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00:00C'est surprenant ce que tente le Real Madrid, première séquence très surprenante, enthousiasmante
00:17pour l'équipe d'Ancelotti.
00:18Ce tir d'Obrahim, direct.
00:21C'est ardagulaire, quelle surprise de voir le Real débuter ainsi.
00:29La preuve, il a surpris tout le monde, ce n'est pas qu'à vrai, mais à l'opposé,
00:37c'est ici qu'il joue le 9,5.
00:39Ballon profondeur vers Rodrigo, Obrahim essaye d'aller le reprendre, Moumine, Defrutos,
00:54c'est bien fait, le travail, le dribble pour désorienter Fran Garcia, c'est bien fait,
00:58la tête, mais quel gol assaut, mais quel but exceptionnel, Unai Lopez, petit gabarit
01:03oublié au deuxième poteau pour placer sa tête, mais le travail là aussi pour faire
01:09valser Fran Garcia, extraordinaire Defrutos, le rayon mène déjà à 0.
01:14Quel début de match, mais quelle action, ça y est, les droits d'auteur sont donnés
01:20pour ce samedi, pour l'action de Defrutos, parce que dès le départ, on va voir comment
01:26il va le défier, il va le provoquer, Fran Garcia il reçoit, sur le premier crochet
01:34je croyais qu'il allait montrer, non, il va réinsister, et son deuxième poteau, Lucas
01:40Vasquez, je ne sais pas pourquoi, s'il est obligé vraiment d'aller fermer, parce qu'ils
01:44sont à 2 contre 2, Ludiger et Tuamini, ils délaissent, Unai Lopez qui arrive, et il
01:51lui a dit oui au ballon, le ballon il l'a demandé, donne, où tu veux que j'aille,
01:57tellement, regardez comment il lui met de la France, un bon coup de tête, il n'y a personne,
02:04personne pour pouvoir le gêner à Unai Lopez, et ça c'est encore une fois l'intérêt
02:14de ces mains, Mbarba, Xhavarria, bien fait, oh quel point de 2 encore, Xhavarria, entrée
02:25c'est beau, la reprise de Defrutos, concadré, l'équipe qui joue mieux, c'est clairement
02:29l'équipe d'Iñigo Pérez, oui mais encore, jugadon, jugadon del rayo melecano, là c'est
02:35magnifique, Lopdy, Xhavarria, il n'est pas hors jeu défensivement, tout le monde est
02:42encore, la construction toujours, Defrutos, pas mal ce centre de Defrutos, la tête encore
02:54avec le jeune, oh les, ici la frappe, bien partie, il a enlevé à son coéquipier mais
03:00ça revient pas grave, oh la tentative, mais c'est bien joué quand même, que du football
03:09offensif, on parlait tout à l'heure que c'était pas l'habitude le jeu des têtes de la part
03:14d'Unai Lopez, c'est pas non plus, oh attention l'erreur, la récupération, Ntk, ah le réalisateur
03:21nous a un petit peu surpris, on n'a pas vu ce qu'il s'était passé, ah le réal quand
03:25même, la touche, c'est Rudiger, attention parce que Rudiger il le prend, ici pression
03:38inarrêtable de la part du rayo vallecano, l'équipe d'Iñigo Pérez séduisante comme
03:42souvent avec ce ballon encore, Mbarba, le centre, oh la la, Florian Lejeune il a raté
03:47sa reprise, Unai Lopez le buteur, Lucas Vázquez, sur les centres il n'y a pas un bon coup de
03:59genre de tête, en attaque, super, Vázquez accroché il va encore aller au bout, Vázquez
04:04il n'a pas mis ce ballon en retrait, et attention parce que là, Chavarria il le retient un peu,
04:15et Mounian il sait, super, il le double, il n'a pas faute, c'est bien Mounian qui l'habilite,
04:22Mounian il n'est plus là, Mounian, Mounian, ah pardon, Lucas Modric, Mbarim, Rodrigo,
04:38il bouge un peu partout, il essaie de trouver une étincelle, un espace, Rodrigo parvient
04:42à sauter, dommage, personne, oh bien fait, oh la la, à côté, à côté, c'est Ardaghouler
04:50qui l'a dévié, je crois qu'il l'a dévié et Bellingham il est tout seul, super ce qu'il
04:56fait Rodrigo, on dit tout le temps ce joueur, et oui la touche de la pointe, Bellingham il
05:03est, si Bellingham la reçoit il y a but, parce qu'il est plein, là là, les deux il lui
05:11demandent à la balle, oh la la, Bellingham il doit lui crier tellement fort, ici au
05:20deuxième encore, oh la la le deuxième, comme tout à l'heure c'était au deuxième poteau,
05:26conclu par Moumin le défenseur central, oui le Real Madrid est à terre, oui le Rayo joue
05:32bien les coups, 2 à 0 pour l'équipe d'Inigo Perez, deux buts de la tête.
