Retrouvez la troisième mi-temps du Phocéen après la défaite 2-0 de l'OM contre Nice.
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00:00De retour sur le plateau du Fosseyn après cette défaite de l'Olympique de Marseille à Nice,
00:06défaite 2 à 0. On le rappelle des buts d'Evan Guessa en première période sur une énorme erreur,
00:11enfin trois énormes erreurs de Brassier sur la même occasion.
00:14Et un deuxième but début au retour des vestiaires de Mohamed Alichaud, encore une fois au départ sur une erreur,
00:21un duel perdu de Lilian Brassier. On va prendre le temps de noter ce match, de noter les joueurs,
00:26mais déjà de l'analyser. Romain, tu n'étais pas avec nous à la mi-temps. J'ai vu dans le chat des messages,
00:34c'est la pire défaite de l'OM cette saison. Toi, qu'est-ce que tu as pensé de ce match-là ?
00:40Je te sens énervé déjà après ce match-là.
00:42Oui, je suis d'accord avec ce constat. Pour moi, c'est la pire défaite.
00:48La pire défaite, c'est le moment d'après. Tu es forcément écoeuré. Contre Osser, après Osser, on était écoeuré.
00:57N'oublions pas Paris aussi dans la saison.
00:59Oui, mais Paris, c'est là où tu vois le truc. Tu as ce truc, tu te dis que le match n'a duré que 20 minutes.
01:07Là, on a été nuls les 90 minutes. C'est-à-dire que Brassier nous a fait une horreur incroyable,
01:14mais il reste du temps derrière et en face, ils sont nuls. C'est-à-dire que Paris, quand il se passe ce qui se passe,
01:20tu te dis que le match est terminé parce que la qualité est telle qu'en face, pour revenir,
01:25même si on ne sait jamais ce qu'il se passe dans le football, il faut qu'il s'en passe beaucoup.
01:29Là, Nice, ils étaient nuls. Ils étaient nuls. Là, ils vont être contents. C'est horrible.
01:40C'est-à-dire qu'il n'y a rien qui allait. L'envie, les mouvements, la technique, le physique, le mental, le coaching, il n'y a rien.
01:54Il n'y a rien pour nous. À part, vous l'avez dit, Balerdi, Murillo, ça ne te fait pas une équipe.
02:01Ce n'est pas gagner un match le cinquième de Ligue.
02:03C'est une doublette de padel à la limite, mais tu as deux mecs, ils l'enfoncent au foot.
02:07Ce n'est pas suffisant. Il y en a beaucoup qui disent que c'est pour Roberto de Zarbis, cette défaite.
02:14Seb, sur la compo, il critique le choix de Brassier, le choix de l'avoir laissé sur le terrain.
02:19Il y a 11 choix.
02:22Déjà, je ne suis pas forcément d'accord avec l'analyse de Roumey, dans le sens où j'ai vu une équipe de Nice.
02:31C'est mon regard à moi. Après, il a le sien et les copains sur Twitch auront le leur.
02:36Moi, j'ai vu une équipe de Nice qui a mis de l'impact physique, qui, devant, avec les joueurs offensifs qu'ils ont, ils ont du talent.
02:46Ce n'est pas comme s'ils avaient des plots et que, franchement, on a pris des buts de cascade.
02:51Ils nous ont mis en danger parce qu'il y a de la qualité aussi et qu'ils ont mis beaucoup d'impact physique.
02:56Dante, il a 40 ans, il est toujours placé au bon endroit.
02:59Il coupe toujours les actions.
03:02Moi, je trouve que c'est une équipe qui a de la qualité physique, qui a de la qualité offensive.
03:08Est-ce qu'il y avait la place ce soir pour gagner cette rencontre ?
03:11Si on avait joué sur notre vraie valeur, bien évidemment.
03:14Après, de là à dire à Nice, ils sont nuls.
03:16Moi, je ne les ai pas, en tout cas sur cette prestation, sur cette rencontre.
03:20Je ne les ai pas trouvés nuls.
03:22Quand on dit qu'en gros, il dit oui, il reste après 90 minutes et tout, c'est faire fi de l'aspect mental.
03:29Je veux dire, quand tu pars dans une rencontre où tu sais que ça va être important et tous les entraîneurs te le disent
03:34et tous les joueurs de sport, que ce soit du foot, que ce soit du tennis, que ce soit le sport que tu veux,
03:40on te dit toujours, il y a des rencontres, ça se joue sur des détails.
03:43Ça veut dire quoi, des détails ? Ça veut dire que c'est compliqué.
03:46Je veux dire, c'est difficile de revenir au score dans une partie, surtout quand tu joues à l'extérieur.
03:50Donc, évidemment, je suis d'accord avec Romain.
03:52Évidemment, il restait du temps pour faire quelque chose.
03:54Évidemment, on n'a rien montré. Évidemment, on a été en dessous de tout.
