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Le mot "violeur" tagué en grandes lettres et de la peinture rouge barrant les yeux: le portrait de l'abbé Pierre peint sur une fresque a été dégradé à Lyon, sa ville natale.

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Transcription
00:00Je me dis, c'est la suite logique des choses, je ne sais pas quoi dire de plus, c'est aussi
00:27intéressant que l'avant.
00:28L'arbre d'art appartient à tout le monde, et ce n'est pas parce qu'il y en a un qui
00:33a mal fait des choses, et il y en a beaucoup d'autres, je pensais que ça serait abîmé
00:38plus vite.
00:39Et là c'est très récent, c'est quelqu'un pour faire parler de lui, mais 30 ans après
00:43moi ça me perturbe.
00:44Après tout ce qui s'est passé c'est assez violent aussi sur tout ce qu'on a su, donc
00:48après la réaction est violente derrière parce que forcément c'est dur tout ce qui
00:53s'est passé par rapport à lui.
00:55Après la méthode d'action, je ne sais pas trop quoi dire, ça mérite réflexion, c'est sûr.
01:01C'est dommage d'abîmer une fresque comme ça, c'est tout.
01:03Après ce qu'il a fait, c'est répréhensible, mais bon, voilà.
01:07Autant y mettre un coup de peinture et y mettre quelqu'un d'autre à la place qu'on peut
01:10pas faire ça.

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