• le mois dernier
L'ancien ministre et avocat, André Vallini, a réagi sur CNEWS à l'affaire d'un agresseur sexuel ayant obtenu le statut de réfugié du fait d'une transition de genre.

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Transcription
00:00Non, mais ce n'est pas l'état de droit qui permet ce genre de choses, c'est l'état du droit.
00:04Il ne faut pas confondre l'état de droit avec un E majuscule,
00:08qui veut dire que l'état doit respecter le droit en vigueur,
00:12et puis l'état du droit avec un petit E,
00:14c'est-à-dire le droit en cours, le droit en vigueur.
00:17L'état respecte le droit tel qu'il est.
00:19Si on veut faire changer le droit, on peut le faire, c'est au Parlement de le faire.
00:22J'avoue que je ne comprends pas cette libération, cette remise en liberté.
00:28Ça paraît totalement aberrant.
00:30Est-ce que le juge, est-ce que le Conseil d'État et avant lui la Cour nationale du droit d'asile
00:35se sont basés sur des expertises psychologiques dont c'est ce qu'elles valent, parfois ?
00:40Je ne sais pas, il faudrait connaître le dossier,
00:42mais c'est vrai que je suis totalement choqué par cette décision, comme vous.

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