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Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée

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00:00Soyez les bienvenus dans l'édition de la nuit. Je suis très heureux de vous retrouver en ce début de semaine.
00:05Voici les titres de votre journal.
00:07Un an après le retour des agriculteurs sur les routes de France, ils ont entamé ce lundi une nouvelle mobilisation nationale.
00:1380 actions ont été menées partout sur le territoire.
00:16C'est le cas à Beauvais, notamment dans l'Oise, où se sont rendus nos envoyés spéciaux.
00:20Vous le verrez dans un instant.
00:22L'homme jugé pour avoir menacé de mort le proviseur du lycée Maurice Ravel a été condamné à 600 euros d'amende.
00:27Il a également l'obligation d'effectuer un stage de citoyenneté de 5 jours.
00:31Une peine jugée beaucoup trop faible par l'avocat de la victime.
00:34L'homme de 27 ans avait appelé à brûler vif le chef de cet établissement parisien.
00:39Les Etats-Unis autorisent l'Ukraine à utiliser des missiles à longue portée en Russie.
00:43Un changement stratégique majeur à quelques semaines seulement de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
00:47La Russie promet une réponse appropriée en cas d'usage par Kiev des missiles américains contre son territoire.
00:53La France a également réagi, vous le verrez.
00:56Enfin, le gouvernement souhaite baisser de 5% le remboursement des médicaments et des consultations médicales.
01:02Des mesures qui entreront en vigueur dès le début de l'année prochaine.
01:05La ministre de la Santé s'est exprimée ce lundi au Sénat dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale.
01:14Moins d'un an après une mobilisation historique, les agriculteurs ont donc entamé ce lundi de nouvelles manifestations partout sur le territoire.
01:21Je vous le disais, 80 actions symboliques ont été menées dans les quatre coins du pays.
01:25Ils dénoncent surtout l'accord de libre-échange entre l'Union Européenne et les pays du Mercosur.
01:30On va retrouver à Beauvais dans l'Oise nos envoyés spéciaux auprès des agriculteurs.
01:33Justement, Mickaël Dorian avec Bambaguet sur place.
01:36L'acte 2 de la colère agricole a officiellement démarré avec des agriculteurs plus déterminés que jamais.
01:43Ils dénoncent des promesses toujours pas tenues, en tous les cas en partie, depuis près d'un an, depuis les tout premiers blocages.
01:50Ils dénoncent aussi ce fameux accord de libre-échange avec les pays du Mercosur qu'Emmanuel Macron a assuré ne pas signer en l'état.
01:58Alors ici, à Beauvais, la mobilisation a débuté ce lundi après-midi avec près de 150 agriculteurs,
02:05près de 80 tracteurs réunis d'abord devant l'OFB, l'Office français de la biodiversité, où une action a été menée.
02:14Ils ont notamment mûré l'entrée du bâtiment avant de se rassembler ici devant la préfecture de l'Oise avec ces fameux panneaux retournés.
02:24Vous vous souvenez, c'était déjà le symbole il y a près d'un an avec le message « On marche sur la tête ».
02:29Eh bien, le symbole, le message et la mobilisation restent la même.
02:34Ici, avec des agriculteurs qui, en partie, ont passé la nuit.
02:39L'objectif étant de faire un maximum de bruit pour réveiller le gouvernement des agriculteurs qui, cette fois, ont bien l'intention de se faire entendre.
02:50La FNSEA ainsi que les jeunes agriculteurs ont manifesté leur colère dans les rues d'Albi ce lundi.
02:56Ils ont déversé du fumier et de la paille devant le bâtiment de la direction départementale des territoires du Tarn.
03:02Je vous propose d'écouter à notre micro Philippe Jouglas. Il est président NFEA Occitanie.
03:06Selon lui, l'agriculture française est confrontée à trois grandes crises aujourd'hui.
03:11Les mannequins qui brûlent, c'est pour signifier la détresse de l'agriculture qui est confrontée à une triple crise.
03:19C'est la crise climatique avec la question des rendements et la question des épisodes.
03:24Les crises de trésorerie parce qu'un certain nombre de nos collègues ne pourront pas repartir l'année prochaine.
