Regardez Le journal RTL avec Céline Landreau du 21 octobre 2024.
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00:00RTL midi, le 12h, Céline Landreau et Eric Brunet.
00:08Bonjour les amis, bienvenue dans RTL midi, les auditeurs ont la parole.
00:12Deux heures d'information, on ne vous fera pas gagner 100 000 euros,
00:15mais on vous informera en revanche, on vous donnera également des témoignages.
00:19Les vôtres, jusqu'à 14h avec Céline Landreau. Bonjour Céline.
00:23Bonjour Eric, bonjour à tous.
00:24A la une.
00:25Le budget et la bataille de chiffres commencent ce soir à l'Assemblée Nationale.
00:28Michel Barnier et son gouvernement s'attendent à un accueil et des débats musclés.
00:32Et à l'heure où certains demandent à l'État de vendre ses parts dans certaines entreprises,
00:36le gouvernement se félicite d'entrer au capital d'Opéra pour garantir un doliprane américain,
00:41certes, mais made in France.
00:43On y reviendra dans le journal.
00:44Renflouer les caisses de l'État, c'est, vous l'avez compris, l'obsession du moment.
00:48Et si l'une des solutions était la taxe d'habitation ?
00:51Les insoumis veulent l'augmenter pour les résidences secondaires.
00:54D'autres, y compris des maires, poussent pour la rétablir pour tous.
00:58On y reviendra dans quelques minutes avec Martial You, mais déjà, ça vous fait réagir.
01:01Bonjour M. Brunet, bonjour Céline.
01:03Depuis la disparition de la taxe d'habitation, on paye un foncier démesuré.
01:08Moi, j'en suis au point, lorsqu'un locataire s'en va, de vendre.
01:11Et maintenant, les résidences secondaires, une taxe d'habitation supplémentaire.
01:14Donc, qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi est-ce qu'on est comme ça avec les riches ?
01:18Voilà, ça ne toucherait pas que les riches, j'ai l'impression.
01:20Mesdames, Messieurs, vous nous appelez au 3210, on va en parler de ce sujet.
01:24Donc, on compte sur vous sur la taxe d'habitation.
01:27Nous parlerons également sur, comment dire,
01:30est-ce que l'État doit lâcher ses participations dans les grosses sociétés privées ?
01:35Je pense à Orange, à Stellantis, à la Française des Jeux.
01:39Ben oui, ça permettrait quand même de rentrer de l'argent dans les caisses de l'État
01:42et de limiter l'augmentation des impôts et peut-être même de limiter
01:45ce retour souhaité par certains de la taxe d'habitation.
01:49Voilà les thèmes dont nous parlerons.
01:50Donc, taxe d'habitation et les participations de l'État dans les boîtes privées.
01:54Dans l'actualité également, les stigmates des intempéries,
01:57toujours visibles dans les départements les plus touchés.
01:59Dans la Loire par exemple, le village de Chavanet, désormais coupé en deux,
02:03le pont s'est effondré.
02:05Et puis le groupe Carrefour épinglé par Amnesty International,
02:08travail forcé, heure non payée, sont franchisés.
02:10En Arabie Saoudite est accusé de maltraiter ses salariés.
02:13Enfin, tout est vrai.
02:15C'est le titre du nouveau livre de Philippe Gueluc.
02:17Le père du chat y livre ses souvenirs, anecdotes, ses dessins savoureux.
02:21Des mémoires qui n'en ont pas l'air et qui se parcourtent avec délectation.
02:25On s'en lèche déjà les babines.
02:27Rendez-vous dans 20 minutes.
02:29Avant ça, à la météo avec vous Louis Baudin.
02:31Bonjour.
02:32Bonjour Céline, bonjour Eric.
02:33Qu'est-ce qui nous attend cet après-midi Louis ?
02:35Du soleil presque partout.
02:37Parce que près de la Manche, ça ne sera pas du tout la même chose.
02:39Avec encore de la pluie.
02:40Les détails comme à chaque fois à la fin du journal.
02:42Merci Louis.
02:43RTL midi.
02:44La fin d'un feuilleton d'oliprane passe bien sous pavillon américain.
02:50L'Etat français entre lui aussi au capital d'Opéla, la filiale de Sanofi qui produit le médicament le plus vendu en France.
