Regardez Le journal RTL avec Vincent Derosier du 12 novembre 2024.
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00:00RtlMidi, le 12-30, Céline Landreau et Éric Brunet.
00:08Le journal de Vincent Derosier, bonjour Vincent.
00:10Bonjour Céline, bonjour Éric et bonjour à tous.
00:13A la une, retraite revalorisée au mois de janvier, le gouvernement rétropédale un peu.
00:18Et qui a annoncé la bonne nouvelle ? C'est Laurent Wauquiez, non non, il n'est pas ministre
00:22et dans la majorité, ça passe très mal.
00:24Ce qui passe mal aussi chez certains retraités, c'est le montant de cette revalorisation,
00:28la moitié de l'inflation pour tous dès le mois de janvier et le rattrapage cet été,
00:34seulement pour les plus modestes d'entre eux.
00:36On en parlera à 12h50 avec Pierre Herbs, Président de la Confédération Française des Retraités.
00:41Un prof, ça bosse 6 mois par an, le diagnostic de Nicolas Sarkozy sur l'éducation nationale
00:46n'a pas plu à la ministre, elle lui répond.
00:48Arnaud Montebourg accuse sur RTL l'Union Européenne de faire flamber les prix de l'électricité,
00:53peut-on faire mieux et moins cher ? Les explications dans ce journal.
00:57En fin du foot, J-2 avant France-Israël et une première pour la Muraille du Loss
01:01que Lucas Chevalier, le gardien lillois, ému, vous l'entendrez, d'être sélectionné
01:06pour la première fois à 23 ans.
01:07Et le sport, c'est aussi ce témoignage de Sarah Ouramoun.
01:11À suivre, racisme, sexisme, elle a décidé de retirer sa candidature à la tête de la
01:16Fédération Française de Boxe et s'en explique.
01:19Et puis à partir de 13h, bien sûr, c'est vous qui prenez la parole au 3210, Eric.
01:23Oui, on va revenir sur cette augmentation qui n'est pas une augmentation, mais qui
01:27en est une, mais qui n'en est pas une des retraites, puisque 56% des retraités n'auront
01:32pratiquement pas d'augmentation, en tout cas très faible.
01:35Vous voulez réagir au 3210 ? On vous expliquera tout ça et surtout, c'est vous qui nous
01:40ferez part de votre sentiment, nous parlerons également d'Arnaud Montebourg.
01:44Vous savez, ce qu'il propose, c'est qu'on sorte le tarif de l'électricité du dispositif
01:48européen, comme ça l'électricité sera moins chère et il souhaite faire cela notamment
01:53pour les PME, afin que les boulangers, menuisiers, restaurateurs aient une facture d'électricité
01:59moindre.
02:00Qu'en pensez-vous ? Il ne faut pas oublier que ça fera moins de rentrées pour l'État.
02:04Qu'en pensez-vous ? Donc deux thèmes, l'électricité et surtout pour commencer, les retraites.
02:08La météo, ce sera à la fin du journal, Anthony Kazmarek, déjà une petite tendance.
02:12Des pluies circulent d'est en ouest, des orages s'installent près de la Méditerranée,
02:17la neige tombe en montagne et le vent de nord-est renforce l'impression de froid.
02:21Merci Anthony, à tout à l'heure !
02:22Jusqu'à 13h, RTL midi.
02:26Mais d'abord, 600 personnes sont venues dire au revoir à Nicolas ce matin à l'église
02:30Saint-Barnard de Roman-sur-Isère dans la Drôme.
02:33Nicolas avait 22 ans, il a été tué d'une balle dans la tête à l'entrée d'une discothèque
02:37le mois dernier.
02:38Raphaël Vantard, vous avez pu assister à la cérémonie, alors de l'émotion évidemment
02:44et encore beaucoup de colère.
02:45Une colère que tous les participants à ces obsèques de Nicolas se sont efforcés
02:48d'étouffer, laissant l'émotion prendre le dessus surtout.
