Louis Chedid se remémore sa maison d’enfance à Bouc-Bel-Air, dans les Bouches-du-Rhône. Ce havre de paix où il pouvait échapper aux contraintes scolaires. Aujourd’hui, c’est dans le Vaucluse qu’il retrouve ces ambiances d’antan qui continuent de nourrir sa musique et son inspiration.
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MusiqueTranscription
00:00J'ai la chance d'avoir une maison dans le Vaucluse.
00:02Pour moi, c'est une madeleine parce que quand j'étais petit,
00:04mes parents avaient une petite maison à Bouc-Bel-Air, ça s'appelle.
00:07Et donc je partais là-bas et moi, comme j'avais une scolarité très moyenne,
00:11c'était vraiment le paradis pour moi d'arriver là-bas
00:14parce que je n'avais plus de devoir.
00:15J'étais complètement consacré à la pétanque,
00:17faire du vélo, avoir des copains et la belle vie, quoi.
00:20Mes parents ont vendu cette maison quand j'avais 12 ans.
00:23Et c'est vrai que c'est un regret.
00:24Ça a été une tristesse de vendre cette maison.
00:27Et un jour, j'avais une amie journaliste qui partait interviewer Bedos
00:31parce qu'il faisait un spectacle à Cavaillon.
00:33Elle partait le week-end et je lui ai dit je t'accompagne.
00:35Et on est partis comme ça.
00:37On a interviewé Bedos et il m'a dit on peut aller dîner ensemble.
00:40J'ai dit OK, c'est où ? Lourdes-Marins.
00:42Et le lendemain matin, je me suis baladé.
00:44Et puis j'ai trouvé ça absolument génial.
00:46Et donc j'ai été voir un agent immobilier.
00:48Je lui ai dit vous n'avez pas un truc à louer ?
00:49Ça a commencé comme ça.
00:50Et après, fil en aiguille, j'ai trouvé un endroit et voilà.