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NewsTranscription
00:00Paris
00:14l'information sur la CIR TV.
00:17Madame, monsieur, bonsoir, les
00:19titres de l'actualité. Année
00:22législative, balai d'ouverture
00:23de la troisième session
00:25ordinaire ce mardi. Sénateurs
00:29dernier conclave de deux-mille
00:32vingt-quatre. Couleur et parfum
00:34des préparatifs dès l'ouverture
00:36du vingt-et-un-trente. Falaise
00:39de Tchonc, les secours Renus
00:41ciel et terre en quête des
00:42victimes de l'éboulement. Déjà
00:44trois corps sortis des décombres
00:46six jours après le drame et les
00:48recherches continuent. Nous
00:50irons à l'ouest pour le point
00:52dans ce journal. Actualité
00:55brûlante dans les marchés avec
00:57de même cause produisent les
01:01mêmes effets constats et
01:03conseils pour éteindre le feu
01:05dans le dossier de cette
01:06édition. Voilà donc pour les
01:08titres. Restez sur la CIR TV
01:10pour regarder le vingt-et-un-trente
01:12et je vous dis tout. Sur tout
01:14cela. Tout de suite. Et pour
01:18commencer, direction Immeuble
01:20Étoile. Population et
01:22développement était au menu des
01:24discussions entre le premier
01:26ministre et le directeur
01:27régional Afrique de l'Ouest et
01:29du Centre du Fonds des Nations
01:31Unies pour la Population.
01:33Joseph Dionne Gouter a reçu
01:35ce lundi, l'audience s'inscrit
01:37dans la foulée du trentième
01:40anniversaire de l'agence
01:41onusienne. Laurentine Bocono.
01:45En visite de travail au
01:46Cameroun, le directeur régional
01:48du Fonds des Nations Unies pour
01:50la Population pour l'Afrique de
01:51l'Ouest et du Centre est venu
01:54pour mieux définir les axes de
01:56coopération entre notre pays et
01:58l'agence onusienne en charge des
02:00questions de reproduction
02:01humaine. Sénène Houtan était
02:03porteur d'un message d'optimisme
02:05partagé sur l'état de la
02:07coopération entre le Cameroun et
02:09l'institution onusienne dont il a
02:11la charge au niveau régional.
02:13Cette année, c'est une année
02:14particulière, c'est les trente
02:16ans de la conférence
02:17internationale pour la
02:18population et le développement.
02:19Pour marquer cet événement, le
02:21gouvernement a été à nos côtés
02:23pour positionner les questions
02:25qui nous tiennent à coeur mais
02:27qui tiennent à coeur aussi au
02:28gouvernement du Cameroun, à
02:29savoir l'investissement dans la
02:30jeunesse et le capital humain des
02:32jeunes et des femmes. Autre
02:34préoccupation et pas des moindres
02:36selon le fonctionnaire onusien,
02:38le plaidoyer en faveur de la
02:40femme. Nous avons fait des
02:42plaidoyers qui concernent notre
02:44agence qui s'occupe essentiellement
02:46de s'assurer que les femmes ne
02:48meurent pas en donnant la vie,
02:50qu'il n'y ait pas de violence
02:52faite aux femmes et que les
02:53grossesses restent un choix et
02:55non un hasard. Enfant, le du
02:57premier ministre a salué
02:59l'initiative du gouvernement
03:00camerounais d'organiser un
03:02recensement général de la
03:04population qui sera couplé au
03:06recensement de l'agriculture et
03:08de l'élevage. Et dès demain,
03:11début de la fin de l'année,
03:13législative deux-mille-vingt-quatre
03:14au Parlement, sénateurs et
03:16députés regagnent progressivement
03:18pour l'ouverture de la troisième
03:20session ordinaire à l'Assemblée
03:22nationale et au Sénat. Au plan
03:24des préparatifs, vous allez le
03:26voir, les deux chambres sont
03:28prêtes. Le palais des congrès,
03:32lieu des travaux, affiche fière
03:34allure pour abriter les travaux
03:36de la troisième session ordinaire
03:38du mois de novembre. Au Sénat,
03:40tout comme à l'Assemblée nationale,
03:42les responsables rassurent. On
03:44est prêt. Mon équipe et moi
03:46sommes sans relâche depuis
03:48la convocation officielle
03:50de cette session.
03:52Nous avons fait la ronde.
03:54L'hémicycle est prêt.
03:56Tout est prêt.
03:58Les nombres de députés
04:00sont bien
04:02matérialisés dans
04:04l'hémicycle. Salle de commission,
04:06première, salle A et B,
04:08même là-bas, tout est prêt.
04:10Après une longue période d'intersession
04:12mise à profit pour sonder les
04:14besoins de la base, les élus
04:16nourrissent des attentes.
04:18Le respect des principales
04:20résolutions du débat d'orientation
04:22budgétaire. La deuxième
04:24grande attente, c'est que
04:26le budget apporte des réponses
04:28concrètes aux besoins
04:30des populations. La session de
04:32novembre est consacrée essentiellement
04:34au vote du budget. Je viens de donner ma
04:36contribution pour que le
04:38travail que nous allons
04:40produire au Parlement soit
04:42un bon travail. Il s'agira
04:44par ailleurs de se pencher sur
04:46certaines questions d'actualité.
04:48Nous allons bien évidemment questionner
04:50le gouvernement par rapport aux différents chantiers
04:52amorcés qui ne suivent pas leurs
04:54cours. Nous allons aussi questionner
04:56le gouvernement sur le ping-pong
04:58de l'inflation, notamment sur l'augmentation
05:00de la bière. Cette session s'ouvre demain
05:02à 11h à l'Assemblée nationale
05:04et à 16h au Sénat.
05:06Le Cameroun
05:08présent aux commémorations des 70
05:10ans de la guerre de libération de
05:12l'Algérie, le chef de l'État
05:14était représenté par Joseph
05:16Betia Sommon, le ministre délégué
05:18à la présidence chargée de la Défense.
05:20Il a pris part le 1er novembre
05:22dernier à Algiers au lancement
05:24des festivités. Gisèle Néminga
05:26à Algiers.
05:28Invité spécial du président
05:30algérien Abdel Majid
05:32le ministre Cameroun
05:34de la Défense, Joseph
05:36Betia Sommon, représentant
05:38du président Paul Biya
05:40a participé aux commémorations
05:42du 1er novembre
05:44marquant le début de la lutte
05:46pour l'indépendance de l'Algérie.