02:51Face au cercueil blanc du jeune homme recouvert d'inscriptions des proches, le papa Eric,
02:55sa maman Gladys, son frère, sa sœur sont incapables, pétris par le chagrin, de prendre
02:59la parole.
03:00C'est donc la marraine du jeune homme, Nelly, qui débute et qui parle de l'amour de Nicolas,
03:03de sa passion pour le rugby.
03:05Tous ses coéquipiers sont là, blottis dans cette collégiale, ils ont tous dédicacé
03:09le maillot de Nicolas qui trône sur son cercueil.
03:11Laetitia, la cousine du jeune homme, se lève.
03:13Comment te dire adieu ? Comment vivre sans toi ? Je ne sais pas.
03:16Face à la douleur, la colère des proches, le prêtre tente d'apaiser.
03:19Oui, il y a dans la mort de Nicolas une injustice.
03:22Oui, il n'y a pas de mots pour exprimer la colère qui vous traverse, mais nous comptons
03:25sur la justice de notre pays.
03:26Nous voulons la soutenir et il faudra éviter de répondre par la violence.
03:30Le mal ne peut avoir le dernier mot.
03:32Porté par son frère, ses oncles, ses cousins, entourés de ses coéquipiers, le cercueil
03:35de Nicolas est en train de faire une halte dans son stade de rugby.
03:38Il sera inhumé cet après-midi au cimetière de Romand-sur-Isère.
03:41Merci Raphaël Vantard.
03:43Et concernant l'enquête, vous savez que le tireur présumé avait été interpellé
03:47à Marseille sur un point de deal de la DZ de Mafia.
03:50Une conférence du procureur de la République de Marseille se déroulera à 16h cet après-midi.
03:57Il y aura bien une revalorisation des retraites au 1er janvier ? Enfin, une demi-revalorisation.
04:04Un petit geste d'apaisement de Michel Barnier puisque la hausse rattrapera seulement la
04:08moitié de l'inflation, oui.
04:10Alors, politiquement, ce qui intrigue, c'est ce cadeau du Premier ministre qui a laissé
04:14Laurent Wauquiez, le président du groupe droite républicaine à l'Assemblée, en
04:18faire l'annonce.
04:19Thomas Dépré à l'Assemblée nationale, c'est un concert de bruxisme, mâchoire serrée
04:23et dents qui grincent.
04:24Absolument, un président de groupe ne devrait pas faire ça.
04:28Je serai ministre de l'économie, je claquerai ma démission.
04:31Voilà ce qu'on entend ici dans les couloirs.
04:32Une annonce qui a surpris tout le monde, à commencer par les députés du camp macroniste.
04:37Laurent Wauquiez n'est pas au gouvernement, je crois.
04:40Il n'est pas Premier ministre non plus, je ne crois pas.
04:42Je pense que ça participe d'une forme de cacophonie budgétaire.
04:45C'est quand même très surprenant de voir un président de groupe politique revendiquer
04:49une victoire pour lui seul.
04:51Je pense que ce qui est important, c'est que dans le socle commun, on reste commun.
04:54Le socle commun n'existe pas, a même lancé ce matin le patron des députés, Horizon,
04:59le parti d'Edouard Philippe, lors d'une réunion tendue face à Michel Barnier.
05:03Réponse de Laurent Wauquiez, tout cela avait bien été discuté dès la semaine dernière
05:07en présence de Gabriel Attal notamment.
05:09Et s'il a grillé la priorité au gouvernement, c'est aussi parce qu'on a changé d'époque,
05:14selon la députée LR, Véronique Louvagie.
05:16Je crois qu'il faut qu'on s'habitue peut-être à des modifications ici, de manière de faire.
05:20Cela montre la manière dont on peut construire ensemble l'Assemblée nationale et le gouvernement.
05:25Le sujet sera sans aucun doute au cœur des questions au gouvernement cet après-midi.
