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00:00– Tout le monde, c'est un truc de fou, même pour vous passer l'image,
00:05elle était chez Louis Vuitton, Brigitte Macron.
00:08– Elle a le droit ?
00:09– Non mais alors je vais vous expliquer pourquoi elle était chez Louis Vuitton,
00:11Brigitte Macron, je vais vous le dire.
00:12Brigitte Macron c'est tout simple, c'est parce que demain,
00:14le concert des Piège Jaune, après-demain, c'est ça ou pas ?
00:16– C'est jeudi, c'est jeudi.
00:17– Et il sera lui, c'est pour ça qu'il ne sera pas là jeudi.
00:21– C'est jeudi.
00:21– Il m'a cassé la tête avec ça hier, donc autant le dire aujourd'hui.
00:25– Oui c'est jeudi le concert des Piège Jaune, mais ce n'est pas ça,
00:28de toute façon, ça ne coûte zéro argent public,
00:31puisqu'on lui prête les vêtements qu'elle rend le lendemain.
00:34Donc elle a été prendre et même elle s'est déplacée pour aller chercher elle-même,
00:38alors que d'autres Premières Dames se faisaient livrer à l'Élysée.
00:40– Bien sûr.
00:41– Mais non, et la Cour des comptes a déjà fait, croyez-moi,
00:44ils ont surveillé 50 fois, il n'y a pas un centime d'argent public.
00:47– Il y a plein de gens qui ont parlé de ça,
00:49mais c'est juste parce que c'est pour le gala des Piège Jaune.
00:52Est-ce qu'il y en a qui… qu'est-ce que vous dites de ça, Kelly ?
00:55– Est-ce qu'elle a de l'argent privé si elle voulait se l'acheter elle-même ?
00:58– Bien sûr.
00:58– Alors du coup, il n'y a aucune preuve que ce soit l'argent public ou privé,
01:01dans tous les cas.
01:02– Non mais dans tous les cas, elle aurait le droit dans tous les cas,
01:05parce qu'on ne sait pas avec quoi elle achète.
01:07– Il y a les services de presse qui prêtent des tenues.
01:10– Je vais vous dire la vérité, moi ce n'est pas moi qui achète mes costumes.
01:13– Bernard a tout dit, et on fait une polémique là,
01:15je veux bien qu'on tape tout le temps sur Brigitte Macron.
01:17– Non mais ce n'est pas nous, c'est les haters.
01:19– Je veux bien que les haters…
01:20– Mais Bernard a tout dit, écoutez, elle aurait dit à des gens de Louis Vuitton,
01:23venez chez moi, je vais essayer des vêtements, je ne sors pas de chez moi,
01:25je ne viens pas chez Louis Vuitton, il serait venu, il se serait déplacé,
01:28il lui aurait fait essayer des vêtements, et elle aurait porté du Louis Vuitton.
01:31Là, elle a été, voilà, elle a été, elle a été.
01:33Si elle avait quelque chose à cacher, elle aurait dit aux gens, venez chez moi.
01:35Vous croyez qu'ils font quoi les autres ?
01:37Ils se cachent les autres, ils sont moins honnêtes.
01:38– Vous croyez que Daniel Moreau, quand elle s'habille…
01:40– Elle se cache, elle se cache.
01:41– Les gens de qui il habille, ils vont directement chez elle ?
01:43– Bien sûr.
01:44– Tu crois quoi, toi ? – Bien sûr, elle se cache.
01:46– Ah oui, les gars, tu crois quoi ?
01:48– Des stressanteurs.
01:49– Des mecs de tartines et chocolat, petits bateaux, ils vont chez lui,
01:52ils sonnent à la porte.
01:53– Ils viennent directement chez lui.
01:55– Oui, oui, oui.
01:56– Non mais moi, je n'aime pas trop qu'en France, on tape beaucoup
01:58sur les gens qui font des choses, et elle, elle se mobilise pour les pièces jaunes,
02:02et on vient encore la critiquer, alors que les gens n'ont qu'à se lever,
02:06se mobiliser pour les pièces jaunes données, et se taire.
02:09– Les gens, ils se mobilisent, c'est les gens qui donnent, je te rappelle.
02:12– Non, mais ceux qui la critiquent…
02:13– Elle monte dans les trains et elle ramasse des pièces, calme-toi quand même.
02:16– Ceux qui la critiquent, ben non, je suis désolé.
02:18– Je suis gentil, c'est les gens qui se mobilisent.
02:20Non mais tu dis, les gens, ils font quelque chose, oui, les gens font quelque chose.
02:22Ils donnent pour les restos, ils donnent pour les associations,
02:25ils donnent pour les enfoirés, on demande toujours aux gens de donner.
02:28– Bien sûr, bien sûr.
02:29– Les mecs, lâchez les gens, lâchez les gens.
02:31– Il a raison, il a raison.
02:32– Bravo !
02:33– Bravo !
02:34– Ils font quelque chose.
02:35– Il a raison, il a raison.
02:39– Il n'a pas la gueule.
02:42– Non, mais il a raison, il a raison.
02:43– Il a raison, il a raison.
02:44– Hé, hé, t'es typique, quand t'as le brouillard à 8,90.
02:46– Le beurre, le beurre, le beurre.
02:48– Le beurre, le beurre.
02:49– Le beurre, le beurre.