05:48Cette visite s'inscrit
05:50dans un contexte de coopération bilatérale
05:52solide, fondée sur
05:54une histoire commune de lutte
05:56pour la libération.
05:58Je suis ici
06:00envoyé par
06:02le président
06:04de la République du Cameroun
06:06pour venir honorer
06:08une invitation spéciale
06:10du gouvernement
06:12algérien.
06:14Au cours d'une cérémonie solennelle
06:16organisée à l'ambassade du Cameroun
06:18en Algérie,
06:20le ministre Joseph Betia Sommon
06:22est revenu sur l'occupation française
06:24en Afrique dans les années 50,
06:26une période sombre de l'histoire
06:28des deux pays marqués par
06:30des milliers de morts
06:32et de disparus.
06:34Les liens
06:36entre le Cameroun et l'Algérie
06:38remontent à plusieurs
06:40décennies. Aujourd'hui,
06:42cette coopération se traduit
06:44par de nombreux accords bilatéraux
06:46dans des domaines variés
06:48tels que l'économie,
06:50l'éducation et bien sûr
06:52la défense.
06:54Avant de prendre congé de ses hôtes,
06:56le ministre de la Défense a tenu
06:58à rendre une visite de courtoisie
07:00à Son Excellence
07:02Hamidou Komidog Ndjeminou
07:04et son épouse
07:06pour la qualité de l'accueil
07:08qui lui a été réservé au cours
07:10de sa visite en terre
07:12algérienne.
07:14Ici au Cameroun,
07:16les marchés brûlent dans le dossier du journal,
07:18les incendies réguliers
07:20réduisent en cendres des millions de
07:22Français femmes, fluides du travail
07:24des Camerounais, branchements électriques
07:26en désordre, promiscuité
07:28et insalubrité
07:30reviennent généralement parmi les causes.
07:32Aboubakar Abbo.
07:34Les marchés Camerounais,
07:36un véritable court-circuit
07:38d'émotions, à chaque fois
07:40le même scénario,
07:42des branchements électriques qui s'entremêlent,
07:44une promiscuité qui confine à l'étouffement,
07:46une insalubrité qui pique
07:48les narines, autant de facteurs
07:50qui font grimper le risque
07:52d'un incendie.
07:54Après tout ce qu'il y avait, même l'argent qu'on a vendu
07:56le week-end, samedi,
07:58c'était pour rien.
08:00Tout était parti en fumée.
08:02J'avais un magasin de stockage de marchandises,
08:04mais on a tout perdu.
08:06Nous avons tout perdu.
08:08C'est un véritable feu
08:10qui consomme à chaque fois les efforts des commerçants.
08:12Généralement causé par le mauvais état
08:14du matériel, le non-respect de la norme.
08:16Les électriciens et les techniciens de nos jours
08:18s'appuient beaucoup plus sur le financement
08:20et l'intérêt ou bien la satisfaction
08:22du client en fait.
08:24On a souvent des sections particulières pour chaque
08:26pariage, mais de nos jours
08:28on mélange tout.
08:30Et les statistiques nationales ne trompent pas.
08:32Yaoundé et Douala, les deux métropoles
08:34brûlent les premières
08:36avec des risques plus élevés.
08:38Il y a constamment des incendies
08:40Mokolo, Marché Central,
08:42Itoudi.
08:44Les spécialistes s'accordent, le plus souvent
08:46c'est la mauvaise utilisation des câbles électriques
08:48qui alimente le danger.
08:50La fiabilité pour moi est d'utiliser
08:52le conducteur VGV en fait,
08:54parce qu'au moins il est plus fiable,
08:56parce qu'il est rassurant en fait.
08:58Le 16 mm, le TH de bonne qualité
09:00de McEvon,
09:02particulièrement le rectable
09:04qui est de bonne qualité.
09:06Encore plus le VGV qui est de bonne qualité.
09:08Une solution comme une étincelle
09:10d'espoir viendra éteindre
09:12définitivement ce feu
09:14qui réduit en centre les rêves des Cameroulais.
09:16Il est donc temps
09:18d'allumer la lumière de la sécurité.
09:20Comme précaution,
09:22les experts conseillent de garder
09:24les extincteurs à portée de main
09:26et de veiller à l'installation
09:28des coupes-feu dans les espaces commerciaux.
09:30Ils ajoutent que l'utilisation
09:32des systèmes d'alarme incendie,
09:34des détecteurs de fumée et de chaleur
09:36déclenchera à coup sûr
09:38une réponse rapide aux menaces d'incendie.
09:40Inspection de tous
09:42ces dispositifs dans nos marchés.
09:44Elvirangeline Balé
09:46La fureur
09:48des flammes aurait pu être évitée.
09:50Le gramme des incendies
09:52dans les marchés laisse place à un dispositif
09:54proactif.
09:56Dans l'extincteur, dans le détecteur
09:58automatique de fumée,
10:00cela arrangerait beaucoup de choses.
10:02Et à ça peut-être les communautés
10:04pourraient s'ajouter pour faire
10:06les bouches à certains niveaux.
10:08Il faut ajouter les obus d'incendie.
10:10Les issues de secours aussi faciliteraient la tâche.
10:12Leur absence dans les espaces commerciaux
10:14provoque une bouffée de colère
10:16et met au goût du jour le package prévu.
10:18Ce centre, jusqu'aujourd'hui,
10:20c'est l'élément le plus fiable.
10:22On a les obus d'incendie armés,
10:24on a les bouches d'incendie,
10:26il y a les boucles de feu.
10:28C'est un équipement
10:30qu'on met à un certain niveau,
10:32à une certaine température,
10:34ça déclenche ça.
10:36Les normes de sécurité aux installations modernes sont à revoir.
10:38Et au milieu de ces désastres,
10:40pour les experts, la présence
10:42d'un certain type de corps d'état n'est pas superflue.
10:44Au dispositif anti-incendie.
10:46Qui dit installation moderne,
10:48parlera d'installation
10:50répondant aux normes
10:52de sécurité.
10:54Ces normes de sécurité
10:56vont prendre en compte
10:58la circulation des personnes
11:00et des biens dans ces installations,
11:02leur évacuation, leur mise en sécurité
11:04et faciliter ou encore
11:06favoriser l'intervention
11:08de sapeurs-pompiers.
11:10Dans les nouvelles constructions,
11:12les boutiques sont équipées
11:14des coupes-cicuits.
11:16Ce qui fait que si il y a un incendie,
11:18ça va endommager
11:20cette boutique-là où l'incendie
11:22a été annoncé.