05:29Michel Barnier devra alors tenter de rassurer un socle de plus en plus fracturé.
05:34Merci beaucoup Thomas Després du service politique de RTL.
05:37Des dents qui grincent à l'Assemblée, c'est aussi le cas chez les retraités.
05:40Vous entendrez la colère, à peine contenue de Pierre Herbst, président de la Confédération
05:44française des retraités.
05:46Il sera notre invité dans un gros quart d'heure maintenant.
05:48L'éducation maintenant, l'éducation selon Anne Jeuneté.
05:52La nouvelle ministre déroule sa feuille de route avec plusieurs annonces dont on vous
05:56parle depuis ce matin sur RTL.
05:58Notamment au lycée avec une épreuve anticipée de maths dès juin 2026 pour les élèves
06:02de première, un peu sur le modèle de ce qui se fait actuellement en français.
06:06Au collège, les changements c'est pour 2027, le brevet sera obligatoire pour entrer en seconde.
06:10Anne Jeuneté, en déplacement ce matin dans le Val-de-Marne, en a profité aussi pour
06:15répondre à Nicolas Sarkozy.
06:16Pourquoi ? Parce que selon lui, le statut de prof d'école c'est 24 heures par semaine
06:21et 6 mois de l'année.
06:22Propos tenus par l'ancien président lors d'une conférence dans le Var vendredi soir.
06:26Et la réponse donc de la ministre de l'éducation.
06:29Je suis en désaccord avec lui, je ne comprends pas, ses propos m'étonnent.
06:32Moi je vais sur le terrain depuis que je suis en fonction et les enseignants que j'ai rencontrés
06:36sont des enseignants, je l'ai dit, engagés, motivés et dont j'ai vu qu'ils ne ménagent
06:40pas leurs horaires, pas du tout, loin de là, et que leur volume horaire est très important,
06:44qu'il ne faut cesser de se restreindre au temps devant élèves.
06:47Il y a bien d'autres choses que feront les professeurs pour pouvoir dispenser leur enseignement.
06:50Je veux les saluer et leur dire toute ma gratitude pour cela.
06:53Par ailleurs, souligner s'agissant du temps devant élèves, que les enseignants en France,
06:57en école en premier degré, travaillent 30% de plus que leurs homologues allemands.
07:00Voilà, donc je crois qu'il faut remettre les pendules à l'heure.
07:02Je ne suis pas d'accord avec ses propos et je veux encore une fois soutenir nos professeurs.
07:06Anne, jeûne-té au micro-RTL d'Hortense Crépin et de Laurent Lecorre.
07:09La grève dans les transports aériens, Vincent, c'est jeudi.
07:12Et les principales compagnies aériennes françaises s'attendent à peu de perturbations,
07:16et ce, malgré un appel à la mobilisation des principaux syndicats de personnel navigant.
07:20Arnaud Montebourg veut que la France reprenne la main sur le marché de l'électricité.
07:24Il l'a clamé ce matin sur RTL.
07:26Selon lui, l'Union Européenne fait flamber les prix.
07:29Mais alors, est-ce vraiment possible ?
07:31On en parle dans un instant avec Pierre Herbulot.
07:34RTL Midi, les auditeurs ont la parole.
07:36Éric Brunet, Céline Landreau.
07:40RTL Midi, les auditeurs ont la parole.
07:43Avec Éric Brunet et Céline Landreau.
07:4512h40 sur RTL, la suite du journal de Vincent Derosier.
07:48C'est son combat depuis plusieurs années et il l'a encore mené ce matin sur RTL.
07:52Arnaud Montebourg veut que la France reprenne la main sur le marché de l'électricité.
07:56Car selon lui, tout est de la faute de l'Union Européenne.
07:59On a accepté les systèmes de formation européens,
08:02de formation des prix en Europe sur l'électricité, qui sont délirants.
08:06Donc aujourd'hui, on est trois fois plus cher qu'on l'était en 2019.
