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  • 14/02/2025

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00:00Europe 1, 16h-18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05Ah ils sont en train de nous enlever une chaîne actuellement, on garde le sourire, on garde le sourire parce que vous savez, l'avenir, l'avenir, l'avenir est souvent plus radieux que le passé.
00:15Pas de moi, c'est pas de moi.
00:17Ah bon c'est de qui ?
00:18Ça je crois que c'est Yannick Noah.
00:20Je sais pas qui c'est, c'est pas important.
00:24Allez on est sur Europe 1, il est 17h33.
00:26Quelqu'un a dû le dire.
00:29Olivier Dardigole, Gautier Lebret, Valérie Benaim, ils sont avec nous actuellement, le Conseil d'État.
00:37Le Conseil d'État, le Conseil d'État, le Conseil d'État, le Conseil d'État, le Conseil d'État.
00:44Le Conseil d'État ils sont en train de discuter, ils ont 5h de discussion.
00:485h de discussion, après avoir entendu les deux parties.
00:51Ouais ouais merci les mecs, les mecs franchement, est-ce qu'on croit vraiment qu'ils discutent ?
00:55Les mecs j'ai une question à vous poser, est-ce que si j'étais très ami...
01:00Ah je pensais que c'était Président de la République.
01:03Président de la République ?
01:07Alors, les chéris, imaginez si j'étais Président de la République,
01:12si j'étais très ami avec le Président de la République.
01:16Parce que j'ai vu que par exemple Thierry Ardisson pendant l'audition il allait chez Rachida Dati,
01:21la Ministre de la Culture.
01:22Ah bon ?
01:24Ouais il est passé devant, c'est des infos qui sont sorties.
01:27Imaginons si j'étais très ami avec Rachida Dati ou Emmanuel Macron.
01:31Emmanuel Macron, est-ce que vous pensez, vous dites la vérité,
01:35est-ce que vous pensez que ces 8 auraient été enlevés ?
01:40La réponse est non.
01:41La réponse est non.
01:43La chaîne n'aurait pas été supprimée.
01:46C'est très important cette question.
01:47Je pense.
01:48Donc chaîne supprimée ou pas ?
01:49Je suis même pas sûr.
01:50Quoi ?
01:51Je suis même pas sûr.
01:52Ouais.
01:54Moi aussi.
01:55Je suis comme Gauthier, je suis pas sûr.
01:56Même si vous étiez très proche du Président de la République,
01:59je suis même pas sûr que ça changerait.
02:01Vous avez vu qu'ils ont distribué les fréquences derrière ?
02:04Là c'est un autre niveau.
02:05Non mais ça c'est autre chose.
02:06Il y a quand même un milieu.
02:07C'est vrai que les mecs qui ont eu les fréquences c'est des amis du Président de la République.
02:10Je suis désolé les mecs, on va pas se raconter l'histoire.
02:13C'est le premier cercle.
02:14Ah oui c'est le premier cercle.
02:15C'est le deuxième effet qui se coule.
02:16C'est le premier effet.
02:17A savoir, est-ce que vous auriez été...
02:19Moi je pense que oui.
02:20Je pense moi que c'est pas...
02:23Imaginons...
02:26Je sais pas, moi je pense que...
02:27Moi je suis même pas sûre qu'on vous aurait préservé.
02:29Je suis même pas sûre que vous auriez été protégé.
02:31Pourquoi vous marchez aussi ?
02:34Parce que vous faites le relais aussi
02:37des soucis des Français au quotidien.
02:41Quand vous invitez les Gilets jaunes pendant toute la crise,
02:45vous pouvez pas devenir ensuite l'ami du Président de la République.
02:47Oui c'est sûr.
02:49Et puis le vaccin, il y a le vaccin.
02:51Evidemment.
02:52Le vaccin où j'ai eu...
02:53Le vaccin.
02:54Et puis même là, vous vous traitez des sujets sécuritaires,
02:58migratoires régulièrement, des OQTF qui ne sont pas appliqués.
03:01Bien sûr.
03:02Ce qui intéresse les gens, ce qui les préoccupe.
03:05Et je vais vous dire, nous on avait invité,
03:07vous savez, entre les deux tours.
03:09Donc on avait invité, vous savez, on voulait...
03:12Je crois que c'était pour les élections européennes.
03:15On avait invité Jordan Bardella et Gabriel Attal.
