• il y a 2 mois

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Transcription
00:00Le grand talk show, c'est le grand journal et vous, vous vous lancez, vous gagnez l'appel d'offres et ça donne le 7 septembre 2009
00:07Alessandra Sublet, jeune animatrice, qui lance
00:20Bonsoir à tous et bienvenue sur France 5 pour votre désormais rendez-vous quotidien
00:26Ça c'est Alessandra Sublet, ensuite il y aura Anne-Sophie Lapix qui va présenter, aujourd'hui c'est Anne-Elisabeth Lemoyne avec toujours cette table de chroniqueurs, toujours la cuisine
00:3316e saison
00:35ça va continuer encore longtemps et la cuisine restera tout le temps ?
00:38Alors on a deux choses, d'abord cette émission c'est mon bébé, j'ai passé quatre ans jour et nuit à la façonner
00:44d'abord elle a battu encore son record d'audience hier, elle a fait 9% de part d'audience qui est
00:49colossale
00:50Deuxièmement c'est le seul talk show aujourd'hui qui n'est pas dépendant et avec tout le respect que j'ai et pour
00:55Anne-Elisabeth Lemoyne et pour toutes celles qui lui ont précédé, qui ne dépend pas uniquement de son animatrice
01:01je pense que qu'à l'époque sans vous n'existe pas, Léa Salamé, je pense que quotidien n'existe pas sans Yann Barthez
01:06je pense que touche pas à mon poste n'existe pas sans Cyril Hanouna et je pense que c'est à vous, qui a déjà connu trois
01:11animatrices, peut continuer dans la durée parce qu'il y a un format, parce qu'il y a la cuisine
01:15peut-être qu'on peut se moquer de l'aspect cuisine
01:17mais c'est un format qui aujourd'hui accompagne les français. Après il y a un style de chacune de vos animatrices
01:21Anne-Elisabeth Lemoyne a amené son style, sa pâte
01:25Je les adore évidemment et je travaille qu'avec des gens extrêmement talentueux
01:28je vous dis simplement que ce format cuisine qui peut être moqué par moment
01:31c'est que n'empêche de 19h à 21h10 maintenant on accompagne les français dans un moment très important
01:38avec des choses très sérieuses, l'édito de Patrick Cohen est là pour le prouver depuis 14 ans mais c'est le cas. Le côté
01:45artisanat que vous aviez il y a 15 ans quand vous lancez, c'est à vous, vous étiez là derrière à faire attention aux lumières, aux
01:51lumières, aux projecteurs, aux invités
01:53c'est fini tout ça, vous n'avez plus le temps de ça. Mais vous rigolez, je continue de suivre. D'abord on n'avait pas une thune à
01:58l'époque, on avait le budget le plus ridicule qui était cinq fois moins que celui du Grand Journal
02:01et donc il fallait être différent. On a pris un loft à la place d'un grand studio, on n'avait pas d'argent pour mettre du public
02:07et franchement on a fait ça dans le plaisir et c'est ce qui se ressentait à l'antenne
02:11et c'est ce qui nous a permis de grandir.
02:12Mais aujourd'hui vous continuez de regarder ?
02:14Bien sûr, j'ai continué, j'ai gueulé la semaine dernière quand j'ai vu qu'on n'avait pas les hauts marchands, j'ai envoyé un texto à
02:18tout le monde, c'est important de suivre, c'est mon bébé, ça le restera toujours.
02:23Jacques Chancel vous en avez parlé, c'est votre père ?

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