11:24Sapeurs-pompiers utiles, certes,
11:26mais arrêter ces incendies
11:28qui consument les coeurs des marchés,
11:30c'est faire du dispositif anti-incendie
11:32une priorité incontournable.
11:34Tous ces commerces et commerçants
11:36sont sous le contrôle des municipalités
11:38et les maires sont donc interpellés
11:40par les incendies en série,
11:42construction des marchés aux normes,
11:44formation des opérateurs économiques
11:46à l'occupation des espaces,
11:48mais également sensibilisation
11:50aux gestes de premiers secours
11:52participent des mesures
11:54qui pourraient sauver des économies
11:56mais également des vies.
11:58Sadou Mamoudou.
12:00C'est un marché de cendres
12:02enveloppé de débris.
12:04Le coin, plein de vie il y a encore
12:06quelques semaines, est entièrement dévasté.
12:08Plusieurs semaines après l'incendie
12:10qui a ravagé cet espace marchand
12:12au marché central de Yaoundé,
12:14on continue de déblayer
12:16comme vous pouvez le constater à l'image.
12:18La question qui revient,
12:20c'est comment en est-on arrivés
12:22à ce stade-là et comment est-ce que
12:24les municipalités et autres communautés
12:26urbaines, désormais mairies de villes,
12:28peuvent anticiper en amont.
12:30À Marois, dans l'extrême nord,
12:32le secteur parfumerie avait des rayons
12:34partis en fumée.
12:36Pour Sadou, les marchés centraux de Yaoundé
12:38et Marois vautent aussi
12:40pour le marché Mbopi de Douala.
12:42Au préalable, on prend l'angle
12:44avec les opérateurs économiques
12:46et on cherche à les organiser généralement
12:48en association avec les antennes par activité.
12:50Il faut remettre ces commerçants là
12:52parce qu'ils sont souvent très bien organisés
12:54en secteur, mais ils ont souvent des missions
12:56de contrôle, d'inspection sanitaire.
12:58Le dynamisme de CTD convoque également
13:00des marchés qui épousent
13:02les contours de la modernité.
13:04Avec les nouveaux marchés qui sont construits,
13:06ils sont financés le plus souvent
13:08par le FEICOM.
13:10Il s'assure qu'il y a un certain nombre
13:12d'équipements. Dans le cas où
13:14c'est même les opérateurs eux-mêmes qui construisent
13:16leurs magasins, nous voyons donc maintenant
13:18à la traçabilité. Nous exigeons
13:20de plus en plus que les anciennes bâtisses
13:22soient détruites.
13:24À la communauté urbaine de Yaoundé,
13:26contacté, le maire dit
13:28être sur ses plusieurs fonds et ne s'exprimera
13:30sur la question qu'en temps reporte.
13:34Les recherches se poursuivent
13:36six jours après l'éboulement survenu
13:38à la falaise de Chang. Malgré
13:40les pluies, les sapeurs-pompiers
13:42sont mobilisés pour retrouver les autres
13:44disparus. Il faut aller
13:46parfois à cinq mètres de profondeur
13:48voir davantage pour espérer
13:50trouver encore.
13:52Victor Lema.
13:54Sur le site du drame,
13:56les machines tournent
13:58à plein régime. Les équipes
14:00de recherche remuent les masses
14:02de terre qui ont enseveli
14:04les devis. Le corps des sapeurs-pompiers,
14:06les forces de maintien de l'ordre
14:08et quelques personnes volontaires
14:10se donnent la main. Nous avons deux
14:12groupes qui sont au repos
14:14et deux groupes manœuvrent sur le terrain.
14:16Au fur et à mesure, nous les permettons
14:18et ce qui facilite
14:20vraiment les recherches avec les deux
14:22engins qui sont mis à notre disposition
14:24pour faire des fouilles. Les familles éprouvées
14:26gardent le regard
14:28sur chaque pierre déplacée,
14:30sur chaque motte de terre
14:32retournée. D'autres ne supportent
14:34pas rester les bras croisés.
14:36On a cruisé
14:38avec les pêches d'Amérique. Vous voyez encore
14:40les pioches. Nous avons les pioches.
14:42On a les tridents. On a tenté de cruiser
14:44la terre, envoyer sur l'eau pour que l'eau
14:46lave. On peut voir si il y a encore
14:48un corps étranger ou pour nous.
14:50La forte pluie qui s'est
14:52abattue rend la tâche
14:54plus ardue. Mais à chaque coup
14:56de vent, se dégage une forte
14:58odeur de putréfaction.
15:00Une source d'espoir pour ces soldats
15:02de première ligne. Une raison
15:04de croire pour ces familles.
15:06Avec cette
15:08catastrophe, la région de l'ouest perd
15:10l'une des voies
15:12les plus importantes de la région
15:14avec un impact sur
15:16l'économie nationale. Un axe qui
15:18permettait le désenclavement des bassins
15:20agricoles et la circulation
15:22notamment entre le nord
15:24l'ouest, le nord-ouest
15:26le nord-ouest, le littoral
15:28et le sud-ouest.
15:30Une voie de contournement est donc
15:32envisagée par les équipes du ministère
15:34des travaux publics à pied d'oeuvre
15:36sur le terrain. Emmanuel Koloko
15:38Cette route construite
15:40il y a au moins dix décennies
15:42au cours de la période allemande au Cameroun
15:44touche la zone dite F4 par
15:46les villages tels que
15:48pour retrouver le village
15:50à quelques pas du site
15:52de la catastrophe. La mission du
15:54travail public est en train d'étudier
15:56la possibilité de la réhabiliter
15:58et de lui donner un visage moderne.
16:00Il y a une route allemande
16:02qui avait été faite à l'époque
16:04et qui partait d'un tingué
16:06et qui contournait justement
16:08la zone du sinistre
16:10et va ressortir vers
16:12une espèce de carrefour
16:14entre Fondonera
16:16et cette route, voyez-vous
16:18j'ai eu l'occasion avec
16:20une élite d'arrondissement
16:22de commencer à la redéblayer
16:24l'année dernière, partant du carrefour
16:26plantain, 20 tingués
16:28sans la moindre colline.
16:30D'autres options sont à envisager
16:32la route allant de Fokoué à Kekem
16:34en passant par le groupement Fomopéa
16:36et d'autres voies qui nécessitent la création
16:38des viaducs afin d'éviter les montagnes.
16:40L'idée a été que
16:42on doit éviter la moindre
16:44colline, la moindre
16:46montagne et quand
16:48pour l'heure, aucune option n'est écartée
16:50et les études se poursuivent.