02:56Un accord a été scellé à Gatlandais et le gouvernement assure avoir obtenu de nombreuses garanties.
03:01Oui, d'abord sur l'emploi.
03:02Le fonds d'investissement s'engage à maintenir les 1700 postes en France.
03:06Il promet aussi d'embaucher davantage.
03:08Ensuite sur la production.
03:10CDNR, le fonds d'investissement américain, s'engage à conserver les usines de Lisieux et de Compiègne
03:17et de continuer à y produire autant de médicaments qu'aujourd'hui, au moins pendant 5 ans.
03:21Enfin, l'Etat a négocié de nouveaux investissements.
03:2470 millions d'euros sur les 5 prochaines années.
03:27Notamment pour ouvrir de nouvelles lignes de production en France.
03:30L'Etat va veiller au respect de cet accord.
03:33C'est ce qu'a promis ce matin le ministre de l'économie Antoine Armand.
03:36Pour que ces garanties soient respectées avec une exigence et une fermeté extrêmement importantes.
03:42C'est la mise en place de sanctions fermes, immédiates, en cas de non-respect de ces garanties.
03:47Car vous avez devant vous deux ministres qui n'ont aucune forme de naïveté.
03:52L'accord prévoit par exemple une pénalité de 100 000 euros par salarié licencié.
03:57Une autre pouvant aller jusqu'à 40 millions d'euros.
04:01Si jamais l'entreprise décidait de se séparer d'une des usines françaises en entrant au capital,
04:06même à seulement 2%, l'Etat va siéger au conseil d'administration.
04:10Pour lui permettre de veiller de l'intérieur au respect de ses engagements.
04:13Merci Agathe Landay, spécialiste santé pour RTL.
04:15Moi je trouve que ce débat est un peu démago et populiste.
04:18Je suis désolé de le redire.
04:19Il y a des tas d'autres marques qui fabriquent du paracétamol en France.
04:23Donc il faut aussi se calmer.
04:25Je trouve que l'Etat dans cette affaire a joué.
04:27Regardez, je bombe le torse, regardez ce qu'il va se passer.
04:30La réalité c'est que les américains ne consomment pas de doliprane.
04:33Ils prennent de l'ibuprofène et d'autres molécules.
04:35Donc je ne comprends pas.
04:37Alors il y a un sujet en poids certes.
04:38Mais je trouve que la polémique sur le doliprane français s'en va à l'étranger
04:43est un tout petit peu excessive.
04:44Ce n'est que mon avis.
04:46Il faut qu'on parle dans ce contexte.
04:49Voilà une nouvelle piste pour renflouer les comptes publics.
04:51On va parler maintenant de la taxe d'habitation, Céline Landreau.
04:55Le projet de budget, Eric, arrive ce soir dans l'hémicycle à 21h30.
05:03Et avant de parler de la taxe d'habitation,
05:06on va revenir sur ce qui s'est passé en commission des finances.
05:09Puisque les députés y ont rejeté la première partie du budget consacrée aux recettes.
05:13Ce matin, sur RTL, Eric Coquerel, le président de cette commission,
05:17prévenait d'ailleurs la bataille du budget va continuer.
05:21Là on a fait une démonstration.
05:22Et cette démonstration, à mon avis, c'est ce qui inquiète Michel Barnier.
05:25Parce qu'il sait très bien que dans l'hémicycle, ça va recommencer.
05:27On va être à nouveau majoritaire.
05:29Il n'y a pas de raison que ce ne soit pas sur les mêmes amendements.
05:31Donc on va détricoter son budget.
05:33Qu'est-ce qu'il fera dans ces cas-là ?
05:34Il pourrait décider que finalement, il conconstruit avec l'Assemblée.
05:37C'est ses mots, vous vous rappelez.
05:39Là, manifestement, comme les amendements ne lui plaisent pas,
05:41on y est passé à autre chose.
05:42On va débattre. Nous, on veut débattre.
05:44On ne veut pas bloquer le débat, comme j'ai entendu M. Barnier le dire.
05:47Et on veut faire en sorte de pousser le gouvernement soit à accepter sa défaite,
05:50parce qu'on gagnera à la fin,
05:52soit à mettre un 49-3 qui nous permettra de faire une motion de censure.
