de presse sur l'orientation des budgets,
03:23la question de l'investissement du département de la Loire sur l'aéroport d'Andrézieux-Boutéon a été évoquée.
03:29Le département prévoit de réduire sa participation financière de 15 % par rapport à 2024.
03:35Jérémy Lacroix, vice-président chargé des Finances, donne les raisons de cette décision.
03:40Que la contribution de l'ensemble des collectivités baisse à son minimum.
03:45Cette année, effectivement, comme je vous l'ai expliqué, on doit faire des économies.
03:49On a écrit les premiers arbitrages au syndicat en expliquant qu'on baisserait notre contribution de 15 %.
03:58Après, clairement, le département aujourd'hui a beaucoup moins de moyens, donc pourra moins financer ce déficit.
04:05Donc il faut que demain, l'aéroport puisse retrouver en tout cas des recettes qui lui permettent de fonctionner.
04:10Toujours à Saint-Etienne, l'atelier Véliver accueille pendant 5 jours 6 travailleurs en situation de handicap.
04:17Ce service, en fonction depuis plus d'un an, a besoin d'aide pour recycler les pièces de roues hors d'usage.
04:23Saint-Etienne Métropole et Véliver ont donc eu l'idée de créer un partenariat avec les aides Pépites
04:28permettant aux personnes en situation de handicap de réaliser ce recyclage de roues.
04:33Cette action est en continuité avec le dispositif du ODé, qui permet aux entreprises et aux collectivités locales d'accueillir des personnes en situation de handicap
04:42pour leur faire découvrir un métier ou un environnement différent.
04:45On écoute Yannick Bré, responsable du service Véliver.
04:49Je connaissais un petit peu ce domaine du handicap par mon passé.
04:53Et puis surtout, on a eu l'occasion pour les du ODé, qui est une journée nationale où on accueille des personnes en situation de handicap.
05:00Les agents du service ont eu l'occasion de passer une journée avec une personne.
05:05Ça s'est super bien passé.
05:07Ils étaient ravis, tant la personne accueillie que les agents qui ont fait le travail sur le terrain.
05:13Et ils ont dit pourquoi on ne va pas plus loin.
05:16On essaie de trouver une autre solution et on s'est rapprochés de l'ESAT.
05:21On a pu mettre en place ça.
05:23C'est d'abord l'équipe qui a été très motrice sur ce projet-là.
05:27Des propos recueillis par Dunkernaison.
05:32Toute la semaine, nous avons abordé le salon international de l'agriculture de Paris.
05:36Et une question risque d'être abordée pendant ce salon, celle de la transmission des exploitations agricoles.
05:42De nombreuses études estiment que la moitié des agriculteurs vont partir à la retraite dans les dix prochaines années.
05:49A Panissière, une famille a permis à un agriculteur de prendre sa retraite en reprenant sa ferme.
05:55Alexandre Crouset vous donne plus d'explications.
05:58Depuis un mois et demi, Hélène et Alaric Séguin s'occupent de la traite de leurs filles, comme ils s'amusent à les surnommer.
06:04Une quarantaine de vaches laitières de race Montbéliarde.
06:07On a choisi cette ferme parce qu'elle est à taille humaine.
06:10Et on a repris aussi cette ferme avec mon mari.
06:13On a déjà un peu d'âge.
06:15Et c'est parce qu'on a notre fils qui est là aussi et c'est pour lui transmettre la ferme derrière.
06:20Une transmission d'exploitation agricole réussie dans le département,
06:24à l'heure où près de la moitié des agriculteurs ligériens seront à l'âge de départ à la retraite dans moins de dix ans.
06:30Toujours l'intention de retransmettre.
06:32Après, il y a beaucoup d'autres exploitations.
06:36Ils voulaient surtout du terrain, mais ils ne voulaient pas les bâtiments.
06:38C'est compliqué.
06:40Il y a beaucoup de fermes aujourd'hui qui se démantèlent comme ça.
06:44Et puis après, il y a plein d'exploitations qui doivent être à l'abandon.
06:50C'est compliqué.
06:51Si j'arrive à 65 ans, il y a un moment où il faut arrêter.
06:54C'est important que le monde paysan continue, se renouvelle.
06:57Il y en a de moins en moins qui reprennent des fermes.