02:50– Marche sur la tête, 10 euros le kilo, le beurre.
02:51– 10 euros le kilo, le beurre.
02:52– 65 francs.
02:53– Le beurre, 10 euros le kilo, donc il a raison.
02:55Thomas Guénolé, que pensez-vous de ça, tiens ?
02:58– Moi ? Vous n'allez pas aimer.
03:00– Mais si, j'ai envie de ne pas aimer.
03:02– J'ai envie de ne pas aimer, parce que si, vous dites, j'aimerais ne pas aimer.
03:05– Vous n'allez pas aimer.
03:06– C'est pour ça que je vous ai demandé…
03:07– J'en ai… Pardon, je vais…
03:08– Alors par contre, ma mère vous a laissé un message.
03:10– Oui.
03:11– Elle a demandé même à Kelly de se déplacer, parce qu'elle a peur qu'elle soit contaminée,
03:16je vous jure que c'est vrai.
03:17Non, mais sans décoller, elle vous a demandé de vous déplacer de Thomas Guénolé, je vous le dis.
03:21Et elle a dit, avec 800 euros par mois, monsieur Guénolé, malheureusement, on ne peut pas vivre vraiment…
03:26– Mais ce n'est pas de ces retraités-là que je parle, moi, mais je l'ai tout dit tout à l'heure.
03:32– Si t'es un ancien prof, combien tu vas toucher à la retraite ?
03:34En ancien prof, si t'es un ancien prof, tu touches combien à la retraite ?
03:36– Moi, je n'aurai pas de retraite.
03:37– Ah, voilà, tu n'auras pas de retraite.
03:39– Thomas, surprise, il n'est pas con, allez-y.
03:41– De tout mon cœur, j'en ai assez que des Premières Dames,
03:45c'est-à-dire des femmes qui sont logées et nourries au frais de l'État,
03:48nous donnent des leçons de générosité.
03:50Moi, j'en ai marre.
03:51Je sais que je suis à peu près tout seul sur cette éducation.
03:53– Laissez-le finir.
03:55– Voilà, on arrive.
03:56– Il y avait déjà ça avec Bernadette Chirac, pareil.
03:59Alors elle, pour le coup, c'était plus grave,
04:00parce que Bernadette Chirac avait passé sa vie adulte quasi intégrale
04:04à être nourrie, logée, blanchie avec nos impôts
04:06et derrière, nous donnait des leçons de générosité.
04:08Il faut donner de l'argent, etc.
04:10Et moi, effectivement, je n'aime pas ces trucs-là.
04:12Et de manière générale, quand on s'agit de résoudre des problèmes de pauvreté,
04:15pour ça, il y a les impôts.
04:17Et on va demander de la générosité.
04:19– C'est un français sauvetage.
04:20– Effectivement, je n'adhère pas à ça.
04:22– Les impôts, c'est la sauvetage.
04:23– Pour ceux qui étaient étrangers, les Français sont généreux.
04:26Mais le travail de Mme Macron, moi je vais te dire qu'il est un travail incroyable
04:30de créer des maisons droite à gauche pour informer les gens,
04:33ils s'en occupaient.
04:34Créer des maisons des parents dans les hôpitaux,
04:36les parents qui sont en attente, leurs fils malades, etc.
04:39Et surtout, c'est de mobiliser les grandes entreprises françaises,
04:43Total, LVMH, etc.
04:45à donner beaucoup d'argent, justement, dans le cadre…
04:47– Non mais je sais qu'il y a des gens qui trouvent ça super.
04:49Et je respecte ça, c'est juste que je ne suis pas d'accord.
04:51Il faut le faire, accessoirement à la Première dame,
04:53personne n'est élu, et donc je ne vois pas qu'elle légitimise rien.
04:56– Mais il y a un truc que je ne comprends pas, c'est qu'en fait,
04:58t'es contre la solidarité ?
05:00– Non, je suis contre la charité.
05:02C'est pas la même chose.
05:04Je suis pour la solidarité qui est faite par l'impôt,
05:06je suis contre la charité.
05:08– Mais l'impôt, on ne sait pas où il va de toute façon.
05:10– Merci, c'est bon, c'est bon.
05:12– Mamie, qu'est-ce qu'il y a là ?
05:13Hélo, t'es tout comme ça depuis qu'à l'heure.
05:14On n'y a rien qu'à faire.
05:15On n'y a rien qu'à faire, nous, ça amène pas où ?
05:17– L'impôt, c'est pas où il va.
05:18On peut en donner même des millions.
05:20– Oh, les mecs !
05:21– Les pieds jaunes, c'est nous.
05:23Et il y a Didier Deschamps avec elle,
05:25qui n'est pas non plus un super, super, super nantier au départ.
05:28Et les pieds jaunes, ça représente des centaines
05:30et des centaines de kilos de pieds jaunes.
05:32Tu rentabilises un truc qui est super concret.
05:34Donc, ce n'est pas elle qui les porte, évidemment.
05:36Elle ne vient pas avec une brouette.
05:38Mais c'est un symbole.
05:40C'est un symbole de petit.
05:42– Allez, on va regarder le sondage.
05:45– À un moment, il ne me fait pas ça.
05:46– Parce qu'elle est lourde.
05:47– Parce qu'elle a dit ça.
05:48– Bon, voilà, le sondage, merci.