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00:00Marine Le Pen, je vous titillais tout à l'heure sur ce côté, vous êtes dépassée par vos droites, mais c'est vrai que ce qui se passe aux Etats-Unis est tellement fascinant, c'est-à-dire que eux sont allés très loin dans la pluralité.
00:11Vous citiez Obama, président noir. Attendez, attendez. Si c'est le sujet. Obama, plus à gauche, noir. Très beau pied de nez au racisme aux Etats-Unis.
00:22Et puis le balancier va jusqu'à Trump qui, à bien des égards, est politiquement le contraire. Voilà. En France, en revanche, il y a ce plafond qui fait que, pour l'instant, vous avez été arrêtée par le haut.
00:36Mais quel rapport. Vous racontez n'importe quoi. Pardon et tout. Je vous dois... Je veux dire, votre propos est raciste.
00:42Non, non, non, mais ça n'a rien à voir. Qu'est-ce qui est raciste, là ? Qu'est-ce qui est raciste, là ?
00:46Mais ce qui est raciste, c'est en réalité de juger les gens en fonction de la couleur de leur peau. M. Obama, noir. Mais il aurait été blanc. Ça aurait changé quoi ?
00:54Vous savez très bien que ça compte dans une élection. Bien sûr, Marine Le Pen. Bien sûr.
00:57Non, ça, c'est la vision qui est portée par la gauche. Ça n'est pas la vision française. Ça n'est pas notre vision. Nous, ce qui nous intéresse, c'est l'appartenance à la nation.
01:08Quelle que soit sa couleur de peau, quelle que soit sa religion, et faire de la couleur de la peau un enjeu, je trouve que c'est déjà une forme...
01:18Non, mais être homme, femme...
01:19Je suis désolée. Alors peut-être pas une forme de racisme. Une forme de racialisme.
01:23Marine Le Pen, être homme ou femme, ou chrétien, ou musulman, ou juif, etc., ça compte évidemment dans l'idée que les gens...
01:30Non, ça compte dans l'idée que la classe politique veut donner. Or, moi, je suis désolée, mais ça n'est pas ma vision.

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