16:52Aucun délai n'est avancé par les responsables
16:54des travaux publics qui restent prudents
16:56dans les affirmations.
16:58Allons à Douala où se tient
17:00le troisième forum économique de cette ville
17:02sous le thème la logistique
17:04de transport et l'industrie
17:06de l'innovation comme
17:08élément d'attractivité. Depuis ce lundi
17:10plusieurs opérateurs nationaux
17:12et internationaux sont donc dans la capitale
17:14économique. L'import substitution
17:16dans les territoires est également
17:18un des pôles de réflexion.
17:20Chris Patricia Luluga
17:40Les producteurs, les hommes d'affaires
17:42qui viennent à Douala doivent
17:44trouver une situation de logement
17:46adéquate.
17:48Mais au-delà, la production
17:50que l'on veut faire
17:52dans les localités doit
17:54pouvoir trouver les abris
17:56en termes de conservation
17:58pour être plus tard
18:00exportée. Pour cette journée
18:02du forum économique de Douala
18:04à travers plusieurs sessions
18:06de formation, la part belle
18:08est faite à la politique locale
18:10et à la promotion de l'import substitution
18:12au dialogue intercommunal
18:14sur la promotion
18:16et le financement du potentiel
18:18local et aux plaidoyers
18:20des acteurs sur la dynamisation
18:22du Made in Cameroun.
18:24L'apothéose du forum
18:26économique de Douala, ce sera
18:28mercredi prochain avec
18:30l'ouverture officielle du forum
18:32sous la présidence du gouverneur
18:34de la région du littoral
18:36Samuel Diodone Iwaha-Diboa
18:38Le gouverneur
18:40de la Banque des Etats de l'Afrique
18:42était en visite
18:44de travail ce lundi à Ibolova
18:46le chantier du futur
18:48immeuble siège qui va couvrir
18:50la région du sud a été évalué
18:52en présence du gouverneur
18:54Félix Ngelengélé
18:56il a été prescrit l'accélération
18:58des travaux dans la perspective
19:00d'une inauguration en 2025
19:02Aristide Ekomba
19:06C'est un bâtiment de type R plus 3
19:08avec sous-sol. La construction
19:10de ses coins et recoins a été
19:12passée en revue. Du bâtiment principal
19:14au logement du chef de centre
19:16en passant par les espaces de mobilité
19:18interne et externe. Nous avons
19:20relevé des avancées
19:22notables
19:24mais aussi des craintes
19:26par rapport au retard
19:28considérable. Aux gros oeuvres
19:30ayant été bouclées, l'heure est à
19:32l'installation des conduits. Ce sera
19:34une contribution
19:36majeure de la Banque centrale
19:38par rapport
19:40à la volonté et aux
19:42visions des plus hautes
19:44autorités de la République.
19:46Les travaux à la traîne, voici 3 ans, devront
19:48être accélérés en vue de l'inauguration
19:50projetée en 2025.
19:52Avec ça, la BOAC
19:54entend dynamiser le secteur bancaire
19:56au sud Cameroun pour renforcer
19:58les transactions financières et créer
20:00les opportunités dans cette région
20:02à fort potentiel, eu égard
20:04à son ouverture vers
20:06trois pays de la sous-région.
20:08En marge de la visite du chantier, une
20:10séance de travail s'éteint en vue
20:12d'élever les contraintes.
20:14Ce qui fait débat ce soir,
20:16c'est le prix de la bière et des boissons
20:18hygiéniques. Ça mousse entre
20:20le ministère du Commerce et les exploitations
20:22des débits de boissons. Les deux
20:24parties n'arrivent pas à s'accorder
20:26sur les tarifs.
20:28Depuis le mois de novembre, un réajustement
20:30de 50 à 100 francs s'est
20:32glissé dans les bouteilles.
20:34Étienne Pascal Azegue a fait l'enquête.
20:38Voici la nouvelle grille tarifaire
20:40des bières en vigueur, ici.
20:42Chez cet exploitant des débits de boissons
20:44de Yaoundé, le prix du casier
20:46connaît une hausse de 600 francs.
20:48Vous ne pouvez pas acheter un casier
20:50aujourd'hui à 7200.
20:52Et le même casier vous achetez demain
20:54à 7800. On vous dit qu'il n'y a pas d'augmentation.
20:56On vous parle de pleurs dans le vent. Pleurs dans le vent, on vous dit quoi.
20:58Moi qui achète
21:00au Brasserie,
21:02il me retient 600.
21:04En plus, depuis le 1er novembre.
21:06Moi qui le vends aussi,
21:08j'ajoute les 600.
21:10Un réajustement du prix qui assomme
21:12les consommateurs. Il y a les bières,
21:14les 700, 700 cigares. Et puis il y a même
21:16certaines affiches qui sont
21:18remplacées par des bars
21:20ou des banques importées.
21:22Mais curieusement, lorsqu'on y entre,
21:24on nous fait savoir que la bière coûte 700.
21:26Pourtant, le communiqué
21:28du ministre du Commerce en date du 4 novembre
21:30indique qu'il s'agit d'une
21:32violation flagrante des textes applicables
21:34en la matière. Par conséquent,
21:36cette augmentation est nulle
21:38et de nul effet.
21:40Quand le ministre parle de 650 francs,
21:42le prix de la bouteille,
21:44c'est un thème de conseil.
21:46À la sortie du produit,
21:48on évalue à 650.
21:50Maintenant, quand il met à la disposition
21:52de l'exploitant des débuts de boisson
21:54que je suis, il y a le service.
21:56À la direction régionale du centre
21:58de la société Brassicola-Irandie,
22:00nous n'aurons rien pour étancher
22:02notre soft d'information.
22:04Pour faire baisser la mousse,
22:06le même communiqué du ministre précise
22:08les prix restent inchangés.
22:10Tout contrevenant s'expose
22:12à la rigueur de la loi.
22:14Les intérêts légitimes des consommateurs
22:16doivent être préservés.
22:18Il faut peut-être simplement
22:20contrôler également
22:22votre consommation de bière.
22:24Encore un mot sur l'affaire Martinez-Zogho,
22:26le tribunal que préside
22:28le colonel Jacques Missé Ndione
22:30a, entre autres, déclaré
22:32primaturés les exceptions
22:34se rapportant à l'enquête préliminaire
22:36et à l'information judiciaire
22:38soulevée par certains conseils,
22:40ainsi que la demande de reconstitution
22:42formulée par les avocats
22:44de l'accusé Jean-Pierre Amokbelinga.
