Le nouveau patron de Sciences Po porte plainte après les manifs anti-Israël dans l'établissement et cible un collaborateur de Rima Hassan, Hicham Touili-Idrissi
Enfin une réaction de la part de la direction de Sciences Po ! Fraîchement nommé à la tête de Sciences Po, Luis Vassy a pris une première décision forte pour saisir le procureur de la République, contre les manifs pro palestiniennes qui se déroulent dans l'Université.
Selon les informations d'Europe 1 et du JDD sont visés des activistes qui ont appelé à l’intifada, notamment Hicham Touili-Idrissi, collaborateur de la députée européenne Rima Hassan, ancien élève de Sciences Po et membre actif du comité Palestine de l’établissement.
Lors d’une intervention télévisée le 29 avril dernier sur le service public, il avait refusé de condamner le Hamas, préférant alerter sur « un risque immense de génocide » en Palestine.
Arborant fièrement un keffieh, symbole du nationalisme palestinien, il s'était attiré les critiques de nombreux observateurs.
C'est lui qui serait à l'origine des mouvements qui secouent l'Université et qui parfois dérapent en antisémitisme et haine claire et affichée d'Israël.
Le JDD rappelle par exemple, que pas plus tard que le 3 octobre dernier, alors que l’école célébrait l’Africa Day, des étudiants ont transformé le hall en véritable arène propalestinienne. « Israël assassin, Sciences Po complice », scandait-on, drapeaux palestiniens à la main, et « Netanyahou, casse-toi, la Palestine n'est pas à toi » ou encore « Pour nos frères de Palestine et tous ceux qu’on assassine, on est là ».
Selon les informations d'Europe 1 et du JDD sont visés des activistes qui ont appelé à l’intifada, notamment Hicham Touili-Idrissi, collaborateur de la députée européenne Rima Hassan, ancien élève de Sciences Po et membre actif du comité Palestine de l’établissement.
Lors d’une intervention télévisée le 29 avril dernier sur le service public, il avait refusé de condamner le Hamas, préférant alerter sur « un risque immense de génocide » en Palestine.
Arborant fièrement un keffieh, symbole du nationalisme palestinien, il s'était attiré les critiques de nombreux observateurs.
C'est lui qui serait à l'origine des mouvements qui secouent l'Université et qui parfois dérapent en antisémitisme et haine claire et affichée d'Israël.
Le JDD rappelle par exemple, que pas plus tard que le 3 octobre dernier, alors que l’école célébrait l’Africa Day, des étudiants ont transformé le hall en véritable arène propalestinienne. « Israël assassin, Sciences Po complice », scandait-on, drapeaux palestiniens à la main, et « Netanyahou, casse-toi, la Palestine n'est pas à toi » ou encore « Pour nos frères de Palestine et tous ceux qu’on assassine, on est là ».
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TVTranscription
00:00La justice internationale, elle évolue très lentement, donc en fait, c'est à nous, le peuple, d'utiliser des moyens pacifiques pour pouvoir faire en sorte que cette justice soit plus rapide.
00:08On n'a jamais tranché en un an s'il y avait un génocide ou pas. Le risque de génocide, il existe. On a des hauts membres de l'ONU qui ont démissionné en voyant un risque de génocide.
00:16Je vous rappelle le monsieur qui avait démissionné en novembre, du coup, qui a vécu le génocide bosniaque, qui a vécu d'autres choses, et nos professeurs, nous-mêmes.
00:24Moi, mon professeur, j'étudie le droit humain, qui est le spécialiste du mot du génocide, de la qualification juridique génocide,
00:29monsieur William Chabas, qui est un professeur irlandais, et qui reconnaît le risque imminent de génocide, et qui qualifie même de génocide au-delà.
00:35Il y a l'institut Lemkin, qui parle aussi de génocide dans les territoires occupés palestiniens.
00:39Donc en fait, s'il y a un risque immense de génocide, c'est une responsabilité internationale de l'arrêter tout de suite, maintenant. C'est notre droit international.
00:46Richard Verli, comment est-ce que... On voit comment... Déjà, le débat, on l'a.