05:37Et attention parce que coup de pied arrêté, ils vont sûrement voir qui est fautif, je
05:47sais pas si c'est Lucas Vazquez, en tout cas Mounin doit avoir quelqu'un qui le surveille,
05:55qui lui fasse un marquage, on sait que Mounin a d'abord la taille, c'est un défenseur,
06:01il monte, donc j'ose croire qu'il est avec Lucas Vazquez, c'est pas normal, il fait
06:141m88 Moumin, c'est pas Vazquez de le charger dans la logique, non mais en plus Lucas il
06:21peut rien faire, même Arda Güler, le Real va chercher un but dans cette fin de première
06:33mi-temps pour revenir naturellement, Arda Guler, Bellingham, Vazquez, Valverde, il est
06:47loin, il l'attente, le but de Fede Valverde, mais quelle frappe, une nouvelle fois de la
06:54part de Valverde, le bon basseau pour permettre au Real de revenir, il fallait une étincelle,
07:00et bien il y a eu la grosse frappasse de l'Uruguayen.
07:03Son point fort, c'est l'élément qu'à chaque fois on dit, comment ça c'est fait qu'il
07:10l'utilise, il s'est obligé à dire je dois frapper 3 fois par mi-temps, parce qu'il tourne
07:17pas le ballon, c'est tellement, ah c'est légèrement touché, il touche, il le touche,
07:25si je sais pas si, on croit que la légère déviation fait qu'il aille vers ce petit
07:33filet, mais il a surpris tout le monde, il s'est catapulté, c'est une espèce, à aucun
07:39moment, le ballon il le tourne dans son cas, Rodrigo, oh la tête, mais l'égalisation
07:47de ce Real immortel, et Jude Bellingham évidemment de retour à son plus haut niveau, Raymond
07:53Tadda en quelques minutes pour l'équipe de Carlo Ancelotti, Bellingol, et ça fait
07:582 buts partout.
07:59Et évidemment, vous l'avez annoncé, vous avez dit, le Real n'a pas besoin de grande
08:05chose, ou il a besoin de très peu, et c'est ça qui est la notoriété de cette équipe,
08:13c'est montrer, alors que tout a été inventé, ils continuent à montrer qu'il y a du reste,
08:19et Bellingham le prouve, la légère déviation, la passivité cette fois-ci, de Mounir Ndiaye
08:26Lejeune, et de Cissé, les 3 ils sont là à essayer de voir qui c'est qui y va, Bellingham,
08:34autorité, précision, présence, technique.
08:39La passe, le centre, Chavarria, oui mais ce secteur à droite, Lucas Vazquez essaye de
08:47le développer, souvent, avec un ardiculaire, mais ils ne sont pas très, oh Rodrigo, oh
08:54la tête, ardiculaire, oh il lui a fait mal, il s'est fait très très mal le contact.
09:00Ça c'est, aïe aïe aïe aïe aïe, ardiculaire, ça c'est souvent le cas, parce que Ardaghoul
09:08est obligé de regarder d'où il vient le ballon, et ça c'est ce genre de situation
09:13où tu sais ce qui peut t'arriver, parce que le camion, il est hors jeu 4 mètres,
09:19là il n'y a rien à dire, parce que l'arbitre il ne peut pas lever le drapeau, souvent actif,
09:26il entend toujours très bien le rôle qu'il doit, lui s'est procuré sur ce côté droit.
09:35Ardiculaire, Rodrigo, pas d'espace, alors il le crée, la frappe de Rodrigo, le troisième
09:40pour le Real, il lui en faut très très peu, lui aussi, il a le talent, Rodrigo il avait
09:44besoin de marquer, un but comme ça, important et déterminant, pour la première fois le
09:49Real est devant, le Real d'Angelotti, il mène 3-2.
09:53Et on va voir comment d'abord Vinicius, il fait la petite fente, après il s'est aidé,
10:01et c'est encore dévié, c'est dévié par l'adversaire, vous allez voir, ce déviation
10:05il va faire la parabole, et évidemment que Rodrigo, d'abord regarde comment il va faire,
10:13la petite fente qu'il fait là, regarde, il dégage très légèrement, et c'est touché
10:19par Ratuvi, qu'en plus il a pris, il saute, il saute, il se dit je l'ai dévié, je crois
10:24ce qu'il ne fallait pas, c'est exactement cette légère déviation par Lotuvia la preuve,
10:31celle-ci elle est tournante, et c'est ce qui ne donne pas la possibilité qu'il bataille,
10:37c'est dévié, c'est ce qu'il l'obtient, mais encore une fois, on force le hasard,
10:44et le hasard c'est comme dans les films, souvent on tombe amoureux, t'es heureux,
10:51moi je veux bien, regarde, ils rigolent les deux, je veux bien, l'optimisme, mais...
