La situation reste tendue pour François Bayrou qui s'engage dans des discussions sur la réforme des retraites avec la gauche modérée. L'objectif est de ne pas vexer ses alliés des Républicains et ceux du parti présidentiel tout en naviguant à travers ce sujet délicat.
## Les enjeux des négociations sur la réforme des retraites
La réforme des retraites est, une fois de plus, au centre des débats. Malgré de longues heures de pourparlers entre le gouvernement et le Parti socialiste (PS), un consensus sur la question de la censure semble encore éloigné. Alors que François Bayrou doit faire une déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, il est crucial de parvenir à un compromis sur la réforme de 2023 afin d’éviter un vote de censure lors de la présentation du budget. Sa position officielle, bien que très attendue, reste floue et des termes comme "suspension" ou "abrogation" devraient être évités dans son discours, laissant présager une ouverture aux discussions avec les partenaires sociaux.
## Les demandes de la gauche : suspendre pour renégocier
Du côté de la gauche, les partis tels que le PS, les écologistes et le Parti communiste plaident pour une suspension immédiate de la réforme des retraites introduite par Élisabeth Borne. Les socialistes souhaitent que cette suspension soit effective dès le début des renégociations, sans attendre leur succès. Une telle mesure permettrait aux personnes nées en 1963 de partir plus tôt à la retraite. Lundi, le gouvernement a intensifié les échanges avec ces groupes de gauche, malgré l'absence de La France insoumise qui a choisi de ne pas participer aux discussions.
## La droite en retrait face aux concessions
La droite se montre prudente dans ces négociations. Les membres des Républicains mettent en garde François Bayrou contre trop de concessions à la gauche. Gérard Larcher, président du Sénat, ainsi qu'autres figures de droite, affirment qu'il ne doit y avoir ni suspension ni abrogation de la réforme des retraites, considérant que cela équivaudrait à un saut dans l'inconnu. Pour eux, une telle suspension serait inacceptable et en contradiction avec leurs valeurs fondamentales.
## Division parmi les macronistes sur la question
Les membres du camp présidentiel, quant à eux, sont divisés. Certains, comme Yaël Braun-Pivet, sont ouverts à une suspension temporaire pour stabiliser la situation politique, tandis que d'autres, comme Mathieu Lefevre, insistent sur le fait qu’abroger la réforme serait catastrophique pour l’économie. D'autres voix, comme celle d'Édouard Philippe, mettent en garde contre les dangers d'un retour en arrière sur une réforme jugée nécessaire.
## Le RN reprend ses distances face aux négociations
Le Rassemblement national reste sur ses positions tout en étant éloigné des négociations. Bien qu'ils aient été reçus par des ministres, les échanges n'ont pas abouti à des résul
## Les enjeux des négociations sur la réforme des retraites
La réforme des retraites est, une fois de plus, au centre des débats. Malgré de longues heures de pourparlers entre le gouvernement et le Parti socialiste (PS), un consensus sur la question de la censure semble encore éloigné. Alors que François Bayrou doit faire une déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, il est crucial de parvenir à un compromis sur la réforme de 2023 afin d’éviter un vote de censure lors de la présentation du budget. Sa position officielle, bien que très attendue, reste floue et des termes comme "suspension" ou "abrogation" devraient être évités dans son discours, laissant présager une ouverture aux discussions avec les partenaires sociaux.
## Les demandes de la gauche : suspendre pour renégocier
Du côté de la gauche, les partis tels que le PS, les écologistes et le Parti communiste plaident pour une suspension immédiate de la réforme des retraites introduite par Élisabeth Borne. Les socialistes souhaitent que cette suspension soit effective dès le début des renégociations, sans attendre leur succès. Une telle mesure permettrait aux personnes nées en 1963 de partir plus tôt à la retraite. Lundi, le gouvernement a intensifié les échanges avec ces groupes de gauche, malgré l'absence de La France insoumise qui a choisi de ne pas participer aux discussions.
