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«On a soif. On a faim» : face à une aide qui arrive au compte-gouttes, les habitants de Mayotte s'impatientent, au lendemain du départ d'Emmanuel Macron qui a constaté l'immensité des besoins de l'archipel dévasté par le cyclone Chido. Pour Christian Prouteau, fondateur du GIGN, «les Mahorais méritent d’être traités comme des Français».

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Transcription
00:00Oui, mais c'est quand même pas immense, cette reconstruction, on a su faire Notre-Dame en 5 ans,
00:07c'est peut-être le moment de faire d'un mal un bien et de se dire, bon, tout est rasé,
00:13autant s'y mettre tout de suite et reconstruire pour que les gens aient une vie de citoyens français décentes, point.
00:22Et je pense qu'on a les moyens de le faire, même s'il faut boucher des trous partout,
00:28c'est de l'ordre de l'urgence et c'est de la dignité nationale qu'il s'agit,
00:34puisque ces gens-là sont des français, on l'a voulu, ils l'ont voulu, ils méritent d'être traités comme des français,
00:41même si au-delà, on le sait très bien qu'il y a une immigration qui est trop importante, ça ne donne pas...
00:47— Et les maurais veulent rester français. — Voilà, absolument. Ils l'ont dit à plusieurs reprises.

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