03:18Jordan Bardella avait dit oui, bien entendu.
03:20Et Gabriel Attal avait décliné.
03:22Gabriel Attal qui était ancien Premier ministre.
03:25Je pense qu'il savait déjà qu'ils allaient nous sucrer la chaîne.
03:28Ah vous pensez, vous ?
03:30Moi je pense, c'est pas impossible.
03:32En tout cas, il savait.
03:33Il disait que c'était une possibilité.
03:34Exactement.
03:35Et Gabriel Attal, il n'a pas eu un documentaire sur C8 récemment ?
03:38Exactement.
03:39En prime ?
03:40Mais les gars s'en foutent.
03:41Tu peux faire des documentaires sur eux.
03:43Tout ça, ils s'en foutent.
03:44Il n'a pas eu envie de venir dans tes PMP avant ?
03:47Non, non, non.
03:50On n'en a pas pleuré non plus.
03:52On est leader.
03:53C'est plus celui qui a besoin de nous que nous qui avons besoin de lui.
03:55On va se raconter l'histoire.
03:59Pourtant, quand ça les arrange, ils sont très contents de venir.
04:01A la fois Gabriel Attal et Jean-Luc Mélenchon.
04:03Parce que quand Jean-Luc Mélenchon est venu
04:06et qu'il a fait un score d'audience très élevé,
04:10il était très heureux d'être avec Cyril Hanouna.
04:13Et Gabriel Attal, quand il est venu dans Touche pas à mon poste,
04:16et qu'on était sortis, qu'il avait déambulé dans les rues
04:19et offert un verre dans un café,
04:21là aussi...
04:22Je ressens quelque chose par rapport à la journée.
04:24J'y réfléchis maintenant.
04:26Je ne vais pas me faire les amis, mais ce n'est pas grave.
04:28Pourquoi il n'y a pas un appel des syndicats
04:31pour une mobilisation devant le Conseil d'État sur la saignée des emplois ?
04:35Parce qu'on le fait quand il y a des plans sociaux qui sont annoncés.
04:38Quand ça pète dans certains territoires, on dit, allez, il faut se mobiliser.
04:42Pourquoi il n'y a pas une mobilisation
04:44des responsables en disant, ne faites pas ça,
04:48il y a des vies, il y a des emplois, il y a des familles derrière.
04:51Il y a des gens qui ont le ventre noué
04:54par ce qui peut se passer.
04:55Pourquoi ils ne l'ont pas fait ?
04:56Mais y compris les politiques,
04:58parce que quand une usine ferme...
05:00Non, non, dans les entreprises...
05:02Chez les politiques, il y a des gens qui ont agi.
05:05Il y a Marine Le Pen,
05:07il y a Éric Ciotti,
05:09Jordan Bardella...
05:12C'est vrai qu'il n'y a pas eu...
05:14Les autres ont tellement peur de prendre partie...
05:16Mais ça aurait pu être transpartisan.
05:18Quand une usine ferme,
05:20et notamment le ministre du Travail
05:22va sur place pour dire, on va essayer de sauver vos emplois,
05:24essayer d'entendre et de comprendre ce qui s'y joue.
05:27Ce même magistrat me dit, parce qu'il nous écoute,
05:29en CEDH, atteinte à une liberté fondamentale.
05:32Bien sûr, il a raison.
05:34Il a raison.
05:36Il y a aussi des magistrats qui ne vont pas
05:38vers où l'Elysée veut souffler le vent.
05:41Mais après, ça peut être contre-productif
05:43pour eux, politiquement.
05:45C'est vrai, mais tout va être contre-productif.
05:47Ça crée beaucoup de ressentiments.
05:49Sur ce petit moment de la fin de journée,
05:51où les journées sont pour beaucoup de gens très dures,
05:54et le petit moment,
05:56le petit plaisir de la vie,
05:58le petit bonheur de la vie.
06:00Lui, il pense à sa soirée de ce soir,
06:02elle va faire un petit plaisir de la vie.
06:04Le fondement est juste, s'il te plaît.
06:06Oh, on ne parle pas du fondement d'Elysée comme ça.
06:10Il est 17h39.
06:14On est sur Europe 1.
06:16On va prendre beaucoup d'auditeurs qui veulent réagir.
06:18Pour moi, c'est quand même une énorme fumisterie, cette affaire.