03:30Et puis une crise de fonctionnement d'images sur leur albol réglementaire.
03:34Le Mercosur effectivement c'est l'actualité aujourd'hui mais c'est la question de Bruxelles.
03:39Bruxelles qui n'a pas compris que le monde avait changé, que les agriculteurs devaient se remettre à produire.
03:45Albi, Strasbourg, Montpellier ou encore Avignon, les actions menées par les agriculteurs ont été donc très nombreuses ce lundi.
03:51Comme l'année dernière, les revendications des agriculteurs restent les mêmes comme si presque rien n'avait changé.
03:56Le tour d'origine de cette première journée de mobilisation des agriculteurs signée Maxime Lavandier.
04:02Devant la préfecture du Tarn, du fumier et du foin sont déversés par une cinquantaine d'agriculteurs.
04:09Sur leurs tracteurs, des messages explicites sur leurs conditions mais aussi sur la raison de leurs manifestations ce lundi.
04:17Avec le Mercosur, on marche sur la tête en important dans notre pays des produits qui ne correspondent pas aux normes que l'on nous demande.
04:25On les importe à bas coût, ça tire les prix vers le bas.
04:27Une fronde contre le Mercosur devant cet établissement qui n'a pas été choisi au hasard.
04:33Il faut que le fonctionnement de l'administration nous permette de sentir moins sous pression et de ressentir les belles paroles que l'on entend au quotidien de la part de nos responsables politiques.
04:45Plus au nord, direction Beauvais, sous la pluie, ces agriculteurs préparent du ciment à même le sol.
04:51La cible ici n'est pas la préfecture mais bien l'office de la biodiversité que les professionnels agricoles ont décidé de mûrer.
04:58On mûre l'OFB parce qu'ils viennent nous contrôler, pour nous contrôler l'application de règles qui sont inapplicables sur nos exploitations.
05:08Dans de nombreuses villes, les messages changent mais la colère reste la même.
05:12Et les actions coup de poing pour se faire entendre se multiplient.
05:17A Avignon, les agriculteurs se sont installés aux abords de la cité des papes.
05:21Eux ont décidé de semer leur colère directement sur la pelouse.
05:25On va faire un petit marquage au sol histoire de labourer. Votre faim sera notre faim.
05:30Au moins l'action restera dans le temps.
05:32Après on y est encore parce qu'on est spectateurs d'une mort de l'agriculture en France.
05:37Plus de 80 actions symboliques ont eu lieu dans toute la France.
05:43La présidente de la commission des affaires économiques à l'Assemblée, Aurélie Trouvé, s'est rendue à Beauvais pour s'entretenir avec les agriculteurs.
05:51La députée LFI a eu un échange avec l'un d'entre eux au sujet des retraites agricoles.
05:55Regardez donc cette séquence.
05:57Quand on voit l'état des retraites agricoles, c'est une honte.
06:00Payer des gens aussi peu après avoir fait 40 ans de bons et loyaux services pour nos régions.
06:06On va finir par y arriver parce que j'ai l'impression qu'ils ont compris qu'il ne fallait pas jouer avec ça.
06:12Au 1er janvier 2026, on va voir ce qui va se terminer.
06:15Surtout l'austérité budgétaire, j'espère quand même qu'on a besoin d'assurer.
06:19Et en plus, ce n'est pas un problème de budget.
06:21Ça coûte 14 millions d'euros.
06:23Je suis bien d'accord.
06:24Mais vous savez que l'austérité, elle est aujourd'hui utilisée pour pogner sur y compris des tout petits bouts de chandelles.
06:31Bruno Retailleau s'est exprimé sur cette nouvelle mobilisation des agriculteurs.
06:35Le ministre de l'Intérieur respecte leur droit de manifester mais ne souhaite aucun débordement ni aucun blocage.
06:40L'ordre républicain s'applique à tous les Français.
06:43Ce sont les mots du ministre de l'Intérieur.
06:46Il y a une liberté de manifester et je pense que nos agriculteurs ont quelques raisons, évidemment, de le faire.
