Les Bleus débutent leur demi-finale à Bakou contre l'Angleterre par le double mixte avec la paire Delrue-Gicquel.
Catégorie
🥇
SportTranscription
00:00Bonjour à toutes et à tous ou re-bonjour peut-être étiez-vous avec nous ce matin
00:07on a pris l'antenne à 7h du matin, c'est vrai que c'était tôt pour la première
00:11demi-finale entre le Danemark et l'Allemagne dans ces championnats d'Europe par équipes
00:16mixtes et le Danemark, on pouvait s'y attendre, n'a fait qu'une bouchée de l'Allemagne,
00:22il y a eu un simple homme un peu plus serré mais finalement un Smus Gamequeue a fini par
00:29faire plier en deux manches Mathias Kittlitz, donc victoire 3-0 du Danemark maintenant
00:37la France et l'Angleterre vont découdre, il y aura entre 3 et 5 matchs en fonction
00:43du score, si jamais il y a 3-0 on s'arrêtera, on ne jouera pas les matchs 4 et 5 comme on
00:48le fait dans les phases de pool, en phase de pool il faut aller jusqu'au bout pour
00:54avoir le set à vérage complet, un classement complet pour établir un classement pour les
00:59demi-finales, la France sera favorite de cette partie puisqu'elle a gagné l'argent
01:07par deux fois en 2021 à Vantaa et en 2023 à Air sur l'Alice, 3-2 ça s'était joué
01:17à pas grand chose face au Danemark avec notamment un Christo Popov qui avait failli faire chuter
01:22Axel Sen, le double dame à la fin qui avait été accrochée mais malheureusement elles
01:27avaient perdu Margaux Lambert et Delphine Delrue et bien on pourrait les retrouver
01:32aujourd'hui, donc je vous donne l'ordre, d'abord le mixte, Jiquel Delrue contre Eming
01:36Van Leeuwen, ensuite Lannier Wang, Huet Lee c'est le simple dame, Jiquel et Tommy Popov
01:44qui se connaissent bien, qui ont souvent joué ensemble en junior contre Eming et le frère
01:49Van Leeuwen et donc Estelle pourrait revenir à la fin avec Lizzy Tolman contre Delphine
01:55Delrue et Margaux Lambert, il y aurait pas mal de doublons.
02:20C'est la France qui va entamer cette partie au service, premier match de cette demi-finale
02:25c'est les championnats d'Europe par équipe mixte du côté de Bakou en Azerbaïdjan,
02:31il est 3h de plus là-bas, 15h03 en l'occurrence en Azerbaïdjan.
02:40Callum Eming et Estelle Van Leeuwen sont les adversaires des Français, les Français
02:48qui sont favoris puisqu'ils sont tout de même huitièmes mondiaux, Tom et Delphine
02:53cette semaine, ils ont gagné le championnat de France il y a 15 jours à peine, 13 jours
02:59pour être très précis, en phase 2 donc on a Callum Eming qui est le plus expérimenté
03:07côté anglais, il n'a que 25 ans, c'est la même génération que Jiquel et Delrue,
03:13sa partenaire elle est beaucoup plus jeune puisqu'elle est de 2004, elle aura 21 ans
03:20cette année, ça fait quelques temps qu'ils jouent ensemble, Eming lui a joué auparavant
03:28avec Steven Stallwood en double homme et Jessica Pugh, c'était il n'y a pas si longtemps
03:33que ça, mais maintenant il est avec les frères et sœurs Ethan Van Leeuwen et Estelle Van
03:41Leeuwen qui sont des fils de joueurs, un joueur hollandais, Jurgen Van Leeuwen qui a 50 ans
03:49maintenant, qui a joué jusqu'au début des années 2000, qui est néerlandais comme
03:55son nom l'indique, mais installé en Angleterre et avec des enfants anglais, donc il est coach
04:03pour l'équipe d'Angleterre, 3 partout
04:20Ethan lui a 23 ans, 3 ans d'écart, le frère et la sœur, peut-être qu'on ne le verra
04:31pas sur le terrain aujourd'hui si jamais la France l'emporte 3-0, les bleus qui sont
04:38au-dessus dans les simples, mais attention aux doubles, ils sont certainement aussi au-dessus
04:45dans les doubles, mais c'est quand même des doubles solides, donc la France pourrait
04:51avoir plus de mal que le Danemark ce matin
04:54Une communication de Delphine pour dire à Tom d'y aller, vous voyez que les Français
05:16évoluent avec leurs nouveaux maillots qui sont assez magnifiques d'ailleurs, ils en
05:22ont plusieurs, ils en ont celui-là et un autre plutôt à dominante blanche avec leurs
05:26nouveaux partenaires
05:27Petit risque
05:34Non, ça va sortir !
