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C'était un match fou avec une rivalité palpable entre l'Atletico Mineiro et Botafogo. Et c'est finalement le club de John Textor, Botafogo, qui est sorti vainqueur de ce duel électrique au terme d'un scénario haletant pour remporter la première Copa Libertadores de son histoire.

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00:00On a eu une impression assez étrange avec cet Atletico Mineiro qui avait, on le rappelle,
00:05cette supériorité numérique dès la première minute et qui même en seconde période,
00:09malgré le scénario, alors qu'il y a ce but d'Edou Vargas quelques secondes après
00:12l'entame de la seconde période, on se dit ça y est, ils sont enfin entrés dans leur
00:15match, ils vont pouvoir mettre du rythme, de l'intensité et finalement ils n'ont jamais
00:19pu le faire les coéquipiers de Ulc notamment.
00:22C'est vrai, mais vous en parlez Hamza, de la dynamique aussi de cette série de matchs
00:29compliqués pour l'Atletico Mineiro, donc c'était sans doute révélateur aussi d'une
00:34forme un peu décadente et puis ça s'est confirmé sur cette fin.
00:3811 contre 10 pendant 95 minutes, voire plus, c'est quand même pas normal d'avoir fait
00:42si peu de différences.
00:43Il y a trop de joueurs qui sont passés à côté, je pense à Pauline, au Deverson aussi
00:47mine de rien.
00:48Bon Ulc a fait une très bonne première mi-temps j'ai l'impression, mais après il s'est quand
00:52même un peu éteint même s'il a eu beaucoup de centres à délivrer.
00:55Aragna aussi, une énorme erreur sur le deuxième but et sur le penalty provoqué, c'est un
01:03échec quand même pour cette équipe qui avait de quoi faire largement mieux quand même.
01:07Eric Hamza, on va regarder justement les images du match, les temps forts notamment, ça commence
01:12dès les premières secondes.
01:13Oui effectivement, début de match catastrophique pour Botafogo, 30 secondes de jeu, exclusion
01:18pour un geste dangereux de Grégory, l'un des hommes très importants dans notre jeu,
01:24un jeu dangereux sur Rostov-Era et pourtant c'est cette équipe de Botafogo qui ouvre
01:28le score par l'intermédiaire de Luis Enrique, l'ancien joueur du Betis qui se retrouve dans
01:32la surface de réparation, c'est lui qui avait initié cette attaque, c'est lui qui se retrouve
01:36à la conclusion.
01:37Ce même Luis Enrique qui va obtenir un penalty suite à cette sortie de Deverson, mais surtout
01:41cette erreur de communication peut-être avec Aragna, un penalty transformé par Alex Teles,
01:47l'international brésilien, ancien joueur de Porto de Manchester United, 2-0 à la mi-temps
01:51pour Botafogo, l'Atletico Mineiro qui va revenir dès le début de cette seconde période,
01:5647 minutes de jeu, Edou Vargas, premier ballon touché par l'international chilien entré
02:02à la pause, à ce moment-là on se dit qu'ils vont pouvoir revenir dans ce match les joueurs
02:06de l'Atletico Mineiro, jamais ils n'ont pu se créer des occasions, jamais ils n'ont pu
02:10mettre du rythme, de l'intensité, au bout du bout du bout de la rencontre, comme le
02:14Racing la semaine dernière en Sudamericana, la dernière minute, c'est un troisième but
02:18qui va enterrer les derniers espoirs de l'Atletico Mineiro avec Junior Santos, le meilleur buteur
02:24de la compétition qui a passé la barre des 10 buts, qui tout seul va aller déborder,
02:29centrer, le contre-favorable qui lui bénéficie, 3 buts à 1 pour Botafogo face à l'Atletico
02:35Mineiro, Botafogo reprend donc la première Copa Libertadores de son histoire.
02:39J'étais aussi rivée sur les images à côté, on les voit toujours en direct de ce
02:43stade également, c'est incroyable ce contraste entre une énorme joie et une énorme tristesse,
02:48comme tu l'as dit, c'est aussi parfois le match d'une vie qu'on discute comme ça
02:51sur une finale, c'est vraiment une compétition très importante bien sûr pour ces joueurs.