03:57Mais quand tu pars à la guerre et que tu te prends une balle dans ton dos par un de tes coéquipiers,
04:02après, c'est compliqué de se remotiver.
04:05C'est compliqué de refaire parce que je suis désolé.
04:07Mais pour moi, après, je suis peut-être dur avec le joueur.
04:09Mais la seconde mi-temps, on repart.
04:11Brassier perd un duel aérien et c'est sur ce duel perdu qu'il y a derrière cette action qui amène le deuxième but.
04:17Pourquoi Roberto Deserbi a laissé Lilian Brassier sur la pelouse ?
04:21Je n'en sais rien. Je ne comprends pas.
04:24Je ne comprends pas. C'est pour moi inexplicable.
04:28Je laisse la parole. Je rajoute juste que j'ai dit avant le match, je fais confiance à Roberto Deserbi.
04:33S'il pense que Lilian Brassier, il mérite sa place dans l'once de départ.
04:37Ce coach, il nous fait extrêmement du bien. Il est intelligent.
04:39Il fait des choix forts. Il ne se cache pas derrière son ombre.
04:42Il a décidé de mettre Brassier.
04:44Si après, Brassier fait une dinguerie, je ne vois pas en quoi moi, je peux incriminer Roberto Deserbi.
04:49Si le joueur, en fait, il est nul et qu'il n'a pas de mental.
04:52Il a fait un choix. C'est un choix non payant.
04:55C'est lui le responsable. C'est lui qui fait les choix.
04:57S'il le remet le prochain match, là, oui, je dirais, c'est la faute à Roberto Deserbi.
05:01Il peut le sortir à la mi-temps aussi.
05:02Oui, il peut aussi.
05:03Parce que le deuxième but, il est aussi pour lui.
05:06Oui, mais sauf que là, je parle d'un point de vue extrasportif.
05:11Tu sais, si tu le sors à la mi-temps, si tu comptes vraiment le vendre à d'autres clubs au mercato,
05:17c'est dire en fait, il est nul, c'est bon.
05:19Là, du coup, comme il a coûté deux buts, c'est encore plus dur.
05:22Je te dis, ce qui peut rentrer dans la réflexion.
05:24Je ne vais pas vous dire, moi, je ne suis pas d'accord pour le sortir à la mi-temps.
05:27Je l'ai dit, à la mi-temps.
05:28Seb, à la mi-temps, il a dit, il a dit, j'aurais sorti au bout de 20 minutes.
05:31Moi, au bout de 20 minutes, je le sortais, Brassier.
05:33Quand je voyais le match qu'il faisait, je faisais un petit Cornelius direct.
05:35Et Tudor l'avait fait avec Balerdi, rappelez-vous, contre Lille.
05:37Mais bien sûr.
05:38Donc comme quoi, au moins pour une fois, pour moi, ce match-là, c'est l'illustration parfaite de ça.
05:43C'est-à-dire qu'à un moment donné, quand on dit, un mec, il faut le sortir et qu'on nous dit,
05:47de toute façon, il peut faire quoi de pire ? Il peut te coûter un deuxième but.
05:51Donc, à un moment donné, il faut faire ce coaching.
05:54Et De Zerbi, depuis le début de saison, il a fait ses changements à la mi-temps.
05:58Et on est là, à chaque fois, à dire, voilà, ça impulse quelque chose.
06:00Là, avec la première mi-temps qu'on a vue, faire zéro changement.
06:05Déjà, j'étais très, très étonné.
06:08Et d'ailleurs, pour l'anecdote, je vous écoutais et j'entends Romain Hering qui dit,
06:12il va y avoir un changement, je ne sais plus qui dit, il va y avoir un changement.
06:14C'est Buonanni.
06:15Et quand j'ai entendu, il va y avoir un changement, une seconde dans ma tête, je me suis dit,
06:18je ne suis pas fou, il va y avoir un truc.
06:19C'est Buonanni.
06:20J'ai dit, on repart avec les onze même.
06:22Bon, on va voir.
06:23Et on a vu.
06:24Donc non, pour moi, De Zerbi, il peut être incriminé sur ce choix Brassier.
06:30Effectivement, on peut tenter le truc et ne pas le savoir.
06:33Je ne sais pas dire, il fait dix bons choix sur onze.
06:36Ça va.
06:37Enfin, tu vois, je veux dire, on ne peut pas non plus.
06:38Mais par contre, oui, le sortir à la mi-temps, laisser ça, on voit que c'est pas sans conséquences.
06:43Tiens, il y a Romain Hering qui nous a rejoint.
06:46Seb a abordé un petit peu le volet et l'aspect mental sur ce match-là.
06:51Et le fait que Brassier a un peu mis dans le seau un peu tout le monde
06:55et ça a mis un peu la tête à l'envers après, derrière.
06:58Toi, c'est un peu l'analyse que tu fais aussi de ce match-là ou pas ?