06:59Donc ça me fait plaisir de participer à ça aussi.
07:03Une transmission permise par l'intervention de la Société Éloi.
07:06A la façon d'une agence immobilière, ils connectent sédans et repreneurs.
07:10Quand un sédan nous contacte, on va faire un premier échange téléphonique pour un petit peu comprendre les paramètres d'exploitation.
07:16Ensuite, on va faire une visite sur place pour visiter tout ce qui est dans le périmètre de reprise.
07:21Et puis, on va récupérer les documents comptables du sédan pour faire une analyse économique.
07:26On récupère les cinq dernières années comptables et on fait l'étude économique.
07:31On fait une projection de l'EBE pour voir ce que ça peut donner pour un nouveau porteur de projet qui reprendrait la structure.
07:38Parce que le but, évidemment, c'est qu'il y ait une viabilité économique pour le repreneur derrière.
07:44Si pour l'instant, le lait des vaches de la famille Séguin est revendu à Danone,
07:47la famille prévoit de se lancer également dans la production de crème glacée sur Conseil Éloi
07:52pour diversifier et pérenniser leur activité.
07:55Une transmission qui rapporte à Éloi entre 3 et 8% du montant d'une vente.
08:01Il y a plus d'un an, la rigotte de Condrieux rencontrait des difficultés.
08:05Après que l'une des fromageries historiques, la Fromagerie et Guillotot, a décidé d'arrêter de fabriquer ce fromage,
08:12la production a été réduite de moitié.
08:14Les producteurs de lait de chèvre se sont donc retrouvés en difficulté
08:18et le risque de perdre l'appellation d'origine protégée est aussi entré en jeu.
08:23Mais un nouveau projet a été lancé par l'organisme de défense et de gestion de la rigotte,
08:28celui de relancer cette fabrication de ces fromages de chèvre à la Fromagerie Les Quatre Fermes de Burdigne.
08:33Et la communauté de communes du Mont-du-Pilat a décidé de les soutenir avec une subvention pour les aider à sauver cette AOP.
08:41On accueille sur notre plateau Jean-Luc Rouchous, agriculteur de lait de chèvre qui a décidé de rejoindre ce projet.
08:47Bonsoir M. Rouchous, qu'est-ce qui vous a donné envie de rejoindre ce projet ?
08:52L'envie de rejoindre le projet c'est que notre lait arrête de courir tout le département pour être transformé,
09:00donc transformer localement c'est un objectif d'un producteur.
09:04Pour vous c'est important de rester justement dans ce côté local ?
09:07Pour nous c'est important de rester local puisqu'on est déjà en agriculture biologique,
09:11on a des voisins qui produisent aussi de notre façon,
09:15donc c'est bien de rester et puis il y a une fromagerie qui vient de se créer,
09:19donc pourquoi pas en profiter.
09:22Justement il en est où ce projet aujourd'hui ?
09:25Aujourd'hui on bâtit le projet, on a encore la réflexion,
09:29on est trois producteurs qui sont bio et qui, vu le marché du bio pour le moment,
09:37ont un peu de difficulté à écouler les produits,
09:40donc on est trois producteurs bio, à côté de ça il y a quelques producteurs ex-producteurs de rigotes,
09:45puisque la rigote ne se fabrique plus à Pellucin,
09:48donc le projet il est en discussion, on a fait quelques essais de transformation
09:55et aujourd'hui il faut qu'on se mette d'accord sur quelle structure on crée,
10:00soit pour acheter le lait, transformer et vendre le fromage,
10:05soit apporter notre lait à la fromagerie des quatre fermes à Burdine,
10:09ils nous le transformeront et nous se structurer pour revendre le fromage.
10:13Et qu'est-ce que ces tests ont donné pour le moment ?
10:17Qu'est-ce que vous avez découvert grâce à ces tests ?
10:19Qu'est-ce que vous pouvez faire après avoir réalisé ces tests ?
10:22Alors on a fait des tests, c'est un peu mettre la main à la pâte,
10:27savoir comment se fait le fromage, puisqu'à la base nous on est producteurs de lait,
10:31on n'est pas fromagers, donc c'est un métier à part entière,
10:34après il faudra aussi apprendre à le commercialiser,
10:37puisqu'on est en circuit court du coup, petit volume, petit producteur,
10:43il va falloir produire notre lait comme on sait le faire,
10:46le faire transformer à Burdine, c'est pour ça qu'on a fait des essais,
10:50et après nous il va falloir qu'on apprenne à le vendre.