22:46Les autres développements
22:48à l'issue de l'audience spéciale de ce matin,
22:50c'est verra les gambelés.
22:53L'audience spéciale
22:55du tribunal militaire de Yaoundé,
22:57statuée en matière criminelle,
22:59a duré à peine 11 minutes.
23:01Le temps pour le tribunal des vidés sont délibérés
23:03sur les exceptions soulevées par les partis.
23:05Sans forcément commenter la décision
23:07du tribunal militaire,
23:09les avocats émettent quand même des avis sûrs
23:11des omissions et ajouts dans l'ordinance de renvoi
23:13considérées comme des simples erreurs matérielles.
23:15Le tribunal décide
23:17de s'ériger en juge d'instruction
23:19pour modifier
23:21à chaque parti opposé
23:23de nouvelles vraies inculpations,
23:25c'est-à-dire qu'il corrige
23:27les fautes dans les demandes
23:29de la sanction du juge d'instruction.
23:31Pour nous, c'est quand même
23:33assez curieux
23:35parce que rectifier
23:37une ordonnance de renvoi
23:39à l'orée d'une procédure
23:41alors qu'aucune des parties
23:43n'a saisi le tribunal pour
23:45une quelconque rectification,
23:47nous ne sommes pas encore dans les débats.
23:49Je me demande bien
23:51pourquoi cette démarche ?
23:53Dans la décision rendue, on constate aussi
23:55que le criminel déclare prématuré
23:57certaines exceptions soulevées.
23:59Ce qui s'est passé, c'est que le juge
24:01saisi du dossier n'avait pas encore
24:03ses procès verbaux.
24:05Le juge ne peut pas, sans avoir eu
24:07ses procès verbaux,
24:09dire un mot là-dessus. C'est pour ça qu'il disait
24:11que c'est prématuré.
24:13Le moment venu, même en cours
24:15de procès,
24:17le juge, ayant donc ses procès,
24:19peut mieux les apprécier.
24:21La procédure avance,
24:23mais il faut compter avec l'entrée en scène
24:25de la cour d'appel ou de la Cour suprême.
24:27Ceux qui ont soulevé les exceptions,
24:29ils sont fondés dans leur posture et ils sont convaincus
24:31que ça donnera quelque chose.
24:33Ils iront jusqu'à la Cour suprême et la loi le leur permet.
24:35Mais c'est pas extraordinaire !
24:37Ils estiment qu'en faisant appel, ça prendra du temps.
24:39En faisant appel,
24:41ça fera au moins, je vous dis ici,
24:43un peu de temps, c'est deux mois avant
24:45qu'on arrive à la Cour.
24:47La Cour va trancher peut-être après un mois ou deux.
24:49Mais il y a des dossiers où nous faisons appel,
24:51ça fait même cinq ans.
24:53Moi, je suis avocat, j'ai fait un appel en 2018 jusqu'à date,
24:55c'est pas encore arrivé.
24:57Et vous allez à la Cour suprême, ça prend du temps.
24:59La cause a été renvoyée
25:01au 2 décembre 2024
25:03pour l'exécution du jugement avant dix mois.
25:05Les partis ont 48 heures
25:07pour faire appel.
25:09Fin hier dimanche
25:11de la septième édition de You've Connect
25:13Africa Summit à Kigali, Rwanda.
25:15La cérémonie de culture a été
25:17présidée par le premier ministre rwandais
25:19Edouard Nyerente.
25:21La délégation camerounaise était conduite par
25:23Moulana Foutsou, le ministre de la jeunesse
25:25et l'éducation civique.
25:27Daoud Mouliam, envoyé spécial de la CRTV
25:29à Kigali.
25:31La créativité de la jeunesse
25:33africaine récompensée sur le podium
25:35du septième You've Connect Africa Summit.
25:37Le concours ANGA Peach Fest
25:392024 livre son verdict.
25:41Présidé par le premier ministre rwandais
25:43Edouard Nyerente, représentant
25:45du président Paul Kagame.
25:47Parmi ses autres deux marques, le ministre de la jeunesse
25:49et de l'éducation civique Moulana Foutsou,
25:51dont le partage d'expérience sur la politique
25:53nationale de la jeunesse au Cameroun
25:55aura impacté et inspiré d'autres pays
25:57à ses travaux.
25:59A ce rendez-vous annuel de la jeunesse panafricaine
26:01qui s'achève, la jeunesse du Cameroun enregistre
26:03des bons points sur le plan entrepreneurial.
26:05Comment transformer des produits,
26:07notamment la tomate et les arachides
26:09dans notre communauté pour réduire les pêtes post-record.
26:11Permettre aux jeunes femmes
26:13de pouvoir s'autonomiser de travail
26:15et de gagner de l'argent.
26:17Équiper les jeunes afin de les mettre
26:19sur le monde de l'emploi et les permettre
26:21d'entreprendre.
26:23L'audience avec la directrice du Bureau Régional Afrique
26:25du PNUD, Aouna Ezia-Konoua
26:27a permis aux deux parties de mieux
26:29accorder leurs visions et politiques en faveur
26:31des jeunes. Avec la ministre Malienne
26:33en charge de l'entrepreneuriat national,
26:35les questions et défis qui interpellent les jeunes
26:37ont été abordés. Et donc cinq jours
26:39de rencontres, d'échanges et de connexions
26:41entre jeunes, leaders et dirigeants africains
26:43qui s'achèvent sur une note d'espoir.
26:47Une application sur le système
26:49d'identification et de contrôle sécurisé
26:51des mototaxis, dénommée
26:53Cicos Motors, vient d'être présentée
26:55à Yaoundé. Le logiciel a pour
26:57vocation de protéger
26:59ses engins et leurs conducteurs
27:01tout en facilitant la traçabilité
27:03des recettes. Bruno Matip.
27:05Nombreux
27:07cas de vol de moto ainsi que
27:09des agressions à bord de ses engins
27:11à deux roues dans la ville de Yaoundé
27:13ces dernières semaines n'ont pas laissé
27:15les pouvoirs publics et les responsables
27:17des syndicats de transport indifférents.
27:19Face à ces exactions répétées,
27:21l'application apporte
27:23une solution pour tous. Le système d'identification
27:25et de contrôle sécurisé
27:27des mototaxis se propose
27:29de réduire ces infractions et
27:31faciliter la traçabilité
27:33des recettes. Il y a d'abord
27:35la moto qui est identifiée,
27:37le propriétaire et le conducteur
27:39et au sortir de là, ils ont
27:41un QR code. Un pour la moto
27:43et un autre pour
27:45le conducteur. Ce QR code
27:47permet à chaque conducteur
27:49de rouler aisément. Une innovation
27:51accueillie avec joie par
27:53les conducteurs de mototaxis.