08:10Donc vous avez aujourd'hui, on parle des boulangers.
08:12Ma boulangère à Louran, elle a payé une facture de 100 000 euros.
08:14Ça, ça a plombé les entreprises.
08:16Il faut sortir du marché européen de l'électricité ?
08:18En tout cas, ce marché, ce système de formation des prix de l'électricité,
08:22ce n'est pas prévu dans les traités.
08:23Je rappelle, on a un parc nucléaire qui est un des plus compétitifs au monde,
08:27qui est amorti.
08:28Donc on n'a aucune raison d'accepter ça.
08:31Arnaud Montebourg, l'ancien ministre socialiste du redressement productif,
08:34ce matin sur RTL avec Thomas Soto.
08:36Et bonjour Pierre Herbulot.
08:38Bonjour.
08:38Alors est-ce possible, faisable, ce que défend Arnaud Montebourg ?
08:42Oui, il a raison là-dessus.
08:43Ces accords européens ne sont pas contraignants.
08:45On pourrait donc décider de nous en émanciper, de faire un Frexit de l'énergie.
08:50C'est ce que proposait d'ailleurs le Rassemblement national et la gauche
08:53aux dernières élections européennes.
08:54Aujourd'hui, en Europe, les prix de l'électricité sont calqués sur ceux du gaz.
08:58Je ne rentre pas dans le détail parce que c'est très technique.
09:01Mais ça veut dire sur le papier qu'un pays qui produit peu d'électricité
09:04et donc qui importe beaucoup, y gagne.
09:06Et donc qu'un pays comme la France, qui produit beaucoup et importe peu, y perd.
09:10Et ça rapporterait combien ?
09:12Alors en réalité, c'est là qu'il faut nuancer un petit peu.
09:14Ce n'est pas dit que ça rapporte quoi que ce soit.
09:16Le problème avec l'électricité, c'est que c'est une énergie qui ne se stocke pas.
09:20Donc dans un scénario où on prend du reste tout ce qu'il nous faut,
09:2324h sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an,
09:26oui, on pourrait potentiellement faire baisser les factures.
09:29En tout cas, au moment de la crise énergétique, c'est sûr.
09:31Le coût de la production d'un mégawatt-heure avec le nucléaire en France,
09:34c'est entre 60 et 120 euros.
09:37Beaucoup moins cher que les 700 euros de la crise de 2022.
09:41Sauf que c'est un marché qui fluctue au jour le jour, je le disais.
09:44On ne stocke pas l'électricité.
09:45Le prix du jour sur les marchés, c'est 104 euros.
09:48Ça veut dire que c'est potentiellement moins cher que ce que ça nous coûte de le produire.
09:52Et ça, c'est un prix d'amis.
09:53Si on décide demain de ne plus vendre notre électricité sur ce marché,
09:57ça veut dire qu'on n'achète pas à ce prix-là.
09:58Ça veut dire qu'on doit négocier directement avec nos voisins
10:01et que potentiellement, on l'achète beaucoup plus cher.
10:04Si on a besoin d'électricité, on sera forcément surfacturé par nos voisins.
10:09Il y avait une époque où on exportait de l'électricité, je ne sais pas si c'est toujours le cas.
10:12Ah oui, c'est toujours le cas, bien sûr.
10:13Via ce marché, on en achète et on en exporte.
10:15Ça veut dire que ça nous rapporte aussi de l'argent.
10:16Alors Pierre, on va s'appuyer sur les exemples que l'on a.
10:19L'Espagne, le Portugal l'ont déjà fait. Ça a donné quoi ?
10:21En réalité, l'Espagne et le Portugal, là aussi, c'est très technique.
10:25Mais ils ne sont pas vraiment sortis de ce marché.
10:28Ils en font toujours partie.
10:29D'ailleurs, on leur vend de l'électricité.
10:30Ce qu'ils ont fait, c'est que via des artifices juridiques complexes,
10:35ils ont plafonné les prix de l'électricité chez eux.
