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00:00Nous transmettons le CNRF à l'avion pour qu'ils puissent voir la télévision du Sénégal.
00:11Le CNRF a dit qu'à ce jour, toute télévision doit avoir une convention avec l'organe de l'éléguration.
00:22Le ministère de la communication doit fournir d'office une autorisation.
00:27Il faut dire qu'il y a beaucoup de télévisions.
00:30Elles ont beaucoup de télévisions.
00:37Elles ont les conventions.
00:41Elles ont le QTUS et le GO du CNRF.
00:44Elles ont signé les contrats avec TDS.
00:47Mais elles ont été sacrifiées au rituel de l'autorisation du ministère de la communication.
00:53Le CNRF a dit que pour remédier à cette situation,
00:56toutes les télévisions conventionnelles doivent être autorisées.
00:59Le ministère a mis en place des règles pour les violer.
01:02Le CNRF a adressé aux médias un courrier
01:06pour que toutes les télévisions conventionnelles
01:10puissent déposer au ministère de la communication
01:15une demande d'existence légale
01:19en vue de la signature de l'autorisation par le ministre de la communication.
01:25Et c'était pour un délai de 30 jours.
01:28A l'époque, on avait dit au niveau du CEDEPS que c'était un piège.
01:31Pourquoi devons-nous déclarer au ministère alors qu'on a plein de télévisions privées?
01:38Cela fait 22 ans qu'on y travaille.
01:40Les télévisions ont sacrifié à ce rituel-là.
01:43Le ministre de la communication a donc ignoré
01:46tout ce qui est injonction du CNRF
01:49pour s'arrêter.
01:51On l'a arrêté au niveau de la cour suprême.
01:56On est là pour montrer que le ministère de la communication
02:01a une démarche unilatérale.
02:03Il n'est pas dans une dynamique de concertation.
02:06Dans une lettre adressée au CNRF,
02:08il a été invité à apaiser le secteur
02:12et à ouvrir un dialogue de concertation
02:15pour qu'on puisse trouver des solutions.
02:17Il a adressé une lettre pour voir ce qui se passe.
02:23Le CNRF a dit que c'est la commission tripartite
02:29qui a fixé le ministère de la communication,
02:32le CEDEPS et l'organe de régulation.
02:35Avant de faire rien, il faut aller voir l'organe de régulation.
02:39Le ministère n'attend pas ça.
02:41Le CNRF n'est pas d'accord avec cette démarche.
02:45Le ministère n'attend pas ça.
02:47Il s'est arrêté.
02:49Il a fixé ce qui est la rédemption.
02:52Lorsque nous avons signé la convention en 2021,
02:59avec le CNRF,
03:01nous avons travaillé point par point,
03:04phrase par phrase.
03:06Nous avons construit brique par brique.
03:08Cela nous a pris presque un mois
03:10entre nous, le CNRF et le ministère de la communication.
03:18Si vous voulez faire des réformes dans le secteur,
03:22vous devez savoir qu'ils sont dans le secteur.
03:26C'est ce qu'ils veulent reprocher.
03:28Lors de l'arrêté pour l'enregistrement des médias,
03:32tous les gens qui se sont enregistrés
03:35se rendent compte qu'il y a des dispositions
03:38qui ne sont pas conformes au code de la presse
03:40mais le ministère doit continuer dans sa volonté.
03:44Il a invité un atelier sur la réforme du code de la publicité.
03:50Il y a deux ans,
03:52nous avons reformé le code de la publicité.
03:55Nous l'avons refusé.
03:58Le code de la publicité est défavorable
04:01pour les entreprises de presse privées.
04:03Mais quand il y a un atelier,
04:05il y a une contrainte.
04:07Mais il faut inviter le CEDEPS.
04:09Quand on dit qu'on a invité la CAP,
04:11je veux bien comprendre.
04:13Quand on invite la CAP,
04:15pourquoi le CEDEPS n'y va pas?
04:18Nous ne nous sommes pas rencontrés.
04:20On ne nous a pas adressé de correspondance.
04:22Les choses se sont faites sans nous.
04:25Il y a un maximum.
04:27Tout ce qui se fait sans moi,
04:29se fait contre moi.
04:32Parce que nous sommes le secteur des médias.
04:35Si nous devons prendre des décisions,
04:38nous devons les consulter.
04:40Même s'il y en a un,
04:42on reconnait que le dernier mot
04:44revient au ministre de la communication.
04:47Le ministère de la communication doit continuer
04:50dans cette dynamique de démarche unilatérale.
04:53Le secteur doit continuer ses activités
04:57pour laisser en marge les professionnels des médias.