06:52Mais moi, il y a un cadre.
06:54Je suis ministre de l'Intérieur.
06:56L'ordre public, l'ordre républicain, il s'applique à tous les Français.
07:00Personne n'est au-dessus de la loi, en dessous de la loi.
07:02Ça veut dire, un, pas d'atteinte aux personnes, bien évidemment, pas d'atteinte aux biens.
07:06Et pas de blocage qui durerait dans le temps, pas d'enquistement.
07:09C'est ce que je leur ai dit.
07:11On peut parfaitement trouver les moyens de manifester, ça je le comprends très très bien,
07:15mais de manifester dans la tranquillité.
07:19C'est donc l'une des revendications principales des agriculteurs,
07:22cet accord de libre-échange entre l'Union Européenne et les pays du Mercosur.
07:26Aujourd'hui, seuls quelques pays européens, dont la France, sont opposés à ce traité.
07:30Alors concrètement, cela va-t-il suffire ?
07:32Les éléments de réponse avec Marine Savoie.
07:35Le projet de libre-échange entre l'Union Européenne et les pays latino-américains
07:40fait l'unanimité contre lui chez les agriculteurs européens.
07:44Mais c'est une autre histoire pour leurs dirigeants politiques.
07:47Pour l'heure, c'est la France qui s'est affichée comme étant la plus véhémente dans son opposition.
07:52Mais pour empêcher l'adoption de ce traité, plusieurs pays doivent s'y opposer.
07:56Au moins quatre, et qui doivent être suffisamment peuplés pour atteindre 65% de l'Union Européenne.
08:03La France doit donc trouver des alliés de taille.
08:06A l'heure actuelle, seule l'Italie, la Pologne et l'Autriche ont montré leur réticence.
08:10C'est insuffisant au nombre d'habitants pour rejeter l'accord.
08:14D'autres pays, en revanche, font pression pour l'adopter.
08:17L'Allemagne est favorable, désireuse d'élargir ses débouchés industriels.
08:22L'Espagne, à qui le traité pourrait bénéficier à la filière viticole.
08:26Ou encore les Pays-Bas, pour le secteur des produits laitiers.
08:29L'organisation européenne des syndicats majoritaires, le COPAC OGK,
08:33appelle l'UE à défendre une politique commerciale qui porte les standards rigoureux de notre agriculture.
08:41Autre grand titre de l'actualité cette nuit.
08:43L'homme jugé pour avoir menacé de mort le proviseur du lycée Maurice Ravel a été condamné à 600 euros d'amende.
08:48Il a également l'obligation d'effectuer un stage de citoyenneté de cinq jours.
08:52Une peine jugée beaucoup trop faible par l'avocat de la victime.
08:55L'homme de 27 ans avait appelé à Brûlévif, le chef de cet établissement parisien.
08:59Toutes les précisions sur cette affaire de Marie-Victoire Diodonné, du service police-justice de CNews.
09:05600 euros d'amende et une obligation de stage de citoyenneté de cinq jours,
09:09c'est ce à quoi l'individu de 27 ans a été condamné.
09:13Le parquet, lui, avait requis un an de prison avec sursis et un stage au mémorial de la Shoah.
09:19Pour rappel, l'individu était poursuivi pour avoir écrit sur X « Il faut le Brûlévif », ce chien.
09:24Cet appel concernait un proviseur de lycée accusé à tort de violence par une élève,
09:29à qui il avait demandé de retirer son voile.
09:32Le tribunal avait détaillé les similitudes avec l'affaire Samuel Paty.
09:36Une élève qui déforme la vérité, un message d'indignation avec de fausses informations.
09:41Une manifestation devant le lycée avec des slogans qui appellent à couper la tête du proviseur
09:47et des réseaux sociaux qui s'emballent.
09:49Ici, ces menaces avaient conduit le proviseur à quitter ses fonctions.
09:53Son avocat a dénoncé un abandon judiciaire et se joindra comme parti civil à l'appel du parquet.
10:00Au procès des viols de Mazan, la fille de Gisèle et Dominique Pellicot, Caroline,
10:04se considère comme la grande oubliée de ce procès.