10:38Ce n'est pas si différent de ce qu'a fait le gouvernement français
10:41pendant la crise avec le bouclier tarifaire.
10:43D'ailleurs, on l'oublie souvent aujourd'hui parce que notre facture a augmenté
10:46et continue d'augmenter.
10:48Mais contrairement aux entreprises, les particuliers ont été largement
10:52préservés de l'envolée des tarifs de l'électricité au cours de ces dernières années.
10:56Et merci Pierre Herbulot pour ces explications très techniques, mais très simplifiées.
11:00Elle visait la présidence de la Fédération française de boxe,
11:04mais elle n'ira pas jusqu'au bout de son combat.
11:08Victime d'attaques racistes et sexistes, Sarah Oramoun, médaille d'argent au jeu en 2016,
11:13renonce, dénonce et prend la parole dans RTL Midi.
11:17Bonjour Sarah Oramoun.
11:19Bonjour.
11:20Je le disais, vous avez décidé de jeter l'éponge.
11:22Vous ne briguerez pas la présidence de la Fédération française de boxe,
11:25comme prévu avec Dominique Natto.
11:27Vous l'avez annoncé dimanche soir dans une lettre ouverte.
11:30Un abandon que vous justifiez par la violence des attaques qui vous ont visées.
11:34Racontez-nous.
11:35J'ai annoncé que je me présentais à la coprésidence de la Fédération française de boxe lundi.
11:42Et à la suite de cette annonce, j'ai reçu énormément de messages
11:48des attaques personnelles sexistes, racistes.
11:51Et donc, après réflexion, j'ai décidé de retirer ma candidature
11:58parce qu'il y a une ligne vraiment inacceptable qui a été dépassée.
12:03Donc j'ai préféré me retirer et dénoncer ce que je subis.
12:08Ça s'est matérialisé comment ?
12:10C'était des insultes en ligne sur les réseaux sociaux ?
12:14Ça s'est matérialisé par des messages qui étaient transférés dans différents groupes
12:19qui se sont créés avec des centaines et des centaines d'entraîneurs.
12:22Et donc des messages qui ont circulé d'un groupe à l'autre
12:25et puis certains messages anonymes via les réseaux sociaux.
12:29Vous avez porté plainte pour ça ?
12:30Je n'ai pas encore porté plainte, je vais le faire.
12:33Est-ce que vous vous attendiez à subir un tel déferlement de haine en 2024,
12:39vous qui avez porté si haut les couleurs de la France,
12:41qu'on vous ramène comme ça à vos origines notamment ?
12:43Non, je n'avais pas imaginé que j'allais subir des attaques
12:50aussi violentes et aussi directes.
12:52J'étais quand même consciente que dans les périodes électorales,
12:56il y a forcément des tensions.
12:59J'étais prête aux critiques, j'étais prête aux attaques sexistes,
13:02mais je ne m'attendais pas à ce que ça aille aussi loin.
13:06Ça peut paraître assez surprenant parce que finalement,
13:08vous avez l'habitude de souffrir.
13:10Vous êtes boxeuse, vous vous engagez pleinement dans vos combats.
13:14Mais ce combat-là, pour vous, il ne respectait pas véritablement les règles.
13:19Il est allé vraiment, oui, c'est allé trop loin.
13:22Là, ça va au-delà de la simple rivalité électorale.
13:25Pour moi, c'est un vrai échec du monde du sport, un vrai échec de société.
13:30C'est vrai que ça peut paraître à l'encontre de mes engagements
13:34et des messages que je peux porter,
13:37mais pour moi, c'est aussi un signal fort pour dénoncer ces comportements,
13:42montrer aussi qu'on ne peut pas accepter ça dans notre sport,
13:46qu'on ne peut pas accepter ça dans la société.
13:49Finalement, ce retrait, pour moi, ce n'est pas un abandon du tout.