07:02Ouais, on ne va peut-être pas perdre beaucoup de temps là-dessus,
07:04parce que je suis 100% d'accord avec tout ce qu'a dit Seb.
07:07Voilà.
07:08Je rajoute juste un mot sur Guessant.
07:10Il y a eu beaucoup de débats depuis quelques jours qu'on en parle avec Slim dans l'OMO Café,
07:15qu'on dit que c'est un super joueur qui pourrait inverse Guessant et Mopé ce soir.
07:20Je pense qu'on s'impose.
07:21Voilà.
07:22Donc, à un moment donné, moi, je trouve que c'est un super joueur,
07:25qu'il a encore été énorme.
07:27Le but, il le joue bien.
07:28Et puis le deuxième, je peux te le dire, on dit que c'est Brassier,
07:30mais il fait tout sur l'action.
07:32Le gars, il récupère le ballon, il accélère, il élimine la première ligne,
07:34il donne un caviar en profondeur.
07:36Voilà.
07:37Juste un petit mot sur ce joueur que je trouve excellent et qui…
07:39Je ne sais pas.
07:40Je vois qu'on était prêts à mettre peut-être 30 millions sur Ximénez.
07:43Romain va me dire qu'il ne se lâchera jamais.
07:45Il a raison.
07:46Mais si on peut quand même tenter un truc, pourquoi pas ?
07:48C'est qu'il t'a refilé cinq joueurs, tu vois.
07:51Après, c'est vrai que là…
07:53Ils ont vu les joueurs ce soir.
07:54Je ne suis pas sûr qu'ils acceptent.
07:58Pour le coup, Gaissant ne joue pas trop neuf ce soir du côté de Nice.
08:01Il est un peu plus sur le côté…
08:02Et puis moi, juste pour revenir, j'ai l'impression que tu mettais
08:04Luis Suarez-Liverpool dans cette équipe, tu ne faisais rien ce soir.
08:06Le neuf, il avait une position et une fonction…
08:10Parce que le pauvre Robinhovas, on en a parlé, toi et moi,
08:12il a touché son premier ballon au bout de 17 minutes, je crois.
08:14Enfin, premier ballon exploitable, j'entends, parce que les appuis remis,
08:17ça, c'est autre chose.
08:18C'est long en 17 minutes à courir dans le vent, à faire des appels
08:20sans toucher un ballon.
08:21Le neuf, il a été complètement délaissé ce soir.
08:23C'est pour ça que tu joues face à une équipe, elle est…
08:26Excusez-moi, c'est Nice, évidemment, c'est une bonne équipe.
08:29Seb, je comprends, mais tu es allé gagner à Lens.
08:31Moi, quand je vois notre victoire à Lens, je me dis,
08:34on est en capacité de s'imposer à Nice, même s'ils ont une équipe supérieure.
08:38Moi, pour moi, Mason Greenwood, si tu es en train de me dire,
08:42Mason Greenwood, avec ce qu'il nous a montré,
08:44qui a été mis dans la poche de Dante, il n'a pas passé une seule fois.
08:47Non, moi, j'attends beaucoup plus de Mason Greenwood.
08:52J'attends beaucoup plus d'Adrien Rabiot.
08:54On peut faire une liste de Pierre-Emile Oidebierre.
08:56Tout s'était nul.
08:58Là, ça ne va pas.
09:00La difficulté, les copains, c'est que…
09:02Et je vous l'ai dit avant la rencontre, que moi, je signais pour un match nul,
09:05parce que déjà, il y a une histoire de dynamique,
09:08où on n'a plus forcément le mojo,
09:10où dans les deux surfaces, on n'est plus forcément hyper efficace.
09:13Et ensuite, il y a des matchs à ne pas perdre.
09:15Ce match à ne pas perdre.
09:17Évidemment, avant la rencontre, je vous ai dit,
09:20moi, je signe pour un match nul,
09:22parce que tu laisses l'Eniçois à 6 points,
09:24tu laisses l'Eniçois même à 7 points.
09:27Je veux dire, au final, il est en perdu.
09:29Bon, Monaco, tu regrappes des points,
09:31mais tu es toujours à ta seconde place.
09:33Tu n'as toujours pas perdu depuis ce match.
09:35Il y a des matchs, il faut savoir ne pas les perdre aussi.
09:38C'est important de ne pas savoir perdre des matchs.
09:40Alors évidemment, je ne suis pas stupide, je ne suis pas idiot.
09:43Si tu peux gagner à Nice, les enfoncer, les mettre à 10 points.
09:46Si tu peux reprendre des points sur l'île.
09:48Ouais, mon con, si tous les matchs qu'on fait, on les gagne.
09:50Moi, je signe.
09:52Est-ce qu'on perdra encore un match hors Paris d'ici la fin du championnat ?
09:55Oui, on va passer à travers des fois.