06:21C'est une énorme fumisterie, on ne va pas se mentir.
06:23Moi, ce qui me dérange, je vais vous dire,
06:25c'est que personne ne monte au créneau.
06:27C'est vrai que le président de la République
06:29n'a pas réagi à ça.
06:31Je ne dis pas qu'il doit réagir,
06:33mais quand on réagit sur les péages,
06:35ou quand on va voir si la Joconde louche toujours
06:37au Louvre,
06:40j'ai vu qu'il était en Stéphane Plaza,
06:42en agent immobilier,
06:44il a fait visiter l'Elysée.
06:46Franchement, tu prends deux minutes
06:48pour parler de ça.
06:50Tu prends deux minutes pour dire,
06:52je vais quand même donner mon avis.
06:54S'il ne donne pas son avis,
06:56c'est qu'il y a une baleine sous le gravier.
06:58Et Dieu sait qu'une baleine sous le gravier,
07:00ça se voit.
07:02Exactement. Merci, Gautier Lebray.
07:04Franchement, j'aimerais que,
07:06dans cette dernière demi-heure,
07:08vous disiez tous la vérité.
07:10Parce que là, je vous sens en retrait,
07:12et ça m'énerve.
07:14Calmez-vous. A tout de suite.
07:38Carrefour.
07:40Chez Carrefour,
07:42il y a 60% de remise immédiate
07:44sur le deuxième paquet de céréales
07:46Chocapic ou Lion de Nestlé achetées.
07:48Et c'est valable sur toutes les céréales
07:50Chocapic et Lion de Nestlé.
07:52Et c'est jusqu'au 23 février,
07:54chez Carrefour, Carrefour Market et Lord Drive
07:56et sur votre appli Carrefour.
07:58Carrefour, on a tous droit au meilleur.
08:00Pas n'achèche possible.
08:02Carrefour.
08:04Carrefour.
08:06On a tous droit au meilleur.
08:08Pas n'achèche possible.
08:10La remise s'applique sur le moins cher.
08:12Pour votre santé, évitez de grignoter.
08:14Europe 1.
08:16On marche sur la tête.
08:18Cyril Hanouna.
08:20Il est 17h41 sur Europe 1.
08:22Qu'est-ce qu'on est heureux d'être là entre 16h et 18h.
08:24Je rappelle que c'est la plus grosse progression
08:26toute radio confondue.
08:28Et je sens que l'émission cartonne.
08:30Je ne sais pas pourquoi.
08:32Je sens qu'il y a beaucoup de gens qui nous appellent.
08:34De mon côté, pas.
08:36Mais autant de votre côté, oui.
08:38De votre côté, oui.
08:4001 80 20 39 21
08:42Merci à tous les auditeurs de nous appeler.
08:44Et c'est vrai qu'on parle de cette affaire
08:46de conseil d'Etat qui devrait
08:48prendre sa décision dans 3-4 jours
08:50pour dire s'il suit le rapporteur.
08:52Donc c'est un mec qui rapporte.
08:54C'est un mec qui fait n'importe quoi.
08:56Tu es en train de tromper ta femme.
08:58Il est en train de te tromper.
09:00Au deuxième étage, tu vas voir.
09:02Il a cette voix, le rapporteur.
09:04Il rapporte tout.
09:06Il n'a pas traversé dans les clous.
09:08Le rapporteur, c'est un mec
09:10qui ne fait que rapporter.
09:12Il est là et il va voir le conseil d'Etat.
09:14Depuis sa jeunesse, il a fait ça
09:16à l'école.
09:18Il n'y a pas de compas.
09:20C'est un mec qui rapporte.
09:22C'est son métier. Il est fait pour ça.
09:24Là, il a demandé le rejet des recours.
09:26Ça me rappelle une blague.
09:28Allez-y.
09:30Bien sûr.
09:32Il y a un mec.
09:34Il sort de chez lui.
09:36Tous les matins, il y a un mec en face.
09:38Il fait ça.
09:40Il dit que ce n'est pas possible.
09:42Il arrive au travail.
09:44Il y a le mec derrière l'appart.
09:46Il fait ça.
09:48Il rentre chez lui.
09:50Il ne dit rien. Il mange tranquillement avec sa femme.
09:52Il se couche. Il ressort le lendemain matin.
09:54Il sort de chez lui.
09:56Il dit que ce n'est pas possible.