05:55Et on verra bien ce que fait l'ERN dans ces cas-là.
05:57Débattre donc dès 21h30 ce soir et malgré l'heure tardive,
06:00il y a fort à parier qu'on ne s'endormira pas.
06:02C'est Eric Coquerel, invité ce matin de RTL avec Thomas Sautouf.
06:06Tout tourne autour du budget.
06:08Tout tourne autour du budget,
06:09y compris le retour de la taxe d'habitation que j'évoquais il y a quelques instants.
06:13C'est énorme.
06:14Alors, vous allez me dire, Eric, elle existe encore.
06:16Certes, certes, mais uniquement pour les résidences secondaires.
06:19Et certains, parmi les alliés de Michel Barnier,
06:22aimeraient bien la voir s'appliquer à nouveau à tous.
06:25Bonjour, Martial You.
06:26Bonjour.
06:27C'est le nouvel épisode du concours l'épine aux aides fiscales.
06:29Voilà. Supprimé en 2023,
06:31ressuscité en 2025.
06:33Un peu dur pour la parole de l'État, rien que ça.
06:35Et vous retrouvez effectivement dans le lot,
06:38de ceux qui défendent ce retour,
06:39des maires qui n'ont pas accepté, bien sûr, qu'on leur retire cette manne.
06:43On a entendu Jean-François Copé sur cette question il y a quelques jours.
06:46Vous avez aussi des économistes,
06:48notamment celui qui avait rédigé le programme économique d'Emmanuel Macron en 2017,
06:53Philippe Pagion, favorable au retour de la taxe d'habitation.
06:55Et puis, ELFI qui encourage la taxation maximale,
06:59plus 60% sur les fameuses résidences secondaires que vous évoquiez,
07:03puisque c'est effectivement la dernière portion qui est toujours soumise à cette taxe.
07:07Et ça rapporterait combien, Martial ?
07:09Alors, si on estime que l'ensemble de la taxe d'habitation est rétablie comme avant,
07:14ça représente entre 20 et 30 milliards par an d'impôts supplémentaires.
07:18Alors, c'est autant d'argent dans les caisses des communes, bien sûr,
07:21mais c'est surtout une somme que l'État n'a plus à compenser.
07:24Donc, en résumé, ça peut faire un peu plus d'argent pour les collectivités locales,
07:28mais c'est surtout une énorme dépense en moins pour l'État.
07:31Et là, c'est tout le monde qui paye, les pauvres, les riches, tout le monde.
07:34Oui, et ça, c'est une mesure vraiment financée par tous les Français,
07:37parce que tout le monde paie cette taxe, puisqu'il s'agit de celui qui occupe le local
07:41au 1er janvier, propriétaire ou locataire.
07:43Pour les propriétaires, c'est la double peine,
07:45parce que les communes ont déjà fortement augmenté la taxe foncière ces dernières années
07:50pour compenser la fin de la taxe d'habitation.
07:52Plus 32,9% sur la taxe foncière en 10 ans, on en parlait la semaine dernière,
07:56alors que l'inflation n'était que de 19% sur cette période.
08:00Et actuellement, vous avez encore un peu moins de 10%,
08:039,5% des Français qui paient toujours cette taxe d'habitation sur la résidence secondaire.
08:08Mais là, si vous voulez, vous avez des effets de mort sur une telle mesure
08:11lorsque vous renforcez la taxe d'habitation,
08:14parce que, certes, ces propriétaires-là sont souvent ceux qui sont plus riches,
08:17c'est pour une résidence secondaire,
08:18ils ont des moyens financiers supérieurs,
08:20mais ils font vivre donc les commerces des communes
08:22où ils s'installent quelques mois par an,
08:24où ils entretiennent leurs maisons plus que les autres,
08:26et là, ils font vivre les artisans locaux.
08:28Merci beaucoup Martialio, éditorialiste économique sur RTL,
08:32on imagine que cette question d'un retour de la taxe d'habitation
08:36peut faire réagir au 32,10.
08:39On en parle au 32,10, à partir de 13h, vous nous appelez,
08:42dès à présent, vous laissez un message sur le 32,10
08:45ou bien sur l'application RTL,
08:47vous pouvez laisser un message écrit également sur l'application RTL,
08:50mais on est vraiment en fiscalité, on est les champions du monde.