09:58Mais moi, je préfère passer à travers sur des matchs
10:00où tu vois l'équipe d'en face,
10:02un peu comme on a joué contre l'île en Coupe de France,
10:04où les mecs, tu vois, ils font une belle prestation.
10:07Nous, on a manqué un peu d'efficacité, etc.
10:09Ce soir, on s'auto-tue.
10:11On s'auto-tue.
10:12Il y avait une question de Jbapt dans le chat tout à l'heure.
10:15Comment vous vous expliquez cette différence
10:18entre le match qu'on a vu contre l'île,
10:20qui était plutôt de bonne facture,
10:22et ce match-là, une prestation vraiment presque ignoble
10:25des Olympiens ce soir ?
10:27L'argument brassier, c'est là qu'il rentre en ligne de compte.
10:30Tu vois, il y en a beaucoup dans la chatte.
10:32Ils disent que vous ne pouvez pas dire que c'est que brassier.
10:34Mais on en parlait avec Seb dans la petite pause
10:37avant le retour à l'émission.
10:39De prendre un bug pareil, un bug aussi gaguesque
10:42dès le début de match,
10:44ça te plombe un moral et ça te plombe une physionomie
10:47puisque le momentum, il passe de suite pour le jesseniste derrière.
10:50Après, moi, je suis d'enclin à dire que tu as des joueurs
10:52qui, par l'expérience et par le caractère,
10:54sont censés jouer les 83 minutes qui restent
10:57avec un peu plus d'envie et d'abnégation.
10:59Mais force est de constater que l'équipe a pris un coup.
11:01Après, il y a quelque chose aussi dont il faut parler.
11:03Et ça, c'est une dynamique globale.
11:05Sur les derniers matchs,
11:07il y a aussi un problème qu'on a à l'Olympique de Marseille.
11:10C'est qu'on a fait des choix.
11:12Et que le problème de faire des choix de mercato est d'anticiper.
11:15Tu fais partir des joueurs.
11:16Il y a des joueurs sur lesquels tu ne comptes plus.
11:18Bamouméité, tu ne comptes plus dessus.
11:20Ismail Koné, tu ne comptes plus dessus.
11:22Eliouahi est parti.
11:24Tu peux même mettre Brassier aussi dans le truc.
11:26Il joue ce soir, mais ça peut être aussi difficile pour lui.
11:28Oui, mais ce qui fait que tu n'as plus de solution.
11:31Là, tu sais que pour le coup,
11:33tu sais les 11 joueurs qui vont jouer à une exception près
11:37parce qu'il y a un blessé.
11:39Mais tous les mecs qui ont disparu,
11:41on a parlé de Kondogbia qui a le rhume le plus long du monde.
11:46Aminari, c'est le mollet.
11:48Ce n'est pas ça, évidemment.
11:50C'était un petit pépin.
11:52Je dis ça parce que c'était censé être un petit pépin à la reprise.
11:55On est fin janvier, il n'est toujours pas là.
11:57Aminari, c'est son mollet.
11:58On peut en parler de pas mal de joueurs.
12:00Ce qui fait que tu as 11 joueurs.
12:02Ce qui fait que quand tu es un joueur,
12:04et là, vous me parlez de psychologie, du sport,
12:06on est totalement dedans.
12:07Quand tu sais que tu as ta place
12:10et qu'il n'y a pas un mec qui pousse derrière
12:13et qui peut faire qu'il te prend ta place à tout moment,
12:15psychologiquement, c'est humain.
12:19Tu donnes 100%, mais pas plus.
12:22Et là, ça ne pardonne pas.
12:24Et ça commence à toucher beaucoup de joueurs.
12:26Donc, on a mis des joueurs de côté, c'est bien.
12:28Là, il va falloir vraiment, dans les derniers jours du Mercato,
12:30mettre de nouveau trois mecs dans le moteur.
12:32Après, c'est vrai qu'on a dit tout au long des analyses de cette année,
12:36parce qu'on suit tous les matchs,
12:38et qu'on les analyse tous,
12:40on a eu quand même un facteur réussite
12:43dû à la compétence et au talent des joueurs,
12:45que ce soit Greenwood, que ce soit Rabiot,
12:47que ce soit Holbjerg, que ce soit Louis-Henriquet.
12:50Malgré tout, on a gagné un paquet de matchs.
12:53Quand on regardait les XG,
12:55ce n'est pas le cas contre Strasbourg,
12:57où on aurait dû gagner 3-1 et on a manqué d'efficacité.
12:59Mais jusqu'à présent, on fait preuve d'un réalisme implacable.
13:02C'est-à-dire que dès qu'on a une action, on marque.
13:04Quand c'est les autres qui ont des actions,
13:06c'est-à-dire que Rouly fait la parade.
13:08Mais ça, on est dans une forme, pas de sur-régime,
13:11mais on est dans une forme d'efficacité totale
13:14qui ne peut pas fonctionner sur une saison entière,
13:16même si tu as la confiance, même si tu as la dynamique.
