De 1967 à 1975, Eddy Merckx a tout gagné, tout dévoré sans rien laisser à ses concurrents. En moins d'une décennie, il s’est imposé comme l’icône absolue du cyclisme mondial. Mais à force de triompher, le “Cannibale” finit par diviser. Comment continuer à pédaler quand l'admiration laisse place à la haine ? Ce documentaire retrace le parcours extraordinaire du plus grand champion de tous les temps.
Catégorie
🎥
Court métrageTranscription
00:00Comment vous appelez-vous ?
00:01Je m'appelle Eddy Merckx.
00:02Eddy Merckx, ce super champion,
00:04le plus grand champion que le sport cycliste ait jamais connu.
00:10Il faut un champion, il faut de l'ambition,
00:11il faut pouvoir se battre,
00:12il faut pouvoir se battre contre soi-même,
00:14il ne faut jamais être satisfait trop vite de soi.
00:16Merckx, c'était vraiment quelqu'un qui voulait juste rayer pour le rire,
00:19que ce soit un World Cup,
00:21ou un Tour, ou un Giro,
00:23ou un World Campus,
00:24il faisait tout pour gagner.
00:26Il faisait tout pour gagner.
00:28Il faisait tout pour gagner.
00:29Il faisait tout pour gagner.
00:30Il faisait tout pour gagner.
00:34On le traitait de cannibale,
00:35parce qu'il voulait tout remporter
00:37alors que c'était sa raison de vivre.
00:58Il est tombé sur la tête.
00:59Sur la tête, oui.
01:00Le casque l'avait coupé en deux.
01:02Ça ne tient qu'à un filet.
01:03On ne s'en rend pas toujours compte.
01:06Une grande campionne belge,
01:08trouvato positivo,
01:09samane,
01:10a l'examen anti-topping,
01:11est immense,
01:12non contra-tunque,
01:13prendere parte neppure
01:14al giro di pranzo.
01:15Je pensais qu'on allait avoir un déjeuner.
01:18Déjeuner sans potage.
01:19Sans potage, oui.
01:20Je crois que c'est un commentaire.
01:23Il dit qu'il n'y a pas de déjeuner.
01:25Il dit qu'il n'y a pas de déjeuner.
01:28Ledy Merckx, c'est comme un boxeur.
01:30Dès qu'il reçoit un coup,
01:32il se relève et il frappe.