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00:00Alors le but de cette biennale qui est la troisième édition est de permettre d'avoir un accueil,
00:10une écoute et une recherche sur toutes les expertises de lieu du monde entier qui vont
00:15échanger pendant trois jours sur les pratiques alternatives qu'on peut proposer quand on
00:22construit, quand on aménage. Donc trois champs, l'architecture, le paysage et l'urbanisme. Cette
00:28année on est entre recherche et pratique. Cette année nous sommes un peu moins universitaires
00:33et un peu plus pratiques. Donc nous avons beaucoup de professionnels qui viendront d'Asie,
00:38Vietnam, Sri Lanka, Australie également, d'Afrique et d'Amérique du Sud. L'importance
00:46pour une école c'est de ne pas oublier ses étudiants. C'est le rôle premier d'une école,
00:50c'est de former et de délivrer des diplômes. Et nous faisons autant que faire se peut en
00:57sorte que nos étudiants soient intégrés le plus possible dans l'organisation. Donc
01:01ils vont participer à l'organisation logistique de ces journées, mais également une obligation
01:09d'assister pour nos étudiants de master et également une participation au tableau
01:14ronde avec des élus qui seront autour de la table et d'autres professionnels également
01:19invités pour cette biennale. Le but étant d'être au service du territoire, au service
01:26des acteurs du territoire, qu'ils soient politiques, qu'ils soient professionnels. Donc on arrive
01:34à avoir cet ancrage et donc malheureusement des places limitées, oui, autour de 250,
01:44que ce soit des architectes, des paysagistes, des urbanistes, des acteurs politiques également
01:50et du personnel des collectivités.