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00:00Parfois, la biffe est quand même le moine, sans mauvais jeu de mots, c'est-à-dire qu'il ajoute le fond à la forme.
00:05Il avait des tweets très clairs qui l'appelaient à la charia et il arrive dans une tenue qui, effectivement,
00:11rappelle le salafisme. Quand vous ajoutez les deux, vous voyez bien qu'il n'aurait jamais dû être chroniqueur sur le service public.
00:18Quand on produit une émission de télévision payée par l'impôt des Français, on se doit d'avoir un minimum de vigilance.
00:24Minimum de vigilance, ça passe par des alertes. L'ARS, ça peut être la tenue. L'alerte, ça peut être les tweets.
00:31Or, là, le devoir de vigilance n'a pas eu lieu. Et encore, je suis gentil, peut-être est-ce pire encore.
00:35Peut-être que c'est sciemment que cette télévision de gauche, résolument de gauche, qui est le service public,
00:41qui souvent flirte avec les idées de Jean-Luc Mélenchon, ont aussi flirté avec la courtisanerie de l'islamisme.
00:48Et toutes ces questions sont posées dans un service public où des émissions sont là pour propager les idées de gauche,
00:56comme c'est ce soir sur le même France 5 ou comme sur France Inter, qui est la radio officielle de la France insoumise,
01:02je le rappelle, payées par l'ensemble des contribuables français. Donc, ça pose une vraie question sur le contrôle de la vie éditoriale
01:10qui devrait être pluraliste et non pas monomaniaque du service public.

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