10:52Et justement c'est une AOP que vous avez rejoint,
10:55est-ce que ça change quelque chose dans votre quotidien,
10:57des choses à faire, un cahier des charges à suivre peut-être ?
10:59Alors un cahier des charges à suivre bien sûr, le cahier des charges de l'AOP,
11:03sachant que moi je suis déjà producteur en bio,
11:06donc ça couvre déjà beaucoup du cahier des charges,
11:09les contraintes majeures du cahier des charges,
11:11c'est 80% de la production qui doit être locale dans le périmètre de l'AOP,
11:17donc sur ce point de vue pas de souci,
11:19pâturage des chèvres, donc là aussi pas de souci,
11:22donc il n'y a pas de contraintes supplémentaires pour nous, pour la rigote.
11:27Pour vous, pour moi, sur votre quotidien ça ne change pas grand-chose ?
11:30En tant que producteur, non, rien du tout.
11:32Et sur le projet qui vient juste d'être relancé,
11:36comment vous pensez qu'on peut pérenniser ce projet et l'appellation de ce fromage ?
11:41Eh bien déjà il va falloir qu'on se serre les coudes,
11:44qu'on fasse une production régulière, qu'on essaye de satisfaire la demande
11:50et après il va falloir concrétiser par la fabrication,
11:53avoir un produit régulier et se tenir à notre cahier des charges,
11:57notre rigueur dans le boulot et développer notre territoire.
12:03Vous l'avez dit, c'est une volonté pour vous de vendre votre lait à proximité.
12:12Est-ce que ce n'est pas aussi une fierté de participer à la création de ce fromage AOP ?
12:16Bien sûr que c'est une fierté parce que quand on voit notre produit
12:19qui traverse toute la France pour être transformé
12:21ou même qui traverse tout le département,
12:23on a choisi d'être en agriculture biologique,
12:26donc on évite de transporter dans un sens et dans l'autre,
12:29faire des allers-retours par le produit.
12:32Pour la deuxième chose, c'est que la fromagerie vient de se créer sur notre territoire,
12:37elle est à 20 kilomètres de ma ferme,
12:39donc une fierté, un produit qui va se…
12:42Moi je produis du lait, le lait va se transformer pas loin de chez moi,
12:47après en le vendant en circuit court,
12:49donc c'est sûr que c'est un attachement au territoire.
12:52Et pour vous, c'est un moyen de rebooster votre métier au quotidien aussi ?
12:55C'est un moyen de se rebooster, c'est un moyen de se redynamiser
13:00et chaque fois qu'on part sur un nouveau projet, c'est un challenge.
13:07Très bien, merci pour toutes ces réponses, M. Rouchous.
13:14Un peu de sport maintenant après la défaite.
13:16Deux buts à zéro de l'ICSE face à Rennes dans le Chaudron,
13:19il y a une dizaine de jours,
13:20et des dialogues musclés avec les Cops en bord de terrain.
13:23Le coach de VR, Éric Hornelande, a eu l'opportunité de rencontrer
13:27six des principaux groupes de supporters stéphanois.
13:30D'après lui, ces échanges ont été intéressants et honnêtes,
13:33et ils ont permis aux deux parties de mettre les choses à plat
13:36avant la rencontre de demain face à Angers à Geoffroy Guichard.
13:39On écoute l'entraîneur au micro de Yanis Bouhaden.
13:44C'était un moment très sympa.
13:46J'ai fait la connaissance de six groupes différents de supporters.
13:50Ils se sont tous présentés à moi et je l'ai fait également.
13:54Ils avaient beaucoup de questions très intéressantes.
13:57C'était une très belle rencontre.
13:59Je pense que l'on a parlé avec ce que l'on avait sur le cœur.
14:02Il n'y a pas eu de non-dit.
14:04J'aime leur honnêteté, j'ai apprécié cela et je l'ai aussi été avec eux.
14:10Nous avons eu un très bon dialogue.
