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00:00L'honneur de la France, l'honneur de l'onon, je termine, M. Marchand, elle veut représenter et défendre ce pour quoi les Français nous ont donné le mandat.
00:09Est-ce que pour vous, c'est avoir les honneurs du monde que d'éviter que des pauvres gens ne puissent pas acheter des médicaments ?
00:13Est-ce que pour vous, un retraité de 1 200 euros, c'est un riche acquis, on ne doit pas indexer sa retraite pour l'inflation ?
00:18J'ai l'impression que dans votre micro-cause de bobo parisien, vous avez l'histoire que tout le monde a donnée, mais malheureusement, la vraie vie,
00:26les campagnes que vous ne connaissez pas, la ruralité que vous méprisez, les agriculteurs que vous n'évoquez jamais, c'est aussi ceux qui ont voté pour nous.
00:33C'est les sinistres caricatures qui gardent son humilité de commentaire.
00:37On ne fait pas de procès de libération. Désolé, Mathieu Vallée, on est sur un moment, ça s'appelle une censure.
00:4349.3, vous aidez Français d'en tirer les questions, il n'y a pas de la guerre entre le RN et l'IB.
00:47Vous êtes gentil. Non, vous n'arrêtez pas de parler, Mathieu Vallée.
00:51Non, s'il vous plaît. Vous n'arrêtez pas de parler depuis 5 minutes, Mathieu Vallée.
00:55Non, mais on est venu pour parler de l'IB, on est venu pour parler des Français et du 49.3.
01:01Mathieu Vallée. Qu'est-ce que j'ai dit exactement ?
01:04S'il vous plaît. Excusez-moi, Mathieu Vallée, mais ça ne ressemble plus à rien.
01:08Il y a les Français qui viennent entendre qu'il y a le 49.3, le gouvernement qui a tombé, et on est sur l'IB.
01:12Je ne suis pas votre élève. Non, mais c'est mon émission, s'il vous le permette.
01:16Dans ce cas-là, si ça ne convient pas, je m'en vais.
01:19On revient sur le sujet, s'il vous plaît.
01:23Dis donc, quand il y a de la contradiction qui ne vous plaît pas...
01:26Mais ce n'est pas la contradiction. On parlait de l'IB depuis 5 minutes. On s'en fout de libération, Mathieu Vallée.
01:30Excusez-moi, c'est un bon journal, mais là, ce n'est pas le sujet.
01:32Mais je m'énerve, parce que je voudrais qu'on parle des Français et de l'Assemblée nationale.
01:35Je vous apporte un prozac. Non, je voudrais qu'on revienne au cœur de la discussion, M. Vallée, s'il vous plaît.
01:40Je vous le dis, si vous me laissez finir, je me tairai.
01:42Mais n'arrêtez pas, concluez.
01:44Je vous dis, je conclue.
01:47Mais parce que ça commence à fatiguer, Mathieu Vallée.
01:52Je dis simplement que le débat que Marine Le Pen a engagé avec le Premier ministre, vous avez l'air tous de vous en étonner.
01:59Laissez-moi finir. C'est normal.
02:01Et qu'on ne soit pas d'accord et qu'on ne partage pas toutes les propositions, c'est quand même normal.
02:05C'est plutôt ça de la démocratie.
02:07Mais je dis juste que ça vous change, qu'on est pour une fois du respect de gens qui ont voté massivement pour Marine Le Pen
02:11et qu'on est de première partie d'opposition et que j'entends beaucoup dans la bouche des commentateurs des propositions.
02:16Maintenant, avançons parce que là, ce n'est pas très intéressant.
02:18Vous êtes des obligeants, je trouve.
02:19Ah bon, on n'est pas des obligeants ?
02:21C'est extraordinaire.