• il y a 2 mois
Un mois après la mort de Kamilya, fauchée par un scooter, rien n'a changé malgré les nombreuses critiques sur la dangerosité de cette départementale, surnommée ici «départementale de la mort». 

Category

🗞
News
Transcription
00:00Des bouquets séchés, une bande au rôle, une entrée d'immeuble transformée en lieu de mémoire pour la petite Camilia et un flot incessant de véhicules.
00:08Ici, tout reste figé, rien ne change.
00:12Ça fait des années que ça devait changer, ça n'a jamais été changé.
00:16Et apparemment, ils ne sont pas pressés que de s'activer pour faire en sorte de réduire les risques.
00:23En 10 ans, malgré plusieurs morts et blessés dans cette traversée, départements et mairies se renvoient la balle.
00:29Aucun accord à ce jour pour savoir qui doit réaliser les travaux pour couper la vitesse des automobilistes.
00:36Je ne pense pas que cette route-là, elle demande des millions et des millions.
00:41La somme qu'elle a besoin pour qu'elle soit sécurisée, ce n'est pas une somme phénoménale.
00:46Les riverains de la départementale de la Mort ne comprennent pas la latence des autorités.
00:51On a eu Camilia qui est partie, peut-être qu'on attendra une autre jeune fille ou un autre jeune garçon ou une personne âgée se faire écraser pour comprendre enfin.
00:59On attend que le maire fasse quelque chose pour cette route, qu'il s'occupe, qu'il mette des panneaux de signalisation.
01:05Le 19 septembre, 76 verbalisations ont été effectuées lors d'un contrôle de police, 6 pour vitesse excessive.

Recommandations