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Transcription
00:00En tout cas, vous avez écrit votre nom au palmarès de ces victoires de la musique qui ont récompensé tant de grands artistes que vous n'écoutiez pas quand vous étiez petite, jeune.
00:19Ce n'est pas votre univers sonore et musical, mais vous vous êtes rattrapée depuis en faisant des reprises, en les écoutant assidûment et on va en entendre quelques exemples. Je ne vais pas les citer, tout le monde va l'air.
00:32C'est un blind test.
00:49Je prends des trains à travers la plaine. La nuit, je m'en lave les mains. Laissez-moi danser, chanter en liberté. Tout l'été, laissez-moi danser.
01:10France Gall, Souchon, Bachung, Dalida, est-ce qu'il y a des artistes qui vous font envie, auxquels vous n'avez pas encore osé vous attaquer ? Est-ce qu'il y a des duos qui vous feraient rêver avec des grands artistes vivants ?
01:25Je pensais que vous alliez citer ma reprise de Johnny Hallyday, qui était un peu plus colossale que ces reprises dans ma chambre. C'était le plus grand moment de cette année.
01:40C'était aussi le plus cher à diffuser, c'est pour ça qu'on ne l'a pas fait.
01:43C'est vrai que Michel Berger et Samson sont des grandes harmonies, des grandes connivences de sensibilité que j'ai découvert.
01:56C'est vrai sur le tard, parce qu'à la maison, on écoutait beaucoup de musique américaine et anglo-saxonne, et très peu de variété française, à part un peu de Gainsbourg, un peu de Bachung.
02:05C'est une réelle rencontre, Michel Berger et plus récemment Goldman, et les mises en scène de Mylène Farmer.

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