13:18Il y a forcément des moments où tu passes à côté.
13:22Mais là, c'est encore plus dur quand tu commences un match à l'extérieur,
13:26à Nice qui, je le rappelle,
13:28quand Romengi sont nuls, et on ne va pas débattre sur ça toute la soirée,
13:31puisque tu as dit toi-même, moi j'ai dit ça,
13:33mais c'était un peu caricatural.
13:34Ils sont nuls, mais chez eux, ils n'ont pas perdu un match.
13:36Ils n'ont que des victoires et des nuls.
13:37Ils n'ont pas perdu un match.
13:39C'est qu'au moins chez eux, ils ne sont pas si nuls que ça.
13:41Donc moi, en tant que suiveur de l'Olympique de Marseille,
13:44quand je vais chez une équipe qui n'a pas perdu un match,
13:46et même si moi j'avais fait quasiment le plein à l'extérieur,
13:49hormis Strasbourg, je me dis,
13:51soyons pas gourmands, on fait un nul, c'est un bon résultat,
13:54on les laisse loin derrière nous.
13:56Sauf qu'on a un élément qui s'appelle Lilian Brassier,
14:00qui sur la même occasion ne s'est fait pas une boulette.
14:02Il en fait trois de boulettes.
14:04C'est-à-dire qu'il manque un premier contrôle,
14:06il manque un deuxième contrôle,
14:07et après il sprint pour essayer de dégager le ballon,
14:09il essaye de l'arrêter sur la ligne.
14:11Mais lance-toi et tacle, fais quelque chose.
14:13Chez les défenseurs, c'est ubuesque.
14:15Tu fais un combat de boxe slim,
14:18tu rentres, tu te positionnes mal,
14:20l'autre il te met un crochet dans la tête,
14:21tu tombes, tu es knock-out.
14:23Et bien tout le match est groggy après.
14:25Tu t'es pris un coup sur la tête.
14:26L'image, elle est la même.
14:27Tu rentres contre Nice.
14:28Parce que ce qu'il faut comprendre, c'est que les joueurs de foot,
14:31c'est des êtres humains.
14:32Moi, j'ai joué au foot dans ma vie.
14:34Si j'ai un coéquipier qui me fait une boule comme ça,
14:37moralement, je me dis, putain, mais c'est pas possible.
14:39Et au-delà de sa boulette,
14:41c'est qu'après plus personne n'a joué avec lui.
14:43Regardez les séquences de jeu, chaque fois,
14:45on s'est auto-mis dans la merde,
14:46parce que les mecs,
14:48quand dans le circuit préférentiel de passe,
14:51tu dois sortir des ballons et que tu te tournes,
14:53tu vois qu'il y a Lilian Brassé,
14:54tu te dis, si je lui passe le ballon,
14:55on va encore se mettre dans la merde.
14:56De toute façon, Greenwood, il a joué avec personne.
14:59Ça aussi, Louis-Henriqué Greenwood,
15:01il y a un moment donné où...
15:02Est-ce que c'est interdit ?
15:04C'est-à-dire qu'est-ce qu'ils ont peur d'être expulsés
15:06si les deux, ils participent ensemble à la même action ?
15:08Ou est-ce que c'est peut-être dans les règlements du foot ?
15:10Je ne sais pas.
15:11Mais il y en a beaucoup là qui n'ont pas joué.
15:12C'est ça, le problème, c'est que
15:14moi, je peux concevoir de perdre à Nice.
15:17Mais à quel moment on a mis Marcin Boulka,
15:20on l'a mis à quel moment en danger ?
15:22Il y a eu l'occasion de Rabiot en 2e période.
15:24Sauf Rabiot.
15:26Sur un centre de Romerlin.
15:28Il y a eu une action aussi où on croyait qu'il y avait Mandante.
15:30Non mais elle a été mauvaise.
15:32Après, il faut appeler les chalets.
15:34Justement, cette action-là aussi,
15:36vous saviez que Louis-Henriqué...
15:37Il voulait tuer quelqu'un, Asselineau, sur cette action-là.
15:38On peut être mauvais.
15:40Tu peux perdre un match.
15:42On a dit qu'on va perdre des matchs de toute façon cette année.
15:44Comme le match en Coupe de France.
15:46Bon, tu le perds au tir au but.
15:48Mais là, c'est plus l'attitude.
15:50Est-ce que ça vous inquiète, ce match-là ?
15:52Il y a le message de Esret dans le chat qui dit
15:54est-ce que vous êtes inquiets même pour la suite de la saison ?
15:56Et pour les prochains matchs de l'OM,
15:58est-ce que ce match-là, particulièrement, vous...
16:00Moi, je te dis, encore une fois, pour moi, la clé,
16:02le signal qu'il faut envoyer là,
16:04c'est de nos amis à qui on dresse des louanges
16:07depuis quand même quelques mois,
16:10qui s'appellent Medhi Benhassia et Pablo Longoria.