05:01C'est ce qu'on doit faire.
05:03Quand on demande de l'aide,
05:06on demande de l'aide.
05:08Nous, on va sacrifier au formalisme à la française.
05:12Parce qu'ils sont des français.
05:15Ils vont nous envoyer des lettres
05:18pour qu'on parle avec eux.
05:20Si on n'en a pas assez,
05:22on va en parler avec eux.
05:25C'est ce qu'il faut faire pour gérer le secteur.
05:29S'il n'y a pas de suite,
05:31on en informera à ceux qui sont dans le secteur.
05:36C'est ce qu'on doit faire.
05:40Le code de la presse
05:43qui régule le secteur
05:45veut déréguler le secteur.
05:49S'ils sont dans le secteur,
05:51ils vont présenter la situation autrement.
05:54S'ils sont dans le secteur,
05:56ils vont dire qu'ils ne veulent pas respecter le règlement
06:00et qu'ils veulent continuer à piétiner
06:03ce qu'ils ont fait.
06:06Ce n'est pas vrai.
06:08Nous voulons respecter le règlement.
06:10Si on veut respecter le règlement,
06:12on doit y aller ensemble.
06:14J'ai l'impression qu'ils viennent avec un biais.
06:17Les conquérants venus de l'Occident
06:20veulent faire une mission civilisatrice
06:24dans le secteur de l'audiovisuel.
06:27C'est l'impression qu'ils me donnent parfois.
06:30C'est vrai.
06:32C'est l'impression qu'ils me donnent parfois.
06:35Ils ne savent rien.
06:37Ils ne savent rien.
06:39On ne peut pas...
06:41Le ministre des Forces armées
06:44a juste besoin d'un temps d'apprentissage.
06:47Il doit savoir comment agir.
06:50Qui est le général de brigade et qui est le général d'armée.
06:55Il ne faut pas savoir tout sur le secteur.
07:01Pour la plupart, vous ne connaissez pas le secteur des médias.
07:07Vous étiez dans le secteur de Macron.
07:11Vous ne connaissez pas le secteur des médias.
07:13Si vous venez, faites une concertation.
07:16Appelez les médias.
07:20C'est la première fois que je le disais.
07:22Si le ministre de la communication vient faire un service
07:26il doit faire une tournée.
07:29Il doit parler avec eux ou faire un déjeuner de presse.
07:33Il doit inviter les acteurs de la presse.
07:36Tous les demandes pourront être répétées.
07:41Si le ministre de la communication veut
07:44c'est un simple coup de fil à son secrétaire
07:47ou à son D.C.
07:48Ou bien si c'est un guerrier
07:50qui vient de l'école anglo-saxonne
07:53il peut l'inviter.
07:56On ne peut pas venir le lendemain.
07:59Mais le ministère vient avec des barrières.
08:03On ne peut pas rester dans les règles.
08:08Personne n'est dans l'illégalité.
08:12Il y a des centaines de travailleurs
08:17qui travaillent et qui n'ont rien à reprocher.
08:23Si vous avez des conformités, vous pouvez l'inviter.
08:27Mais si vous adressez le courrier comme le fait Babacar Diagne
08:32et qu'il vous manque quelque chose
08:35et qu'on n'a pas signé les conventions
08:38Babacar Diagne nous a fait des lettres de rappel.
08:41Parce qu'on n'était pas d'accord sur certaines dispositions.
08:44Il nous a fait des lettres de mise en demeure.
08:47Ils ont appelé personnellement pour qu'on signe les conventions.
08:50Et Dieu sait que heureusement qu'on a signé les conventions.
08:54Parce qu'à l'époque, quand Babacar Diagne agissait
08:57il y avait quelque part de l'incompréhension.
08:59Parce qu'à l'époque, on avait l'impression
09:03que le gouvernement de l'époque
09:06voulait s'en prendre à certains médias.
09:10Par exemple, on disait que la diffusion du discours
09:15à la nation du président de la république
09:18était obligatoire.
09:20Non, elle n'est pas obligatoire.
09:22C'est un rituel républicain.
09:24Le 31 décembre, chaque télévision diffuse le discours.
09:27Mais il ne faut pas la rendre obligatoire.
09:29Et on ne peut pas, au nom de la liberté de la presse
09:32sanctionner une télévision.
09:34Donc on a eu ce débat-là, on a coordonné, on a harmonisé
09:38et on s'est entendus.
09:40Il n'y avait pas de conflits avec Babacar Diagne.
