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Erik Tegnér, directeur de la rédaction de Frontières,  revient sur le rôle des enfants de Donald Trump. «Ivanka Trump n’était pas à l’aise avec le premier mandat de son père», selon lui.

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Transcription
00:00Ce qui est certain, c'est qu'elle a plutôt critiqué quand même certaines prises de position de Donald Trump.
00:04Elle n'était pas forcément très à l'aise parce qu'elle savait que pour ses affaires, justement, elle en fait beaucoup.
00:09Par exemple, en Albanie, on sait que l'Albanie, c'est en train de devenir une destination touristique.
00:13Elle a racheté une île et elle veut en faire une île pour les riches.
00:16Elle a ce type de business et donc elle avait peur.
00:19Elle, pour le coup, elle ne croyait pas véritablement que son père pourrait être réélu.
00:24Et elle se disait qu'en se tenant à distance, ça serait mieux parce qu'effectivement,
00:27elle, pour le coup, elle avait été la cible de beaucoup de critiques au sein du mouvement MAGA.
00:31On disait qu'Ivanka Trump était d'une certaine façon la successeur de Donald Trump parce qu'elle avait du charisme.
00:38Et elle a été un petit peu remplacée pendant cette campagne par une autre figure féminine, plus jeune qu'est Trump,
00:44qui est la fille, justement, de Trump Junior, qui a 17 ans, qui joue au golf, qui s'entend très bien avec son père
00:50et qui a joué un petit peu ce rôle d'essayer d'humaniser Donald Trump.
00:55Elle disait « Daddy, il est très gentil avec nous », etc. Elle communique beaucoup sur les réseaux sociaux.
01:00Elle s'entend bien avec également Bannon, qui est l'autre fils, qui fait 2,06 m de Donald Trump, qui a un QI surdéveloppé.

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