14:12Il y a toujours beaucoup d'attentes de la part des supporters de Saint-Étienne,
14:15et c'est normal, car le club a une grande histoire
14:18et ils veulent que le futur ressemble à ce passé.
14:24La Galerie Rêves d'ailleurs de Saint-Étienne accueille en ce moment
14:28l'artiste peintre Camille.
14:30Bien plus qu'un métier, pour lui, c'est une véritable passion
14:33qu'il a découverte grâce au mouvement du street art.
14:36Et sur cette toile, on peut aussi bien retrouver
14:38des figures emblématiques de la pop culture
14:41que des références au football stéphanois.
14:44Chantal Jouassart l'a rencontrée.
14:46Et ce sera la seconde fois que Luma, l'artiste Lucas Madevon,
14:50expose ici à la Galerie Rêves d'artistes.
14:53Lucas est un autodidacte tombé dans le street.
14:56Il est à côté de ses responsabilités chez SNF.
14:59Luma dessine et c'est souvent Dali qui est sa cible.
15:02C'est quelqu'un qui m'inspire beaucoup,
15:04que j'aime reproduire sur les œuvres.
15:07Les modalités de son dessin sont toujours les mêmes.
15:10C'est travailler avec de la peinture acrylique,
15:14de la bombe et du Posca.
15:16Mais en général, je vais faire d'abord mon fond
15:19avec beaucoup d'acrylique, de bombe,
15:22beaucoup de coulure aussi, comme on peut voir ici,
15:25pour rappeler ce côté un peu street art, un peu urbain.
15:29Je passe une petite couche de blanc
15:32là où je vais dessiner le portrait.
15:34Et une fois que tout ça est sec, je commence à dessiner.
15:38Luma, que l'on ne voit pas dessiner,
15:40réalise ses portraits toujours à partir de photographies.
15:43Ce sont des portraits qui m'inspirent
15:46et que, des fois, j'ai envie de repartager.
15:49D'ailleurs, son souhait, c'est de captiver le regard.
15:52C'est vrai que le moment où j'ai découvert la peinture,
15:56j'ai redécouvert quelque chose en moi.
15:59C'est ce côté, toute la matière de la peinture et des couleurs.
16:03C'est pour ça que j'aime bien utiliser cette expression par moments.
16:07Dali est un bon modèle pour captiver l'artiste le plus excentrique
16:12qu'il soit, Dali aux quatre visages ici.
16:14On pourrait presque penser que le portrait de Jean Rochefort en est un.
16:18C'est bien Jean Rochefort que j'ai dessiné sur un ancien tableau
16:24qui était encadré avec ce cadre baroque.
16:27J'ai passé de l'enduit imitation béton,
16:30qui reproduit un peu et qui fait penser à ce côté brut
16:36qu'on peut retrouver sur les murs extérieurs.
16:39Luma, qui a peint Berking, Gainsbourg,
16:41avec des yeux clairs de Hubert Félix Stéphane.
16:44Ses portraits sont souvent des glissements qui interrogent.
16:47Avec des traits qui, des fois, ont peu lieu d'être,
16:50qui peuvent être un peu agressifs.
16:53Mais j'aime ce côté dessin très instinctif.
16:56Luma, qui vraiment est attachée aux figures fortes de la pop culture
17:01et ses autres dessins sont réservés aux joueurs de la SS.
17:05L'histoire du club, c'est des portraits que j'ai eu aussi plaisir à faire
17:10et que je suis honoré de faire et très content de pouvoir exposer.
17:15Luma, qui a exposé ses rêves d'artiste jusqu'au 4 mars,
17:18conjointement à une exposition foot à la brasserie de Geoffroy Guichard
17:22où quelques-uns de ses dessins sont sur les murs.
17:25Vous l'avez compris, il s'agissait bien de l'artiste Luma.
17:29C'est la fin de cette édition. Merci de l'avoir suivie.
17:32On se quitte avec ces images du Persan à Roche-la-Molière.
17:35100 jours avant de passer leur bac,
17:38des lycéens se retrouvent parfois déguisés pour récolter de l'argent auprès des habitants.
17:44L'actualité revient lundi à 19h mais l'information s'étend continue
17:48sur nos réseaux sociaux et notre site internet tl7.fr.
17:52Merci de votre fidélité.

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