02:55Evidemment, le match d'une vie, clairement on a aperçu John Textor au milieu de ces
03:01joueurs, il doit en profiter forcément, l'Américain, comment aurait-il pu imaginer se retrouver
03:08là il y a encore 2 ans, c'est complètement fou pour lui, c'est vérité, on en a parlé
03:15pendant toute cette retransmission, des investissements qui ont été consentis, de cette équipe
03:20qui a été créée, quasiment de rien, et puis voilà, la récompense elle est là,
03:26première Copa Libertadores pour ce club centenaire, c'est une belle récompense.
03:33Et puis une qualification pour la Coupe Intercontinentale dans quelques jours, mais aussi pour la Coupe
03:38du Monde des clubs qui aura lieu aux Etats-Unis, et c'est aussi dans le contexte actuel John
03:42Textor, Olympique Lyonnais, Botafogo, une manie financière très importante pour John
03:48Textor, pour Botafogo, qui pourrait aider notamment l'Olympique Lyonnais si on prend
03:53cette situation et ce sacre continental dans un prisme franco-français, mais en tout cas
03:59ce titre de Botafogo, l'histoire est incroyable pour un club qui, on le rappelle, il y a tout
04:04juste 3 ans, remportait le championnat de 2ème division brésilienne.
04:08Et oui, on rappelle que c'est sa toute première Copa Libertadores à ce club, et voilà pourquoi
04:13il y a autant d'émotions sur les visages également marqués, je vous propose qu'on
04:16écoute Luis Enrique, qui a été à l'origine de l'ouverture du score en faveur du club
04:21qui a gagné, mais qui a aussi provoqué le pédalty ensuite qui a permis à Botafogo
04:25de mener 2-0.
04:30Bravo Luis Enrique, la gloire éternelle est pour vous.
04:32Je suis très content d'être champion de cette Libertadores, j'ai toujours rêvé
04:40de ça, j'ai travaillé beaucoup tous les jours, je remercie mon équipe pour m'avoir
04:48aidé tous ces jours, c'est l'heure de célébrer cette victoire, cette conquête.
04:56Rien de très originaire de sa part.
04:59C'est pas grave, on est sur l'émotion, c'est le principal, on le sent.
05:02Evidemment il n'y a pas grand chose à dire quand on vient de gagner cette coupe, on a
05:06juste à vivre.
05:07On peut parler peut-être de la situation de Botafogo également au championnat ?
05:10Oui, Botafogo en tête du championnat, qui a remporté le match le plus important de
05:14sa saison, ils ont disputé en l'histoire de 4 jours les 2 matchs les plus importants
05:18de leur saison, les joueurs de Botafogo, avec une victoire face à Palmeiras.
05:22Palmeiras qui était leader à la différence de but, Botafogo s'est imposé sur la pelouse
05:26de Palmeiras avec l'équipe type à quelques jours du match le plus important de l'histoire
05:30du club, succès 3 buts à 1 sur la pelouse de Palmeiras.
05:33Aujourd'hui, Botafogo à 2 journées de la fin de son championnat compte 3 points d'avance
05:38sur Palmeiras et donc pourrait remporter le championnat et réaliser le doublé.
05:44Copa Libertadores, championnat brésilien, ce qui n'a été réalisé dans l'histoire
05:48du football sud-américain qu'à 3 reprises, 2 fois par Santos, le Santos de Pelé en
05:531962 et 1963 et Flamengo en 2019 pour vous montrer à quel point il est rare de signer
05:59le doublé Copa Libertadores et championnat national que ce soit un club brésilien ou
06:03un autre.
06:04On a hâte de voir la suite, ne vous fiez pas au plan juste avant, les tribunes qui
06:08commencent à se vider, c'est pas du tout le cas, c'est encore plein du côté du stade
06:12ici, on va vivre pleinement la fête, la remise du trophée, on va la vivre ensemble
06:17évidemment.
