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00:00C'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:05c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:08c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:11c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:14c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:17c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:20c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:23c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital, c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:26c'est la première fois que j'envoie un message à l'hôpital,
00:29nous avons un appropriate de 2001 c'est sauvé à 7 ans sous 3 jours nous avons un appropriate de 2001 là
00:34et la réunion profondeuse de 4 jours à 6 ans,
00:38et la réunion profondeuse de 4 jours à 6 ans,
00:52une affaire mise en délivrée va laisser longtemps
00:57Pour le juge de décider souverainement, prétend que la fumée soit blanche,
01:03qu'il y ait le droit qu'il se triomphe.
01:05Tout ce que je sais, c'est que depuis huit heures on était là, pour écouter au moins.
01:10Donc pour des raisons de calendrier, c'est de leur souveraineté.
01:13Ils ont progressé aux 27.
01:15Bon, qu'à cela ne tienne, nous on reste ferme.
01:18M. Kasseret est malade, il demande d'être soigné.
01:21On reste catégorique.
01:22Nous vous prions de faire constater qu'il y a 15 milliards,
01:25que la coordonnatrice devant la CRIEF est jugée pour le même montant de 15 milliards.
01:29Nous vous prions de constater que M. Kasseret a poursuivi pour un montant,
01:33dont jusqu'à date, il y a 12 milliards qui sont logés à la Banque Centrale.
01:37Et nous réitérons que les 3 milliards, c'est sur appel d'offres,
01:40que l'acteur ministre de l'Énergie a bénéficié pour faire l'entretien sanitaire
01:46de l'ensemble des hôpitaux de la République.
01:48S'il a poursuivi pour cela, il est en détention politique.
01:51On attend certainement une décision de disqualification taillée sur mes mains.
01:55A part ça, M. Kasseret ne se reproche de rien.
01:58Que ce soit aujourd'hui ou ailleurs, on garde notre destin, notre foi.
02:01Mais quand même, il est régrettable de faire priver des hauts cadres
02:05qui ont servi ce pays, de priver de leur liberté.
02:08L'attente est un peu longue.
02:10Nous sommes fatigués de cette détention de plus de 3 ans,
02:13en détention préventive dans une République.
02:15Nous prions Allah que le destin soit au rendez-vous,
02:19que la République soit franchement respectée, pour respecter ses hauts cadres.
02:23Parce que Kasseret ne mérite pas ça, avec la plupart des hauts cadres qui ont servi ce pays.
02:27Si on fait des disqualifications purement politiques, sans penser à Dieu aussi,
02:32le souverain décide.
02:33Donc notre destin et le destin même de la République est entre les mains de Dieu.
02:37Tout ce qu'on va calculer, le dernier et le meilleur juge, c'est Dieu.
02:40Kasseret croit à sa foi, à sa famille, à la République,
02:43et croit à son innocence, souhaitant que le droit triomphe.
02:46Un citoyen à qui on a refusé le soin,
02:48un citoyen à qui on a ordonné la liberté,
02:50même par une décision de justice internationale par la CDAO,
02:53on a refusé d'exécuter.
02:55Un citoyen qui a été libéré ici, par-devant la CRIAF,
02:58avec un positionnement de 3 milliards, on a refusé de le libérer.
03:01Un citoyen à qui on a ordonné l'évacuation sanitaire,
03:04on a refusé de le permettre de se soigner.
03:06Vous attendez quoi maintenant des potables ?
03:09Si c'est le contraire, c'est ce qui va nous surprendre.
03:11Mais nous on sait que notre lettre d'appel est disponible,
03:14parce que ce sera une condamnation politique pour le faire disqualifier.
03:17Et ça ne marchera pas, parce que c'est dû au dernier plan.
03:19Je suis d'accord avec la Cour.
03:21Comme je le disais, le président en charge du dossier
03:24siège devant une autre composition de la chambre de jugement,
03:28mais il est aussi dans une autre composition de la chambre de l'instruction.
03:33Donc vous voyez par là qu'il est très pris.
03:36C'est tout à fait normal.
03:37Non, du tout, du tout.
03:38Et on ne devrait même pas penser cela à l'égard de la Cour.
03:42Il faut avoir foi en la justice.
03:44Je pense que c'est pour des raisons de charge de la Cour.
03:48Je viens de le dire, le juge en question est dans plus de trois compositions.
03:53Ce n'est pas la même composition.
03:54Ce juge-là siège dans une autre composition comme associeur,
03:58et non pas comme juge.
04:00Et il siège aussi devant la chambre de l'instruction de la Cour.
04:03Donc il ne peut pas être aux audiences tout le temps
04:05et écrire en même temps, rédiger la décision.
04:08C'est pourquoi, moi, je pense qu'il a pris ce temps-là, le 27,
04:12pour lui permettre de bien rédiger.
04:14Parce que la décision aussi, il faut la motiver.
04:17Pas comme n'importe quel écrit.
04:19Il faut se baser sur tout ce que les partis ont demandé.
04:22Moi, je ne suis pas dans l'intelligence de la Cour.
04:25Mais on va espérer, parce que le législateur dit
04:28que lorsqu'une affaire est mise en délibéré,
04:30elle ne peut pas être renvoyée à plus de trois fois.
04:33Donc c'est le premier renvoi.
04:34Espérons qu'on n'en arrivera pas là.
04:42Sous-titrage Société Radio-Canada