09:58Il continue.
10:00Il prend sa voiture.
10:02Le mec passe au feu.
10:04Il fait ça.
10:06Là, il rentre chez lui.
10:08Il va voir sa femme.
10:10Il dit qu'il se trompe.
10:12Il y a un mec.
10:14Toute la journée, il me traite de cocu.
10:16Pas du tout.
10:18Le mec ressort le lendemain.
10:20Il fait ça.
10:22Il rapporte en plus.
10:26Il fait ça.
10:32C'est rappelé.
10:38Il est content, Florian Roussel.
10:42C'est le grand gars dans la journée.
10:44C'est Florian Roussel.
10:46C'est le rapporteur.
10:48Il était dans la même promotion qu'Emmanuel Macron.
10:50Promotion Romain Garry.
10:52Ou Émile Hajard.
10:54C'est mon préféré, bien entendu.
10:56Pour les fans les frites.
10:58Un petit peu de littérature ne se fait pas de mal dans cette émission, bien entendu.
11:02On parlera des lettres perçales dans un instant.
11:05Reste avec nous sur Europe 1.
11:07Et donc, lui qui était dans la même promo qu'Emmanuel Macron,
11:11au Conseil d'État, il y a 6 mecs qui sont dans la même promotion qu'Emmanuel Macron.
11:15Il faudra voir la composition de la chambre.
11:17La composition, on parle de Dembélé.
11:19Je vais vous la faire tout de suite, la composition de la chambre.
11:30Je vous le dis, pour moi, c'est une énorme fumisterie.
11:33Donc là, les mecs, j'aimerais bien savoir, les mecs,
11:36qui, qui, je veux qu'on soit clair,
11:39qui a pris la décision de retirer C8, s'il vous plaît ?
11:43Alors là, à votre avis, bien entendu.
11:45Qui ? Et je ne veux pas de langue de bois.
11:47Qui ? Vous connaissez la chanson de Charles Aznavour.
11:50Qui ? Qui peut-être cet autre ?
11:53Alors, allez-y, on va démarrer par Fabien Lequeu,
11:56qui est celui qui prend moins de risques,
11:58puisque les gens ne le connaissent pas encore.
12:07Alors, qui a pris la décision, à part l'ARCOM, bien sûr ?
12:10D'où ça vient, en fait, cette grande décision ?
12:12Vous pouvez dire, ça vient du président de l'ARCOM et du collège de l'ARCOM.
12:16Je pense que c'est plus haut que l'ARCOM.
12:18Plus haut que l'ARCOM ?
12:19Oui, plus haut que l'ARCOM. Au-dessus de l'ARCOM.
12:20L'ARCOM ?
12:21Si vous voulez.
12:22Qu'est-ce qu'il nomme, les gens de l'ARCOM ?
12:25C'est le président de la République.
12:26Donc, on peut supposer, évidemment.
12:30Président du Sénat aussi, président de l'Assemblée Nationale.
12:32C'est un des présidents du Sénat, de l'Assemblée Nationale,
12:34ou de l'Élysée, très simplement.
12:38Alors, Dartigoule.
12:39À partir du moment où on ne sanctionne pas deux fois pour les mêmes faits,
12:43l'argument juridique tombe.
12:47Donc, on dépasse, on s'en va, on quitte le Conseil d'État
12:51pour arriver directement au château et à l'Élysée.
12:53Ah oui.
12:54Quand même, tu vois.
12:57Eh, lui, il n'a plus rien à perdre.
12:59Ce soir.
13:00J'ai fait tapis.
13:01Il n'a plus rien à perdre, lui.
13:03Il n'a plus rien à perdre.
13:04Ils vont lui lancer des merguez à la fête de l'Humain l'année prochaine, dans la gueule.
13:07Il n'a plus rien à perdre.
13:09Ça y est, là.
13:10C'est quand même une décision très politique.
13:12Bravo à Olivier Dartigoule.
13:13Parce que franchement...
13:15Sinon, on va tourner, on va faire...
13:16Non, mais ce n'est pas ça.
13:17Moi, je pense à l'inverse.
13:19Je pense que c'est une décision de l'ARCOM,
13:22de Roch-Olivier Mestre,
13:24qui avait décidé avec le Collège de l'ARCOM,
13:26mais qu'elle n'a pas été arrêtée par l'Élysée.