16:12Là, envoyez un signal.
16:14Là, il reste une semaine.
16:15Faites-nous une petite recrue.
16:16Mettez-nous un truc, histoire de...
16:18Toi, tu penses qu'on n'a pas assez de marge ?
16:20Et je serais tenté de dire...
16:22Je vais être un peu vicieux dans mon analyse.
16:25Mais quelque part, des fois, tu sais, Slim,
16:27il y a des défaites qui...
16:29Moi, les défaites encourageantes, ça n'existe pas.
16:31Il y a encore moins sur ce match-là.
16:33Mais par contre, comme le dit Romain,
16:35et je lui emboîte le pas sur ce dossier-là,
16:37c'est que, imaginons que tu aies fait
16:39match nul ce soir, justement.
16:41Tu vois ce que je veux te dire ?
16:42Sur un malentendu, tant les dirigeants,
16:44ils peuvent se dire, au final, tu as vu,
16:46on a une équipe quand même.
16:47On peut aller jusqu'à la fin du championnat comme ça.
16:49Là, au moins, ça t'a montré que
16:51non, il y a besoin, quoi.
16:53Moi, je l'aime bien, Vaz.
16:54Franchement, je l'aime bien.
16:56Mopé, j'ai dit aussi.
16:58Il faut arrêter.
17:00On est l'Olympique de Marseille.
17:01Oh, il nous faut un numéro 9.
17:03C'est quelqu'un qui peut claquer des buts.
17:04C'est quelqu'un qui peut faire des gifs tout seul.
17:06C'est-à-dire, tu lui passes le ballon dans des matchs.
17:08Et on en a connu.
17:09Que ce soit des Aubameyang, que ce soit des Drogba,
17:11que ce soit des qui-vous-voulez.
17:13On a connu des attaquants, des Sanchez.
17:15On a connu des joueurs qui,
17:17quand tu leur passes le ballon,
17:18ils sont capables de faire des gifs.
17:19Là, pardon, mais en dehors d'un équilibre d'équipe,
17:23d'un collectif bien huilé,
17:25où tu fais circuler le ballon, etc.
17:27Qui peut te faire des gifs balle-au-pied dans cette équipe ?
17:29Tu as Mason Greenwood.
17:31S'il n'est pas là,
17:33s'il est comme dans un sort-sang, comme ce soir,
17:35eh bien, tu n'as plus de pouvoir offensif.
17:37Tu as Luis Henrique,
17:38qui, sur son côté droit, de temps en temps,
17:40il est capable de faire un passe-mange,
17:41un passement de jambes, une accélération.
17:43Rabiot, il ne fait pas des gifs tout seul.
17:45Justement, pour toi,
17:47c'est plus qu'un neuf,
17:49c'est un joueur créatif qui te manque, finalement.
17:51Oui, mais pour moi, un vrai neuf,
17:53pour moi, dans ma conception du foot,
17:55c'est quelqu'un à qui,
17:57quand tu passes le ballon,
17:59il est capable de faire une accélération,
18:01il est capable de faire un crochet et de faire une frappe.
18:03C'est quelqu'un qui va t'apporter.
18:05Mais évidemment,
18:07et ça, je vous l'ai dit depuis le départ,
18:09quand on a dit, oui, Rongier revient,
18:11il équilibre le milieu de terrain, etc.
18:13C'est une réalité.
18:15Je ne vais évidemment pas pointer Valentin Rongier,
18:17que j'adore dans son QI footballistique.
18:19Mais quand tu joues avec Holberg,
18:21quand tu joues avec Rongier, quand tu joues avec Rabiot,
18:23c'est comme tu viens de le dire,
18:25qui c'est le dépositaire du jeu ?
18:27Qui va créer des gifs ? Qui va faire des passes claquées
18:29en profondeur ?
18:31Qui va juste, parce que ce que disait Seb
18:33sur le côté du neuf, c'est un mec qui est capable.
18:35Quand tu es défenseur et que tu le vois
18:37avec le ballon, tu te dis,
18:39il peut faire une passe
18:41qui me met en difficulté, il peut faire un tir
18:43qui me met en difficulté, il peut me faire un dribble
18:45qui me fait en difficulté. Et le problème,
18:47je vous jure, j'ai regardé la première mi-temps
18:49de Rabiot,
18:51je le salue,
18:53j'avais dans ma tête Bilal Ben Khalifa,
18:55je salue, mais qui était sur le plateau du
18:57Talk cette semaine, et qui nous disait
18:59concernant Mopé, le problème, c'est qu'il n'élimine pas.
19:01C'est ça.
19:03Je voyais des actions de Mopé,
19:05mais totalement.
19:07Et dans ma tête, je me disais, il n'élimine pas.