27:55L'application est déjà bien, ça vient
27:57accompagner, ça nous aide aussi
27:59à éliminer le grand banditisme.
28:01Nous sollicitons que le porteur des projets
28:03oriente les projets
28:05auprès des communes.
28:07Les autorités municipales et administratives
28:09présentes à la cérémonie, tout en félicitant
28:11le projet, ont demandé aux conducteurs
28:13de mototaxis de souscrire à l'application
28:15pour mettre un terme au cas
28:17de vol et d'agression à bord
28:19d'une moto.
28:21Une question, connaissez-vous
28:23les coachs en développement personnel ?
28:25L'activité renvoie pour
28:27certains à celle du
28:29tricolore et pour d'autres, cela désigne
28:31tout simplement un influenceur et pire,
28:33un manipulateur de conscience.
28:35Eh bien, il n'en est rien.
28:37Le coach est tout simplement une nouvelle discipline
28:39sous notion, à laquelle
28:41on accède encore en se formant
28:43à l'étranger à travers des sessions et des
28:45recyclages effectués jusqu'ici,
28:47en Occident. Daniel Menenga.
28:51Avec des journées de 48 heures
28:53débordées entre le boulot,
28:55les bébés, l'auto-épanouissement
28:57et les exigences de ces multiples vies,
28:59SOS Coach en
29:01développement personnel.
29:03Le coach n'est pas le motivateur,
29:05il n'est pas le conseiller, il n'est pas l'enseignant,
29:07il n'est pas le formateur, il n'est pas le mentor.
29:09Il peut donner un conseil, oui, il peut
29:11faire une formation, oui, mais le coach
29:13a été formé pour entrer dans la tête de quelqu'un,
29:15voir ce qu'il s'y passe, ce qu'il s'y est
29:17passé, et le conduire
29:19dans ce que la personne décide
29:21comme futur pour sa vie.
29:23La méthode de travail est simple,
29:25on écoute le dialogue,
29:27l'environnement pour la mise en confiance,
29:29entre autres. Nous sommes passés
29:31par deux écoles canadiennes
29:33de PNL,
29:35notamment le CFI
29:37et l'IDICOM international,
29:39une autre école qui a presque
29:4130 ans d'expérience.
29:43Nous travaillons à partir
29:45de l'outil de la PNL,
29:47c'est un outil de développement personnel.
29:49Vous faites un peu de psychologie,
29:51vous faites un peu de communication, vous faites un peu de
29:53politique, vous faites de la communication
29:55non-violente, vous faites des neurosciences.
29:57Irène est journaliste à la base,
29:59Suzanne, conseillère principale
30:01de jeunesse et d'animation,
30:03et Antoine est prêtre.
30:05Assez de matière, donc, pour coacher.
30:07Dans le cadre du coaching, il y a
30:09une certaine éthique à observer,
30:11parce que
30:13on ne peut pas se permettre de
30:15traiter la détresse
30:17mentale ou psychologique
30:19des gens avec légèreté
30:21avec tant d'aisance
30:23que je peux le constater de temps en temps.
30:25Je prendrai peut-être une nouvelle séance
30:27de 10 ou 15 000
30:29en présentiel avec coach Suzanne,
30:31mais ce sera avec quelques réponses
30:33et astuces
30:35pour me maintenir au top
30:37malgré mes journées marathon.
30:39La dixième édition
30:41du Festival universitaire des arts
30:43et de la culture est ouverte depuis ce lundi
30:45à Douala. La cérémonie était
30:47présidée par le ministre d'Etat,
30:49le maître de l'enseignement supérieur,
30:51le professeur Jacques Famendongo,
30:53et c'était en présence de son homologue
30:55Jean-Ernest Masséna Ngalé-Bibehe,
30:57en charge des transports.
30:59Mélanie Bilot.
31:01Stimuler
31:03et pérenniser l'identité culturelle
31:05du Cameroun, c'est le leitmotiv
31:07qui anime chacun des plus de
31:091500 étudiants-artistes
31:11venus des institutions publiques et privées
31:13d'enseignement supérieur du triangle
31:15national, ainsi que les acteurs
31:17culturels mobilisés depuis ce
31:19lundi à Douala, dans le cadre
31:21de l'édition 2024
31:23du Festival universitaire des arts
31:25et de la culture. Cette plateforme artistique
31:27et culturelle se veut
31:29une tribune de brassage et de scénémulation
31:31à la recherche de l'excellence
31:33dans les disciplines artistiques.
31:35C'est la première fois que l'Université de Bétois
31:37participe au Nesbec d'année.
31:39Nous nous sommes préparés en tant qu'institution
31:41pour valoriser d'abord
31:43la culture camerounaise. Au démarrage
31:45de cet événement, recommandation
31:47a été faite aux étudiants de laisser
31:49éclore leur génie créateur
31:51tout au long de ce grand rendez-vous culturel.
31:53Les camerounais sont très bourrés
31:55au plan artistique et culturel.
31:57Il faut qu'ils valorisent
31:59ce don, ce génie,
32:01ce talent.
32:03Ils attireront
32:05non seulement un bénéfice
32:07esthétique,
32:09mais également une plus-value
32:11économique. Les organisateurs
32:13se réjouissent du plein succès
32:15de l'ouverture de ce festival
32:17qui se déroule jusqu'au 16 novembre prochain.
32:21Certains sont peut-être d'anciens élèves
32:23du lycée de Bagno, région
32:25de la Damaouane, qui célèbre
32:27son âge d'or.
32:29Le cinquantenaire a permis au collectif
32:31des anciens élèves de cet établissement
32:33d'enseignement secondaire
32:35de rendre un vibrant hommage
32:37à leur lycée. Des moments de joie vécus
32:39par Yvan Carlos Binkoube.
32:43Le collectif des anciens élèves
32:45du lycée de Bagno remonte
32:47le temps de cinquante ans en arrière
32:49et revient avec euphorie chaque moment
32:51écoulé. Cet établissement
32:53qui, durant cinq décennies, a formé
32:55la quasi-totalité des élites du département
32:57du maillot Bagno et d'ailleurs
32:59a reçu un hommage des plus dignes.
33:01À notre état, il y en avait que
33:03trois à sixièmes. C'était pas facile
33:05parce qu'il y a au moins 700 élèves
33:07qui font les candidatures de la trois à sixièmes.