10:57Hop là, courtois, Alvaro, Florian Lejeune, encore Lejeune, le ballon bien fait, le centre
11:10parfait, et la reprise d'ici, le capitaine, pour marquer, pour égaliser, 3 buts partout,
11:16mais quel match, quelle folie, et là aussi, quelle allégresse, quel grand rendez-vous
11:22entre l'Oriole et l'Oréal, c'est pas terminé, il reste une bonne demi-heure de jeu, 6 buts,
11:283-3, mademoiselle, il y a l'Oriole qui marque 3 buts contre l'Oriole, un samedi soir, et
11:39un but plein d'ambition, plein de courage, plein de ceux qui veulent générer les émotions,
11:48qui s'aiment justement, parce que c'est Lejeune qui frappe, c'est lui qui vient de frapper
11:53le coufran, je me manquais un peu de dire, on va pas marquer quand même, et là, il
11:57se retrouve un soutien, c'est lui qui propose, pour moi il frappe au but, ou quoi ? Et la
12:03position d'Issi, parce que la frappe, pour moi, il veut frapper, et en plus, il le touche
12:16exactement ce qu'il faut, et il a des vies pas évidentes, d'Issi, il a des vies...
12:24L'entrée de Baliou et de Pedro Diaz, ouais mais il va jouer avec deux arrières latéraux,
12:35un devant, oh là là, oh là là, Alvaro, c'est intelligent, c'est très beau, cette
12:45passe en retrait, ça passe à côté, oh la régalade, Pedro Diaz, oh je te jure, que
12:51c'est bien, et Alvaro, il a un pied, encore une fois, la récupération, une touche, et
12:57celle-ci, extraordinaire, à une touche, spontanéité, intelligence, vision, et plat du pied, Rodrigo,
13:07ça y est, c'est un attaque en nombre, ça accompagne, Rodrigo pour cette possibilité,
13:10Rodrigo, Vinicius, bien joué, bien défendu, le jeune, le jeune encore, il a essayé le
13:17petit pont, mais il n'avait pas d'option, Fran Garcia, Fran Garcia encore, le centre
13:26de Bellingham, c'est renvoyé, qui va prendre la responsabilité, Rodrigo tire contré,
13:30il n'a pas voulu la tenter au premier poteau, Arda Güler, Lucas Vazquez, Valverde, Modric,
13:46il s'emmène ce ballon, attention le jeune, Modric, il a réussi quand même à placer
13:50entre toutes ses jambes, un ballon dangereux devant le but de Battaglia, quel ballon, super,
14:01Lucas Vazquez encore disponible, encore présent le centre, au premier poteau, Vervinicius
14:06s'était jeté, le Brésilien pour reprendre, important, qu'est-ce qu'il fait des joueurs
14:11qui sont en milieu, qui touchent beaucoup plus des ballons, Bellingham, Bellingham en
14:16approche, ballon maintenant écarté avec le contrôle Vinicius, il a failli marquer quand
14:22même dans cet angle, tellement compliqué, le talent est énorme, et Battaglia lui, il
14:28est fini, je pense qu'avec ses crampes et ses douleurs, il ne peut plus le garder en
14:32Argentin, mais qu'est-ce que c'est bon, là l'arrière, le contrôle et ensuite, là l'arrière,
14:37comment il s'arrache, c'est super parce qu'il,
14:43page de votre journal, centre de Rodrigo, Rüdiger, ça finit à côté,
14:53très intéressant le dribble de Vini parce que pour ça, il faut avoir une maîtrise absolue
14:58de ce que c'est le dribble, parce que sur le crochet, il pousse le ballon,
15:04il a encore l'énergie, il a encore l'accélération Rodrigo,
15:10Fran Garcia, le centre de la tête, Vinicius a repris ce manchier, le ballon revient encore
15:15avec ce sauvetage devant la défense du Rayo Vallecano, Fran Garcia, ballon encore devant
15:21la cage, Hendrick, ici, le fuego, comment ça se fait d'avoir quel centre de Fran Garcia
15:33je crois que c'est Vinicius, c'est Vinicius, là, il la remet à Rüdiger,
15:43attention parce que là il y a un mur, le mur pour couper la visibilité des gardiens,
15:47il est plus gros que le mur, Lejeune, c'est repoussé, c'est dégagé par Rüdiger,
15:53mais quel frisson, quel frayeur sur ce coup franc de Florian Lejeune, Moumine,
15:58oh là là, quel match, trois buts partout entre le Rayo Vallecano et le Real Madrid,
16:04la dernière peur pour Ancelotti, avec ce coup franc de Florian Lejeune,
16:08le Real ne prend pas la place de leader, on a eu un très très grand match,
16:11une très grande équipe du Rayo Vallecano et un Real toujours éternel dans ses ressources.