19:09Et même ce que dit Seb, c'est-à-dire ce qu'on attend d'un neuf,
19:11c'est que même, prenons un exemple,
19:13il jouait au PSG,
19:15j'en ai rien à foutre, Pedro Miguel Pauleta,
19:17parce que dans son style caractéristique, c'était pas un mec
19:19qui t'éliminait quelqu'un ou quoi que ce soit.
19:21Mais dans la position de Mopé,
19:23Dante, il se disait, à tout moment,
19:25il peut claquer une frappe sans élan,
19:27il nous en a mis deux, trois dans des classicaux,
19:29que ça part en lulu,
19:31donc je suis en pression.
19:33Dante, il n'était pas en pression,
19:35Vincenzo de Mopé.
19:37Il y avait ce problème-là qui s'est posé aussi.
19:39Donc non, là, ce soir,
19:41c'est très compliqué.
19:43C'est très compliqué, de toute façon,
19:45on ne va pas tarder à passer aux notes.
19:47Tu voulais rajouter quelque chose, Romain ?
19:49Peut-être qu'on ne t'a pas beaucoup entendu dans l'analyse
19:51de ce match.
19:53Non, mais ça me fait plaisir de voir que
19:55Romain a ouvert un peu les yeux sur le niveau
19:57de Nile Mopé, puisque quand je le disais,
19:59ce que vous venez de dire, il y a un mois,
20:01un mois et demi, vous me riez au nez.
20:03Vous me disiez, ah mais non, mais tu ne réalises pas
20:05le travail qu'il fait, c'est incroyable.
20:07C'est un bon joueur, je le veux
20:09dans mon groupe, je le veux sur mon banc,
20:11il n'y a pas de problème, mais ouvrez les yeux
20:13et vous le faites ce soir, ça me fait plaisir, vraiment,
20:15je suis très content. Merci Romain de le faire,
20:17c'est bien et ça prouve que,
20:19comme on peut toujours se tromper,
20:21j'ai fait moi-même un mando honorable
20:23sur Luis Enrique. Voilà, c'est bien
20:25que vous le fassiez aussi, les copains.
20:27Je suis content de voir ça.
20:29En plus, je ne pense pas qu'on ait dit
20:31que Mopé, ça devait être
20:33notre attaque en phare, c'est qu'aujourd'hui,
20:35par rapport à ce que tu avais
20:37en magasin,
20:39c'était Y.I. qui ne mettait pas non plus un pied
20:41devant l'autre, donc tu étais obligé de faire confiance
20:43à Nile Mopé, donc tu étais obligé de le faire
20:45jouer et tu étais obligé de reconnaître
20:47qu'il apportait quelque chose dans le collectif aussi.
20:49Mais là, aujourd'hui, tu ne peux même pas
20:51que cibler Mopé, parce qu'il est trop esselé
20:53devant, il reçoit des ballons, il est rentré,
20:55c'est pareil.
20:57C'est vous qui l'avez fait, moi je n'ai pas parlé,
20:59je suis juste content qu'on en parle.
21:01Parce qu'effectivement, comme le dit Seb, on est l'OM.
21:03On a besoin d'un vrai neuf.
21:05À un moment donné, comme il le dit,
21:07je ne sais plus qui le disait tout à l'heure,
21:09quand le ballon arrive dans les pieds d'un neuf de l'Olympique de Marseille,
21:11ça doit être le danger dans la tête des autres.
21:13Je vais même te citer un joueur
21:15qui était très limité techniquement, mais qui s'appelait
21:17Bafé Gomis. Gomis, quand il recevait
21:19le ballon d'eau au but à 20 mètres des cages,
21:21tu sentais le danger dans la tête des défenseurs
21:23adverses. Tu ne le sens pas, quand Mopé
21:25touche le ballon, déjà il s'effondre une fois
21:27sur deux au contact.
21:29C'est dur.
21:31Je l'aime bien.
21:33Dans certains matchs, il peut être utile.
21:35Là, je pense qu'on a vu, il nous faut
21:37un vrai neuf dans les 8-9
21:39prochains jours.
21:41C'est évident.
21:43Il nous faut un vrai neuf.
21:45On en a parlé à la mi-temps,
21:47on n'était pas forcément d'accord tous les deux.
21:49Mais moi, c'est vrai que
21:51mes meilleurs joueurs,
21:53et ça concerne aussi Rabiot ce soir
21:55et sa coussine,
21:57ça concerne aussi Holbjerg ce soir
21:59qui sur les coups de pieds arrêtés,
22:01on avait eu
22:03150 milliards de coups de pieds arrêtés.
22:05Ça a été les pieds niquelés.
22:07Alors que eux, tous les coups de pieds
22:09qu'ils ont eus, les corners,
22:11à chaque fois, tu as des frissons, parce que tu te dis
22:13est-ce qu'on ne va pas encaisser un but ?