08:52C'est de l'ingénierie de très haut niveau, c'est remarquable,
08:56la pensée fiscale en France est d'une sophistication éblouissante.
09:01Dans un instant, mesdames, messieurs, l'eau s'est retirée,
09:05mais après la décrue, il va falloir certainement reconstruire,
09:09nous redevenons sérieux, à tout de suite.
09:10RTL, pour tout comprendre de l'actualité.
09:14Céline Landreau, Éric Brunet, RTL Midi, les auditeurs ont la parole.
09:19Oui, c'est des lendemains qui ne chantent pas,
09:22des lendemains ambiance gueule de bois,
09:24l'eau bien sûr est repartie,
09:26mais les dégâts des inondations, eux, sont toujours là,
09:29dans les départements les plus fortement touchés
09:31par les intempéries de la semaine dernière.
09:33En dégâts parfois mortels d'ailleurs,
09:35hier en Ardèche, une femme s'est tuée en tombant dans un trou
09:37formé lors de ces inondations.
09:39Ailleurs, au-delà du nettoyage,
09:41ce sont parfois des infrastructures qu'il faut reconstruire.
09:43A Chavannay, par exemple, le village de 2500 habitants dans la Loire,
09:47c'est un pont qui s'est effondré, Gauthier Delon Bugard,
09:49et qui coupe désormais le village en deux.
09:51Le pont n'est plus qu'un immense tas de gravats
09:53de vieilles pierres crisâtres et d'arbres déracinés.
09:56Pierre en retraité vit à Chavannay depuis près de 60 ans.
09:59C'est la première fois au Chevreu, le pont abîmé comme ça,
10:02arraché complètement.
10:03Des grosses orages, ça a pu toute la nuit,
10:05toute la journée, le lendemain,
10:06mais le lendemain, ça tombait, la flotte.
10:08Les ruisseaux, ils ont grossi en rouge, ça a déferlé,
10:10ça a arraché toutes les buttes, voyez, là en face.
10:12Et ça a déferlé sur le pont, ça a tout poussé.
10:14Les habitants, les artisans et les professionnels
10:17qui empruntent cet axe doivent faire un détour
10:19de quelques minutes en voiture pour accéder à l'autre rue.
10:22Est-ce que je peux juste vous demander
10:23ce que vous faites là aujourd'hui ?
10:24Toujours dans le nettoyage.
10:26Beaucoup de terre qui a été charriée, des bouts de bois,
10:28des plastiques, enfin voilà, tout ce qu'on peut trouver.
10:30Vénévoles et employés de la commune
10:32continuent de nettoyer en attendant
10:34l'arrivée des pêleteuses et des gouttes.
10:36Des grosses infrastructures qui ont été touchées,
10:38avec malheureusement, comme ici,
10:40sous l'embaque, quelques voitures
10:43qu'il faut aussi récupérer pour que les particuliers
10:46puissent être en phase avec le rassureur.
10:48Ça fait très mal au cœur, mais quand on voit
10:50le nombre de bénévoles, et aujourd'hui,
10:52c'est les vacances scolaires, voire la jeunesse,
10:54c'est assez impressionnant, c'est même incroyable.
10:56La mairie s'inquiète désormais du coût des réparations.
10:58Plusieurs dizaines de milliers d'euros sont en jeu.
11:01Gauthier Delon-Bugar à Chavannay, dans la Loire, pour RTL.
11:06Le groupe Carrefour, alors ça c'est très intéressant,
11:08vient d'être épinglé par Amnesty International
11:10pour les conditions de travail sur plusieurs
11:12de ses sites en Arabie Saoudite.
11:14Des sites gérés par son franchisé,
11:16Madiba Al Futaim, sur lesquels, d'après l'ONG,
11:19les droits humains ne sont pas respectés.
11:21Antoine Cavaillot.
11:22On parle de travailleurs originaires du Népal,
11:24d'Inde, du Pakistan, recrutés par des sous-traitants.
11:26On leur promet un contrat avec Carrefour.
11:28Ils payent plus de 1100 euros pour candidater,
11:31sauf qu'une fois arrivés en Arabie Saoudite.