10:07Elle a expliqué devant la cour être convaincue d'avoir été droguée et victime d'agressions sexuelles
10:11de la part de son père Dominique.
10:13Les deux fils du couple, Florian et David, ont eux parlé d'une famille anéantie.
10:17On va écouter ensemble la réaction après cette nouvelle journée d'audience
10:20de l'avocate de Dominique Pellicot, maître Béatrice Savarot.
10:24Monsieur Pellicot est en pleurs.
10:26Monsieur Pellicot est en larmes.
10:28Il est en détresse parce que comment nous pourrions expliquer à ses enfants autre chose ?
10:33C'est-à-dire que nous n'avons pas des moyens objectifs de venir dire à ses enfants
10:37que Dominique Pellicot n'a pas commis les faits, qu'il l'estime responsable.
10:41Donc partons de là, c'est la parole de Dominique Pellicot qui veut apaiser la souffrance de ses enfants
10:49parce qu'encore une fois vous avez affaire à un Dominique Pellicot qui a toujours reconnu
10:53ce qui s'était passé à l'encontre de son épouse et il vient dire
10:57mais je n'ai jamais touché mes petits-enfants, je n'ai jamais touché ma fille
11:00et je ne peux pas, au-delà de mes mots, je ne peux pas dire autre chose
11:04et je ne peux pas prouver autre chose que ma parole.
11:07Les suites du procès du Rassemblement national, le premier avocat de la Défense a plaidé ce lundi
11:12et dénonce une procédure politique.
11:14Il a demandé au tribunal de chasser le vent mauvais
11:17qui aurait fait souffler l'accusation avec ses réquisitions.
11:20Les procureurs ont requis mercredi, souvenez-vous, des peines d'inéligibilité
11:23à l'encontre de tous les prévenus dont fait partie Marine Le Pen.
11:29Actualité à l'étranger, à présent les Etats-Unis autorisent l'Ukraine
11:32à utiliser des missiles à longue portée en Russie.
11:35C'est un changement stratégique majeur à quelques semaines seulement
11:37de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
11:39La Russie de son côté promet une réponse appropriée en cas d'usage par Kiev.
11:43Des missiles américains donc contre son territoire.
11:45Les précisions de Corentin Briand.
11:49Un feu vert attendu depuis longtemps.
11:51L'Ukraine a reçu l'autorisation de frapper le territoire russe
11:55avec des missiles à longue portée fournis par les Etats-Unis.
11:58Une décision bien accueillie dans un pays qui va connaître son troisième hiver en guerre.
12:05Pour moi c'est positif car depuis le début de la guerre,
12:08l'Ukraine a dû se défendre mais elle a aussi besoin d'attaquer.
12:12Il y a toujours le chantage des armes nucléaires de la part de la Russie
12:16mais cela fait trois ans qu'ils font chanter le monde de cette manière.
12:22Un changement stratégique majeur à quelques semaines de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump
12:26et qui répond à une demande de longue date de l'Ukraine.
12:30Grâce à ces missiles, l'armée ukrainienne pourra atteindre des cibles
12:33plus à l'intérieur du territoire russe.
12:35Cette décision se refusait à être donnée jusque là
12:38par crainte d'une escalade avec Moscou.
12:41Je pense que cela va certainement aider les Ukrainiens
12:44mais je ne pense pas que cela sera décisif pour l'orientation de la guerre.
12:47Je pense que l'administration Biden souhaite que Poutine comprenne que l'escalade a un coût.
12:53De son côté, le Kremlin n'a pas tardé à réagir.
12:57Cela signifie un nouveau cycle d'escalade de la tension.
12:59Il s'agit également d'une situation qualitativement nouvelle
13:02du point de vue de l'implication des Etats-Unis dans ce conflit.
13:08Une annonce américaine qui pourrait motiver d'autres pays
13:11à leur fournir également des missiles à longue portée.
13:13Ce que se refuse pour l'instant l'Allemagne
13:15qui est pourtant le deuxième plus gros fournisseur d'armes à l'Ukraine.