09:43Il n'y avait pas de conflits avec Aboulaye Diop
09:46et Moussa Abou Kartiam
09:48qui étaient en poste à l'époque.
09:51Mais ici, le ministère veut qu'on l'éclate.
09:54Mais on ne peut pas l'éclater.
09:56On ne peut pas l'éclater.
09:58On ne peut pas l'éclater et on ne peut pas l'éclater.
10:00Maintenant, tu as donné ton décret, ta puissance publique
10:03et tu veux décider de nos vies.
10:05Il n'y a que le Sénérat qui peut bannir un média.
10:08Le Sénérat n'a qu'une seule volonté.
10:11Et si le Sénérat le fait, il va se battre pour des textes.
10:14Il va se battre pour des charges.
10:18Mais le ministère ne peut pas venir parce que
10:22Mme Ndourfaye ne l'aime pas
10:24ou Mme Ndourfaye ne l'aime pas
10:26ou Mme Diop ne l'aime pas.
10:28Il veut nous bannir et le Sénérat l'a dit.
10:31Ce qui me fait plus mal
10:33c'est que les journalistes qui portent la cause du Sénérat
10:37doivent être remerciées.
10:39Les relations avec le Sénérat sont parfois très difficiles.
10:42Mais j'ai du mal actuellement
10:45à voir le ministère se battre vis-à-vis du régulateur
10:49qui est le Sénérat.
10:52Le Sénérat n'invite qu'une seule personne
10:55et il ne rappelle qu'une seule chose
10:57c'est le code de la presse.
10:59Il fait fi de ça.
11:03La dernière en date
11:05c'est la nomination des membres du Sénérat.
11:09On ne conteste pas
11:11la prérogative présidentielle.
11:14Il nomme aux fonctions civiles et militaires.
11:17Mais le ministère de la Communication
11:19doit nous entourer
11:21de matières grises et de bonnes ressources humaines
11:24pour qu'on puisse discuter
11:26et qu'on entende ce qu'on sait.
11:28Les fonctionnaires doivent entendre
11:31et prendre leur avis en compte.
11:35Le ministre de la Communication ne peut pas proposer
11:39les membres du Sénérat
11:42parce qu'il n'y a pas de tutelle technique
11:45ou administrative avec le ministère.
11:48Il ne peut pas proposer
11:50le budget du ministère de la Communication
11:53au budget du Sénérat.
11:55Le Sénérat doit avoir l'autonomie de gestion.
11:58Il faut protéger le président
12:02et les membres
12:04pour qu'ils puissent agir en toute liberté
12:07et en toute indépendance.
12:09Le ministère doit interagir
12:12avec le nouveau président du Sénérat.
12:16Si tu l'invites à des affaires
12:18et qu'il te rappelle les dispositions du code de la presse
12:21tu n'y crois pas.
12:23Je veux dire que
12:25si nous ne pouvons pas
12:28prendre nos responsabilités
12:31si nous ne pouvons pas
12:33prendre nos responsabilités
12:35dans cette situation
12:37où le Sénérat a été détruit
12:39c'est moi qui l'ai rencontré
12:41et je l'ai rencontré tout au long du magistère.
12:45Il doit prendre ses responsabilités
12:47et imposer les dispositions du code de la presse.
12:51Il va les imposer
12:53à l'autorité politique
12:55mais il doit les imposer aux journalistes.
12:58Baba Kardiagne n'est pas venu avec ses talents de diplomate.
13:01Il y a eu des crises et des moments difficiles
13:05mais il a fait ce qu'il devait faire.
13:08Il a demandé à Momondou Omar Ndiaye
13:10et à sa famille
13:12la même religion
13:14concernant les dispositions du code de la presse.
13:16La même détermination
13:18à faire triompher
13:24à faire triompher
13:26ce que tu connais comme
13:28les dispositions du code de la presse.
13:30Il ne peut pas continuer à laisser le ministère
13:32ou même sortir
13:34et rappeler publiquement le ministère à l'ordre.
13:36Il ne peut pas continuer à laisser le ministère de la communication
13:39qui viole les dispositions du code de la presse.
13:42Il faut rappeler à tous
13:44qu'il y a des problèmes dans le secteur
13:48et qu'il y a beaucoup à faire dans le secteur.
13:51Si tu es un visionnaire
13:53non seulement tu vas te battre
13:56pour préserver les emplois
13:58pour renforcer et retenir
14:00les entreprises
14:03mais tu dois aussi avoir confiance
14:05dans le secteur.
14:08Aujourd'hui, la confiance n'est pas au rendez-vous.