13:29C'est autre chose.
13:30Je suis d'accord avec toi.
13:32Mais donc, si elle n'est pas arrêtée par l'Élysée...
13:34Elle n'est pas l'initiative.
13:36Ça y est, rétro-pédale.
13:37Non, non.
13:38Si elle n'est pas arrêtée par l'Élysée,
13:39l'Élysée...
13:40On va se dire des choses.
13:41Dans ces milieux-là,
13:43à un moment donné,
13:44il peut y avoir une décision politique
13:45qui va justement ruisseler.
13:47Je peux vous dire quelque chose.
13:48On va se parler franchement.
13:49Roch-Voisine, là.
13:52Je sonne sur le sable, les yeux dans l'eau.
13:54L'ancien patron de l'ARCOM, là.
13:55Roch, je ne sais plus comment...
13:56Hélène.
13:57Hélène.
13:58Roch-Voisine, là.
13:59Roch-Olivier Mestre.
14:00Vous connaissez Roch-Olivier Mestre ?
14:02Quelqu'un connaît un petit peu Roch-Olivier Mestre ?
14:04Il est très agréable.
14:05Roch-Olivier Mestre, c'est le rebelle de...
14:07C'est le...
14:08Vraiment, c'est un rebelle, Roch-Olivier Mestre.
14:10Il est connu comme étant un rebelle.
14:11Donc, Roch-Olivier Mestre, il va dire...
14:13Il n'est pas très rock'n'roll.
14:14Justement.
14:15Je te le dis.
14:16Ce n'est pas le mec...
14:17Tu ne te dis pas...
14:18Ce n'est pas un loupard.
14:19Donc, je te le dis vraiment.
14:21Roch-Olivier Mestre,
14:22tranquille,
14:23il est tranquille dans son bureau.
14:24Il se dit, moi,
14:25je vais me mettre à dos
14:26pendant un long moment,
14:27même toute ma vie, peut-être.
14:29Sien et Danouda et Vincent Bolloré.
14:31Ecoutez, franchement,
14:32tout seul dans son petit bureau.
14:33Il dit, les mecs, c'est bon.
14:34On y va.
14:35Tu sais quoi ?
14:36Il a eu un éclair de...
14:37Allez, c'est bon.
14:38C'est comme le mec,
14:39à un moment, il se chauffe.
14:40Tu sais quoi ?
14:41Je vais aller voir l'amant de ma femme.
14:43Voilà.
14:44Donc, là, les mecs,
14:45vous croyez vraiment,
14:46lui, il est tranquille dans son bureau.
14:47Il est en train de manger des dragibus.
14:49Il dit, bon, allez, tu sais quoi ?
14:50J'arrête, c'est vite.
14:51Non, mais les mecs,
14:52il faut arrêter, les mecs.
14:53Il faut arrêter deux minutes.
14:54Croyez vraiment qu'Aminima,
14:55il n'appelle pas l'Elysée, les mecs.
14:56Arrêtez.
14:57En tout cas,
14:58si ce n'est pas direct,
14:59il y a des messages subliminaux
15:00qui sont envoyés depuis...
15:01Subliminaux, c'est quoi ?
15:02Tu crois qu'il y a des pigeons
15:03qui arrivent ?
15:04Qui infusent les...
15:05Alors, c'est toujours
15:06à qui profite le crime.
15:07Donc, l'intérêt,
15:08ce serait pour aider les amis.
15:09C'est ce que je suis en train de dire.
15:10Déjà, aider les amis.
15:11Aider les amis,
15:12dont les amis
15:13qui récupèrent les fréquences.
15:14C'est très bien
15:15que l'un des mecs
15:16qui récupère les fréquences
15:17est très proche
15:18d'Emmanuel Macron.
15:19On le sait.
15:20Et puis, même la ligne
15:21franc-tireur
15:22est une ligne pro-Macron
15:23pour dire les choses.
15:24C'est sûr.
15:25Donc, vous remplacez
15:26un talk...
15:27Ce n'est pas
15:28un journal d'opposition.
15:29Vous remplacez
15:30un talk show
15:31qui fait de l'audience
15:32et qui peut émettre
15:33des critiques
15:34sur la situation actuelle
15:35du pays.
15:36Donc, sur le bilan
15:37d'Emmanuel Macron,
15:38puisqu'il en est
15:39directement responsable,
15:40par un talk,
15:41on verra ce que ça sera.