06:18Je voudrais messieurs quand même Hamza et Eric qu'on revienne sur ce fait, on l'a
06:22entreaperçu tout à l'heure quand on a résumé le match mais il change tout le match ce fait
06:26finalement qui se passe dans la première minute, en tout cas on a pensé que ça pouvait
06:29changer tout le match et finalement ça n'a pas forcément été le cas.
06:32On a vu une solidarité totale, ils ont très très bien défendu les joueurs de Botafogo
06:36durant 90 minutes, ils ont laissé peu d'espace aux joueurs de Atletico Mineiro et peut-être
06:40aussi qu'on s'installe dans une sorte de confort lorsque on est en supériorité numérique
06:44dès la première minute, on se dit ça va forcément passer.
06:47Oui mais il y a aussi un stress de se dire qu'il faut faire la différence, on est 11
06:51contre 10, on ne peut pas passer à côté et les minutes s'égrènent et on prend un
06:54but puis un deuxième et c'est encore plus tendu quelque part.
06:57Ce n'est pas une position qui est mine de rien très confortable, je pense que les joueurs
07:03et l'entraîneur de Atletico Mineiro n'auraient pas souhaité un tel scénario, faire un match
07:10à 11 contre 10 ce n'est jamais très évident, la configuration était différente de celle
07:14qu'ils avaient imaginé et puis ils se sont pris les pieds dans le tapis, franchement
07:18ils n'ont pas été très sereins alors qu'on imaginait que justement le Botafogo avait
07:22raté son match mentalement parlant et puis finalement ils se sont serrés les coudes
07:27et ils n'ont rien lâché tout simplement, ils ont profité de la moindre petite occasion
07:32ne serait-ce que ce pénalty, ce n'était même pas une occasion quelque part, c'était
07:37une porte légèrement entre-ouverte, Luis Enrique s'est faufilé, il a été fauché
07:41par le gardien et il a payé la rencontre avec ce pénalty qui était synonyme de 2-0
07:46Oui il fallait aussi tenir quand il y a eu finalement la réduction du score à la rentrée
07:50de la deuxième période
07:52Oui effectivement et on en revient à ce que l'on disait tout à l'heure, les joueurs
07:55de l'Atletico Mineiro n'ont pas réussi à se créer énormément de situations de but
08:00en termes d'expected goals, Botafogo termine avec un meilleur chiffre que celui de l'Atletico
08:05Mineiro en infériorité numérique durant 90 minutes, c'est dire que cette équipe
08:09de Gabriel Milito, entraînée par Gabriel Milito, elle a été totalement inoffensive
08:14et c'est un décalage complet de ce qu'ils ont pu nous proposer ces dernières semaines
08:19face à River Plate à domicile, face à Fluminense à domicile, il est vrai, mais
08:23ils sont passés à côté de leur finale les joueurs de Milito
08:26Allez regardez la cérémonie qui est en train de s'installer, la musique également derrière
08:30bien sûr on va vivre tout ça ensemble, qu'est-ce qu'on remet là déjà ?
08:35Une petite plaquette, assiette pour célébrer le club champion mais rassurez-vous ce n'est
08:41absolument pas ça, le trophée de la Copa Libertadores que l'on verra dans quelques
08:45minutes et qui est l'un des plus beaux, qui est immense et qui est l'un des plus
08:48beaux sur la scène footballistique mondiale
08:51Allez la cérémonie qui se met en place justement, on va suivre ça petit à petit
08:56avec les arbitres déjà qui vont défiler, j'ai encore juste une question peut-être
09:01sur le club vainqueur, alors vous m'avez parlé bien sûr de cette cohésion etc.
09:04mais est-ce qu'il y a eu un élément supplémentaire qui fait que finalement Botafogo a réussi
09:08à être aussi fort ? Je parle peut-être à un joueur, un joueur que vous retenez ?