14:10Si le ministère n'y est pas
14:12nous en doutons
14:14et peut-être parfois à tort
14:16parce qu'il n'y a pas
14:19le lien de confiance
14:21entre nous et lui.
14:23Tous les actes du ministère
14:25et j'en ai parlé beaucoup
14:27c'est une façon de démonstriquer la presse.
14:29Donc, il n'y a pas de confiance.
14:31C'est lui qui l'a fait.
14:33C'est lui qui l'a laissé là où il est.
14:36Personne n'a retenu
14:38son autorité.
14:41Mais on l'invite à se concerter
14:43surtout qu'il est hérité
14:45d'un département
14:47où si on parle de démocratie
14:49il y a toujours le P.
14:51Nous sommes des pionniers de la démocratie.
14:53De la liberté de parole
14:55de la liberté d'expression.
14:57Personne ne peut venir nous faire
14:59de notre côté
15:01et nous mettre en symphonie.
15:03Peut-être que
15:06j'estime que
15:08le ministre de la communication
15:10est venu au Sénégal pour prendre ce poste
15:12pour prendre fonction.
15:14Mais il n'est pas venu juste pour y aller.
15:16J'espère que lui
15:18a envie de marquer
15:20la mémoire collective
15:22des acteurs des médias.
15:24Parce que ce qu'il a fait
15:26a beaucoup de bonnes conséquences.
15:28Si il avait fait
15:30des concertations, des ouvertures
15:32et des réformes
15:35entre ces acteurs
15:37nous serions
15:39à Alioune Saladé
15:41quand il reviendra au département.
15:43Il a vraiment fait
15:45de bonnes choses.
15:47On ne peut pas oublier
15:49le passage de Babacar Touré.
15:51On ne peut pas l'oublier.
15:53Les dimensions ne sont pas les mêmes.
15:55Mais personne d'entre nous
15:57n'a oublié
15:59le passage de Babacar Touré.
16:01C'est un homme
16:03qui a su prendre ses responsabilités.
16:05Qui a marqué le Sénégal
16:07en tant que journaliste,
16:09en tant que patron de médias, en tant qu'acteur de la presse.
16:11Mais qui nous a marqué aussi
16:13en tant que président du Sénéra.
16:15Babacar Touré a appelé
16:17pour le remettre à l'ordre.
16:19Il a fait un rappel à l'ordre.
16:23Il n'a pas reçu de sanctions directement.
16:25Mais le ministre de la Communication
16:27n'a pas été inspiré
16:29de ces hommes-là.
16:31Il n'a pas été inspiré de ces hommes-là.
16:33Mais il a dû l'appeler,
16:35discuter avec lui,
16:37consulter avec lui,
16:39discuter dans un cadre.
16:41Il y a possibilité que le Sénéra
16:43accompagne le ministère dans sa volonté de réforme.
16:45Il y a possibilité que le CEDEPS,
16:47la convention des jeunes reporters,
16:49le SEMPIX, le CORET,
16:51tous accompagnent le ministère.
16:53Pourquoi pas l'inviter à un séminaire,
16:55discuter,
16:57consulter.
16:59Je sais que c'est la cause des tensions.
17:01Mais si Aliou Salle ne prend pas ses fonctions
17:03dans le secteur médiatique,
17:05il n'y a pas de problème.
17:07J'ai demandé à Gaye de le redéfinir
17:09pour les asphyxier.
17:11En réalité, ils ont revu le montant
17:13un peu à la baisse.
17:15C'est-à-dire qu'on leur a appelé
17:17pour qu'ils s'intéressent à eux-mêmes.
17:19Mais vous, vous avez reçu le métier
17:21parce que vous savez qu'ils sont légitimes.
17:23Vous ne voulez pas
17:25qu'ils s'intéressent à vous.
17:27C'est pour ça qu'ils nous disent
17:29qu'ils n'ont pas de légitimité.
17:31C'est la raison pour laquelle
17:33Parfa a une commande politique.
17:35C'est pourquoi
17:37nous le soupçonnons
17:39d'avoir une commande politique.
17:41Parce qu'il n'y a pas de problème
17:43si on dit que c'est pour l'intérêt du secteur
17:45mais qu'il n'y a pas d'application.
17:47Parfois, les ministères se moquent.
17:49C'est-à-dire
17:51qu'ils sont fâchés
17:53et s'arrêtent.
17:55Mais
17:57c'est la vérité.
17:59On ne peut pas s'arrêter
18:01à parler de notre doléance.
18:03On ne peut pas s'arrêter
18:05à parler de l'intérêt du secteur.
