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Le long du front de mer, des touristes admirent les eaux de la Méditerranée, installés dans une calèche tirée par un cheval: l'image, grand classique des villes touristiques du sud de l'Espagne, ne sera bientôt plus qu'un souvenir à Málaga, où la municipalité a décidé de mettre fin à cette pratique.

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Transcription
00:00Tremble, Père Nicolas !
00:19Nous, nous recherchons la bien-être des animaux.
00:22Mais aussi, parce que à Malaga,
00:23Il y avait d'abord beaucoup d'endroits pour la circulation,
00:26mais avec les travaux qu'on fait ces derniers 20 ans,
00:29Il reste le parc et un peu de passeo maritimo
00:33où, dans le futur, il y aura aussi des travaux.
00:36Ce sera difficile de coexister avec les voitures de chevaux et d'autres véhicules.
00:51Je pense que ce n'est pas une bonne idée de canceler ce voyage,
00:53parce que c'est vraiment sympa.
00:55J'ai été impressionnée.
00:57Le Malaga, de cette façon, est complètement différente d'une autre façon.
01:02Je pense que, si tu es assis dans un bus et que tu regardes le Malaga,
01:06c'est complètement différent d'être assis de cette façon.
01:10Je suis assez sûre que, si mes amis venaient à Malaga,
01:14je leur suggérerais d'essayer ce voyage.
01:28Les chevaux doivent faire beaucoup de trajectoires,
01:31tant pour aller à leur lieu de pernocte, où ils dorment,
01:34comme pour retourner travailler.
01:36En été, nous atteignons ici, par exemple, à Arruin-en-Grand, les 50 degrés.
01:41En Malaga, on peut atteindre les 40-45 degrés.
01:44C'est inhumain de faire travailler un cheval comme ça.

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