13:53C'est vraiment dire non au racisme, dire non à l'intolérable.
13:57Ça n'enlève en rien mon engagement et ma détermination
14:01à continuer à apporter des messages d'égalité, des valeurs saines.
14:06Je continuerai à le faire sur le terrain et peut-être sur d'autres fonctions officielles,
14:10mais en tout cas, pas en tant qu'oprésidence de la Fédération sur le prochain mandat.
14:15Merci beaucoup, Sarah Houramoun.
14:17Merci d'avoir réagi dans RTL Midi.
14:19Les auditeurs ont la parole.
14:21Avec plaisir.
14:2212h46, pardon, sur RTL.
14:25Vincent, le sport, c'est aussi le football.
14:26Les Bleus qui se préparent pour France-Israël, jeudi soir au Stade de France, sans Kylian Mbappé.
14:31Mais avec le retour de Benjamin Pavard et Kingsley Coman.
14:35Et un petit nouveau en plus.
14:36Sa vie a changé, dit-il.
14:38Il, c'est le gardien de l'île, Lucas Chevalier,
14:40convoqué pour la première fois en équipe de France.
14:43Première convocation et première conférence de presse.
14:46C'est bien que vous ayez vu qu'il y a eu un peu d'émotion.
14:49C'est une fierté, c'est un privilège.
14:50Une conscience de quand on monte les marches,
14:52quand on rentre dans le château, il y a quelque chose de différent.
14:55On passe un nouveau cap, dans un nouveau monde,
14:58avec des coéquipiers autour de soi qui sont prestigieux,
15:01avec des carrières incroyables.
15:03On est là pour apprécier, forcément.
15:04Rester les pieds sur terre.
15:07C'est bien d'avoir de l'ambition et c'est ce qui doit nourrir un sportif de haut niveau.
15:12Surtout quand on arrive en équipe de France.
15:14Aujourd'hui, on ne peut pas parler d'ambition
15:15parce que c'est tellement particulier pour moi et tellement fort
15:19que j'ai juste envie de prendre du plaisir et on va essayer de bien s'intégrer, c'est tout.
15:24La muraille du LOSC, Lucas Chevalier avec Nicolas Georgerot.
15:27Dans le journal de Vincent Derosier, merci beaucoup Vincent.
15:31L'OTAN, Anthony Kacmarek avec vous pour cet après-midi, c'est encore bien perturbé.
15:35Oui, et en plus avec des températures qui baissent à cause de cette bise,
15:39ce vent de Nord-Est qui souffle sur tout le pays entre 50 et 70 km en rafale.
15:44Les pluies que nous avions ce matin sur le Nord et le Nord-Est
15:47se décalent en direction du Sud et de l'Ouest.
15:49Donc nous les retrouverons cet après-midi entre l'Est de la Bretagne,
15:52la pointe du Cotentin, le Val-de-Loire, Poitou-Charentes, le Limousin,
15:56tout le quart Sud-Ouest.
15:57Et puis attention, des orages circulent aussi en Méditerranée
16:00et ils pourraient apporter d'importants cumuls de pluie sur le Var
16:03et les Bouches-du-Rhône, ce sera à surveiller.
16:05Quelques orages aussi sur l'Est de la Corse.
16:07Et puis avec ce froid qui arrive, la neige tombe de plus en plus bas
16:11sur les reliefs du Sud.
16:12À partir de 1000-1200 m, on attend localement 5 à 15 cm,
16:16donc une bonne sous-couche de neige sur ces reliefs.
16:19Et puis les températures, 7°C seulement à Langres cet après-midi,
16:229°C à Strasbourg, à Grenoble et à Clermont-Ferrand,
16:2510°C à Paris, à Lille et à Lyon, 12°C à Brest et à Toulouse
16:29et quand même 17°C à 20°C entre la Côte d'Azur et la Corse.
16:32Merci beaucoup Anthony Kacmarek.
16:34Traditionnellement les...