33:09Ça a été formé à la chipote
33:11et je ne le reconnais pas.
33:13Une foule anglaise, des spectacles folkloriques
33:15et la remise d'équipes d'excellence scolaire
33:17sont autant d'activités qui ont
33:19permis à ces anciens élèves
33:21d'exprimer leur gratitude.
33:23Il y a deux mois environ,
33:25je n'étais pas conscient
33:27de l'importance de l'établissement
33:29et qu'il était à ma charge.
33:31Nous allons
33:33nous appuyer sur les forces
33:35de nos producteurs
33:37et apporter des innovations.
33:39L'assemblée des élites intérieures
33:41et extérieures de cette localité
33:43pose les challenges de développement
33:45inclusif du département
33:47du Maïobandi.
33:49Un mot rapide en sport football
33:51éliminatoire de la coupe d'Afrique
33:53Maroc 2025.
33:55Les cinquièmes et sixièmes journées se préparent.
33:57Les contours des rencontres
33:59face à la Namibie et au Zimbabwe
34:01étaient présentés ce lundi
34:03même au cours d'une séance de travail
34:05présidée par le ministre des sports
34:07et de l'éducation physique,
34:09le professeur Narcis Moulekambi.
34:11Compte rendu, Robert Collins-Biama.
34:15La première réunion préparatoire
34:17de la dernière période FIFA de l'année
34:19a permis de faire le point
34:21sur le précédent regroupement des Lions indomptables.
34:23La qualification pour la coupe d'Afrique
34:25Maroc 2025 acquise
34:27c'est le temps des remerciements.
34:29J'aimerais saisir l'opportunité
34:31pour féliciter
34:33l'équipe camerounaise
34:35ainsi que le staff technique
34:37conduit par M. Marc Brice.
34:39Je tiens à exprimer
34:41ma profonde gratitude
34:43à toutes les administrations.
34:45Les brèves Warriors de Namibie
34:47mercredi prochain en Afrique du Sud.
34:49Les Warriors du Zimbabwe
34:51mardi 19 novembre à Yaoundé.
34:53La chasse aux guerriers
34:55doit être bien menée.
34:57Cela passe par le respect des orientations.
34:59Accomplir l'intelligence utile
35:01en rapport avec la CAF.
35:03Et la Namibie
35:05pour assurer
35:07une participation confortable
35:09des Lions indomptables
35:11à la rencontre Namibie
35:13contre Cameroun
35:15du 13 novembre 2024
35:17en Afrique du Sud.
35:19Prendre toutes les dispositions utiles et nécessaires
35:21pour la mise à disposition
35:23de toutes les infrastructures sollicitées.
35:25Désormais, c'est au parti prenant
35:27de jouer leur rôle afin de permettre
35:29aux Lions indomptables de jouer le leur
35:31et de clôturer l'année en beauté.
35:35Rendez-vous dès mercredi.
35:37Des performances en béton
35:39pour la société de ciment du Cameroun.
35:41Les exploits et défis
35:43de CIMENCAM étaient présentés
35:45aux parlementaires
35:47qui ont effectué une visite d'inspection
35:49au sein de cette entreprise.
35:51Napoléon Bonaparte Besong.
35:55Qui mieux que les représentants du peuple
35:57pour questionner le fonctionnement
35:59de CIMENCAM.
36:01Depuis le sinistre que l'a connu la Sonara,
36:03l'état du Cameroun a perdu
36:05des normes fonds.
36:07Aujourd'hui, dans la reconstruction,
36:09c'est en termes de milliards.
36:11Le réseau des assurances est donc descendu
36:13auprès de plusieurs entreprises
36:15de l'état.
36:17Aujourd'hui, nous sommes auprès de CIMENCAM
36:19d'abord pour apprécier
36:21la crédibilité et l'assurance
36:23que cette entreprise dégage.
36:25Avec autant d'intérêt qu'au sein des hémicycles,
36:27les 19 députés et sénateurs
36:29touchent du doigt
36:31les réalisations et défis
36:33de la société des ciments du Cameroun.
36:35Nous sommes vraiment très honorés
36:37d'avoir pu recevoir cette délégation.
36:39C'était un temps de partage
36:41privilégié pour expliquer
36:43le contexte du ciment au Cameroun
36:45et expliquer CIMENCAM.
36:47CIMENCAM est
36:49vraiment optimiste pour l'avenir du Cameroun.
36:51Il y aura vraiment beaucoup de besoins
36:53et pour ça c'est préparé au futur.
36:55En 1963,
36:57CIMENCAM, le petit enfant,
36:59a quitté le besoin pour devenir un leader
37:01dans la production d'une gamme variée de ciments.
37:03Ça fait 5 ans qu'il a
37:05complètement changé son outil industriel
37:07avec l'usine de Nomaïos
37:09qui a ouvert en 2019
37:11et la nouvelle usine de Figuilles
37:13qui a démarré cette année pour changer
37:15complètement le paysage.
37:17Ça crée quelques enjeux
37:19pour la société.
37:21Ce que j'ai vu, ce que nous avons vu,
37:23c'est que le directeur général projette
37:25un excellent pour le Cameroun
37:27et nous devions accompagner cette initiative.
37:29Dans le cadre de la responsabilité sociétale
37:31de l'entreprise, CIMENCAM
37:33crée des plateformes d'échange
37:35avec ses parties prenantes,
37:37des comités de Rive1 pour ensemble
37:39donner une direction aux actions
37:41et contribuer à l'éducation,
37:43à la santé, à l'employabilité
37:45et à l'hygiène. Pour la construction
37:47des grandes oeuvres architecturales du pays,
37:49CIMENCAM a apporté sa pierre
37:51à l'édifice. Le pont du Vouris
37:53et le barrage de Natchigal
37:55rentrent dans cette liste.
37:57Liquidons quelques actualités
37:59en rapport avec le 6 novembre
38:01et d'abord cap sur
38:03l'arrondissement au Lafamba, région du centre
38:05qui réaffirme son soutien
38:07au président Paul Biya.
38:09Le président du groupe parlementaire
38:11RDPC à l'Assemblée nationale, Roger Mélingue,
38:13a conduit mercredi
38:15dernier le meeting tenu
38:17en Croix-Banque.
38:20Mobilisation des troupes,
38:22remerciements des militants et soutien
38:24total au président Paul Biya.
38:26Un triptyque qui résume à ce fil
38:28l'an 42 en Côte-la-Famba.
