Alors je comprends autant ceux qui aiment ce que je fais que ceux qui détestent. Mais on a juste besoin de se retrouver.
Retrouvez « Le billet de Philippe Katerine » sur France Inter et sur : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-de-philippe-katerine
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00:00Philippe Catherine, bonjour ! Bonjour Philippe, je suis heureux de revenir en Fondation Chronique.
00:06Vous êtes heureux de nous retrouver ? Oui ! Alors je comprends autant ceux qui aiment
00:12ce que je fais que ceux qui détestent.
00:15Mais on a juste besoin de se retrouver, j'ai besoin de me retrouver, nous avons tous besoin
00:23de se retrouver.
00:30Les pas dans la neige de Claude Debussy, les pâles dans la neige de Philippe.
00:40La marchande de pantoufles sort de chez elle et promène en bavardant d'une devanture
00:47voisine à l'autre ses kilos de varisses après les gens.
00:50Fabrice Luchini lit, au kiosque, Voyage au bout de la nuit.
00:54Les journaux du matin pendent, avachis et jaunes, de Louis-Ferdinand Céline.
01:01Le voyage au bout de la nuit de Philippe, à bout de souffle de Philippe, à bout de
01:21souffle de Jean-Luc Godard.
01:26La mer de Charles Traîné.
01:39La mer de Philippe.
01:58Quand Rodin travaillait sur le penseur de Rodin, en janvier 1879, le 16 janvier il
02:12y a 145 ans pile.
02:14Quand Philippe travaillait à monter des étagères Ikea, le 16 janvier 2025.
02:21Quand Philippe travaillait à monter des étagères Ikea, le 16 janvier 2025, le 16 janvier
02:47Philippe ! Philippe ! Philippe !
02:50TA GUEULE !