05:52Service frappé trop malheureusement pour Tom Jiquel, les Français qui ne vont pas prendre
06:04les commandes, pas tout de suite en tout cas, au-dessus du mètre 15 réglementaire, ça
06:10fait 6-5 pour les Britanniques
06:23Super, il a reculé Heming, il s'est été bien glissé, bien fixé de la part de Delphine
06:34Delru, 6 égales, alors est-ce que ça va être encore un service haut ? Et c'est vrai qu'il
06:40n'est pas immense Callum Heming, il est à 1m75, il a donné une belle erreur, il va aller
06:48changer de raquette, il est plus petit c'est sûr comparé à Tom qui lui est à 1m86 sous
06:57la toise, un joueur très puissant
07:04Des points rapides
07:19On aperçoit les autres Français, Elsa Jacob, Léo Rossi derrière, le bout de la raquette
07:26bien joué
07:386 sur Estelle
07:44Les Anglais qui ont face gênée
07:49Quel point qui dure, ce sera le filet malheureusement pour nos bretons
07:57Point pour les grands bretons, 7-8
08:07Magnifique, magnifique rallye en tout cas, les bleus qui ont souvent apparu en bonne posture
08:13ça finit par tourner à l'avantage des Anglais
08:25Très bien dès le retour de service là, il n'y a plus qu'à conclure ensuite
08:32Je vous disais les doubles britanniques sont solides, quoique jeunes, mais c'est vrai qu'on a un
08:40mixte vraiment en grande confiance, il y a eu ce titre de champion de France contre Jacob
08:47et Lalo Trescarte, et puis il y a aussi eu cette finale en Inde qu'on a suivi ensemble
08:52le mois dernier, le tournoi Super 750, complètement manqué de la part de Heming
09:00Ils avaient fait un quart aussi en Malaisie juste avant, avant de rentrer se préparer
09:08C'est vraiment un gros objectif cette compétition pour les Français parce que
09:12il y a deux ans ça avait vraiment laissé un goût amer, il y avait eu un coup de poker
09:18avec un mélange des doubles un petit peu comme aujourd'hui d'ailleurs
09:27Et cette année, ils veulent que ce soit vraiment la bonne année
09:37Pas de forfait en plus chez les Bleus
09:43Allez c'est dedans, 11 à 8
09:48Départ piano et les Français sont en train de trouver leur rythme de croisière
09:53Ils font mal avec leur puissance notamment
10:08Ils ont un coach qui s'y connaît, les Anglais, avec Nathan Robertson
10:20qu'on a aperçu avec les cheveux longs
10:22Ça se passe bien aussi avec le nouveau coach des Français
10:26Ludwig Sen, coach danois des Français
10:31qui est venu entraîner à l'INSEEF depuis le mois de septembre avec sa compagne
10:35Tina Ludwig Sen, ils étaient auparavant avec les Allemands
10:40Ils avaient fait du très bon travail
10:42Et les voilà partis pour un cycle en France et ça a l'air de très bien se passer
10:47Le courant passe bien avec les doubles français notamment Jiquel et Del Rue
10:55C'est quasiment un ace on va dire ça
10:58Elle n'a pas bougé, elle n'a pas bougé là
11:01Esthède Van Leeuwen est derrière, il peut remettre le volant
11:05Un manque au ras du filet, c'est cadeau pour Delphine Del Rue
11:12Il avait été champion du monde en 2006 en mixte
11:18Nathan Robertson qui avait été aussi numéro 1 mondial avec Gail Eames
11:25Ça fait déjà 20 ans, c'est fou, c'est fou, 19 ans
11:31C'est le moment, c'est le moment
11:33C'est le moment, c'est le moment
11:35C'est le moment, c'est le moment
11:37C'est le moment, c'est le moment
11:39C'est le moment, c'est le moment
11:41C'est le moment, c'est le moment
11:43C'est le moment, c'est le moment
11:45C'est le moment, c'est le moment
11:47C'est le moment, c'est le moment
11:49C'est le moment, c'est le moment
11:51C'est le moment, c'est le moment
11:53C'est le moment, c'est le moment
11:55C'est le moment, c'est le moment
11:57C'est le moment, c'est le moment
11:59C'est le moment, c'est le moment
12:01C'est le moment, c'est le moment
12:03C'est le moment, c'est le moment
12:05C'est le moment, c'est le moment
12:07C'est le moment, c'est le moment
12:09C'est le moment, c'est le moment
12:11C'est le moment, c'est le moment
12:13C'est le moment, c'est le moment
12:15C'est le moment, c'est le moment
12:17C'est le moment, c'est le moment
12:19C'est le moment, c'est le moment
12:21C'est le moment, c'est le moment
12:23C'est le moment, c'est le moment
12:25C'est le moment, c'est le moment
12:27C'est le moment, c'est le moment
12:29C'est le moment, c'est le moment
12:31C'est le moment, c'est le moment
12:33C'est le moment, c'est le moment
12:35C'est le moment, c'est le moment
12:37C'est le moment, c'est le moment
12:39C'est le moment, c'est le moment
12:41C'est le moment, c'est le moment
12:43C'est le moment, c'est le moment
12:45C'est le moment, c'est le moment
12:47C'est le moment, c'est le moment
12:49C'est le moment, c'est le moment
12:51C'est le moment, c'est le moment
12:53C'est le moment, c'est le moment
12:55C'est le moment, c'est le moment
12:57C'est le moment, c'est le moment
12:59C'est le moment, c'est le moment
13:01C'est le moment, c'est le moment
13:03C'est le moment, c'est le moment
13:05C'est le moment, c'est le moment
13:07C'est le moment, c'est le moment
13:09C'est le moment, c'est le moment
13:11C'est le moment, c'est le moment
13:13C'est le moment, c'est le moment
13:15C'est le moment, c'est le moment
13:17C'est le moment, c'est le moment
13:19C'est le moment, c'est le moment
13:21C'est le moment, c'est le moment
13:23C'est le moment, c'est le moment
13:25C'est le moment, c'est le moment
13:27Superbe ce geste là, petit stick de revers là, smash de revers de Callum Heming, difficile
13:40à aller chercher pour les bleus.
13:58Rien risque.
14:02Mais que Delphine, voilà, ça y est, tape un peu plus ça.
14:27Parfait, absolument parfait, il n'y avait personne.
14:5714 égales.
15:12Oh c'est passé, oh là là.
15:27C'est passé de justesse le petit reverse slice qui s'est arrêté sur la bande.
15:33La réussite dans le clan français.
15:40On ne va pas se mentir, il fait du bien à ce moment là.
15:48Il faut éviter de douter trop, même si on l'a vu ces derniers mois, ils sont plutôt
16:02solides à ce niveau là les français.
16:05Les français qui n'avaient jamais affronté cette paire entre composés de Heming et de
16:14Van Leeuwen.
16:15Ça, c'est bien poussé, magnifique.
16:17Mais qui avait déjà gagné deux fois lorsque Heming jouait avec Jessica Pugh, c'était
16:26en 2021 et en 2022.
16:29Mais à chaque fois, ça s'était joué en 3-7.
16:33Voilà, il faut finir.
16:38C'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
17:08c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
17:37c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
18:06c'est parti, c'est parti.
18:07C'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
18:08c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
18:09c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
18:10c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
18:11c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:13parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:14parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:15parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:16parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:43parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:44parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:45parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:46parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
18:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:13parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:14parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:15parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:16parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:43parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:44parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:45parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:46parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
19:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:13parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:14parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:15parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:16parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:43parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:44parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:45parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:46parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
20:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:13parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:14parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:15parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:16parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:43parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:44parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:45parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:46parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
21:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:13parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:14parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:15parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:16parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:43parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:44parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:45parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:46parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:48parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:49parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:50parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:51parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
22:52parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:18parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:19parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:20parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:21parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:22parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:48parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:49parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:50parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:51parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
23:52parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:18parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:19parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:20parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:21parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:22parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:48parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:49parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:50parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:51parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
24:52parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:17parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:18parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:19parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:20parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:21parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:22parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:23parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
25:24c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:25parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
25:26c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:27parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:28parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
25:29c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:30parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
25:31c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:32parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:33parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:34parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:35parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:36parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
25:37parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:02parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:03parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:04parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:05parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:06parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:07parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:32parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:33parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:34parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:35parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:36parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:37c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:38c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:39c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:40c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
26:41parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:42c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:43c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:44c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:45c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:46c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:47c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:48c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:49c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:50c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:51c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:52c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:53c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:54c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:55c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:56c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:57c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:58c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
26:59c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:00c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:01c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:02c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:27c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:28c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:29c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:30c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:31c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:32c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:33c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:34c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:35c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:36c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:37c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:38c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:39c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:40c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:41c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:42c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:43c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:44c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:45c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:46c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:47parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:48parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:49parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:50parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:51parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:52c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:53parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:54parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
27:55c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:56parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:57parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:58parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
27:59parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:00parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:01parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
28:02c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:03parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:04parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
28:05c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:06parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:07parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:08parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:09parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
28:10c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:11parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:12parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:42parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:49parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
28:56parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
29:01parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
29:06parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est
29:11parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti.