15:42On ne regardera pas
15:43que ça longtemps.
15:44Ça va être quoi ?
15:45Les mecs,
15:46ça va être
15:47vadez mes com'
15:48fluoreaux et plantes.
15:49Ça va passer de la pommade
15:50toute la journée,
15:51les gars.
15:52Ils sont rigolés.
15:53Ils ne comprennent rien.
15:54Vous croyez vraiment
15:55que Raphaël Etoven,
15:56ça va secouer ?
15:57La dernière fois
15:58qu'il a secoué un truc,
15:59c'était un Orangina.
16:00Le rôle de LFU,
16:01on oublie
16:02d'en parler.
16:03Parce que la pression politique,
16:04s'il y en a eu
16:05pour faire de la place
16:06à Jekyll & Hyde,
16:07pour supprimer
16:08une chaîne
16:09et un talk
16:10qui pouvait
16:11rendre compte
16:12de la réalité
16:13et mettre des critiques
16:14sur le bilan
16:15d'Emmanuel Macron,
16:16il y a aussi,
16:17c'est ce que je voulais dire,
16:18Valérie m'a précédé,
16:19la pression politique
16:20et de la gauche.
16:21Et faire ça,
16:22c'est aussi
16:23donner raison
16:24à tous ceux
16:25qui sont allés hurler
16:26Place de la République
16:27qui est devenue
16:28un lieu odieux.
16:29Tous les gugus
16:30qui croyaient
16:31qu'ils avaient gagné
16:32qui sont chez eux
16:33en train de faire
16:34des moelos au chocolat.
16:35Et son électorat
16:36écoute la chaîne.
16:37Il y a Pascal
16:38de Metz
16:39qui est avec nous
16:40sur Europe 1
16:41qui voulait donner son avis.
16:42Il nous reste 3 minutes 45.
16:43Bonjour Pascal,
16:44merci d'être arrivé.
16:45Bonjour Cyril.
16:46Tout d'abord,
16:47je voulais vous remercier
16:48pour tout ce que vous avez fait
16:49pour rester positif
16:50surtout avec votre émission
16:51d'après-midi à la radio
16:52ou alors le soir.
16:53Je vous écoute au quotidien
16:54et ça me ferait de la peine
16:55que vous partiez
16:56et qu'on remette
16:57un écran noir.
16:58Alors,
16:59je voulais juste
17:00me poser une question
17:01mais de toute façon
17:02depuis le début
17:03je dis
17:04Emmanuel Macron
17:05n'y est-il pas
17:06pour quelque chose ?
17:07Sinon,
17:08je pense
17:09avec les millions
17:10de téléspectateurs
17:11que vous avez,
17:12il aurait tout fait
17:13pour stopper
17:14ce qu'il a fait
17:15et ce qu'il a fait
17:16et ce qu'il a fait
17:17et ce qu'il a fait
17:18pour stopper
17:19cette ineptie.
17:20Je le pense sincèrement.
17:21Pour moi,
17:22Emmanuel Macron
17:23y est pour quelque chose.
17:24La preuve,
17:25vous venez encore
17:26de dévoiler
17:27des petites choses
17:28au sujet
17:29de ce qui s'est passé
17:30et qu'ils étaient
17:31de la même promotion.
17:32Alors,
17:33apparemment,
17:34ils ne sont pas
17:35de la même promo.
17:36Ils étaient
17:37une année d'écart,
17:38c'est ça ?
17:39C'est ça ou pas,
17:40Gauthier ?
17:41Florian Roussel,
17:42Romain Garim,
17:432 minutes.
17:44Non, non,
17:45ils se sont croisés.
17:46Ils se sont croisés
17:48Ils ont eu
17:49une année commune
17:50puisque Emmanuel Macron
17:51était dans la Léopold-Sedar-Sangor
17:522002-2004
17:53Florian Roussel
17:54était
17:552003-2005.
17:56Les mecs,
17:57mon info était plutôt bonne.
17:58Ils se sont croisés
17:59mais ils n'étaient pas dans la même promo.
18:00Ils étaient pendant un an ensemble.
18:01Merci.
18:02Oui, oui.
18:03Comme tu l'as dit,
18:04il n'y a pas besoin
18:05d'aller plus loin
18:06et pour moi,
18:07je pense,
18:08je vous le dis honnêtement,
18:09sinon,
18:10avec le pouvoir qu'il a,
18:11il aurait tout fait
18:12pour stopper
18:13cette ineptie.
