Quel président

L’apocalypse
Je tremble devant ce voile de nuages enveloppant qui nous absorbe tel un sommeil léthargique, les cieux sen sont chargé, la terre s’enfouis dans l’obscurité comme pour sen protéger, il règne une impression d’apocalypse et nous ne savons quelle attitude adopter, seule la chandelle du foyer tel un espoir de survie dispense sa lumière blafarde dans l’opacité de la nuit ; car qui ne sait que le noir est le symbole de la mort Le monde se nourris de lumière et qui vis dans le noir et l’obscurantisme connaît déjà le baiser de la mort J’ai crains la peur de sombrer dans le mysticisme né d’un diabolique talisman déchaînant les forces du mal et de l’irréalité, l’espoir se fait de plus en plus ténu et s’estampe devant ce déferlement de l’au delà, la faucheuse en maîtresse règne déjà et les ressentiments d’impuissance devant la mort gagnent sur les élans d’espoir La vie se nourris de bravoure et qui est esclave de la peur a déjà sur la poitrine la première dalle Je crains tellement le retranchement dans le mutisme qui tel ce cadenas inviolable dont vous avez perdu les clés vous plonge dans mille et une conjectures ; devant un chemin semé d’embûches. Accuseriez vous un revirement ? Si c’est la cas mourez cela serait une préférable solution pour vous que d’avoir à vivre l’opprobre dune dénature et dune déconvenue La connaissance des chemins de la noblesse se manifeste dans l’oracle ; ne soyez pas l’ombre de vous-même, prêchez quoi qu’il vous en coûte, ne laissez nulle couardise vous délivrer un laisser passer dans les laissés pour compte et qui nosent même pas le déclarer, la mort dans l’honneur est la vie dans l’éternité car nous ne vivons pas pour mourir mais plutôt nous devrions mourir pour vivre, les hommes et l’histoire retiennent toujours même si parfois ils semblent frappés d’amnésie
Ameur SERSOUR paroles de ben Muhemed