18:09Si on oublie
18:11le rôle de la presse,
18:13l'apport à la presse,
18:15si on ne l'oublie pas,
18:17à des moments clés de l'histoire politique du Sénégal,
18:19de l'indépendance à nos jours,
18:21générations de journalistes
18:23qui se sont succédées,
18:25on a toujours eu un indice d'apport.
18:27On ne l'a pas reçu.
18:31On les aide.
18:33On les sensibilise.
18:35On les soutient.
18:37On les soutient.
18:39On les accompagne.
18:41Malgré que le gouvernement
18:43ne nous a pas donné d'advertisement,
18:45nous les couvrons.
18:47Parce que c'est notre devoir
18:49de participer à la vulgarisation des politiques publiques
18:51pour le bien
18:53des populations sénégalaises.
18:55Nous faisons notre devoir.
18:57Malgré que tout le monde
18:59s'en est occupé.
19:01Nous faisons ce qui est
19:03notre devoir.
19:05Donc, nous demandons au ministère de la Communication
19:07de regarder ses enfants,
19:09de permettre aux gens
19:11de discuter
19:13et de faire avancer
19:15le secteur.
19:17Le secteur a besoin de réformes.
19:19Le secteur a besoin de réformes.
19:21Il ne peut pas s'occuper du secteur
19:23si les gens ne sont pas d'accord.
19:25Si les gens ne sont pas d'accord,
19:27il n'y a pas de légitimité
19:29à travers les deux.
19:31Il n'a pas besoin
19:33de discuter avec le ministère.
19:35Il doit réclamer son indépendance.
19:37C'est le tribunal des pères.
19:39C'est le tribunal.
19:41Il n'y a pas pour
19:43qu'on l'exporte
19:45au ministère.
19:47La commission carte nationale
19:49de la presse.
19:51C'est bien.
19:53C'est un juriste.
19:55C'est un juriste.
19:57C'est un juriste.
19:59Je prépare des émissions
20:01et je demande aux gens
20:03des dispositions.
20:05des dispositions.
20:07C'est un homme très généreux.
20:09Je vous invite
20:11à soutenir le ministre
20:13pour qu'il ne trahisse
20:15leurs pères.
20:17Ils n'ont pas le droit
20:19d'associer leur démarche
20:21irrégulière et illégale
20:23au ministre de la communication
20:25pour qu'il l'utilise comme caution.
20:27Je vous invite à
20:41légitimer
20:43les décisions du ministre de la communication.
20:45Ce n'est pas bon.
20:47Ce ne sont pas les communiquants du ministère.
20:49Il faut qu'on sache
20:51ce qu'il veut.
20:53Je n'ai rien contre eux.
20:55Ce sont des confrères que je respecte.
20:57Je n'ai rien à vous dire.
20:59Mais je vous rappelle
21:01qu'on doit
21:03légitimer les coups fourrés du ministère.
21:05Le président de la République
21:07est un homme et une femme.
21:09C'est ce qu'on doit faire avec le ministre de la communication.
21:11Si on demande une concertation
21:13tous les jours,
21:15dans le respect de son rang
21:17et des lois et des règlements établis.
21:19Et qu'il laisse tomber.
21:21Si je le fais sortir,
21:23il n'a pas le droit
21:25de dire qu'on n'est pas d'accord.
21:27Tu trouves les gens
21:29dans leur métier.
21:31Tu les blesses dans leur dignité professionnelle.
21:33Après, tu veux que ces gens
21:35continuent à te sourire.
21:37Ce n'est pas possible.
21:39Il a défaut de pouvoir l'enlever de là où il est.
21:41Mais on va parler
21:43de ce qu'on peut
21:45dénoncer,
21:47informer les gens
21:49qu'il n'est pas d'accord avec le ministre de la communication.
21:51Alioune,
21:53on lui a fait faire
21:55beaucoup d'erreurs.
21:57Je le lui dis,
21:59on lui a fait faire beaucoup d'erreurs.
22:01Le secteur des médias
22:03est venu
22:05nous encadrer
22:07et il a fait beaucoup d'erreurs.
22:09Si tu ne comprends pas,
22:11moi personnellement,
22:13je n'ai rien contre lui.
22:15Tout le monde me dit que c'est un homme bien.
22:17Tout ce qu'il dit est vrai.
22:19Donc, il est bon
22:21comme on l'a vu.
22:23C'est ce qu'on lui a dit.
22:25Je veux bien croire
22:27aux gens qui disent
22:29que c'est un homme bien.
22:31C'est ce qu'on lui a dit.
22:33Et il n'a qu'à s'occuper
22:35du cadavre.
22:37C'est son passage au ministère.

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