38:30Qu'est-ce que je peux donner à un peuple
38:32que de lui donner la possibilité de se gouverner
38:34lui-même. Nous choisissons librement
38:36ceux qui s'occupent de notre vie
38:38de tous les jours, au niveau des communes,
38:40au niveau des régions.
38:42Je crois que c'est un cadeau énorme.
38:44Le mandataire du comité central du
38:46Rassemblement démocratique du peuple cameroonais
38:49Les oeuvres du renouveau sont palpables.
38:51Après plus de 4 décennies passées
38:53à la tête du parti et du pays.
38:55Les 42 ans du chef de l'état au pouvoir
38:57sont émaillés d'un certain
38:59nombre de grandes réalisations
39:01que nous pouvons voir.
39:03Le président de la République est un homme de paix.
39:05Il a, malgré les écueils,
39:07malgré les difficultés,
39:09réussi à garder
39:11notre pays en paix.
39:13Les tambours et les tam-tams viennent couturer
39:15une journée riche en émotions.
39:18A Bioua, dans la région du centre,
39:20la section RDPC,
39:22nommé Kélé Ouest 2,
39:24a exalté le bilan et le jeu du chef de l'état
39:26sous le regard du représentant
39:28du comité central,
39:30David Tognet.
39:32Célébration similaire à Ngogma Poubi,
39:34en présence de Xavier Bisseron,
39:36représentant du comité central du RDPC.
39:38Emmanuel Bicombe.
39:41La transformation du paysage urbain
39:43et rural de la commune de Bioua
39:45à travers l'offre continue
39:47des services sociaux de base,
39:49donne toujours de bonnes raisons aux populations
39:51de se mobiliser plus que jamais
39:53derrière le président Paul Biya.
39:55Paul Biya a transformé une ville
39:57en une ville où tout le monde
39:59est d'accord pour qu'il reste
40:01président candidat.
40:03Après la coupure et le partage
40:05du gâteau d'anniversaire,
40:07une motion de soutien,
40:09de déférence et de remerciement
40:11a été adressée au chef de l'état.
40:13Après la tenue de la conférence
40:15conjointe des sections RDPC,
40:17et dans l'après-midi d'un grand
40:19meeting essentiellement consacré
40:21à l'événement du jour,
40:23la caravane RDPC a fait le tour
40:25des 18 subsections
40:27qui comptent cette unité politique.
40:29Que notre champion national se représente
40:31aux prochaines échéances
40:33électorales. L'unité
40:35de tous les militants et toutes les militantes
40:37pour que nous puissions ramener
40:39la commune de Ngogma Poubi
40:42Le président Paul Biya et ses camarades
40:44de Ngogma Poubi, c'est un mariage
40:46du cœur et de raison,
40:48adulé et indéterminé.
40:50Ferveur militante
40:52à Banquim comme à Bagnou,
40:54nous sommes là dans la région
40:56de la Damaouane. Ici et là,
40:58les soutiens du président Paul Biya ont trouvé
41:00des mots justes pour célébrer
41:02son œuvre depuis 42 ans.
41:04La synthèse de Daniel Bélinga Ngedi.
41:08La section RDPC
41:11célèbre le remarquable bilan du chef
41:13de l'État à la tête du Cameroun,
41:15mais pas que. Cette section magnifie
41:17également sa glorieuse marche vers l'émergence
41:19impulsée par la constante
41:21sollicitude de son héros national
41:23qui, en 42 années de gouvernance,
41:25a su faire du développement de cette localité
41:27l'une de ses priorités.
41:29Nous sommes à
41:31117 établissements primaires et matériels.
41:33Nous sommes à
41:35172 centaines de grés.
41:37C'est une satisfaction.
41:39C'est comme disant un nom de l'État
41:41que la vraie source
41:43doit être apportée
41:45par la section.
41:47Cette célébration témoigne de la confiance
41:49que placent les militants de l'arrondissement
41:51de Banquim à l'endroit de leur
41:53guide national.
41:57L'unité nationale
41:59célébrait à Baham dans les hauts plateaux
42:01de l'Ouest. Les militants du RDPC
42:03ont réaffirmé leur attachement
42:05aux idéaux du président Paul Biya.
42:07Engagement réitéré
42:09dans le conquis par les trois
42:11sections RDPC de ce département.
42:13C'était en présence de
42:15l'or Pauline Foutsos qui représentait
42:17le comité central. Emmanuel Kounoukou
42:19et Marc-Aurel Yonga
42:21racontent les festivités.
42:23Forte mobilisation
42:25pour la paix, l'intégration nationale
42:27a traversé une marche, main dans la main
42:29dans les artères des Baham dans les hauts plateaux.
42:31Second tableau, les danses
42:33traditionnelles de toutes les communautés vivantes
42:35dans les hauts plateaux, exécutées
42:37avec en gueste les déplacés
42:39internes venus du Nord-Ouest et du
42:41Sud-Ouest. Cette ambiance permet aux populations
42:43mobilisées par le professeur Luc Sindoum
42:45conseil spécial du président
42:47Paul Biya de montrer l'adhésion
42:49au projet qu'a développé le chef de l'État
42:51au cours de ces 42 dernières années
42:53et de reconnaître les efforts menés
42:55par l'an du 6 novembre pour le
42:57développement et l'intégration nationale.
42:59Pour les populations du conquis en
43:0142 ans de magistère,
43:03malgré la traversée des zones de turbulences,
43:05il a su maintenir la
43:07barque Cameroon vers la bonne destination.
43:09Un bilan qui nous rassure.
43:11Ça y est, les actions qu'il a
43:13posées en faveur
43:15de notre pays sont
43:17multiformes. D'où la
43:19reconnaissance exprimée par le
43:21conquis qui a su tirer son
43:23épingle du jeu. La célébration
43:25de ce 42e anniversaire à
43:27Ndem-Dem, Bayangam et Bajung
43:29a connu un succès sans
43:31arrêt.
43:33Je signale ce télégramme officiel
43:35du président de la république du Cameroun
43:37adressé à son excellence
43:39Joao Manuel Lourenço,
43:41président de la république d'Angola au
43:43palais présidentiel de Luanda.
43:45C'est à l'occasion de la célébration
43:47de la fête nationale de ce pays
43:49le 11 novembre.
43:51Ce 11 novembre.
43:53Ainsi va le Cameroun ce
43:55soir et dans un instant inside
43:57le présidentie avec Achounenti.
43:59Très belle soirée sur votre
44:01antenne LACIR TV.
44:03L'information c'est ici. Bonsoir.