09:13Du côté de Botafogo, écoutez peut-être le capitaine Marlon Freitas, c'est un joueur
09:17dont on ne parle pas souvent, encore moins ici en France, je pense que peu de gens le
09:22connaissent mais c'est un joueur très sérieux, une super mentalité, c'est un joueur de l'ombre
09:28j'allais dire, j'ai l'impression qu'il a tenu la baraque, il a su mobiliser, j'ai
09:33entendu plusieurs de ses discours d'avant match, ils ont l'habitude de les diffuser
09:36sur les réseaux lors de ce déplacement à Palmeiras qui a initié cette semaine de
09:42rêve et puis c'était beaucoup dans l'émotion, dans la rage, dans la combativité et je crois
09:49que Marlon Freitas il incarne un peu tout ça dans cet équipe de Botafogo.
09:53Et alors que penser à contrario de Hulk du côté de l'Atletico Mineiro ?
09:58C'est peut-être le moins mauvais du côté des offensives de l'Atletico Mineiro, tout
10:02est passé par lui, il a tenté sa chance bon nombre de fois, sur des frappes lointaines,
10:07sur des centres aussi, il a apporté du danger, pas sur décisif, mine de rien sur la tête
10:11d'Edou Vargas, oui il a 38 ans mais Hulk il continue de porter ses coéquipiers, lui
10:17qui disputait aujourd'hui son 43ème match de Libertadores pour l'Atletico Mineiro.
10:23C'est pas mal, alors j'ai une autre question pour vous, comment ça se fait qu'on voit
10:25si peu John Textor ? Monsieur, vous n'avez peut-être pas la réponse.
10:28Pourtant c'est vrai qu'il aime la lumière.
10:30Il aime la lumière, on l'a vu, il était au pied du virage en train de danser avec
10:33les joueurs mais c'est le réalisateur qui ne se concentre pas malheureusement sur lui
10:38pour l'instant.
10:39Il doit être en train de préparer son voyage avec ses joueurs pour les Bahamas, on rappelle
10:44ce voyage qu'il a promis à l'intégralité de l'effectif et du club, des vacances du
10:48côté des Bahamas, du côté de son manoir.
10:53Donc forcément un petit bonus supplémentaire.
10:57On va le voir autour du trophée quand même, on imagine évidemment dans quelques instants
11:01peut-être.
11:02Allez, la cérémonie qui continue aussi, le public qui est là à ce moment-là, on
11:06va voir bien sûr le trophée être soulevé par les joueurs de Botafogo.
11:10Alors restez avec nous bien sûr pour vivre ça mais soyez là aussi demain parce que
11:14demain à 20h35, très exactement sur la chaîne L'Equipe, ce sera la Serie A, un match
11:20contre Lecce, contre la juve Turin, la juve qui est 6ème pour l'instant, la juve bien
11:24sûr de Kefrem Thuram notamment.
11:26Ce sera donc à suivre en direct sur la chaîne, un super rendez-vous, il y aura aussi le biathlon,
11:31bien sûr l'ouverture de la Coupe du Monde, c'est ce week-end, il y aura le marathon
11:34dès 8h13.
11:35Bref, vous avez le droit de faire un marathon avec nous justement demain autour de tous
11:38ces programmes et toutes ces émotions, L'Equipe de France, de Rugby A7 également.
11:55Il va en avoir des regrets Gabriel Milito, l'entraîneur de l'Assetto Cominero, il n'a
12:00pas réussi son pari, lui qui est arrivé au mois d'avril dernier.
12:07On rappelle que ce club s'était imposé il y a 11 ans.
12:10Oui, avec Ronaldinho notamment.
12:12Quelle époque, quelle équipe, c'était vraiment incroyable, il y avait Bernard justement
12:16que vous avez vu en deuxième mi-temps, à l'époque il était tout fringant et c'était
12:19une révélation.
12:20Il avait confirmé avec la Séléson en remportant la Coupe des Confédérations en 2013 justement.
12:27Bon, forcément il a moins de jambes et moins de génie dans les pattes, mais oui, l'Atletico
12:35Minero de Ronaldinho de l'époque en 2013 c'était quelque chose d'assez spectaculaire.
12:41Et il avait d'ailleurs tweeté quelques heures avant le match en souhaitant bonne chance
12:45à son équipe de cœur, une des équipes avec laquelle il a eu plus de plaisir à jouer,
12:50mais il n'a pas porté chance à son ancienne équipe.