13:20Et puis de son côté, la France a réaffirmé
13:22que l'utilisation de missiles français par les forces ukrainiennes
13:25restait une option.
13:26C'est en tout cas ce qu'affirmait le ministre des Affaires étrangères
13:29Jean-Noël Barros ce lundi.
13:31Vous avez entendu le président Emmanuel Macron
13:35le 25 mai à Meisberg plus tôt dans l'année.
13:43Nous avons dit ouvertement que c'était une option que nous envisagerions
13:46si elle permettait de frapper des cibles à partir de l'endroit
13:49où les Russes agressent actuellement le territoire ukrainien.
13:56Retour en France avec ces annonces de la ministre de la Santé
13:59Geneviève Dariussek au Sénat.
14:00Elles sont très importantes puisque le taux de remboursement
14:03des médicaments par la Sécurité sociale baissera de 5% l'an prochain.
14:07Tout comme la prise en charge des consultations médicales.
14:10Une déclaration faite dans le cadre des débats du projet de budget
14:13de la Sécurité sociale pour l'année prochaine.
14:15Alors quel est l'objectif concrètement de ces mesures ?
14:17Que vont-elles changer ?
14:18On va écouter l'analyse de l'économiste Marc Twaty.
14:21C'était sur CNews.
14:23Un petit mouvement de panique quand même.
14:24C'est-à-dire qu'on se rend bien compte que le déficit public
14:26va être beaucoup plus fort que prévu.
14:27Et donc on cherche à raboter ici ou là.
14:29Bon, ça va ramener quelques milliards, espérons-le.
14:32Mais le problème, c'est évidemment pour les Français.
14:35Sachant que globalement, l'essentiel du médicament sera quand même remboursé.
14:40Donc ce n'est pas aussi complètement dramatique.
14:42Mais ce qui est clair, c'est que chaque jour, on avale des couleuvres
14:45et on se rend bien compte que le déficit public sera beaucoup plus fort que prévu.
14:48Je pense que la vraie information est là.
14:52Et enfin, 44 ans plus tard, la comédie musicale Les Misérables
14:55est de retour à Paris.
14:56Elle se tiendra au théâtre du Châtelet à partir de mercredi
14:59et jusqu'au 2 janvier prochain.
15:01Le spectacle revient dans une version en français
15:03qui se concentre sur les origines de l'œuvre de Victor Hugo.
15:06Retour sur les derniers jours de préparation avec Noémie Hardy.
15:09Regardez.
15:15Les comédiens s'attèlent aux dernières répétitions, aux derniers réglages.
15:19Le théâtre du Châtelet s'apprête à recevoir la très célèbre comédie musicale
15:24Les Misérables, un retour attendu pour ses auteurs.
15:27Pour nous qui avons la chance d'avoir démarré à Paris
15:31et d'avoir conquis à peu près le monde entier depuis,
15:34de revenir et de recommencer dans une toute nouvelle production à Paris,
15:39ça ne nous fait pas seulement plaisir, ça nous rajeunit en même temps.
15:47Jouée à Londres depuis 1985, mais aussi à Bordeaux et où en Asie,
15:52cette fois, son metteur en scène avait envie de promouvoir
15:55les origines françaises de cette œuvre.
15:57J'ai essayé de repartir du côté de Victor Hugo,
16:00du côté de son esprit, de son geste d'écriture.
16:03J'ai relu le roman et j'essaie de ramener cette histoire en France,
16:07à ses origines, à sa source.
16:10La célèbre histoire de Victor Hugo a déjà trouvé son public à Paris.
16:14Toutes les dates sont presque complètes.
16:16Une tournée devrait suivre en 2026.
16:20Allez, vous récivez avec nous sur SC News, votre journal des sports, dans un instant.
16:28Et on ouvre ce journal des sports avec du rugby.
16:30Quelques jours après l'exploit du 15 de France face aux All Blacks,
16:33les hommes de Fabien Galtier affrontent l'Argentine ce vendredi au Stade de France.
16:37Un dernier match à gagner pour finir l'année sur une très belle note.
16:40Tous les détails, Charlie Chateau.