29:42Allez, tout en puissance, juste avant la pause. 11-6, tout va très bien pour l'instant pour
29:50notre duo français dans ce premier match.
30:1120 secondes, 20 secondes.
30:4211-6.
30:56Service haut sur Heming, elle laisse sortir, elle a bien fait, elle a bien fait.
31:03C'est le vent de Leuven.
31:06Oula, pression, elle était complètement embarquée, pas de chute, ça va, tout va
31:34bien.
31:44La fédération anglaise qui a annoncé il y a quelques jours, une dizaine de jours, qu'il
31:49y aura une véritable légende du bad qui viendra les aider.
31:54Elle sera plutôt une consultante, elle viendra coacher je crois une fois par mois.
32:00Christina Pedersen, la joueuse danoise qui se championne olympique en 2016, superstar
32:10du double dame, du double mixte.
32:13Et ça devrait les aider parce que c'est vrai qu'elle est jeune encore cette équipe anglaise.
32:29C'est le vent de Leuven.
33:00Suivi une nouvelle fois là, ils n'ont pas dit leur dernier mot.
33:08Elle a été la patronne sur ce point là, l'anglaise, 10-12.
33:29Attention tout de même là les français, c'est loin d'être fini.
33:59Ils essayent mutuellement, ça finit par passer je crois avec l'aide du filet.
34:14Les deux paires qui ont essayé beaucoup de s'attirer au filet pour créer des décalages.
34:22Ça finit par tourner à l'avantage des bleus.
34:29Ça fait du bien de remporter un tel point aussi disputé.
34:59C'était au moins une encore une fois là.
35:29Heming qui a manqué de réussite.
35:39Ils sont en train de tout donner pour revenir, ça ne sourit pas vraiment là.
35:4314-12 maintenant pour les sextuples champions de France.
35:51Et les championnats d'Angleterre aussi récemment.
35:54Et ce ne sont pas Heming et Van Leuwen qui ont remporté, ce sont les Mares.
36:01Greg et Jenny Mares qui ont remporté leur troisième titre de champion d'Angleterre.
36:11Pas suffisant pour être aligné aujourd'hui.
36:20C'est loin, égalisation.
36:23Il y avait 11-6 il n'y a pas longtemps.
36:26Ils se sont un petit peu endormis les français.
36:43Le coup dans le couloir de Tom.
36:52Elle a réussi à se tiquer ça là sur la ligne.
37:18Plus la raquette en opposition.
37:20C'est le moment où ça s'était décompté dans le premier set.
37:4715 partout, scénario un peu différent puisque là les anglais recollent.
37:54Oh superbe, superbe, elle a avancé.
37:59Et Hemingway s'est dit bon pas besoin d'y aller.
38:03Il a un peu masqué parce que là c'était compliqué à attraper pour elle effectivement
38:16mais lui n'a pas pu réagir non plus et à chaque fois, à chaque égalisation les
38:21français qui marquent le point d'après, qui ne se laissent pas doubler.
38:24C'est pas possible, c'est le quatrième dans le clan français depuis le début ce
38:40service faute.
38:41C'est pas au meilleur moment là.
38:45Oh on a eu peur, on a eu peur mais c'est long, bien trop long.
39:12Elle a eu peur de rejouer sur Estelle, la Delphine, ah ils se sont gênés, là c'est
39:40les bleus qui se sont gênés.
39:41Elle lui a mis une feinte involontaire évidemment.
40:10Je crois bien qu'il n'y a pas de challenge.
40:31On va peut-être voir un ralenti dans quelques instants.
40:38C'est pas là qu'on va mieux le voir, il y a une caméra mieux placée que ça.
40:46Ils essaient de plaider leur cause, le maître Delphine, mais c'est validé comme ça.
40:55Et dans le money time, on peut dire maintenant les anglais qui passent devant.
41:25Que c'est dur, que c'est dur quand même là pour égaliser.
41:55C'était pas loin de revenir, en plus pas très loin de la ligne, 18 partout.
42:25Très agressif sur le retour de service.
42:34Il laisse sortir à nouveau Tom et à nouveau c'est vraiment pas loin, il ne fallait pas
42:46se tromper cette fois-ci.
42:47C'est dur, c'est dur, c'est serré mais les français sont à deux points de la victoire.
42:54Ah oui, entre les deux anglais, personne n'a osé y aller et deux volants de match.
43:13Il ne faut pas relâcher l'étreinte là.
43:21Ça revient, ils sont en difficulté les anglais.
43:41Pas pour longtemps avec Estelle Van Leeuwen qui a bien repoussé le volant sur le coup
43:49précédent.
43:50Il va vraiment falloir aller l'arracher cette victoire pour les français.
44:11Ce deuxième set là, un dernier match pourtant un peu en déséquilibre.