22:15De Zerbi nous a dit à une conférence de presse, puisqu'on lui a posé
22:17la question, mais vous les travaillez les coups de pieds ?
22:19Oui, on les travaille. Mais bon, alors,
22:21le travail opéré sur les
22:2350 coups de pieds arrêtés,
22:25il est mal fait, parce que le danger
22:27n'y est pas. Et moi, je n'ai jamais compris comment
22:29un joueur de foot professionnel, sur une action
22:31arrêtée, où tu as tout le temps de respirer,
22:33de te concentrer, tu n'arrives pas à mettre un ballon
22:35dangereux dans la surface, c'est pas pareil
22:37qu'une action où tu es en train de courir,
22:39où tu as fait une course de 60 mètres, donc pas savoir
22:41faire une conférence, c'est dur. Mais en dehors de ça,
22:43moi, Mason Greenwood, que j'adore,
22:45et je ne vais pas commencer
22:47à dire, oui, Mason Greenwood,
22:49Mason Greenwood est un monstre. Ça, c'est posé,
22:51c'est dit. Mason Greenwood est trop fort.
22:53Mais quand tu fais un duel contre un concurrent
22:55direct, soit bon, quoi.
22:57Et sa première mi-temps, tu vois, autant
22:59la seconde mi-temps de Greenwood, je dis
23:01la même analyse que toi sur la première.
23:03C'est le seul qui a tenté. Après, il y a
23:05du déchet, mais c'est normal, puisqu'il tente.
23:07Mais au moins, sur ses prises de balles
23:09et sur ses déclenchements,
23:11ça a été, pour moi, la seconde mi-temps
23:13de Greenwood, c'est acceptable. Il a tenté,
23:15mais par contre, en première mi-temps, tout ce
23:17qu'il a tenté, c'était... Oh, c'est
23:19Mason Greenwood, le mec. C'est pas
23:21la sienne, moi.
23:23On l'a peut-être pas dit dans l'analyse, mais c'est
23:25vrai que quand tu compares les deux mi-temps,
23:27c'est peut-être en première mi-temps qu'on manque le coche aussi.
23:29Parce que Nice était beaucoup mieux
23:31en deuxième, beaucoup plus solide, beaucoup mieux organisé.
23:33Quand ils font rentrer Bombito,
23:35qui dérouille tout
23:37défensivement, voilà, à partir de là,
23:39tu n'arrivais plus à rien faire.
23:41Donc c'est vrai qu'en première mi-temps, il y a quand même eu des situations,
23:43des occasions. Non, mais c'est ça.
23:45C'est ça, Romain, et c'est pour ça que
23:47j'y reviens. Il y a l'erreur sur
23:49la lecture du match, et pour reprendre
23:51le terme qui plaît beaucoup, là, Idriss
23:53Momentum.
23:55Tu as le but
23:57que tu prends avec la boulette de Brassier.
23:59Derrière, tu y es sur leur camp.
24:01Tu as, par exemple, ce
24:03centre de Merlin. Enfin, non,
24:05pas ce centre de Merlin, je suis comment ? Merlin qui tire
24:07la frappe
24:09qui a haute nature, là. Enfin,
24:11vraiment, il n'y avait rien dedans. Mais tu as des 4 contre
24:134 aussi, tu as des situations.
24:15Tu as des trucs que tu négocies
24:17mal, ces situations-là.
24:19Tu les ai procurées, ces situations-là.
24:21Et tu les négocies mal, et derrière,
24:23effectivement, c'est Rideau.
24:25Et Mason Greenwood, excusez-moi,
24:27moi, là, ce soir,
24:29il m'agace le plus parce qu'effectivement,
24:31moi, je suis pour dire, et je n'ai aucun souci
24:33de dire, les 10, vous allez travailler.
24:35Toi, tu tentes, le déchet, on s'en fout
24:37parce que tu es capable de faire les trucs que les autres ne savent pas faire.
24:39Il n'y a aucun problème avec ça.
24:41Mais moi, cette attitude
24:43qui est des joueurs techniques, de je redescends
24:45à 40 mètres du but
24:47pour demander le ballon, on sait ce que ça veut dire.
24:49Vous savez tous ce que ça veut dire. Quand le mec technique
24:51vient à 40 mètres du but dire, vas-y, donne-moi le ballon,
24:53c'est genre, bon, allez, je vais faire.
24:55Mais reste à ta place.
24:57Concentre-toi sur ton rôle. Effectivement,
24:59il y a des mecs qui ne font pas le boulot,
25:01mais ne commence pas à avoir cette attitude-là
25:03parce que ça va tendre tout le monde, ça n'amène rien de bon.
25:05Donc, Greenwood, ce soir,
25:07il m'a agacé aussi un peu pour,
25:09enfin, beaucoup même pour ça.
25:11A mon avis, sa note, elle va être salée. On va passer d'ailleurs
25:13au top et au flop de ce Nice-Olympique de Marseille.