16:43À peine le temps de savourer la victoire face aux All Blacks,
16:46cap sur le prochain défi, l'Argentine,
16:48pour achever cette tournée d'automne avec un nouveau succès.
16:51Ça fait deux victoires sur deux, donc on a hâte pour du 3e match.
16:55L'Argentine, c'est un gros morceau, on l'a vu.
16:57Ça fait aussi pas mal de temps qu'ils jouent ensemble,
16:59donc ils ont pas mal d'automatismes, notamment en défense,
17:01où ils sont redoutables, donc on va se préparer à un très gros match.
17:05Les Poumas, seule équipe avec l'Irlande à avoir fait chuter le 15 de France en 2024.
17:10Il faut donc vite tourner la page.
17:12On connaît le niveau de l'Argentine.
17:14On a six jours pour le préparer, c'est toujours très particulier.
17:16Six jours après un match face aux All Blacks, c'est très particulier.
17:20Donc il va falloir bien récupérer, bien compter les joueurs disponibles
17:24pour essayer de bien terminer l'année 2024.
17:28Deuxième destination, malgré l'absence de cadres,
17:30comme Dupont, Ntama, Koujelon,
17:32les Bleus ont plutôt bien digéré la pré-coupe du monde.
17:35L'Argentine, c'est l'Argentine.
17:37L'Argentine, c'est l'Argentine.
17:39Les Bleus ont plutôt bien digéré la pré-coupe du monde.
17:42Alors à l'heure des comptes, le bilan est plus que convaincant.
17:45C'est une année 2024 solide.
17:47Je compare par exemple les Anglais, cette défaite.
17:50Je compare les Irlandais, trois ou quatre défaites.
17:53On est sur l'année 2024 la meilleure nation européenne.
17:57Pour le moment, au résultat, il nous reste encore un match à jouer.
18:00Le 15 de France n'a plus perdu à la maison contre l'Argentine depuis dix ans
18:04et a remporté ses huit tests d'automne sous les ordres de Fabien Galtier.
18:10Et on passe au tennis. Dans ce journal des sports,
18:12Rafael Nadal s'offre une toute dernière danse à 38 ans.
18:15L'Espagnol va mettre un terme à sa carrière cette semaine à Malaga devant son public.
18:19Le Mallorquin veut d'abord se focaliser sur la Coupe Davis
18:22et ne veut pas vivre cette semaine comme un jubilé.
18:25Toutes les explications sur la fin de cette carrière de Rafael Nadal.
18:28Oscar Bertrand.
18:29À 38 ans, le pied gauche en miette et une ultime saison à seulement 19 matchs joués.
18:34Rafael Nadal entame le dernier chapitre de sa carrière
18:37avec un maximum d'incertitude, mais toujours avec la volonté de rayonner.
18:58Car ce mardi après-midi débute à Malaga la quête d'une sixième Coupe Davis pour Nadal.
19:02L'Espagne doit écarter les Pays-Bas en quart de finale.
19:05Et pour le roi Rafa, ce n'est pas encore l'heure des adieux.
19:20La fin d'une ère, celle d'une légende, aux 22 titres du Grand Chelem dont 14 remportés à Roland-Garros.
19:25À Malaga, difficile d'échapper aux hommages pour le roi Rafa,
19:28qui aimerait pourtant se retirer dans l'ombre.
19:36Nadal, acteur principal malgré lui.
19:38Tous se réjouissent d'accompagner la dernière danse de la légende.
19:53À Nadal, désormais de vivre ce moment unique
19:55et de débuter sa dernière semaine sur les cours en beauté.
20:05Nadal est tenu en échec face à la Croatie ce lundi.
20:07Privé de plusieurs de ses cadres dont son attaquant veut d'être Cristiano Ronaldo.
20:11Eh bien la Célessa ouvre pourtant le score grâce à João Félix à la 33ème minute du jeu.
20:16Mais peu après l'heure de jeu, Josco Graviadol, le joueur de Manchester City,
20:21permet à son équipe de revenir au score.
20:23Le score final donc imbu partout de ce match.
20:25Les Portugais se qualifient pour les quarts de finale de la Ligue des Nations malgré ce match nul.
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