## La droite en retrait face aux concessions
La droite se montre prudente dans ces négociations. Les membres des Républicains mettent en garde François Bayrou contre trop de concessions à la gauche. Gérard Larcher, président du Sénat, ainsi qu'autres figures de droite, affirment qu'il ne doit y avoir ni suspension ni abrogation de la réforme des retraites, considérant que cela équivaudrait à un saut dans l'inconnu. Pour eux, une telle suspension serait inacceptable et en contradiction avec leurs valeurs fondamentales.
## Division parmi les macronistes sur la question
Les membres du camp présidentiel, quant à eux, sont divisés. Certains, comme Yaël Braun-Pivet, sont ouverts à une suspension temporaire pour stabiliser la situation politique, tandis que d'autres, comme Mathieu Lefevre, insistent sur le fait qu’abroger la réforme serait catastrophique pour l’économie. D'autres voix, comme celle d'Édouard Philippe, mettent en garde contre les dangers d'un retour en arrière sur une réforme jugée nécessaire.
## Le RN reprend ses distances face aux négociations
Le Rassemblement national reste sur ses positions tout en étant éloigné des négociations. Bien qu'ils aient été reçus par des ministres, les échanges n'ont pas abouti à des résul
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00:00La situation reste tendue pour François Bayrou, qui s'engage dans des discussions sur la réforme des
00:05retraites avec la gauche modérée.
00:07L'objectif est de ne pas vexer ses alliés des Républicains et ceux du parti présidentiel tout en
00:12naviguant à travers ce sujet délicat.
00:14La réforme des retraites est, une fois de plus, au centre des débats,
00:18malgré de longues heures de pourparlers entre le gouvernement et le parti socialiste PS.
00:22Un consensus sur la question de la censure semble encore éloigné,
00:26alors que François Bayrou doit faire une déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale.
00:31Il est crucial de parvenir à un compromis sur la réforme de 20-0-0 afin d'éviter un vote de censure.
00:37Lors de la présentation du but, sa position officielle, bien que très attendue,
00:42reste floue et des termes comme « suspension » ou « agrogation » devraient être évités dans son discours,
00:47laissant présager une ouverture aux discussions avec les partenaires sociaux.
00:51Du côté de la gauche, les partis tels que le PS,
00:54les écologistes et le parti communiste plaident pour une suspension immédiate de la réforme des retraites introduites par Ilse Ippeborn.
01:01Les socialistes souhaitent que cette suspension soit effective dès le début des renégociations.
01:06Sans attendre leur succès, une telle mesure permettrait à personne née en 1963 de partir plus tôt à la retraite.
01:13Lundi, le gouvernement a intensifié les échanges avec ses groupes de gauche.
01:18Malgré l'absence de la France Insoumise, qui a choisi de ne pas participer aux discussions,
01:22la droite se montre prudente dans ses négociations.
01:25Les membres des Républicains mettent en garde François Bayrou contre trop de concessions à la gauche.
01:30Gérard Larcher, président du Sénat ainsi qu'autres figures de droite,
01:35affirment qu'il ne doit y avoir ni suspension ni agrogation de la réforme des retraites,
01:39considérant que cela équivaudrait à un saut dans l'inconnu pour eux.
01:43Une telle suspension serait inacceptable en contradiction avec leurs valeurs fondamentales.
01:48Les membres du camp présidentiel, quant à eux, sont divisés.
01:51Certains, comme Yael Brown-Pive, sont ouverts à une suspension temporaire pour stabiliser la situation politique,
01:58tandis que d'autres, comme Mathieu Lefeuvre, insistent sur le fait qu'abroger la réforme serait catastrophique pour l'économie.
02:04D'autres voient, comme celle d'Édouard Philippe,
02:06mettant en garde contre les dangers d'un retour en arrière sur une réforme jugée nécessaire.
02:11Le Rassemblement National reste sur ses positions tout en étant éloigné des négociations,
02:16bien qu'il ait été reçu par des ministres.
02:18Les échanges n'ont pas abouti à des résultats concrets.
02:21Le RN persiste à dénoncer la réforme des retraites et se méfie des promesses de compromis.
02:26Ils estiment que les modifications promises par le gouvernement sont illusoires et n'apporteront
02:31pas de véritables solutions aux questions des retraites.
02:34Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
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