12:55Et la prochaine étape pour Botafogo ce sera un peu de suivre l'Atletico Minero qui a
12:58réussi à se stabiliser au très très haut niveau sur la scène domestique mais aussi
13:04sur le continent puisqu'aujourd'hui l'Atletico Minero dispute sa dixième et clôt sa dixième
13:10campagne sur ses 12 dernières saisons.
13:12On sait à quel point il est compliqué au Brésil de se qualifier pour ce type de compétition
13:16pour la Libertadores.
13:17C'est l'étape suivante pour John Textor parce qu'évidemment ça ne s'arrête pas
13:20à cette Copa Libertadores remportée aujourd'hui.
13:23Bien sûr, bien sûr.
13:24Vous allez voir aussi les prize money qui vont pouvoir toucher avec ça.
13:28Ils vont donc investir, recruter davantage de joueurs et puis essayer d'asseoir leur
13:36domination.
13:37C'est généralement ce qui se passe.
13:39C'est des cycles de 2-3 ans pour ce genre d'équipe.
13:42Le Flamengo l'a fait, le Palmeiras n'est toujours pas sorti aussi donc c'est au tour
13:47sans doute de Botafogo.
13:49S'il y a une bonne gestion de ce succès, de cette saison de rêve, d'asseoir cette
13:54domination, c'est sûr.
13:56En tout cas c'est dur pour les joueurs de l'Atletico Minero sur le podium et on comprend
14:00bien cette déception.
14:02On va accueillir maintenant les joueurs de Botafogo qui vont aller chercher le trophée
14:06sous les yeux des supporters.
14:09Et d'abord on le demandait, il l'a.
14:19Écoutez la foule qui l'acclame, incroyable.
14:22Il sert la main du président de la CBF, Ednaldo Rodriguez était le premier sur votre gauche.
14:28Chiqui Tapia, le président de la PD, Argentine était le troisième.
14:32Un look assez discutable de jeune texteur, non ? Chaussures blanches et pantalons de
14:39ville.
14:40Président de l'OM également bien sûr, de l'Olympique Lyonnais en France.
14:46Également équivalent à un sacre du côté de la Copa Libertadores.
14:50Le plus important c'est la médaille ou le chèque ?
14:52Ah là, c'est quand même un gros gros chèque, 23 millions de dollars.
14:56Est-ce que c'est vous qui avez les réponses à cette question ?
15:00L'émotion du Big Boss, de poser avec un chèque aussi impressionnant.
15:10Allez les joueurs qui vont arriver également, cette remise de trophées, on est vraiment
15:14dans l'émotion, on sent quelque chose est tombé sur le stade.
15:18Allez on sautait et on les accueille maintenant ces joueurs de Botafogo.
15:30Troisième entraîneur portugais donc, à remporter cette Libertadores après Jorginhos
15:36et Abel Ferreira.
15:59C'est parti !
16:29C'est parti !
17:00On imagine tout ce qui se passe vraiment dans la tête des joueurs, la tête des supporters
17:04également.
17:05Et le trophée, le trophée qui va arriver.
17:06Est-ce que vous avez le poids du trophée messieurs ? Vous me dites qu'il est gigantesque
17:09là, mais il faut encore avoir des muscles pour le soulever.
17:12Oui, il fait une quinzaine de kilos, c'est facile.
17:17On a vu tout à l'heure la plaque à traposer, bien sûr la plaque au nom de Botafogo.
17:23Pour la première fois, encore une fois on le répète mais c'est important de le rappeler
17:27parce que une première est toujours historique bien sûr et avec la manière en plus.
17:31Aujourd'hui.
17:38On se met en place comme une photo de classe mais cette fois-ci, c'est la photo d'un
17:42des tribaux trophées qu'ils pouvaient aller chercher aujourd'hui.
17:49Le petit selfie.
17:50Bien sûr, incontournable.
17:53Moi je l'aperçois, le trophée en tout cas, on le voit tous.
17:56On attend qu'une chose maintenant, qu'il arrive dans la main des joueurs et des membres
18:01du club de Botafogo, ça y est.
18:27Un coup de gardien en passant.
18:31On se met en première loge.

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