18:14C'est obligé.
18:15Moi, je vais vous dire
18:16comment ça s'est passé.
18:17Pascal,
18:18à Minima,
18:19je vais vous dire moi
18:20comment ça s'est passé à Minima.
18:21À Minima,
18:22le patron de l'ARCOM,
18:23on voit ce qu'il c'est
18:24le patron de l'ARCOM,
18:25les mecs,
18:26arrêtez.
18:27Franchement,
18:28arrêtez.
18:29Oh, ça va,
18:30ce n'est pas le rebelle,
18:31ce n'est pas Lorenzo Lamas.
18:32Franchement,
18:33arrêtez.
18:34Vous croyez
18:35qu'il est avec des cheveux longs
18:36sur une Harley-Davidson ?
18:37L'autre,
18:38Rock Voisine,
18:39arrêtez.
18:40Donc,
18:41il a appelé à Minima
18:42Emmanuel Macron
18:43à Minima
18:44et c'est sûr et certain
18:45qu'il a dit
18:46écoutez,
18:47je pense que c'est une connerie
18:48parce que les mecs,
18:49vous vous rendez compte,
18:50ça va mettre 400 personnes au chômage.
18:51Au minimum,
18:52ça va être un bordel monstre,
18:53etc.
18:54Donc,
18:55je pense que ce n'est pas une bonne idée
18:56et Rock Olivier Metz,
18:57il retourne dans son bureau
18:58et il dit bon,
18:59je pense que ce n'est finalement
19:00pas une très bonne idée.
19:01Ou bien,
19:02à Minima,
19:03Emmanuel Macron lui dit
19:04ok,
19:05je prends acte de votre décision,
19:06faites comme bon vous semble.
19:07Et c'est tout,
19:08merci,
19:09fin du coup de fil.
19:10Merci,
19:11au revoir.
19:12Je vous dis,
19:13c'est comme ça.
19:14Tu dis les mecs,
19:15je ne vais pas mettre 400 personnes au chômage.
19:16Tu crois vraiment que c'est le moment ?
19:17Moi, il m'appelle,
19:18je suis président de la République,
19:19je lui dis écoute-moi bien Rock Voisine là.
19:20Tu es peut-être seul sur le sable,
19:21les yeux dans l'eau,
19:22mais je ne vais pas mettre 400 personnes au chômage.
19:23Mais je te le dis.
19:24Voilà,
19:25donc terminé.
19:26Merci Rideau.
19:27Merci Pascal en tout cas.
19:28Voilà,
19:29je pense qu'on est d'accord tous les deux.
19:30Ok,
19:31mais je voulais juste aussi dire
19:32peut-être déjà,
19:33on va avoir une double peine
19:34nous aussi en tant que téléspectateurs.
19:35On va avoir un écran noir
19:36et en plus,
19:37si ça va plus loin,
19:38c'est nous qui allons encore payer une amende.
19:39Exactement.
19:40Parce que c'est nous.
19:41Oui,
19:42je vous dis,
19:43c'est ce qui va se passer.
19:44Mais nous,
19:45on sera encore là,
19:46ne vous inquiétez pas.
19:47Ou alors,
19:48je voulais aussi dire,
19:49c'est peut-être à cause de Gilles Verdès
19:50et de Thomas Guignolet
19:51avec toutes les...
19:52Les synepsiques qui racontent.
19:53C'est toutes leurs positions
19:54qui ne prennent pas dans les émissions.
19:55Bien sûr,
19:56ce n'est pas impossible.
19:57Merci Pascal,
19:58je vous fais d'énormes bisous.
19:59Merci d'avoir été avec nous
20:00sur Europe 1,
20:01bon week-end.
20:02Je voudrais remercier tous les gens
20:03qui nous ont appelés
20:05Lundi sur Europe 1,
20:06bon week-end à tous,
20:07bon week-end de la Saint-Valentin
20:08et pas de bêtises.
20:09Non,
20:10pas de bêtises.
20:11Attention,
20:12je vous le dis,
20:13n'allez pas foutre votre...
20:14C'est bon,
20:15partout.
20:16Tout de suite avec Thierry Caval
20:17sur CNES Europe 1.
20:18Merci.

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