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Michel-Édouard Leclerc, président du groupe E.Leclerc, a été invité à s’exprimer dans l’émission "Les 4 Vérités" le mardi 29 octobre.

La ministre de la Santé a exprimé son soutien à l’instauration d’une taxe sur les produits très sucrés, tels que les bonbons et les boissons gazeuses. Toutefois, Michel-Édouard Leclerc ne considère pas cette mesure comme la solution la plus efficace pour combattre l’obésité et le diabète. Selon lui, ces taxes visent seulement à combler des déficits budgétaires. Il souligne qu’"il y a déjà trop de taxes" et qu'il est temps d'arrêter de taxer.

## Un Besoin d'Éducation Plutôt que de Taxes

Invoquant l'importance de l'éducation, il suggère que l'investissement devrait plutôt se concentrer sur la mobilité et les activités sportives. Michel-Édouard Leclerc aborde également le sujet de l’inflation, qui a ralenti pour atteindre 1,2 % sur un an en septembre 2024. Il affirme que nous sommes dans une période de "vraie désinflation", c'est-à-dire que les prix n’augmentent pas aussi rapidement qu'auparavant, même s’une baisse des prix n’est pas à prévoir après la crise actuelle.

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00:00Michel-Édouard Leclerc, président du groupe Leclerc a été invité à s'exprimer dans
00:04l'émission Les 4 vérités le mardi 29 octobre.
00:07La ministre de la Santé a exprimé son soutien à l'instauration d'une taxe sur les produits
00:12très sucrés, tels que les bonbons et les boissons gazeuses.
00:16Toutefois, Michel-Édouard Leclerc ne considère pas cette mesure comme la solution la plus
00:21efficace pour combattre l'obésité et le diabète.
00:24Selon lui, ces taxes visent seulement à combler des déficits budgétaires.
00:27Il souligne qu'il y a déjà trop de taxes et qu'il est temps d'arrêter de taxer,
00:31invoquant l'importance de l'éducation.
00:33Il suggère que l'investissement devrait plutôt se concentrer sur la mobilité et
00:37les activités sportives.
00:39Michel-Édouard Leclerc aborde également le sujet de l'inflation, qui a ralenti pour
00:44atteindre 1,2% sur un an en septembre 2000, et l'affirme que nous sommes dans une période
00:50vraie des inflations.
00:51C'est-à-dire que les prix n'augmentent pas aussi rapidement qu'auparavant.
00:54Même s'il baisse des prix n'est pas à prévoir après la crise actuelle.

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