11:33Ces travailleurs migrants disent fréquemment
11:36qu'ils sont considérés et traités comme des animaux.
11:39Ils sont exploités, terme utilisé par Anne-Savine Elbara,
11:42présidente d'Amnesty International.
11:44Ils sont exploités parce que ceux qui ont témoigné pour nous
11:47nous disent fréquemment travailler plus de 10, 12, 16 heures par jour
11:53à raison d'un repos par semaine qui peut être annulé,
11:57y compris au dernier moment.
11:58Et s'ajoutent à ça des conditions de travail difficiles
12:02puisque certains ont pu noter qu'ils marchaient jusqu'à 20 km par jour.
12:08Amnesty dénonce également une culture de la peur.
12:10Ces travailleurs sont intimidés, menacés de licenciement.
12:13Ils décrivent aussi leur logement.
12:15Ils se retrouvent à 6, 7, 8 dans une seule pièce
12:18qui sert à la fois de chambre, cuisine, toilette.
12:20Alors que répond Carrefour ?
12:22Le groupe français a demandé à son franchisé de mener des enquêtes,
12:25reconnaît certains problèmes.
12:26Un expert indépendant a été missionné pour un audit.
12:29Antoine Cavaillot pour RTL, merci.
12:31La Russie dénonce des anomalies dans le décompte des voies en Moldavie
12:35au lendemain du référendum sur l'adhésion du pays à l'Union Européenne.
12:38Scrutin dont l'issue est toujours incertaine,
12:41même si le oui semble l'emporter à 50,28% des voies
12:47selon un décompte désormais quasi définitif.
12:50On y reviendra dans le journal de 12h30.
12:52Le temps Louis Baudin pour cet après-midi.
12:55Et on peut se réjouir parce que c'est globalement ensoleillé.
12:58Exactement, j'ai les images satellites sous les yeux.
13:00C'est vrai que le soleil s'impose très largement,
13:02notamment sur les zones sinistrées, c'est quasiment du grand ciel bleu.
13:05Il reste quelques nuages quand même dans le Languedoc
13:07ou encore entre la Côte d'Azur et la Corse.
13:09Alors ça, ça vaut pour presque toutes les régions
13:11parce que dans le Nord-Ouest, entre Bretagne, Normandie, Picardie et Nord-Pas-de-Calais,
13:15là c'est pas du tout la même chose, avec un ciel couvert et plus vieux,
13:18des pluies qui vont se prolonger tout au long de l'après-midi.
13:21La limite, c'est à peu près les pays de la Loire, l'Île-de-France
13:24où là nous aurons les nuages, mais à priori pas la pluie,
13:26plus au sud donc du grand soleil.
13:28Attention au vent d'autant qui souffle sur la région toulousaine,
13:30jusqu'à 70 km heure.
13:32Ce vent qui souffle du Golfe du Lion vers Toulouse.
13:35Les températures, elles, alors sous les nuages dans le Nord-Ouest,
13:38c'est frais, c'est à peine de saison, entre 14 et 16 degrés.
13:41En revanche, dans toutes les autres régions,
13:43là nous atteignons au moins les 20 degrés, 21 à 25 degrés.
13:47Donc pour un mois d'octobre, c'est quand même 5 à 6 degrés au-dessus des moyennes.
13:51C'est doux. Côté météo, ça s'annonce chaud, très chaud ce soir à l'Assemblée nationale
13:56où le projet de budget de Michel Barnier va commencer à être examiné,
14:01débattu dans l'hémicycle.
14:03Avec cette proposition dans le concours, l'épine des idées fiscales,
14:08comme l'a baptisé le Premier ministre, celle du retour de la taxe d'habitation pour tous.
14:13Ça vous fait déjà beaucoup réagir au 3210.
14:16Nathalie nous a appelé, elle a une idée.
14:19Au sujet de la taxe d'habitation, celle-ci devrait être payée par tous les locataires
14:23et les propriétaires devraient payer la taxe foncière,
14:25ce qui serait équitable pour tout le monde, dans la mesure où tout le monde participe
14:28et profite de toutes les infrastructures.
14:31Voilà, mais en tout cas, il y a un pays où tout marche bien.